Sainte-Croix-du-Verdon
Sainte-Croix-du-Verdon est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Sainte-Croix-du-Verdon | |||||
Vue générale du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
DĂ©partement | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Digne-les-Bains | ||||
Intercommunalité | Provence-Alpes Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marie Bourjac 2020-2026 |
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Code postal | 04500 | ||||
Code commune | 04176 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Cruxiens | ||||
Population municipale |
117 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 8,5 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 43° 45′ 35″ nord, 6° 09′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 443 m Max. 669 m |
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Superficie | 13,7 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Valensole | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
GĂ©olocalisation sur la carte : Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
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GĂ©ographie
Le nom de ses habitants est Saint-Cruxiens[1]. Les communes limitrophes de Sainte-Croix-du-Verdon sont Roumoules, Moustiers-Sainte-Marie, Les Salles-sur-Verdon, Bauduen, Baudinard-sur-Verdon et Montagnac-Montpezat.
La géographie du lieu est marquée par le vaste lac de Sainte-Croix (2 200 ha), que le village domine à 513 m d'altitude[2]. L’entrée des gorges de Baudinard est située sur la commune.
Le village était situé dans la plaine, avant de se déplacer sur un site en hauteur au XVIe siècle[3]. Il se trouve actuellement au bord du lac de Sainte-Croix, l’ancien site ayant été noyé.
GĂ©ologie
Vue panoramique.
Relief
La commune occupe l’extrémité est du plateau de Valensole et se situe aux portes des gorges de Baudinard[4].
Hydrographie
- Surveillance des eaux de surface, des eaux souterraines, des eaux destinées à la consommation, pollution et prélèvements dans la commune, caractéristiques des masses d'eau affectées par la commune[5] :
- eau superficielle : pompage dans le lac de Sainte Croix du Verdon ;
- eau souterraine : sources Les Fures.
- Un « contrat de rivière Verdon » a été élaboré et mis en œuvre[6].
Environnement
La commune compte 484 ha de bois et forĂŞts[1].
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Riez auquel appartient Sainte-Croix-du-Verdon est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Sainte-Croix-du-Verdon est également exposée à trois autres risques naturels[8] :
- feu de forĂŞt,
- mouvement de terrain : le secteur central de la commune est concernée par un aléa moyen à fort[9].
La commune est également exposée à deux risques de type technologique[10] :
- risque de rupture du barrage de Castillon : Sainte-Croix-du-Verdon fait partie de la zone d’inondation spécifique en cas de rupture du barrage de Castillon[11] - [12]. Si cette rupture advenait, l'onde de submersion passerait en crête au-dessus de celui de Chaudanne[13], et parcourrait les 45 kilomètres qui séparent le barrage de Castillon du pont du Galetas en un peu moins d’une heure[14]. L'onde arriverait déjà considérablement affaiblie, mais submergerait tout de même le pont du Galetas et entrerait dans la commune sept minutes après avoir passé le pont[15]. Le PPI prévoit que le barrage de Sainte-Croix contiendrait l'eau du lac de Castillon environ vingt-trois minutes, qui monterait jusqu'à la cote 500, avant de le déborder et de continuer jusqu'à Quinson[15]. À cette cote, le lac de Sainte-Croix aurait monté de vingt mètres : les eaux lècheraient les premières maisons du village, recouvrant le pont de la D 111 avant le barrage[15] ;
- l'autre risque de nature technologique est lié au transport de matières dangereuses empruntant la route départementale RD 11 qui passe en bordure de commune[16].
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10] et le Dicrim n’existe pas[17].
Toponymie
Le nom du village apparaît pour la première fois en 1097 (villa Santa Crucis), d’après une église qui prétendait conserver une relique de la Vraie Croix, sous une forme occitane, qui a été francisée par la suite[18].
Sainte-Croix-du-Verdon portait précédemment, jusqu'au , le nom de Sainte-Croix-de-Verdon[19]. La commune se nomme Santa Crotz de Verdon en provençal selon la norme classique et Santo-Crous dòu Verdoun selon la norme mistralienne.
Urbanisme
Typologie
Sainte-Croix-du-Verdon est une commune rurale[Note 1] - [20]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[21] - [22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23] - [24].
La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac de Sainte-Croix, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[25]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[26] - [27].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (35,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (35,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : eaux continentales[Note 2] (32 %), terres arables (27,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,9 %), forêts (11 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[29].
Histoire
Le territoire de la commune est fréquenté pendant la Préhistoire, notamment deux grottes où l’on a retrouvé des outils (paléolithique à la grotte du Figuier, Âge du bronze dans la grotte du Capitole)[2]. Le village a été créé sur un point de passage du Verdon, emprunté par une voie romaine. Cette voie romaine a été construite à flanc de montagne sous Auguste, entaillée sur plusieurs sections ; la route était parfois assise sur un mur de remblai. Elle prenait la direction du col de la Fare[30].
Au Moyen Âge, les évêques de Riez sont seigneurs du lieu[31]. La communauté est alors appelée Sancta Crux de Salleta[31] en référence à la commune voisine des Salles. La paroisse relevait de l'abbaye Saint-Victor de Marseille qui nommait le prêtre et percevait les redevances attachées à l’église[32]. L’évêque de Riez était seigneur laïc de Sainte-Croix : le fief, une partie des terres et le village lui appartenaient[32]. La communauté relevait de la viguerie de Moustiers[32].
Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, la famille de Forbin est la famille seigneuriale de Sainte Croix. Une branche de ce nom, les Forbin-Sainte Croix, a existé avant la Révolution.
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[33]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Montpeiret[34], ou Peiron-sans-Culottes, selon les sources[35].
Au moment du coup d’État du 2 décembre 1851, la commune se soulève pour défendre la République et c’est le curé Chassan qui mène les insurgés de la commune en direction de la préfecture[36]. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 9 habitants de Sainte-Croix sont traduits devant la commission mixte, la peine la plus courante étant la déportation en Algérie[37].
Comme de nombreuses communes du département, Sainte-Croix se dote d'une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[38]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : la loi Falloux (1851) n’impose l'ouverture d'une école de filles qu'aux communes de plus de 800 habitants[39]. Si la première loi Duruy (1867) abaisse ce seuil à 500 habitants ne concerne pas Sainte-Croix, la commune décide néanmoins d’ouvrir une école de filles[40].
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la commune est libérée le en fin de journée, lorsqu’une colonne de l'US Army traverse le village, en venant de Salernes[41] via Bauduen et se dirigeant vers Riez. Cette colonne progresse sans rencontrer de résistance, et arrive à Riez dans la nuit[42].
Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Sainte-Croix. Le vin produit, de qualité médiocre, était destiné à l'autoconsommation. Cette culture est aujourd'hui abandonnée[43].
Lors de la mise en eau du lac de Sainte-Croix, la commune a perdu 627 des 1 997 hectares qu'elle comptait auparavant[32].
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Sainte-Croix-du-Verdon était, en 2011, l'une des treize communes du département à n'être rattachée à aucun établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre. À la suite du schéma départemental de coopération intercommunale de 2011 établi par la préfecture, prévoyant « la couverture intégrale du territoire par des EPCI à fiscalité propre »[49], la commune fait partie, depuis 2013 et jusqu'en 2016, de la communauté de communes Asse Bléone Verdon ; et à partir du , de la communauté d'agglomération Provence-Alpes.
Budget et fiscalité 2015
En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[50] :
- total des produits de fonctionnement : 648 000 €, soit 5 267 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 476 000 €, soit 3 873 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 26 000 €, soit 211 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 113 000 €, soit 922 € par habitant.
- endettement : 9 000 €, soit 70 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 9,50 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 28,00 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 27,94 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[52].
En 2020, la commune comptait 117 habitants[Note 3], en diminution de 3,31 % par rapport Ă 2014 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,39 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
L’histoire démographique de Sainte-Croix-du-Verdon, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1821 à 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1911, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1831[55]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1970. Depuis, la population de la commune a doublé.
Économie
Agriculture
La culture de l’olivier est pratiquée dans la commune depuis des siècles, tout en étant limitée à des surfaces restreintes. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres. Actuellement, l’oliveraie communale compte moins de 1000 pieds[56].
