Soulages-Bonneval
Soulages-Bonneval est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.
Soulages-Bonneval | |
Le bourg de Soulages-Bonneval. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Aveyron |
Arrondissement | Rodez |
Intercommunalité | Communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène |
Maire Mandat |
Lionel Pigot 2020-2026 |
Code postal | 12210 |
Code commune | 12273 |
Démographie | |
Gentilé | Soulageois |
Population municipale |
298 hab. (2020 ) |
Densité | 20 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 40′ 37″ nord, 2° 47′ 24″ est |
Altitude | Min. 760 m Max. 978 m |
Superficie | 15,16 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton d'Aubrac et Carladez |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Géographie
Localisation
Le territoire de cette commune matérialise une fraction centre-sud du Massif central sur le plateau de la Viadène. Il est traversé par la Selves, un affluent de la Truyère.
Communes limitrophes
Soulages-Bonneval est limitrophe de cinq autres communes.
Hydrographie
La commune est drainée par la Selves, le ruisseau d'Auriac, le Merlan, le ruisseau de Maganiou, le ruisseau de la Roque et par divers petits cours d'eau[1].
La Selves, d'une longueur totale de 44,5 km, prend sa source dans la commune de Laguiole et se jette dans la Truyère à Campouriez, après avoir arrosé 7 communes[2]. Elle baigne la commune sur huit kilomètres dont la moitié lui servent de limite territoriale au sud-ouest.
Le ruisseau d'Auriac, sous-affluent du Selvet, d'une longueur totale de 9,8 km, prend sa source dans la commune de Laguiole et se jette dans le ruisseau de Galdun en limite de Cassuéjouls et d'Huparlac, après avoir baigné 4 communes[3].
Le lac des Galens complète le réseau hydrographique. Il est situé sur la limite séparative des communes de Soulages-Bonneval et de Montpeyroux[4].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
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La commune bénéficie d’un « climat de montagne », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne l'extrême nord du département de l'Aveyron, regroupe tous les lieux où les influences montagnardes et/ou semi-continentale sont prépondérantes, ce qui se traduit par un nombre de jours et un cumul élevés de précipitation, une température moyenne inférieure à 9,4 °C et, corrélativement, plus de 25 jours au cours desquels la température minimale a été inférieure à −5 °C et moins de 4 avec un maximum supérieur à 30 °C[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[5]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[7]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 39 km à vol d'oiseau de la commune[8], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 10,7 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[11].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional de l'Aubrac, créé par décret le [13] et d'une superficie de 220 284 ha sur 62 communes, dont 24 dans l'Aveyron, 12 dans le Cantal et 26 dans la Lozère. Région rurale de moyenne montagne, l’Aubrac possède un patrimoine encore bien préservé. Son économie rurale, ses paysages, ses savoir-faire, son environnement et son patrimoine culturel reconnus n'en demeurent pas moins vulnérables et menacés et c'est à ce titre que cette zone a été protégée[14] - [15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Soulages-Bonneval comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 3] - [16] :
- les « Tourbières de la Fonvergne et Mezeyrac » (14,9 ha), couvrant 3 communes du département[17] ;
- les « Zones humides de la Gardelle » (91,5 ha), couvrant 2 communes du département[18] ;
- les « Zones humides des ruisseaux de Galdun et de Merlan » (168,4 ha), couvrant 4 communes du département[19].
Urbanisme
Typologie
Soulages-Bonneval est une commune rurale[Note 4] - [20]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [21]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (86 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), forêts (4,7 %), eaux continentales (1,6 %)[22].
Planification
La commune disposait en 2017 d'un plan d'occupation des sols approuvé et un plan local d'urbanisme était en révision[23]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[24].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Soulages-Bonneval est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[25] - [26].
Risques naturels
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[27].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[25], conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[28]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[29]
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Soulages-Bonneval est classée à risque moyen à élevé[30]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[31] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[32].
Histoire
Entre 1790 et 1794, Soulages-Bonneval absorbe trois communes : Lagardelle, Les Salles et Soulaguet. La commune est ensuite rattachée à celle de Cassuéjouls de 1833 jusqu'en 1844[33].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Soulages-Bonneval est membre de la communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Laguiole. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[34].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Rodez, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aubrac et Carladez pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la première circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[35].
- Soulages-Bonneval dans l'intercommunalité en 2020[Note 5].
- Soulages-Bonneval dans le canton d'Aubrac et Carladez en 2020 (périmètre identique à celui de la carte précédente).
- Soulages-Bonneval dans l'arrondissement de Rodez en 2020.
Élections de 2020
Le conseil municipal de Soulages-Bonneval, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[36] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[37]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. Sur les quatorze candidats en lice[38], onze sont élus dès le premier tour, le , correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[39]. Alice Veyre est élue nouvelle maire de la commune en , fonction dont elle démissionne[40], remplacée au mois d'août suivant par Lionel Pigot[41].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[42]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène[43].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].
