Eringhem
Eringhem [eÊÉÌÉĄÉm] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Nord en rĂ©gion Hauts-de-France.
Eringhem | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Nord | ||||
Arrondissement | Dunkerque | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Hauts de Flandre | ||||
Maire Mandat |
Murielle Feryn 2020-2026 |
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Code postal | 59470 | ||||
Code commune | 59200 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Eringhémois | ||||
Population municipale |
492 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 43 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 53âČ 49âł nord, 2° 20âČ 39âł est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 40 m |
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Superficie | 11,53 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Dunkerque (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Wormhout | ||||
LĂ©gislatives | QuatorziĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Nord
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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GĂ©ographie
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Watten », sur la commune de Watten, mise en service en 1970[7] et qui se trouve Ă 12 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 792,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Boulogne-sur-Mer », sur la commune de Boulogne-sur-Mer, dans le dĂ©partement du Pas-de-Calais, mise en service en 1947 et Ă 55 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,2 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Eringhem est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (98 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (98,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (98 %), zones urbanisĂ©es (2 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Toponymie
857 : Ebresingahem, 867 : Neuersingahem, 1113 : Ersingehem, 1186 : Hersinghem (cartulaire de Watten).
Eringem en flamand.
Histoire
Jusqu'à la Révolution française, Eringhem dépend de la chùtellenie de Bourbourg et la paroisse est incluse dans le diocÚse de Thérouanne, puis à la disparition de celui-ci dans le diocÚse de Saint-Omer[21].
Une bulle du pape Pascal II confirme en 1113 la donation de la terre par le comte de Flandre Ă l'abbaye Notre-Dame de Bourbourg.
En 1261 ou 1262, un membre de la famille des comtes de Gußnes, le chevalier Arnould de Gußnes, fils d'Arnould II de Gußnes et oncle d'Arnould III[22], y fonde un couvent de guillelmites (ordre de Saint-Guillaume), sur une terre appelée Nieulande, au lieu-dit Scoudbroec : il donne 67 mesures de terre (environ 30 hectares). Il promet de bùtir en cet endroit un oratoire et les bùtiments nécessaires, et de pourvoir à l'entretien de six frÚres[23]. En 1264, les moines, dits guillelmites de Nieulande, ont un différend puis s'accordent avec l'abbaye de Watten au sujet de dßmes réclamées par Watten[24]. En 1458, les moines se sont retirés à Oudezelle jusqu'en 1464 pour s'établir finalement à Noordpeene (Couvent des Guillemites de Noordpeene)[25].
Le chùteau d'Eringhem est cité dans les biens de Louis de Luxembourg-Saint-Pol), chùtelain de Bourbourg, en 1458.
Pendant la premiĂšre guerre mondiale, en 1917, Eringhem dĂ©pendait du commandement d'Ă©tapes ayant son siĂšge Ă Looberghe, (Ă©lĂ©ment de l'armĂ©e organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dĂ©pendant du groupement , en arriĂšre du front), de mĂȘme que Drincham, Pitgam,...Des troupes ont donc sĂ©journĂ© sur Eringhem, des poteaux dĂ©limitaient la zone de l'armĂ©e française situĂ©e sur Drincham de celle de l'armĂ©e anglaise stationnĂ©e Ă Eringhem[26]. Le 17 aoĂ»t 1917, en fin de matinĂ©e, un biplan anglais a atterri brusquement dans la partie nord du village de Looberghe, vers Pitgam. L'appareil a Ă©tĂ© trĂšs endommagĂ© mais l'Ă©quipage fut sauf. L'autoritĂ© anglaise d'Eringhem prĂ©venue a fait le nĂ©cessaire. Un rĂ©giment d'infanterie a assurĂ© un poste de surveillance[27]. La commune dĂ©pend en 1917-1918 du commandement d'Ă©tapes de Spycker, dit de Spycker-Steene[26].
HĂ©raldique
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Les armes de Eringhem se blasonnent ainsi :Gironné d'or et d'azur de dix piÚces, à l'écusson de gueules brochant en abßme sur le tout. Il s'agit des anciennes armes de l'Abbaye Notre-Dame de Bourbourg. |
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Politique et administration
Liste des maires
Maire de 1802 Ă 1807 : Pierre Lysensoone[28] - [29].
Maire en 1854 : Mr Meneboo[30].
maire en 1881 : Charles Andioën[31].
Maire en 1883 et de 1887 Ă 1891 : J Meneboo[32].
Maire de 1892 Ă 1900 : P. Hemelsdael[33].
Maire en 1901 : Ch. Missiaen[34].
Maire de 1902 à 1904 : D. Liévin[35].
Maire de 1904 Ă 1914 : L. Marcant[36].
Maire de 1922 Ă 1929 : A. Decool[37].
Maire de 1929 à 1933 : René Hemelsdael[38].
Maire de 1933 Ă 1935 : Jules Vasseur[39].
Maire de 1935 Ă 1939 : Joseph Quenson[40].
Maire de 1951 Ă 1966 : G. Ryckeboer[41].
Maire de 1966 Ă 1977 : G. Vasseur[42].
Maire en 1977-1978 au moins : B. Crépin[43].
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[47].
En 2020, la commune comptait 492 habitants[Note 8], en augmentation de 3,58 % par rapport Ă 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 40,4 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 18,4 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,5 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 246 hommes pour 242 femmes, soit un taux de 50,41 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- L'Ăglise Saint Matthias: L'Ă©glise en forme de croix latine, a Ă©tĂ© Ă©difiĂ©e au XVIe siĂšcle (1564). Elle se compose d'un vaisseau central flanquĂ© de bas-cĂŽtĂ©s. La tour qui date de 1675, s'Ă©lĂšve Ă la croisĂ©e du transept. Le portail est de 1870. C'est une construction en brique et pierre. Elle renferme deux retables et du mobilier protĂ©gĂ© au titre de monuments historiques. La cloche en bronze datant de 1563, situĂ©e dans la tour de l'Ă©glise, a Ă©tĂ© inscrite Ă l'inventaire dĂ©partemental.
- Dans l'église se trouve une piÚce d'orfÚvrerie remarquable : un reliquaire dénommé « La remise du rosaire à Saint Dominique ». Examiné dans une étude récente[52], l'objet est classé au titre des monuments historiques[53].
- Le monument aux morts.
- L'Ă©glise Saint-Matthias
- Le monument aux morts
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Watten - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Eringhem et Watten », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Watten - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Eringhem et Boulogne-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuviÚme volume, p. 66, lire en ligne.
- André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 668, lire en ligne.
- Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplÎmes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome V, Année 1262.
- A. Wauters, op. cit., Tome V, Année 1264.
- Bulletin de la commission historique du Nord, Année 1863, Tome VII, p. 207, lire en ligne.
- « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
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- Almanach du commerce DĂ©partement du Nord 1854
- « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 3.
- Annuaires Ravet Anceau Département du Nord Années 1883 et de 1887 à 1891
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1892 à 1900
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1901
- Annuaire Ravet Anceau du Département du Nord Années 1902 à 1904
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1905 à 1914
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1922 à 1929
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1930 à 1933
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1934-1935
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1936 à 1939
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1952 à 1966
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1967 à 1977
- Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1978 et 1979
- « Accueil / Communauté de Communes des Hauts de Flandre », sur cc-hautsdeflandre.fr (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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- « Reliquaire, relief : la Remise du rosaire à Saint Dominique », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )