Saint-Valentin (Indre)
Saint-Valentin est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.
Saint-Valentin | |||||
La mairie, en 2013. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Indre | ||||
Arrondissement | Issoudun | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Champagne Boischauts | ||||
Maire Mandat |
Pierre Rousseau 2020-2026 |
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Code postal | 36100 | ||||
Code commune | 36209 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Valentinois | ||||
Population municipale |
263 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 46° 57âČ 09âł nord, 1° 51âČ 56âł est | ||||
Altitude | Min. 140 m Max. 207 m |
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Superficie | 24,9 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Issoudun (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Levroux | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Indre
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | village-saint-valentin.com | ||||
GĂ©ographie
Localisation
La commune est située dans le nord-est[1] du département, dans la région naturelle de la Champagne berrichonne.
Les communes limitrophes[1] sont : La Champenoise (5 km), Lizeray (5 km), Saint-Aoustrille (5 km), Neuvy-Pailloux (7 km) et Ménétréols-sous-Vatan (8 km).
Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Issoudun (9 km), Levroux (19 km), Chùteauroux (20 km), La Chùtre (42 km) et Le Blanc (70 km).
Hameaux et lieux-dits
Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : Dormes, les Sablons, le Colombier, le Nil, le QuadrilatĂšre, les Lagnys et la Pyramide[2].
GĂ©ologie et hydrographie
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].
Le territoire communal est arrosé par la riviÚre Tournemine[2].
- La riviĂšre Tournemine en 2011.
Climat
La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1985 à 2017 permet de connaßtre en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[4]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-aprÚs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0 | 0,3 | 2,1 | 4 | 8,1 | 11,2 | 13,2 | 13,2 | 9,9 | 7,3 | 3 | 0,6 | 6,1 |
Température moyenne (°C) | 3,3 | 4,4 | 7,4 | 9,8 | 14,2 | 17,3 | 19,6 | 19,7 | 15,8 | 11,9 | 6,6 | 3,7 | 11,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,5 | 8,6 | 12,7 | 15,7 | 20,2 | 23,4 | 26 | 26,2 | 21,7 | 16,6 | 10,2 | 6,7 | 16,2 |
Record de froid (°C) date du record |
â20,5 17.01.1987 |
â18,4 06.02.12 |
â13,5 01.03.05 |
â6,2 08.04.03 |
â1,8 08.05.1997 |
0,1 05.06.1989 |
5,3 03.07.1997 |
3,1 06.08.1987 |
0,4 20.09.12 |
â7 30.10.1997 |
â11,4 22.11.1998 |
â13,2 19.12.09 |
â20,5 1987 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,9 05.01.1999 |
23,1 24.02.1990 |
25,3 16.03.12 |
28,1 15.04.15 |
32,2 16.05.1992 |
37,7 22.06.03 |
39,5 16.07.15 |
40,7 05.08.03 |
34,1 17.09.1987 |
29,4 07.10.09 |
23,1 08.11.15 |
18,6 16.12.1989 |
40,7 2003 |
Précipitations (mm) | 64,4 | 58,8 | 55 | 75,1 | 72,1 | 63,5 | 66,9 | 56,3 | 68,9 | 74,3 | 73 | 71,8 | 800,1 |
Voies de communication et transports
Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 12, 27, 65 et 80C[5].
La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Neuvy-Pailloux[5], Ă 7 km.
Saint-Valentin est desservie par la ligne B du Réseau de mobilité interurbaine[6].
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Chùteauroux-Centre[5], à 17 km.
Urbanisme
Typologie
Saint-Valentin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [7] - [8] - [9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Issoudun, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10] - [11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (98,9 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (98,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (94,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,9 %), prairies (1,6 %), zones urbanisĂ©es (1 %), forĂȘts (0,1 %)[12].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[13].
Logement
Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[14] de la commune :
Date du relevé | 2013 |
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Nombre total de logements | 153 |
RĂ©sidences principales | 84,8 % |
RĂ©sidences secondaires | 4,4 % |
Logements vacants | 10,8 % |
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale | 80,8 % |
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Valentin est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[15]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[16].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 53,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (84,7 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 153 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 118 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 77 %, Ă comparer aux 86 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17] - [18].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctum Valentinum en 1190[19], Parrochia Sancti Valentini en 1332.
Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour La Cadoue[20].
Ses habitants sont appelés les Saint-Valentinois[21].
Histoire
La communautĂ© de Saint-Valentin Ă©chappe Ă la crise dĂ©mographique qui touche lâĂ©lection dâIssoudun au dĂ©but du XVIIIe siĂšcle, puisquâelle passe de 28 feux en 1709 Ă 31 en 1726[22]. Lâhiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[23].
La commune tire sa rĂ©putation de son homonymie avec la Saint-Valentin, « fĂȘte des amoureux », chaque 14 fĂ©vrier. Depuis 1967, la municipalitĂ© a obtenu que le courrier postĂ© au bureau de poste local reçoive une oblitĂ©ration spĂ©ciale comme deux cĆurs enlacĂ©s dessinĂ©s par Jean-Louis Boncoeur, de 1967 Ă 1979 qui est remplacĂ©e par une flamme postale illustrĂ©e avec « les amoureux » de Raymond Peynet depuis 1980. En 1985, la poste crĂ©e un timbre dessinĂ© par Raymond Peynet.
La commune fut rattachée de 1973 à 2015 au canton d'Issoudun-Nord.
Politique et administration
La commune dépend de l'arrondissement d'Issoudun, du canton de Levroux, de la deuxiÚme circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Champagne Boischauts[24].
Elle dispose d'une agence postale communale[25] et d'un centre de premiĂšre intervention.
Saint-Valentin est jumelée depuis 1988, avec la commune de Mimasaka, au Japon.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[33].
En 2020, la commune comptait 263 habitants[Note 3], en diminution de 7,07 % par rapport Ă 2014 (Indre : â3,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune dépend de la circonscription académique d'Issoudun.
- L'école élémentaire publique en 2013.
Manifestations culturelles et festivités
Le 14 fĂ©vrier de chaque annĂ©e, on y cĂ©lĂšbre la FĂȘte des amoureux. Des milliers de personnes venant du monde entier se retrouvent dans la commune.
MĂ©dias
La commune est couverte par les mĂ©dias suivants : La Nouvelle RĂ©publique du Centre-Ouest, Le Berry rĂ©publicain, L'Ăcho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun PremiĂšre, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.
Ăconomie
La commune se situe dans la zone dâemploi d'Issoudun et dans le bassin de vie d'Issoudun[24].
La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[38].
La culture de la lentille verte du Berry[39] est présente dans la commune.
Culture locale et patrimoine
- Ăglise
- Monument aux morts
Labels et distinctions
Saint-Valentin a obtenu au concours des villes et villages fleuris une fleur en : 2015 et 2016[40].
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
- « Saint-Valentin » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
- « Didacticiel de la rÚglementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
- « Fiche du Poste 36209001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Saint-Valentin », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
- « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Site de l'Insee : Saint-Valentin (Indre), consulté le 6 septembre 2016.
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Valentin », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, t. 3, , 480 p. (ISBN 978-2-600-02884-4 et 2-600-02884-6, lire en ligne), p. 1580, consulté le 20 janvier 2017.
- Charles Bouyssi, Communes et paroisses dâAuvergne, 2002 lire en ligne=http://charles.bouyssi.free.fr/pr 06 1.htm#d 36, consultĂ© le 18 novembre 2008.
- « Nom des habitants des communes françaises, Saint-Valentin », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
- Olivier Zeller, « Changement agraire et rĂ©cession dĂ©mographique : la premiĂšre enquĂȘte Orry (1730). L'exemple de l'Ă©lection d'Issoudun », Annales de dĂ©mographie historique 2/2007 (n° 114), p. 169.
- Zeller, op. cit., p. 145 et 153.
- « Commune de Saint-Valentin (36209) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
- Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
- « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du MinistÚre de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du MinistÚre de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du MinistÚre de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- Site du Monde.fr : Saint-Valentin (Indre), consulté le 21 septembre 2016.
- « Histoire contemporaine », sur le site de la commune de Saint-Valentin, consulté le 16 avril 2018.
- La Nouvelle République, « DeuxiÚme jumelage avec le Japon », (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
- « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
- Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
- Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Lentilles vertes du Berry, consulté le 11 novembre 2014.
- Site des villes et villages fleuris : Toutes les communes fleuries, consulté le 22 décembre 2016.