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Saivres

Saivres est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine.

Saivres
Saivres
Église Saint-Pierre de Saivres
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Niort
Intercommunalité Communauté de communes Haut Val de Sèvre
Maire
Mandat
Dominique Payet
2020-2026
Code postal 79400
Code commune 79302
Démographie
Gentilé Saputiens, Saputiennes
Population
municipale
1 355 hab. (2020 en diminution de 5,18 % par rapport à 2014)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 25′ 57″ nord, 0° 14′ 09″ ouest
Altitude 130 m
Min. 52 m
Max. 185 m
Superficie 21,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Niort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Maixent-l'École
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saivres
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Saivres

    Ses habitants sont appelés les Saputiens et les Saputiennes[1].

    Géographie

    Saivres est située à 25 km au nord-nord-est de la ville de Niort et à 3 km au nord-ouest de Saint-Maixent-l'École.

    La commune compte de nombreux hameaux et lieux-dits parmi lesquels :

    • Beauregard
    • Beuvet
    • Castarie
    • Chisseré
    • Combré
    • Donia
    • l'Audouiniere
    • l'Aveneau
    • l'Herbaudiere
    • l'Hormeau Michaud
    • l'Houmeau
    • la Bernatiere
    • La Blanchardiere
    • la Brousse
    • la Cailletiere
    • la Chaillochere
    • la Combe
    • la Coutancière
    • La Couture
    • la Fragnelière
    • la Goubaudière
    • la Jamonelière
    • la Mardière
    • la Metiverie
    • la Petite Rougerie
    • la Pierrière
    • la Roche Naide
    • la Ruelle
    • la Sarraudière
    • la Thibaudière
    • la Voûte
    • le Blanchard
    • le Chaillot
    • Le Côtolet
    • Le Magnoux
    • Le Perré
    • le Pinier
    • les 3 Cheminees
    • les Rousselottes
    • les Terrieres
    • les Vallées
    • Lugné
    • Maunay
    • Monterue
    • Paunay
    • Pissot
    • Pont de Maunay
    • Pont de Saivres
    • Pouillet
    • Préchapon
    • Puymorillon
    • Russay
    • Sous le Bois
    • Teindeure
    • Verrière
    • Villefolet
    • Vinché
    • Vix

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 969 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Touche Stna », sur la commune de Saint-Georges-de-Noisné, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 918,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Niort », sur la commune de Niort, mise en service en 1958 et à 21 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 12,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saivres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Niort, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,5 %), prairies (34,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,5 %), forêts (2,9 %), zones urbanisées (2,6 %), mines, décharges et chantiers (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saivres est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Chambon et la Ligueure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1993, 1999, 2010 et 2020[23] - [21].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saivres.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[25]. 88,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [26].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[21].

    Risque technologique

    La commune est en outre située en aval du barrage de la Touche Poupard, un ouvrage de classe A[Note 9] mis en service en 1995 sur le cours d’eau le Chambon, affluent de la Sèvre Niortaise. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saivres est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[29].

    Histoire

    La commune de Saivres comprend des implantations (villae) qui datent de l'époque gallo-romaine comme celles de Vix et Lugné. Toutefois, c'est l'essor de Saint-Maixent qui permet à Saivres de se développer à partir du VIe siècle (voir cartulaire de l'abbaye de Saint-Maixent). Un certain Lunus, noble romain (gentilice) aurait fondé le village de Lugné À l'époque mérovingienne, Vix est un curtis (domaine exploité par des paysans libres) mais devient vite une terre de la couronne puis des comtes du Poitou qui l'inféodèrent. Ainsi apparut la seigneurie de la cour de Vix dont le premier seigneur connu fut Aymeri de Sazay, qui, en 1260, est dit homme lige d'Alphonse de France, comte de Poitiers, frère de Louis IX. De même, à l'époque mérovingienne, Lugné est un curtis qui devint une châtellenie dépendant de celle de Sainte-Néomaye. Lugné est le lieu d'une cour de justice (la Chambre de Lugné) où siégeait le sénéchal de Lugné. Les terres et châteaux de Lugné sont passés dans plusieurs familles nobles (de Nuchèze, de Bissy à la fin de l'Ancien Régime) puis bourgeoises et ont très vite été affermées. A Lugné, on compte deux domaines très anciens, la Cour et la Voûte, tenus au XVIIe siècle par des fermiers protestants les Redien, descendants d'un rude combattant, Daniel Redien, qui défendit Saivres contre les Ligueurs et les troupes espagnoles et fut fait prisonnier avec son fils en 1592 puis libéré grâce à une rançon versée par les habitants. Vix et Lugné sont reliés par un chemin très ancien qui date de la période gallo-romaine et, qui, au Moyen-Age, est appelé 'la cueille aux nobles'. Les autres fiefs de Saivres semblent moins anciens. Beauregard est une petite seigneurie qui dépendait de celle de Vix. Guy Lambert a fait construire le château de Beauregard au début du XVe siècle qui est ensuite passé dans les familles de Neuport, Lambert et Baudet. La propriété est alors devenu une résidence pour les familles de robins de Saint-Maixent. L'Herbaudière est une seigneurie un peu plus ancienne que Beauregard puisqu'un document témoigne en 1344 de l'existence d'une certaine Joanne de Tamoigne de Lairebaudiere, paroisse de Saivres. Le vieux logis médiéval fut remanié par Philippe de Neuport, à la fin du XVIe siècle. À la fin de l'Ancien Régime, il appartenait à Charles Guichard d'Orfeuille, gentilhomme de la chambre du roi. Comme il avait émigré, le château fut séquestré au profit de la Nation et vendu en 1794 à Louis Vandier. La seigneurie de Préchapon est également assez ancienne puisqu'on compte un seigneur de Préchapon au XIIe siècle ; cette famille possédait un hôtel particulier à Saint-Maixent. D'après Samuel Lévêques, la terre était très riche. Ce n'est qu'à partir du XVIIe siècle qu'on trouve des documents sur les seigneuries de La Voûte (Belle vue), les demoiselles de La Forest vendant le bien à la famille Greffier de Saint Maixent. Il en est de même pour les fiefs de Russay, Saugé, la Coutancière, Maunay, Teideur -ou Tyndoire), Chisseré (le logis fut un temps propriété de la famille Juin), le Magnoux, la Roche Nesdes ou Perré.

    L'ancien cimetière se situait Rue de la Cueille à environ 100 m derrière l'église. Il a été démantelé dans les années 1960.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Gaston Redien
    Maurice Caille
    avant 1988 2008 Michel Teulé PS
    mars 2008 2014 Jean-Claude Berger[30]
    2014 2020 Rémi Papot
    2020 en cours Dominique Payet

    Démographie

    À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Saivres, cela correspond à 2005, 2010, 2015[31], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, 2009, etc.) sont des estimations légales.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2921 3831 3071 4141 3671 4631 5031 5251 514
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5071 5101 5271 5021 6421 6281 6641 6191 547
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5551 5041 4711 2801 2771 2521 2221 1811 221
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 4531 1089571 0571 1621 1741 2391 2621 393
    2015 2020 - - - - - - -
    1 4351 355-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[27].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Le nom des habitants du 79 - Deux-Sèvres sur le site habitants.fr, consulté le 28 novembre 2015.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France La Touche Stna - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saivres et Saint-Georges-de-Noisné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France La Touche Stna - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saivres et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Niort », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Saivres », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    27. Article R214-112 du code de l’environnement
    28. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    29. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    30. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
    31. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Eglise paroissiale Saint-Pierre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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