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Eringhem

Eringhem [eÊÉ›ÌƒÉĄÉ›m] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Nord en rĂ©gion Hauts-de-France.

Eringhem
Eringhem
La mairie.
Blason de Eringhem
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts de Flandre
Maire
Mandat
Murielle Feryn
2020-2026
Code postal 59470
Code commune 59200
DĂ©mographie
Gentilé Eringhémois
Population
municipale
492 hab. (2020 en augmentation de 3,58 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 43 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 50° 53â€Č 49″ nord, 2° 20â€Č 39″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 40 m
Superficie 11,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Dunkerque
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Wormhout
LĂ©gislatives QuatorziĂšme circonscription
Localisation
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Eringhem
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Eringhem
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Eringhem
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Eringhem

    GĂ©ographie

    Eringhem dans son canton et son arrondissement.

    Communes limitrophes

    Une entrée de la commune.
    Communes limitrophes de Eringhem
    Looberghe Drincham, Pitgam
    Merckeghem Eringhem Zegerscappel
    Bollezeele

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 765 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Watten », sur la commune de Watten, mise en service en 1970[7] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 792,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Boulogne-sur-Mer », sur la commune de Boulogne-sur-Mer, dans le dĂ©partement du Pas-de-Calais, mise en service en 1947 et Ă  55 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,8 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Eringhem est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (98 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (98,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (98 %), zones urbanisĂ©es (2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    857 : Ebresingahem, 867 : Neuersingahem, 1113 : Ersingehem, 1186 : Hersinghem (cartulaire de Watten).

    Eringem en flamand.

    Histoire

    Jusqu'à la Révolution française, Eringhem dépend de la chùtellenie de Bourbourg et la paroisse est incluse dans le diocÚse de Thérouanne, puis à la disparition de celui-ci dans le diocÚse de Saint-Omer[21].

    Une bulle du pape Pascal II confirme en 1113 la donation de la terre par le comte de Flandre Ă  l'abbaye Notre-Dame de Bourbourg.

    En 1261 ou 1262, un membre de la famille des comtes de Gußnes, le chevalier Arnould de Gußnes, fils d'Arnould II de Gußnes et oncle d'Arnould III[22], y fonde un couvent de guillelmites (ordre de Saint-Guillaume), sur une terre appelée Nieulande, au lieu-dit Scoudbroec : il donne 67 mesures de terre (environ 30 hectares). Il promet de bùtir en cet endroit un oratoire et les bùtiments nécessaires, et de pourvoir à l'entretien de six frÚres[23]. En 1264, les moines, dits guillelmites de Nieulande, ont un différend puis s'accordent avec l'abbaye de Watten au sujet de dßmes réclamées par Watten[24]. En 1458, les moines se sont retirés à Oudezelle jusqu'en 1464 pour s'établir finalement à Noordpeene (Couvent des Guillemites de Noordpeene)[25].

    Le chùteau d'Eringhem est cité dans les biens de Louis de Luxembourg-Saint-Pol), chùtelain de Bourbourg, en 1458.

    Pendant la premiĂšre guerre mondiale, en 1917, Eringhem dĂ©pendait du commandement d'Ă©tapes ayant son siĂšge Ă  Looberghe, (Ă©lĂ©ment de l'armĂ©e organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dĂ©pendant du groupement , en arriĂšre du front), de mĂȘme que Drincham, Pitgam,...Des troupes ont donc sĂ©journĂ© sur Eringhem, des poteaux dĂ©limitaient la zone de l'armĂ©e française situĂ©e sur Drincham de celle de l'armĂ©e anglaise stationnĂ©e Ă  Eringhem[26]. Le 17 aoĂ»t 1917, en fin de matinĂ©e, un biplan anglais a atterri brusquement dans la partie nord du village de Looberghe, vers Pitgam. L'appareil a Ă©tĂ© trĂšs endommagĂ© mais l'Ă©quipage fut sauf. L'autoritĂ© anglaise d'Eringhem prĂ©venue a fait le nĂ©cessaire. Un rĂ©giment d'infanterie a assurĂ© un poste de surveillance[27]. La commune dĂ©pend en 1917-1918 du commandement d'Ă©tapes de Spycker, dit de Spycker-Steene[26].

    HĂ©raldique

    Les armes de Eringhem se blasonnent ainsi :Gironné d'or et d'azur de dix piÚces, à l'écusson de gueules brochant en abßme sur le tout. Il s'agit des anciennes armes de l'Abbaye Notre-Dame de Bourbourg.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Maire de 1802 Ă  1807 : Pierre Lysensoone[28] - [29].

    Maire en 1854 : Mr Meneboo[30].

    maire en 1881 : Charles Andioën[31].

