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Spycker

Spycker [spikɛʁ] est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Spycker
Spycker
La mairie.
Blason de Spycker
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté urbaine de Dunkerque
Maire
Mandat
Jean-Luc Goetbloet
2020-2026
Code postal 59380
Code commune 59576
Démographie
Gentilé Spyckerois
Population
municipale
1 779 hab. (2020 en augmentation de 3,61 % par rapport à 2014)
Densité 182 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 58′ 12″ nord, 2° 19′ 27″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 5 m
Superficie 9,79 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Spycker
(ville-centre)
Aire d'attraction Dunkerque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coudekerque-Branche
Législatives Quatorzième circonscription
Localisation
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Spycker
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Spycker
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Spycker
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Spycker
Liens
Site web http://mairie-spycker.fr/

    Géographie

    Localisation

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 730 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dunkerque », sur la commune de Dunkerque, mise en service en 1917[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 697,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Boulogne-sur-Mer », sur la commune de Boulogne-sur-Mer, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1947 et à 57 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[13].

    Voie de communication et transport

    Spycker est desservie par la ligne 15 du réseau DK'BUS.

    Urbanisme

    Typologie

    Spycker est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Spycker, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 3 161 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,7 %), zones urbanisées (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    On fait allusion en 1067 à Spicris, qui viendrait de spicarium = grenier à blé.

    La commune porte le nom de Spijker en néerlandais[24].

    Histoire

    Le village était situé sur une voie romaine venant de Cassel et menant à Mardyck à travers la Flandre maritime[25].

    Vers 800, sur une carte de Malbrancq qui représente la partie orientale du delta de l'Aa, le village Grunberga (Bergues) est indiqué, entouré de Burgus in broco (Bourbourg), Ecclesia in broco (Brouckerque), Saint-Wilbrordi (Gravelines), Koudekerke (Coudekerque-Village), Spikere (Spycker) ou Loo berga (Looberghe)[26].

    En 1186, le comte de Flandre confirme la donation d'un domaine situé près de Milham (Millam), à l'abbaye de Watten par Eustache, fils de Remold de Spicre[27]. En 1187, Mathilde, femme de Guillaume de Lille, en son château de Ruhout, a déclaré devant le comte de Flandre Philippe d'Alsace, qu'elle renonce en faveur de la même abbaye à ses droits sur un bien qu'elle avait reçu en don de son premier mari Guillaume, fils de Remold de Spicre[28]

    En 1227, Guillaume, seigneur de Spycker, et Isabeau sa femme, fondent sous le vocable de sainte Élisabeth, un hôpital desservi par des religieuses appartenant aux béguines, et lui fait de nombreux dons[29]. En 1248, la comtesse de Flandre Marguerite de Constantinople transfère la maison à Bergues et elle devient en 1252, l'abbaye de Saint-Victor ou nouveau cloître[30].

    Avant 1789, Spycker dépendait de la châtellenie de Bergues. La paroisse était incluse dans le diocèse de Thérouanne, puis à la disparition de celui-ci dans le diocèse de Saint-Omer[31].

    En 1903, Spycker était sur la ligne de chemin de fer reliant Bourbourg à Dunkerque et disposait d'une gare ou à tout le moins d'un arrêt[32].

    Première Guerre mondiale

    Pendant la Première Guerre mondiale, Spycker est à l'arrière du front qui part de Nieuport, suit le cours de l'Yser vers les monts des Flandres.

    La commune dépend en 1916 du commandement d'étapes, c'est-à-dire un élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front, de Grand-Millebrugghe

    De janvier à septembre 1917, Spycker est elle-même le siège d'un commandement d'étapes, dit de Spycker-Steene, car transféré à Steene en juillet, puis transféré à Armbouts-Cappel pendant quelque temps, avant de revenir à Spycker. Les communes faisant partie du commandement d'étapes sont Steene, Looberghe, Mardyck, Armbouts-Cappel, Pitgam, Capelle, Brouckerque, Eringhem, Crochte, Bierne, Saint-Pierre-Brouck, Drincham, Grande-Synthe (à partir de ), Coudekerque, Hoymille[33]. De ce fait stationnent sur Spycker le capitaine responsable du commandement d'étapes, ainsi que quatre gendarmes. Des troupes y passent ou y sont cantonnées, comme par exemple en , deux compagnies d'un régiment de zouaves au pont de Spycker[34].

