Saint-Nicolas-de-la-Balerme
Saint-Nicolas-de-la-Balerme est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Nicolas-de-la-Balerme | |||||
mairie pimpante à l'entrée du village | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Agen | ||||
Intercommunalité | Agglomération d'Agen | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marie Robert 2020-2026 |
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Code postal | 47220 | ||||
Code commune | 47262 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Nicolaïtes | ||||
Population municipale |
424 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 90 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 08âČ 15âł nord, 0° 45âČ 51âł est | ||||
Altitude | Min. 45 m Max. 73 m |
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Superficie | 4,72 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Agen (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Sud-Est agenais | ||||
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.saint-nicolas-de-la-balerme.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Commune de l'aire d'attraction d'Agen située dans son agglomération en Brulhois au confluent de l'Auroue et de la Garonne.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Saint-Romain-le-Noble, Caudecoste, Saint-Jean-de-Thurac et Saint-Sixte.
Transports
- Par la route : RN 113, autoroute A62.
- Par le train : en gare d'Agen par TER Aquitaine et TER Midi-Pyrénées sur la ligne Bordeaux - SÚte entre Agen et Castelsarrasin voir aussi, gare de Saint-Nicolas - Saint-Romain (Halte SNCF fermée).
- Par l'avion : aéroport Agen-La Garenne.
Transports urbains
Le réseau Tempo exploité par la société Keolis Agen dessert les 29 communes de l'agglomération d'Agen, soit un total de 92 042 habitants depuis le . Il remplace l'ancien réseau Transbus.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941[8] et qui se trouve Ă 16 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[11], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Saint-Nicolas-de-la-Balerme est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16] - [17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (96,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (50,8 %), cultures permanentes (25,8 %), terres arables (19,8 %), eaux continentales[Note 7] (3,6 %), zones urbanisĂ©es (0,1 %)[18].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Nicolas-de-la-Balerme est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et le risque nuclĂ©aire[19]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[20].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire Ă risques importants d'inondation (TRI) dâAgen, regroupant 20 communes concernĂ©es par un risque de dĂ©bordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[21]. Les Ă©vĂ©nements antĂ©rieurs Ă 2014 les plus significatifs sont les crues de 1435, 1875, 1930, 1712, 1770 et 1952. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă 300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[22]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2009[23] - [19].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[25]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (91,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [26].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[19].
Risque technologique
La commune Ă©tant situĂ©e dans le pĂ©rimĂštre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nuclĂ©aire de Golfech, elle est exposĂ©e au risque nuclĂ©aire. En cas d'accident nuclĂ©aire, une alerte est donnĂ©e par diffĂ©rents mĂ©dias (sirĂšne, sms, radio, vĂ©hicules). DĂšs l'alerte, les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 2 km se mettent Ă l'abri[Note 9]. Les personnes habitant dans le pĂ©rimĂštre de 20 km peuvent ĂȘtre amenĂ©es, sur ordre du prĂ©fet, Ă Ă©vacuer et ingĂ©rer des comprimĂ©s dâiode stable[Note 10] - [27] - [28].
Histoire
Toponymie
DiffĂ©rentes lĂ©gendes se rapportent Ă l'Ă©tymologie de la ville. Dans l'une d'elles, lâempereur Constantin convertit des Celtes, qui abandonnent le paganisme pour la religion chrĂ©tienne.
Les Celtes adoraient plusieurs dieux ou dĂ©esses, dont une "Belisma", que lâon pourrait comparer Ă Minerve (dont le culte fut introduit Ă Rome par les Ătrusques).
Le lieu oĂč les Celtes vouaient un culte farouche Ă Belisma se situait Ă Saint-Nicolas. LâĂ©glise chrĂ©tienne prĂ©fĂ©ra substituer en douceur le nouveau culte Ă lâancien, plutĂŽt que de le faire disparaĂźtre brutalement.
Ainsi, "saint Niedas", qui devait devenir par la suite saint Nicolas, subsistait avec "Belisma". Au fil des ans, Saint-Nicolas-de-Belisma devint Saint-Nicolas-de-la-Balerme.
Selon la version de lâabbĂ© Dubourg, auteur de nombreux ouvrages sur lâhistoire du dĂ©partement, Saint-Nicolas devrait son nom Ă saint Niedas (un saint italien), que les bateliers, nombreux Ă cette Ă©poque, auraient pris pour patron et Ă un ermitage qui aurait existĂ© en des temps forts reculĂ©s sur les rives de la riviĂšre lâAuroue, peu avant sa jonction avec la Garonne. Cet ermitage aurait disparu par la suite, emportĂ© sans doute par une de ces crues dont la Garonne Ă©tait coutumiĂšre. Lâendroit serait devenu le Val des Ermites, et par dĂ©formation successives "Valerme". Comme le V occitan se prononce B, nous avons donc : Saint-Nicolas-de-la-Balerme.
