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Saint-Jouin-Bruneval

Saint-Jouin-Bruneval est une commune française, située dans le département de la Seine-Maritime dans la région Normandie. Les habitants de Saint-Jouin-Bruneval se nomment les "Saint-Jouinais et Saint-Jouinaises".

Saint-Jouin-Bruneval
Saint-Jouin-Bruneval
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Le Havre Seine Métropole
Maire
Mandat
François Auber
2020-2026
Code postal 76280
Code commune 76595
DĂ©mographie
Gentilé Saint-jouinais
Population
municipale
1 837 hab. (2020 en diminution de 3,01 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 98 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 38â€Č 38″ nord, 0° 09â€Č 49″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 137 m
Superficie 18,82 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Octeville-sur-Mer
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.st-jouin-bruneval.fr

    GĂ©ographie

    Description

    La commune est situĂ©e en bordure de la Manche et est remarquable par l'implantation du site du cap d'Antifer, important terminal pĂ©trolier cĂŽtier, dont la construction s'est dĂ©roulĂ©e de 1973 Ă  1975. Ce terminal, sous la direction du Grand port maritime du Havre, est capable de recevoir des supertankers allant jusqu'Ă  600 000 t. C'est le second port pĂ©trolier français.

    Saint-Jouin se trouve dans le pays de Caux.

    Le ramasseur de galets : décoration de rond-point sur le CD940.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 930 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Octeville », sur la commune d'Octeville-sur-Mer, mise en service en 1994[7] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 796 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  80 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Le centre du bourg

    Typologie

    Saint-Jouin-Bruneval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (85,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,3 %), prairies (21 %), forĂȘts (5,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,4 %), zones urbanisĂ©es (2,7 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,3 %), zones humides cĂŽtiĂšres (0,1 %), eaux maritimes (0,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    En 1823, les communes de Saint-Jouin et de Bruneval fusionnent pour devenir Saint-Jouin-Bruneval. De 1912 à 1950, la commune s'est appelée Saint-Jouin-sur-Mer.

    L'hagiotoponyme Saint-Jouin est attesté dÚs le XIIe siÚcle sous la forme latinisée Sancti Jovini. Saint Jouin (en latin Jovinus), frÚre de Saint Maximin, était ermite dans le Poitou[a 1].

    Le toponyme de Bruneval est attestĂ© sous la forme Berneval en 1213 et vers 1240. La forme actuelle Bruneval n'apparaĂźt pas avant le XVIIIe siĂšcle. Le premier Ă©lĂ©ment est l'anthroponyme francique Berno ou anglo-saxon Beorn. On le retrouve dans Bennetot (Bernetot XIIe siĂšcle, suivi du vieux scandinave topt « terrain construit, ferme ») autre commune du pays de Caux[a 2]. Le second Ă©lĂ©ment est l'appellatif -val « vallĂ©e » qui pouvait ĂȘtre fĂ©minin Ă©galement. L'altĂ©ration Berne- > Brune- est sans doute liĂ©e Ă  l'Ă©tymologie populaire « vallĂ©e brune ». En revanche, Berneval-le-Grand est un ancien Britteneville attestĂ© dĂšs 750 et en 775[a 3]. Homophonie accidentelle avec Bruneval (Oise).

    Lieux-dit

    Histoire

    Seconde Guerre mondiale

    Le , dans le cadre de l'opération Biting, des parachutistes britanniques ont détruit un important radar sur La Poterie-Cap-d'Antifer, avec l'aide de membres normands de la Résistance, et ont rembarqué depuis la plage de Bruneval.

    En lien avec ce souvenir de la Résistance, Bruneval a été le lieu d'un discours[24] du général de Gaulle, le .

    Politique et administration

    Politique locale

    Le conseil municipal a été dissous le [25].

    Liste des maires

    Le monument aux morts.
    Liste des maires successifs[26]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1945 1965 Jean Aubourg
    1965 1977 Maurice Avenel
    1977 Joseph Delahais
    2001 Mahieu
    mars 2001 RĂ©my Chicot
    mars 2008 En cours
    (au 10 août 2020)
    François Auber DVG Réélu pour le mandat 2020-2026[27] - [28]

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[30].

