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Saint-Siffret

Saint-Siffret est une commune française située dans l'est du département du Gard, en Occitanie.

Saint-Siffret
Saint-Siffret
ChĂąteau de Saint Siffret
Blason de Saint-Siffret
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Gard
Arrondissement NĂźmes
Intercommunalité Communauté de communes Pays d'UzÚs
Maire
Mandat
Dominique Vincent
2020-2026
Code postal 30700
Code commune 30299
DĂ©mographie
Population
municipale
1 112 hab. (2020 en augmentation de 6,41 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 99 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 01â€Č 05″ nord, 4° 28â€Č 01″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 301 m
Superficie 11,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction UzĂšs
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'UzĂšs
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Siffret
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Saint-Siffret

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Alzon, le Merlançon. Incluse dans les gorges du Gardon.

    Saint-Siffret est une commune rurale qui compte 1 112 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'UzĂšs. Ses habitants sont appelĂ©s les Saint-Siffretois ou Saint-Siffretoises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protĂ©gĂ© au titre des monuments historiques : le chĂąteau de Moulin-Neuf, inscrit en 2007.

    GĂ©ographie

    La commune est situĂ©e sur les contreforts d'un vaste plateau calcaire massif urgonien d'altitude moyenne de 180 m. Toute la partie sud est boisĂ©e de chĂȘnes et de garrigues, sauf quelques enclaves cultivĂ©es sur des sols de lƓss rouge. Dans la partie nord s'Ă©tend la plaine.

    Entre les deux, un coteau orientĂ© est-ouest, exposĂ© au nord. Le sous-sol de ces pentes est une marne beige tendre recouverte de lƓss, injectĂ©e par endroits de nappes de graviers anguleux issus de la gĂ©lification ancienne des calcaires urgoniens et de leur transport torrentiel. L'intĂ©rĂȘt de ce coteau est qu'Ă  certains endroits la roche ancienne remonte Ă  moins d'un mĂštre et apparaĂźt mĂȘme en quelques affleurements, les Ă©pandages caillouteux sont Ă©galement localisĂ©s.

    Le village est situé à 4 km d'UzÚs et 25 km de Nßmes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 16,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 17,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 796 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 6,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cavillargues », sur la commune de Cavillargues, mise en service en 1961[6] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 825,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « NĂźmes-Courbessac », sur la commune de NĂźmes, mise en service en 1922 et Ă  22 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  15,1 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  15,6 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[13] - [14].

    La commune fait partie de la zone de transition des gorges du Gardon, un territoire d'une superficie de 23 800 ha reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversitĂ© qui la caractĂ©rise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[15] - [16].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Siffret est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [17] - [I 1] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'UzĂšs, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (46,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (50,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (33,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (29,9 %), zones urbanisĂ©es (16,3 %), cultures permanentes (15 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,4 %), terres arables (1,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Siffret est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment l'Alzon. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1996, 1998, 2002, 2011 et 2014[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Siffret.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 66,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 720 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 427 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 59 %, Ă  comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[24].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017, par des mouvements de terrain en 1983 et par des glissements de terrain en 1988[20].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Siffret est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[25].

    Toponymie

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Pomeyrole[26].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1988 En cours Dominique Vincent UMP-LR Agriculteur
    Vice-président de la communauté de communes du Pays d'UzÚs depuis 2013
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[28].

    En 2020, la commune comptait 1 112 habitants[Note 6], en augmentation de 6,41 % par rapport Ă  2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    309279290330321333356357356
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    379378367347328303321306309
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    288273242197181192186209188
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    2242143564896577929219221 052
    2015 2020 - - - - - - -
    1 0361 112-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Montpellier. Les élÚves commencent leur scolarité dans l'école primaire du village, qui comptent 71 écoliers[30]. Les collÚges les plus proches se situent à UzÚs. Les lycées les plus proches se situent à UzÚs, Meynes et Bagnols-sur-CÚze[31].

    Sports

    La commune sera Ă©tape d'arrivĂ©e de la 4e journĂ©e de la course l'Étoile de BessĂšges 2021.

    Lieux de cultes

    Les personnes de confession catholique se réunissent à l'église Saint-Siffret du village[32].

    Économie

    Agriculture

    La commune fait partie de la zone de production de plusieurs appellations viticoles : Coteaux-du-pont-du-gard, Duché-d'uzÚs (AOC), Gard (IGP), Pays-d'oc (IGP), ainsi que de plusieurs produits agricoles : Olive de Nßmes et huile d'olive de Nïmes, miel de Provence, pélardon, poulet des Cévennes ou Chapon des Cévennes, Volailles du Languedoc[33].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Des maisons construites dans la roche, un vieux village bĂąti en acropole avec de grands murs de soutĂšnement.
    • L'Ă©glise Saint-Siffret de Saint-Siffret, de style roman de la fin du XIIe siĂšcle : voĂ»tes en berceau, abside semi-circulaire.
    • Le chĂąteau dit la Commanderie (d'origine XIIe siĂšcle, remaniĂ©) et abords. Il possĂšde une petite porte fortifiĂ©e du XIIe siĂšcle. Il appartient au prĂ©vĂŽt de la cathĂ©drale d'UzĂšs, seul seigneur de Saint Siffret, jusqu'Ă  la RĂ©volution. En 1791, le chĂąteau et le domaine sont vendus comme biens nationaux, 56 500 livres, et passent Ă  la famille Verdier de Flaux.
    • Le "deuxiĂšme chĂąteau" de Saint-Siffret, au nord du village, n'est qu'une maison de village sur le compoix de Saint Siffret, en 1639 et 1653[34],qui appartient Ă  Philippe de Gondin. Les propriĂ©taires sont ensuite les La Tour du Pin. En 1740, la maison, est achetĂ©e par Louis Froment, marchand d'UzĂšs, moyennant 1 500 livres. Elle est alors Ă  l'abandon. M Froment lĂšgue ensuite la maison Ă  son gendre Jean Pierre Abauzit, marchand-nĂ©gociant d'UzĂšs, qui commence Ă  appeler sa maison le" chĂąteau ". Mais sous l'ancien rĂ©gime, seule la propriĂ©tĂ© du prĂ©vĂŽt Ă©tait appelĂ©e ChĂąteau de Saint Siffret.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Siffret Blason
    D'hermine au chef losangé d'or et d'azur.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Cavillargues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Saint-Siffret et Cavillargues », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Cavillargues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Saint-Siffret et Nßmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Nßmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Nßmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nßmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    14. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Réserve de biosphÚre des gorges du Gardon », sur mab-france.org (consulté le )
    16. « Gorges du Gardon - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Siffret », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Siffret », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Ă©cole primaire de Saint-Siffret
    31. collÚges et lycées
    32. Ă©glise Saint-Siffret
    33. INAO
    34. Recherche Saint Siffret, dossier aux Archives d'UzĂšs.
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