    Maire en 1883 et de 1887 Ă  1891 : J Meneboo[32].

    Maire de 1892 Ă  1900 : P. Hemelsdael[33].

    Maire en 1901 : Ch. Missiaen[34].

    Maire de 1902 à 1904 : D. Liévin[35].

    Maire de 1904 Ă  1914 : L. Marcant[36].

    Maire de 1922 Ă  1929 : A. Decool[37].

    Maire de 1929 à 1933 : René Hemelsdael[38].

    Maire de 1933 Ă  1935 : Jules Vasseur[39].

    Maire de 1935 Ă  1939 : Joseph Quenson[40].

    Maire de 1951 Ă  1966 : G. Ryckeboer[41].

    Maire de 1966 Ă  1977 : G. Vasseur[42].

    Maire en 1977-1978 au moins : B. Crépin[43].

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2008 Bernardin Crépin
    2020 Paul Janssen Vice-président de la Communauté de communes des Hauts de Flandre depuis le 17 avril 2014 [44] - [45].
    2020 En cours Murielle Feryn

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[47].

    En 2020, la commune comptait 492 habitants[Note 8], en augmentation de 3,58 % par rapport Ă  2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    515591669661655641676719704
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    660726712654666653636628599
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    574598571559555521527541488
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    442401381365413419456478473
    2020 - - - - - - - -
    492--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  40,4 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 18,4 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,5 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 246 hommes pour 242 femmes, soit un taux de 50,41 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[50]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,0
    6,1
    75-89 ans
    6,6
    13,1
    60-74 ans
    10,8
    19,8
    45-59 ans
    19,0
    20,2
    30-44 ans
    23,7
    16,0
    15-29 ans
    12,9
    24,8
    0-14 ans
    27,0
    Pyramide des ùges du département du Nord en 2018 en pourcentage[51]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Lieux et monuments

    • L'Église Saint Matthias: L'Ă©glise en forme de croix latine, a Ă©tĂ© Ă©difiĂ©e au XVIe siĂšcle (1564). Elle se compose d'un vaisseau central flanquĂ© de bas-cĂŽtĂ©s. La tour qui date de 1675, s'Ă©lĂšve Ă  la croisĂ©e du transept. Le portail est de 1870. C'est une construction en brique et pierre. Elle renferme deux retables et du mobilier protĂ©gĂ© au titre de monuments historiques. La cloche en bronze datant de 1563, situĂ©e dans la tour de l'Ă©glise, a Ă©tĂ© inscrite Ă  l'inventaire dĂ©partemental.
    • Dans l'Ă©glise se trouve une piĂšce d'orfĂšvrerie remarquable : un reliquaire dĂ©nommĂ© « La remise du rosaire Ă  Saint Dominique ». ExaminĂ© dans une Ă©tude rĂ©cente[52], l'objet est classĂ© au titre des monuments historiques[53].
    • Le monument aux morts.
    • L'Ă©glise Saint-Matthias
      L'Ă©glise Saint-Matthias
    • Le monument aux morts
      Le monument aux morts

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Watten - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Eringhem et Watten », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Watten - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Eringhem et Boulogne-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Dunkerque », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuviÚme volume, p. 66, lire en ligne.
    22. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 668, lire en ligne.
    23. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplÎmes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome V, Année 1262.
    24. A. Wauters, op. cit., Tome V, Année 1264.
    25. Bulletin de la commission historique du Nord, Année 1863, Tome VII, p. 207, lire en ligne.
    26. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
    27. Journal de marche du commandement d'étapes de Looberghe, 20 juin-4 décembre 1917, p. 49, lire en ligne.
    28. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 272, lire en ligne.
    29. « Annuaire statistique du dĂ©partement du Nord. Pour 
 (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consultĂ© le ), p. 128-129.
    30. Almanach du commerce DĂ©partement du Nord 1854
    31. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 3.
    32. Annuaires Ravet Anceau Département du Nord Années 1883 et de 1887 à 1891
    33. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1892 à 1900
    34. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1901
    35. Annuaire Ravet Anceau du Département du Nord Années 1902 à 1904
    36. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1905 à 1914
    37. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1922 à 1929
    38. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1930 à 1933
    39. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1934-1935
    40. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1936 à 1939
    41. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1952 à 1966
    42. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1967 à 1977
    43. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1978 et 1979
    44. « Accueil / Communauté de Communes des Hauts de Flandre », sur cc-hautsdeflandre.fr (consulté le ).
    45. http://cluster011.ovh.net/~cchautsdts/wp-content/uploads/2014/compterendu/CC14-01-14.pdf
    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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