Lieux et monuments
- Le lac de Sainte-Croix et le barrage de Sainte-Croix.
- Le château appartenant aux évêques de Riez, en ruines, était orné de gypseries[57].
- L'église paroissiale, placée sous le vocable de la Sainte-Croix, est construite au XVIe siècle. Les deux cloches de l'église sont respectivement de 1561 et 1619[58]. Les importants travaux de restauration de 1834 n’ont rien laissé d’apparent de cette époque[59].
Personnalités liées à la commune
HĂ©raldique
Blason | D'argent à une croix potencée de gueules cantonnée de quatre croisettes du même (croix de Jérusalem)[60] - [61]. |
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Détails | Armes parlantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Lucette Poncin, Un village de Haute-Provence dans la Révolution : Sainte-Croix-sur-Verdon, Mane, Alpes de Lumière, (ISBN 978-2-906162-12-9)
- Lucette Poncin, Des écoliers dans la Grande Guerre : Enfance et adolescence à Sainte-Croix-du-Verdon, 1912-1919, Mane, Alpes de Lumière, (ISBN 978-2-906162-35-8)
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Vie à Ste Croix-du-Verdon, février 1957, d’avant barrage, sur voix-off de Michel Bouquet
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- Cavités souterraines naturelles
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
Nota : Les sites externes font souvent référence à Sainte-Croix-de-Verdon, la nouvelle dénomination pouvant tarder à être prise en compte.
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Parc du Verdon
- Sainte-Croix-de-Verdon sur le site de l'Institut géographique national
- Sainte-Croix du Verdon sur un site consacré au lac
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Roger Brunet, « Canton de Riez », Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013.
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7).
- Sainte-Croix-Du-Verdon, par Daniel Thiery : L’ancienne église Sainte-Croix
- Gorges et grottes de Baudinard
- L'eau dans la commune
- Contrat de rivière Verdon
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 14 août 2012.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 88.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Plan particulier d'intervention des barrages de Castillon et Chaudanne, version du 4 juillet 2012, p. 14.
- DREAL, « Cartographie de l’onde de submersion des grands barrages », Région PACA, consulté le 9 août 2012.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, PPI de Castillon-Chaudanne, p. 23.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, PPI de Castillon-Chaudanne, p. 25.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80.
- Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 14 août 2012.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 27320, p. 1511-1512
- La nouvelle dénomination a été officialisée par le décret no 2005-1155 du 12 septembre 2005 portant changement de nom de communes (NOR : INTA0500236D) publié au Journal officiel no 215 du 15 septembre 2005 page 14945
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative à l’amenagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p. 402.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 198-199
- Daniel Thiery, « Sainte-Croix-du-Verdon », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 14 août 2012.
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298
- Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 113
- Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 , consulté le 18 novembre 2008.
- Maxime Amiel, « Les Riézois dans l’insurrection de décembre 1851 », p. 196-200 de Provence 1851 : une insurrection pour la République, Actes des journées de 1997 à Château-Arnoux et de 1998 à Toulon, Association pour le 150e anniversaire de la résistance au coup d'État du 2 décembre 1851, Les Mées, 2000, p. 196.
- Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 71.
- Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
- Labadie, op. cit., p. 16.
- Labadie, op. cit., p. 18.
- Henri Julien (directeur de publication), Guide du débarquement de Provence, 15 août 1944, Digne-les-Bains, Éditions de Haute-Provence, 1994, (ISBN 2-909800-68-7), p. 126.
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- André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59.
- [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
- Site de la préfecture des AHP
- La Provence du 14 mars 2011.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, (consulté le ).
- Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur Internet Archive)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
- RĂ©paraz, op. cit., p. 58.
- Comtesse du Chaffaut, Gypseries en Haute-Provence : cheminées et escaliers (XVIe – XVIIe siècles), Turriers, Naturalia publications, (ISBN 2-909717-22-4), p 121
- Notice no PM04002803, base Palissy, ministère français de la Culture deux cloches
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 380
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).
- Dominique Cureau, « Asse Bléone Verdon : Sainte-Croix-du-Verdon », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).