Notons toutefois que la premiĂšre explication semble plus plausible (de Belisma Ă Balerme), car le nom "Balerme" se retrouve dans le nord du dĂ©partement, et notamment Ă Monpezat-dâAgenais oĂč on trouve lâĂ©glise Saint-Jean de Balerme.
Le village a changé plusieurs fois de nom :
-En 1621, nous trouvons "La Balerme-sur-Garonne".
-En 1689, il devient "Saint-Nicolas-de-Lamothe-Mongascon", nom quâil gardera jusquâen 1725, date Ă laquelle il prendra dĂ©finitivement celui de "Saint-Nicolas-de-la-Balerme".
XXe siĂšcle
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[30].
En 2020, la commune comptait 424 habitants[Note 11], en augmentation de 8,16 % par rapport Ă 2014 (Lot-et-Garonne : â0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
L'Ă©glise de Saint-Nicolas-de-la-Balerme
Reconstruite vers la fin du XVIe siĂšcle (car dĂ©truite par les guerres de religion), elle est un mĂ©lange dâart roman et gothique, sans grand caractĂšre. Elle abrite une statue en bois de saint Roch, devenu entre-temps le saint patron de la paroisse et rĂ©alisĂ©e par un artisan local dans le courant du XVe (statue classĂ©e). LâĂ©glise, qui possĂ©dait une cloche datĂ©e de 1763, est enrichie dâune seconde cloche en 1861 (dite « grosse cloche »).
Le chĂąteau Saint-Philip
Datant du XVe siĂšcle, construit sur le modĂšle des castels gascons, avec corps de logis et pavillon coiffĂ© dâun toit pointu, il a Ă©tĂ© modernisĂ© et agrandi avant la PremiĂšre Guerre mondiale. Le toit du pavillon remplacĂ© par une terrasse et un second pavillon, Ă©galement avec terrasse, a Ă©tĂ© ajoutĂ© pour donner plus de symĂ©trie. Cet ensemble de fort belle allure occupe une situation privilĂ©giĂ©e et non inondable sur la rive gauche de la Garonne.
Il appartenait Ă la famille de Dampierre. On en trouve une trace dans les archives nationales en ces termes: "Aymar de Dampierre fut mĂȘlĂ© Ă l'expĂ©dition de Marie-Caroline, duchesse de Berry (1798-1870), en 1832-1833. DĂ©barquĂ©e en Provence en et déçue par l'Ă©chec de sa tentative de soulĂšvement des villes du Midi de la France, la duchesse voulut, en dĂ©pit de tous les avis contraires, gagner la VendĂ©e. Les Dampierre se partageant entre leurs chĂąteaux de Plassac (Charente-Maritime), du Vignau-en-Marsan (Landes) et du Saumon-en-Gascogne (Lot-et-Garonne), Marie-Caroline de Berry se rendit d'abord au Saumon, mais constatant l'absence des Dampierre, elle se rendit au chĂąteau de Saint-Philip, Ă Saint-Nicolas de La Balerme (Lot-et-Garonne), chez Guy de Dampierre (1773-1862), cousin du marquis Aymar, afin de savoir oĂč joindre ce dernier" (http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/chan/chan/pdf/ap/289AP/d0e105.html ).
AchetĂ© Ă la famille de Dampierre dans les annĂ©es 1960 par Rose et Pierre Gardeil aprĂšs leur succĂšs Ă L'Auberge des Bouviers Ă Lectoure, il devient alors un chĂąteau-hĂŽtel-restaurant rĂ©putĂ©, cĂ©lĂšbre notamment pour son canard Ă l'orange et son canard aux pĂȘches. FermĂ© durant quelques annĂ©es, il a Ă©tĂ© rachetĂ© en 2006 et rouvert en par Nadine Laroque.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Le pĂ©rimĂštre de 2 km correspond au pĂ©rimĂštre de mise Ă l'abri rĂ©flexe. AlertĂ©s par les sirĂšnes et/ou par un appel automatique sur le tĂ©lĂ©phone du domicile, les habitants concernĂ©s doivent se mettre Ă lâabri dĂšs lâalerte et suivre les consignes.
- Les comprimĂ©s dâiode stable protĂšgent efficacement la thyroĂŻde contre les effets des rejets dâiode radioactif qui pourraient survenir en cas dâaccident nuclĂ©aire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Agen-La Garenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Nicolas-de-la-Balerme et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
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- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Golfech - plaquette de présentation. », sur www.edf.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.