    Le 24 mai 1916, sont signalées sur le territoire de la commune, une bombe d'avion non éclatée, et à différents endroits trois traces d'obus de 75 dont au moins un pouvait ne pas avoir éclaté. Des moyens sont demandés pour les faire exploser ou les rendre inoffensifs[35].

    Le 2 avril 1917, est retrouvé dans un fossé, sur le territoire de la commune, un obus non éclaté[36].

    Au début mai 1917, les troupes anglaises comptent un poste d'artillerie contre avions à Spycker, un autre à Looberghe-Lynck, un poste de projecteurs photo-électriques à Brouckerque et un autre à Pitgam, ainsi qu'un poste de guet à Pitgam[37].

    Le , une voiture d'un régiment d'artillerie cantonné à Brouckerque a heurté une habitante de Spycker, Madame veuve Spriet âgée de 87 ans, laquelle est décédée. La gendarmerie a ouvert une enquête[38].

    Le , un avion anglais de l'escadrille 57 de Cassel a atterri sur la commune à 18 h 00. Il est reparti le lendemain à 7 h 00 du matin[39].

    Le , une femme et trois enfants ont été blessés par les éclats d'une grenade avec laquelle jouait un 4e enfant. celui-ci a dit avoir trouvé l'objet dans une grange qu'un régiment d'artilleurs venait d'évacuer. Un médecin, envoyé par un autre régiment d'artilleurs, cantonné à Steene, a examiné les victimes et a demandé leur hospitalisation[40].

    À la mi-septembre 1917, l'aviation maritime britannique a loué à Spycker, près du château de l'Afgand, une pâture où elle compte faire construire des baraquements pour officiers[41].

    Le jeudi , à trois heures du matin, un incendie s"est déclaré à Spycker chez Mme veuve Depoers, dans un local abritant chaque soir la voirure d'un mercier en gros de Dunkerque et des produits inflammables. La présence de soldats, des artilleurs cantonnés dans le bâtiment voisin, et des Anglais, ainsi que l'aide de la pompe de Dunkerque appelée par téléphone a permis de limiter les conséquences à des dégâts matériels[42].

    De mai à juillet 1916, Spycker dépend encore du commandement d'étapes de Grand-Millebrugghe et en 1917-1918, du commandement d'étapes de Téteghem[33].

    Seconde Guerre mondiale

    Combat de Spycker, du au , durant la bataille de France, ou le 1er bataillon du 225e régiment d'infanterie bloque l'avancée allemande permettant le rembarquement lors de l’opération Dynamo[43] - [44].

    Politique et administration

    Le village est membre de la communauté urbaine de Dunkerque (Dunkerque grand littoral).

    Situation administrative

    Spycker dans son canton et son arrondissement.

    Liste des maires

    Maire en 1802-1803 : Jacques Vereecke[45].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    En cours Jean-Luc Goetbloet
    Réélu pour le mandat 2020-2026[46]
    PS
    1965 1978 au moins Étienne Dekeister[47] - [48]
    1954 1965 Roger Baes[49] - [50]
    1951 1954 M. Coevoet[51]
    1935 1939 Joseph Dannoot[52]
    1925 1935 Albert Depoers[53]
    1913 1925 Eugène Delabaere[54]
    1887 1913 J. Depoers[55]
    1883 J. Depoers[55]
    1854 Mr Wemaere[56]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[58].