    En 2020, la commune comptait 1 837 habitants[Note 8], en diminution de 3,01 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8781 6001 7881 7531 7311 5381 5171 5081 530
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5351 6021 6281 5061 5071 4041 4011 4871 263
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1231 2071 2071 1871 1521 0771 1231 1271 128
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    9438809131 2271 4371 5761 7821 8481 872
    2020 - - - - - - - -
    1 837--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Grand marchĂ© artisanal nocturne, 1er week-end d'aout.
    • Festival de cerf-volant en avril.
    • : 70e anniversaire de l’opĂ©ration Biting et inauguration officielle du MĂ©morial de Bruneval.en prĂ©sence du prĂ©sident de la RĂ©publique, François Mitterrand, et du prince Charles, reprĂ©sentant la reine d’Angleterre.

    Économie

    Panneaux de protestation contre le projet de terminal méthanier en avril 2010.

    Entre 1967, et la conquĂȘte de l'isthme de Suez par IsraĂ«l lors de la guerre des Six Jours, et 1975 le canal de Suez fut fermĂ© : la rive Ouest Ă©tait occupĂ©e par les Égyptiens et la rive Est par les IsraĂ©liens. Les pĂ©troliers devaient effectuer un dĂ©tour par le cap de Bonne-EspĂ©rance pour se rendre du Moyen-Orient en Europe. Afin de rentabiliser le voyage des pĂ©troliers de gabarit beaucoup plus important furent construits. Mais ceux-ci ne rentrant pas dans certains ports traditionnels des avant-ports en eaux profondes furent construits. Celui de Saint-Jouin-Bruneval Ă©tait destinĂ© Ă  ĂȘtre l'avant-port du Havre. DĂšs 1975 et la rĂ©ouverture du canal les pĂ©troliers les plus importants cessĂšrent d'ĂȘtre utilisĂ©s rendant peu utiles des avant-ports comme le terminal pĂ©trolier d'Antifer. Cela explique sa sous-utilisation. Depuis quelques annĂ©es un nouveau projet est Ă  l'Ă©tude pour transformer Antifer en terminal mĂ©thanier agrandi afin d'utiliser l'avant-port Ă  la hauteur de ses capacitĂ©s. Ce projet se heurte Ă  une opposition virulente de nombreux riverains.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Port du Havre-Antifer
    • ChĂąteau de La Marguerite (XVIIIe siĂšcle).
    • ChĂąteau du Clos des FĂ©es (propriĂ©tĂ© privĂ©e) : construit au dĂ©but du XXe siĂšcle par Louis Besnard, maire du village, artiste-peintre, fils du peintre et acadĂ©micien Albert Besnard et d'Ernestine Aubourg. Le monument a subi un grave incendie en 1990.
    • Église Saint-Jouin du (XVIe siĂšcle).
    • Monument commĂ©moratif du raid britannique opĂ©ration Biting sur la falaise.
    • L’église de Saint-Jouin.
      L’église de Saint-Jouin.
    • Clos des FĂ©es.
      Clos des FĂ©es.
    • Saint-Jouin-Bruneval plage
      Saint-Jouin-Bruneval plage
    • Le port du Havre Antifer.
      Le port du Havre Antifer.

    Personnalités liées à la commune

    Saint-Jouin-Bruneval dans les arts

    Tournage d'une scÚne du film de Maurice Labro, Le Fauve est lùché en 1959, située rue Roger-Dumont à proximité de la plage de Bruneval avec Lino Ventura.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • François de Beaurepaire (prĂ©f. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Ouvrage de François de Beaurepaire

    1. passage 137
    2. p. 53.
    3. p. 42.

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Octeville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Jouin-Bruneval et Octeville-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Octeville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Jouin-Bruneval et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. « 31/03/1947 : Discours de Bruneval », sur Fondation Charles de Gaulle (consulté le )
    25. DĂ©cret du 24 septembre 1987 portant dissolution du conseil municipal de Saint-Jouin-Bruneval.
    26. « Les maires de Saint-Jouin-Bruneval », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    27. Christophe Preteux, « Municipales 2020. À Saint-Jouin-Bruneval, François Auber brigue un troisiĂšme mandat : Maire depuis 2008, François Auber brigue un troisiĂšme mandat dans la douziĂšme commune de la communautĂ© urbaine avec sa liste « J’aime mon village ». Une Ă©quipe « renouvelĂ©e et pleine d’idĂ©es », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    28. « Saint-Jouin-Bruneval : François Auber rĂ©Ă©lu maire en direct : Les habitants de la commune ont pu assister Ă  l’installation du conseil municipal grĂące Ă  la visioconfĂ©rence », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « C’est la doyenne du conseil, Micheline Monville, qui a appelĂ© les candidatures au poste de maire, et a annoncĂ© l’élection Ă  l’unanimitĂ© du maire, François Auber. Il entame ainsi un troisiĂšme mandat ».
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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