Saint-Siffret
Saint-Siffret est une commune française située dans l'est du département du Gard, en Occitanie.
Saint-Siffret | |
ChĂąteau de Saint Siffret | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Gard |
Arrondissement | NĂźmes |
Intercommunalité | Communauté de communes Pays d'UzÚs |
Maire Mandat |
Dominique Vincent 2020-2026 |
Code postal | 30700 |
Code commune | 30299 |
DĂ©mographie | |
Population municipale |
1 112 hab. (2020 ) |
Densité | 99 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 01âČ 05âł nord, 4° 28âČ 01âł est |
Altitude | Min. 83 m Max. 301 m |
Superficie | 11,28 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | UzĂšs (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton d'UzĂšs |
LĂ©gislatives | SixiĂšme circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Alzon, le Merlançon. Incluse dans les gorges du Gardon.
Saint-Siffret est une commune rurale qui compte 1 112 habitants en 2020, aprÚs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'UzÚs. Ses habitants sont appelés les Saint-Siffretois ou Saint-Siffretoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le chùteau de Moulin-Neuf, inscrit en 2007.
GĂ©ographie
La commune est situĂ©e sur les contreforts d'un vaste plateau calcaire massif urgonien d'altitude moyenne de 180 m. Toute la partie sud est boisĂ©e de chĂȘnes et de garrigues, sauf quelques enclaves cultivĂ©es sur des sols de lĆss rouge. Dans la partie nord s'Ă©tend la plaine.
Entre les deux, un coteau orientĂ© est-ouest, exposĂ© au nord. Le sous-sol de ces pentes est une marne beige tendre recouverte de lĆss, injectĂ©e par endroits de nappes de graviers anguleux issus de la gĂ©lification ancienne des calcaires urgoniens et de leur transport torrentiel. L'intĂ©rĂȘt de ce coteau est qu'Ă certains endroits la roche ancienne remonte Ă moins d'un mĂštre et apparaĂźt mĂȘme en quelques affleurements, les Ă©pandages caillouteux sont Ă©galement localisĂ©s.
Le village est situé à 4 km d'UzÚs et 25 km de Nßmes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cavillargues », sur la commune de Cavillargues, mise en service en 1961[6] et qui se trouve Ă 12 km Ă vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 825,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « NĂźmes-Courbessac », sur la commune de NĂźmes, mise en service en 1922 et Ă 22 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis Ă 15,6 °C pour 1991-2020[12].
Espaces protégés
La protection rĂ©glementaire est le mode dâintervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[13] - [14].
La commune fait partie de la zone de transition des gorges du Gardon, un territoire d'une superficie de 23 800 ha reconnu réserve de biosphÚre par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[15] - [16].
Urbanisme
Typologie
Saint-Siffret est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [17] - [I 1] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'UzÚs, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (46,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (50,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (33,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (29,9 %), zones urbanisĂ©es (16,3 %), cultures permanentes (15 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,4 %), terres arables (1,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Siffret est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou Ă montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment l'Alzon. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1996, 1998, 2002, 2011 et 2014[22] - [20].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 66,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 720 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 427 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 59 %, Ă comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[24].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017, par des mouvements de terrain en 1983 et par des glissements de terrain en 1988[20].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Siffret est classĂ©e en zone 2, Ă savoir zone Ă potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[25].
Toponymie
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Pomeyrole[26].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[28].
En 2020, la commune comptait 1 112 habitants[Note 6], en augmentation de 6,41 % par rapport Ă 2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Montpellier. Les élÚves commencent leur scolarité dans l'école primaire du village, qui comptent 71 écoliers[30]. Les collÚges les plus proches se situent à UzÚs. Les lycées les plus proches se situent à UzÚs, Meynes et Bagnols-sur-CÚze[31].
Sports
La commune sera Ă©tape d'arrivĂ©e de la 4e journĂ©e de la course l'Ătoile de BessĂšges 2021.
Lieux de cultes
Les personnes de confession catholique se réunissent à l'église Saint-Siffret du village[32].
Ăconomie
Agriculture
La commune fait partie de la zone de production de plusieurs appellations viticoles : Coteaux-du-pont-du-gard, Duché-d'uzÚs (AOC), Gard (IGP), Pays-d'oc (IGP), ainsi que de plusieurs produits agricoles : Olive de Nßmes et huile d'olive de Nïmes, miel de Provence, pélardon, poulet des Cévennes ou Chapon des Cévennes, Volailles du Languedoc[33].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Des maisons construites dans la roche, un vieux village bĂąti en acropole avec de grands murs de soutĂšnement.
- L'église Saint-Siffret de Saint-Siffret, de style roman de la fin du XIIe siÚcle : voûtes en berceau, abside semi-circulaire.
- Le chùteau dit la Commanderie (d'origine XIIe siÚcle, remanié) et abords. Il possÚde une petite porte fortifiée du XIIe siÚcle. Il appartient au prévÎt de la cathédrale d'UzÚs, seul seigneur de Saint Siffret, jusqu'à la Révolution. En 1791, le chùteau et le domaine sont vendus comme biens nationaux, 56 500 livres, et passent à la famille Verdier de Flaux.
- Le "deuxiÚme chùteau" de Saint-Siffret, au nord du village, n'est qu'une maison de village sur le compoix de Saint Siffret, en 1639 et 1653[34],qui appartient à Philippe de Gondin. Les propriétaires sont ensuite les La Tour du Pin. En 1740, la maison, est achetée par Louis Froment, marchand d'UzÚs, moyennant 1 500 livres. Elle est alors à l'abandon. M Froment lÚgue ensuite la maison à son gendre Jean Pierre Abauzit, marchand-négociant d'UzÚs, qui commence à appeler sa maison le" chùteau ". Mais sous l'ancien régime, seule la propriété du prévÎt était appelée Chùteau de Saint Siffret.
Personnalités liées à la commune
- Guillaume Guizot (1833-1892), professeur au CollĂšge de France, est mort dans sa maison de campagne de Rocheferrand.
HĂ©raldique
Blason | D'hermine au chef losangé d'or et d'azur. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Cavillargues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Siffret et Cavillargues », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Cavillargues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Siffret et Nßmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nßmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nßmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nßmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Réserve de biosphÚre des gorges du Gardon », sur mab-france.org (consulté le )
- « Gorges du Gardon - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Siffret », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Siffret », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de lâIRSN, (consultĂ© le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Ă©cole primaire de Saint-Siffret
- collÚges et lycées
- Ă©glise Saint-Siffret
- INAO
- Recherche Saint Siffret, dossier aux Archives d'UzĂšs.