En 2020, la commune comptait 298 habitants[Note 6], en augmentation de 2,05 % par rapport à 2014 (Aveyron : +0,33 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 123 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 279 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 160 €[I 5] (20 640 € dans le département[I 6]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 5,8 % | 3,1 % | 2,5 % |
Département[I 8] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 159 personnes, parmi lesquelles on compte 77,2 % d'actifs (74,7 % ayant un emploi et 2,5 % de chômeurs) et 22,8 % d'inactifs[Note 8] - [I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1] - [I 10]. Elle compte 88 emplois en 2018, contre 81 en 2013 et 84 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 127, soit un indicateur de concentration d'emploi de 69,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,8 %[I 11].
Sur ces 127 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 49 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 79,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
33 établissements[Note 9] sont implantés à Soulages-Bonneval au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10] - [I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 33 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 10 | 30,3 % | (17,7 %) |
Construction | 4 | 12,1 % | (13 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 11 | 33,3 % | (27,5 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 4 | 12,1 % | (12,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 1 | 3 % | (12,7 %) |
Autres activités de services | 3 | 9,1 % | (7,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 33 entreprises implantées à Soulages-Bonneval), contre 27,5 % au niveau départemental[I 15].
Agriculture
La commune est dans l'Aubrac, une petite région agricole occupant le nord du département de l'Aveyron[48]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 2].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 28 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 25 en 2000 puis à 23 en 2010[50] et enfin à 21 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 25 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[51] - [Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 573 ha en 1988 à 1 796 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 56 à 86 ha[50].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Non loin du village se trouve le Château du Bousquet avec ses mâchicoulis et ses tours. Un vrai château autrefois habité par la puissante famille des seigneurs de Roquefeuil et qui évoque un peu celui de la belle au Bois Dormant.
- L'église.
- Son porche.
- Le monument aux morts.
- Croix de la mission de 1875.
- Le Lac des Galens
Patrimoine environnemental
Le lac des Galens, un petit lac de plaine d’à peine 50 hectares, alimenté par la Selves avec ses berges en pente douce et ses barques de pêcheurs, est fréquenté par les amateurs de carnassiers qui peuvent y prendre perche et sandre. Il est relié à la commune par un sentier de randonnée, le chemin de la Montagne de Crestou[52].
Personnalités liées à la commune
- Raymond Capoulade, créateur d'un musée de la vie rurale en Aubrac et chevalier dans l'ordre des Arts et des Lettres.
Voir aussi
Héraldique
Blason | D’azur, à une sainte vierge d’argent, tenant une croix d’or de sa main senestre contre sa poitrine, adextrée d’un donjon aussi d’argent, maçonné de sable, sommé de trois œufs de même. Le donjon posé sur un mont d’argent, s’étendant en pente douce aux pieds de la vierge. |
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Détails | La sainte Vierge et le fond azur proviennent des armoiries de l’abbaye de Bonneval, seigneur de Soulages. La reprise intégrale des blasons de famille étant interdite pour les municipalités, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments.
Le donjon symbolise la tour de la Gardelle, donjon flanqué d’une tourelle, vestiges de l’ancien château de la famille La-Gardelle. Il est posé sur un mont pour indiquer que ce secteur est montagneux, à l’inverse de Bonneval qui, comme l’indique son nom est dans une vallée. Les œufs au sommet du donjon représentent une des particularités du grenier de Capou, site où l’on peut admirer entre autres outils anciens, une collection de nids d’oiseaux. Les ornements sont deux taureaux de la race Aubrac de sable qui honorent l’élevage et indiquent que le village est inscrit dans le périmètre de ce territoire en cours de préservation. Ils sont posés sur une prairie herbeuse de sinople qui symbolise les pâturages et la polyculture du village. Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable. La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Bibliographie
- Louis Molinier, Une famille rouergate, à travers quatre siècles d'histoire (1598-1950), 1993.
- (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Guy Dumas), La Guiòla : Cassuèjols, Curièiras, Mont-Peirós, Solatges / Christian-Pierre Bedel e les estatjants del canton de La Guiòla, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 372 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-51-3, ISSN 1151-8375, BNF 37658504)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le périmètre de la communauté de communes Aubrac, Carladez et Viadène est identique à celui du canton d'Aubrac et Carladez.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
- Cartes
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Soulages-Bonneval » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Soulages-Bonneval » (consulté le ).
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- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Soulages-Bonneval » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Soulages-Bonneval » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Soulages-Bonneval » (consulté le ).
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Autres sources
- « Fiche communale de Soulages-Bonneval », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « la Selves »
- Sandre, « le ruisseau d'Auriac »
- « Lac des Gallens », sur https://www.tourisme-aveyron.com/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Orthodromie entre Soulages-Bonneval et Rodez », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- Décret du 23 mai 2018 portant classement du parc naturel régional de l'Aubrac (région Occitanie)
- « Pourquoi un PNR sur l'Aubrac ? », sur https://www.parc-naturel-aubrac.fr/ (consulté le )
- « PNR de l'Aubrac - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Soulages-Bonneval », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur https://www.data.gouv.fr/ (consulté le )
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- https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?id=JORFTEXT000000850614
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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- Chemin de la Montagne de Crestou