Saint-MĂ©zard
Saint-Mézard (Sent Mesard (Canton de Leitora) en gascon) est une commune française située dans le nord du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».
Saint-MĂ©zard | |
La chapelle Notre-Dame-d'Esclaux | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Gers |
Arrondissement | Condom |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Lomagne gersoise |
Maire Mandat |
Vincent ZAMBONINI 2020-2026 |
Code postal | 32700 |
Code commune | 32396 |
DĂ©mographie | |
Population municipale |
239 hab. (2020 ) |
Densité | 16 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 01âČ 59âł nord, 0° 33âČ 36âł est |
Altitude | Min. 62 m Max. 222 m |
Superficie | 15,11 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Lectoure-Lomagne |
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Gers, le ruisseau de Cazaux, le ruisseau de Maurens et par divers autres petits cours d'eau.
Saint-Mézard est une commune rurale qui compte 239 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 632 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Saint-Mézardais ou Saint-Mézardaises.
GĂ©ographie
Localisation
Saint-Mézard est une commune du canton de Lectoure au nord du département du Gers, située à 16 km de Lectoure, 21 km de Condom, 120 km de Toulouse et 25 km d'Agen. C'est une commune limitrophe du département de Lot-et-Garonne.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Lamontjoie, Berrac, Castéra-Lectourois, Pergain-Taillac, Pouy-Roquelaure, Saint-Martin-de-Goyne et Sempesserre.
GĂ©ologie et relief
Saint-Mézard se situe en zone de sismicité 1 (sismicité trÚs faible)[2].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Gers, le ruisseau de Cazaux, le ruisseau de Maurens, la Rigole, le ruisseau de Grave, le ruisseau de la montée, le ruisseau de la Pisse, le ruisseau de l'Arrouquet, le ruisseau de Révignan, le ruisseau des Combes et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[4] - [Carte 1].
Le Gers, d'une longueur totale de 175,4 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Layrac, aprÚs avoir traversé 47 communes[5].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Laplume », sur la commune de Laplume, mise en service en 1999[11] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[12] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 757,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, dans le dĂ©partement de Lot-et-Garonne, mise en service en 1941 et Ă 14 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[16], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18] - [19] - [20].
Urbanisme
Typologie
Saint-Mézard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [21] - [I 1] - [22]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (99,1 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (99 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (77,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (22 %), forĂȘts (0,9 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-MĂ©zard est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Gers. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan Ătat-rĂ©gion, visant Ă informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque dâinondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[26]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999 et 2009[27] - [24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (94,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 141 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 141 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 93 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2002, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Histoire
Le , la répression des protestants reprend à Saint-Mézard : le gouverneur de Guyenne, le maréchal de Monluc, exécute quelques paysans[30].
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[33].
En 2020, la commune comptait 239 habitants[Note 5], en augmentation de 11,68 % par rapport Ă 2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Revenus
En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 91 mĂ©nages fiscaux[Note 6], regroupant 205 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 340 âŹ[I 4] (20 820 ⏠dans le dĂ©partement[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 5,6 % | 5,7 % | 5,5 % |
DĂ©partement[I 7] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entiĂšre[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 124 personnes, parmi lesquelles on compte 79,5 % d'actifs (74 % ayant un emploi et 5,5 % de chÎmeurs) et 20,5 % d'inactifs[Note 7] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 44 emplois en 2018, contre 44 en 2013 et 50 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 98, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,5 %[I 10].
Sur ces 98 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 31 travaillent dans la commune, soit 32 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
16 établissements[Note 8] sont implantés à Saint-Mézard au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 16 entreprises implantées à Saint-Mézard), contre 27,7 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 41 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] Ă 25 en 2000 puis Ă 20 en 2010[38] et enfin Ă 23 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 44 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 51 % de ses exploitations[39] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a quant Ă elle augmentĂ©, passant de 1 369 ha en 1988 Ă 1 549 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 33 Ă 67 ha[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-CĂŽme-et-Saint-Damien.
- Chapelle Notre-Dame-dâEsclaux : la chapelle a Ă©tĂ© reconstruite en 1864, dans le style nĂ©ogothique et restaurĂ©e en 1969. Une lĂ©gende raconte qu'un berger vit un jour un bĆuf s'agenouillant obstinĂ©ment prĂšs d'un taillis de la plaine d'Esclaux ou des Clos qui appartenait Ă M. d'EsparbĂšs de Lussan, seigneur de Saint-MĂ©zard. SâĂ©tant approchĂ©, il dĂ©couvrit une petite statue de la Vierge. On fit Ă©difier la chapelle de Notre-Dame-dâEsclaux Ă cet endroit et une source vint Ă sourdre Ă proximitĂ©. On ne connaĂźt pas la date de l'origine de ce culte. le plus ancien texte sur la chapelle d'Esclaux date du quand, aprĂšs la ruine due aux guerres de religion, la famille fondatrice dĂ©cide de la restaurer. Les rĂ©cits de miracles ont attirĂ© de nombreux pĂšlerins du diocĂšse d'Auch. Le pĂšlerinage a repris aprĂšs la RĂ©volution française[40].
Voir aussi
Bibliographie
- Georges CourtÚs (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39919209)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Mézard » sur Géoportail (consulté le 12 décembre 2021).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Mézard » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Mézard » (consulté le ).
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- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Mézard » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Mézard » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Mézard », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « le Gers »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Mézard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Mézard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Mézard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Mézard », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur www.gers.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Mézard », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, présentation en ligne)., p 226
- Site de la préfecture - Fiche de Saint-Mézard
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de lâagriculture et de lâalimentation, 10 dĂ©cembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Saint-Mézard - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département du Gers » (consulté le ).
- LĂ©once Couture, Notre-Dame d'Esclaux, p. 145, Revue de Gascogne, 1866, tome 7 (lire en ligne)