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Saint-Hilaire-la-Palud

Saint-Hilaire-la-Palud est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Hilaire-la-Palud
Saint-Hilaire-la-Palud
L'Église de Saint-Hilaire-la-Palud
Blason de Saint-Hilaire-la-Palud
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Niort
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Niortais
Maire
Mandat
François Bonnet
2020-2026
Code postal 79210
Code commune 79257
Démographie
Gentilé Paludéens
Population
municipale
1 523 hab. (2020 en diminution de 4,39 % par rapport à 2014)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 15′ 51″ nord, 0° 42′ 39″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 30 m
Superficie 34,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Niort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mignon-et-Boutonne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Hilaire-la-Palud
Liens
Site web www.st-hilaire-la-palud.fr

    Géographie

    Confinée dans la partie sud-ouest du département des Deux-Sèvres, la commune de Saint-Hilaire-la-Palud est à la fois limitrophe de la Vendée et de la Charente-Maritime. Elle appartient au canton de Mauzé-sur-le-Mignon et en est la deuxième commune par sa population, après le chef-lieu de canton.

    Comme son nom l'indique, elle fait partie d'un vaste territoire marécageux qui a été drainé depuis le Moyen-Âge, et connu aujourd'hui sous le nom de Marais poitevin.

    Située dans la partie la plus sauvage du Marais poitevin, appelée aussi Venise verte, la commune offre de remarquables découvertes grâce à la richesse de son milieu naturel, en grande partie préservé. Ses canaux, conches, rigoles, fossés, couvrent plus du dixième des 1 600 ha de l'ensemble du Marais mouillé. Une impressionnante "cathédrale de verdure", constituée par l'alignement des innombrables frênes têtards, saules et peupliers, s'offre aux regards des visiteurs et des touristes de plus en plus nombreux à visiter cette partie pittoresque du Marais poitevin.

    Tout à l'ouest, la commune est arrosée par le Mignon, qui la longe sur sa rive droite, et la sépare du département de la Charente-Maritime. Dans la commune, la rivière est canalisée et porte le nom de canal du Mignon.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 803 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Prin-Deyrancon », sur la commune de Prin-Deyrançon, mise en service en 1983[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 832,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Niort », sur la commune de Niort, mise en service en 1958 et à 20 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,5 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Hilaire-la-Palud est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Niort, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,5 %), zones agricoles hétérogènes (24,4 %), prairies (14,4 %), zones urbanisées (5 %), forêts (0,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Hilaire-la-Palud est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Mignon, la Courance. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999 et 2010[23] - [21]. Le risque inondation a vocation à être pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du projet plan de prévention des risques inondation (PPRI) du « Marais poitevin ». Une première phase d'études techniques a consisté à réviser l'atlas des zones inondables des huit communes suivantes, Bessines, Magné, Coulon, Frontenay Rohan-Rohan, Sansais, Le Vanneau-Irleau, Arçais et Saint-Hilaire-la-Palud, qui datait de 1997[24]. Au regard des enjeux, un PPRI a été prescrit le sur le territoire des communes de Bessines, Coulon et Magné[25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Hilaire-la-Palud.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[27]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [28].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1995, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[21].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2014 Olivier Marie
    mars 2014 2020 Dany Brémaud
    2020 En cours François Bonnet DVG Président de la Fédération régionale des éleveurs caprins

    Démographie

    À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Saint-Hilaire-la-Palud, cela correspond à 2007, 2012, 2017[29], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, 2009, etc.) sont des estimations légales.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2791 5721 4911 5871 6451 6591 7181 7711 761
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8101 9401 9802 0121 9872 0392 0431 9151 898
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8861 9531 9651 7761 8441 6681 5221 5711 614
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 5491 5431 4871 4221 3871 3441 5271 5531 584
    2017 2020 - - - - - - -
    1 5401 523-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Paul Legatte (1916-2002), conseiller d'État, membre du Conseil constitutionnel (1983-1986), médiateur de la République (1986-1992), est né à Saint-Hilaire-la-Palud.

    Divers

    Saint-Hilaire-la-Palud est à l'origine du premier « Rassemblement des Saint-Hilaire de France » qui s'est déroulé dans la commune les 19 et , réunissant 21 communes de ce nom, c'est Michèle Ghiragossian qui en est l'instigatrice.

    Le 2e rassemblement des Saint-Hilaire de France s'est déroulé les 4 et à Saint-Hilaire-en-Lignières, réunissant 13 communes de ce nom.

    La commune de Saint-Hilaire dans l'Allier a accueilli le 3e rassemblement, les 26 et , réunissant 23 communes.

    Le 4e rassemblement a lieu les 25 et à Saint-Hilaire dans la Haute-Garonne, réunissant 22 communes.

    La 5e édition a été accueillie par Saint-Hilaire-Saint-Mesmin dans le département du Loiret les 24 et .

    Le 6e rassemblement s'est déroulé à Saint-Hilaire-Barbezieux en Charente en 2011.

    Le 7e rassemblement a eu lieu à Saint-Hilaire-le-Petit, Saint-Hilaire-le-Grand et Saint-Hilaire-au-Temple, l'association Trilhaire51 a accueilli ce rassemblement avec du champagne.

    Le 8e rassemblement a accueilli les délégations à Saint-Hilaire-Peyroux en Corrèze avec une surprise de taille, le président de la République a fait l'amitié aux participants de venir les saluer et de rester avec eux durant une demi-heure, concrétisant ainsi au sommet de l'État ces rassemblements, près de 900 convives avaient pris place le soir du dîner de gala.

    Entre-temps une délégation de 58 personnes toujours en 2013 a été reçue par Michel Gilert à Mont-Saint-Hilaire au Québec avec une sympathie et un grand plaisir de part et d'autre.

    Le 9e rassemblement a menés les participants à Saint-Hilaire-du-Rosier dans l'Isère et c'est une vidéo de Jamel Debbouze qui a souhaité la bienvenue aux participants, plus de 800 convives étaient présents au dîner de gala.

    C'est de nouveau Saint-Hilaire-la-Palud qui accueille le 10e rassemblement en 2016.

    Héraldique

    Blason de Saint-Hilaire-la-Palud Blason
    Parti de gueules et d'or, le gueules chargé d'une crosse d'or, au clocher de l'église du lieu d'argent et à la barque avec sa gaffe du même brochant sur la partition et mouvant d'une champagne ondée d'or sommée d'une fasce ondée de sinople[33].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Prin-Deyrancon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-la-Palud et Prin-Deyrançon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Prin-Deyrancon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-la-Palud et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Niort », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Hilaire-la-Palud », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « La révision des zones inondables du Marais poitevin dans les Deux-Sèvres », sur le site de la préfecture des Deux-Sèvres, (consulté le )
    25. « Le Plan de Prévention des Risques inondation (PPRi) de Bessines, Coulon et Magné (en cours) », sur le site de la préfecture des Deux-Sèvres, (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    29. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. [PDF]Préfecture des Deux-Sèvres, Bureau Communication Interministérielle, « COMMUNIQUE DE PRESSE N°2 », sur Préfecture des Deux-Sèvres, (consulté le )
    33. « Saint-Hilaire-la-Palud (Deux-Sèvres) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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