    En 2020, la commune comptait 1 779 habitants[Note 8], en augmentation de 3,61 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    385485563541558648665701631
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    659660672694676670676670660
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    657668632625583602584360499
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    6216791 6431 4851 4021 3141 5081 6411 807
    2020 - - - - - - - -
    1 779--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[60].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 888 hommes pour 916 femmes, soit un taux de 50,78 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[61]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1
    90 ou +
    0,4
    5,1
    75-89 ans
    7,2
    12,8
    60-74 ans
    14,2
    21,6
    45-59 ans
    20,8
    23,5
    30-44 ans
    21,5
    12,3
    15-29 ans
    13,8
    24,5
    0-14 ans
    22,1
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[62]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Enseignement

    Spycker fait partie de l'académie de Lille.

    Sports

    Le ministère des sports a décompté 16 équipements sportifs sur le territoire de la commune en 2013[63].

    Culture et patrimoine

    Héraldique

    Les armes de Spycker se blasonnent ainsi :

    « D'argent semé de billettes de sable, et un lion du même, armé et lampassé de gueules, brochant sur le tout. » (identique à l'ancien blason de Loon-Plage)

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Dunkerque - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Spycker et Dunkerque », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Dunkerque - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Spycker et Boulogne-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Spycker », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dunkerque », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
    25. Mr Bergerot, <<Vie de Saint-Folquin>>, dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1855, p 90 à 131, lire en ligne
    26. Aymard Drieux et Yves Lemaire, Brouckerque, Coppenaxfort, 2005, (ISBN 2-9525621-0-5).
    27. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome II Année 1186
    28. A. Wauters, op. cit., Tome II Année 1187
    29. M.A. Bonvarlet, « Chronique de l'abbaye des dames de Saint-Victor, dite du nouveau cloître à Bergues », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1857, publié en 1858, p. 262-263, lire en ligne
    30. M.A. Bonvarlet, « Chronique de l'abbaye des dames de Saint-Victor, dite du nouveau cloître à Bergues », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1857, publié en 1858, p. 260, lire en ligne.
    31. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 66, lire en ligne.
    32. Le Journal de Bourbourg et du canton de Gravelines, n°1158 du 4 mars 1903
    33. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
    35. Commandement d'étapes de Grand-Millebrugghe, mai à juillet 1916, p. 26, lire en ligne.
    36. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker, p. 22, lire en ligne.
    37. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker-Steene, janvier-septembre 1917, p. 31, lire en ligne.
    38. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker-Steene, septembre 1917- mars 1918, p. 67, lire en ligne.
    39. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker-Steene, septembre 1917- mars 1918, p. 70, lire en ligne.
    40. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker-Steene, septembre 1917- mars 1918, p. 79, lire en ligne.
    41. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker-Steene, septembre 1917- mars 1918, p. 88, lire en ligne.
    42. Journal de marche du commandement d'étapes de Spycker-Steene, septembre 1917- mars 1918, p. 153, lire en ligne.
    43. Spycker : un hommage aux 75 hommes du 225e RI tombés en 1940
    44. Carnet de route du lieutenant Marius Weber; les combats de Spycker
    45. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 272, lire en ligne.
    46. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21598919
    47. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1966 à 1979
    48. Aînés ruraux du secteur de Dunkerque: Étienne Dekeister quitte la présidence, Nicole Fermon lui succède
    49. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1955 à 1965
    50. Magazine de la commune de SPYCKER N°20 2018 page 2
    51. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1952 1954
    52. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1936 à 1939
    53. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1925 à 1935
    54. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1914 et 1922 à 1925
    55. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1883 et de 1887 à 1913
    56. Almanach du commerce Département du Nord 1854
    57. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    58. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    59. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    61. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Spycker (59576) », (consulté le ).
    62. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    63. « Recensement des équipements sportifs, espace et sites de pratiques - détail par communes - », sur Site ministériel du recensement des équipements sportifs (consulté le ).
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