Saint-Germain-sur-Ille
Saint-Germain-sur-Ille est une commune française située dans le département d’Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 982 habitants[Note 1].
Saint-Germain-sur-Ille | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Rennes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val d'Ille-Aubigné | ||||
Maire Mandat |
Bertrand Legendre 2020-2026 |
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Code postal | 35250 | ||||
Code commune | 35274 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
982 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 252 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 14′ 56″ nord, 1° 39′ 33″ ouest | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 100 m |
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Superficie | 3,90 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Rennes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Melesse | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | www.saint-germain-sur-ille.fr | ||||
Géographie
À 20 minutes de Rennes, en direction nord, entre les axes routiers menant vers Le Mont-Saint-Michel d’une part (RD 175, ex-RN 175) et vers Saint-Malo d’autre part (RD 137, ex-RN 137), Saint Germain-sur-Ille est doté d’une halte SNCF (ligne Rennes-Saint-Malo).
Le bourg est situé sur une crête rocheuse et forme un promontoire sur la vallée de l’Ille qui coule en limite ouest et sud du territoire communal, en étroite symbiose avec le canal d'Ille-et-Rance.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Feins Sa », sur la commune de Feins, mise en service en 2005[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 811,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 21 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Germain-sur-Ille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,4 %), zones agricoles hétérogènes (36,3 %), zones urbanisées (10,8 %), prairies (10,3 %), forêts (1,2 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
L’origine du nom est lié à saint Germain, évêque d’Auxerre au Ve siècle.
Histoire
Le bourg connut aux XIe et XIIe siècles l’appellation Saint Germain d’Aubigné comme faisant partie de la seigneurie d’Aubigné. Au XVIe siècle, l’exploitation de terre glaise lui valut le nom de Saint Germain l’Argilier et sous la Révolution, ce fut Germain-la-Montagne.
Mathurin Gandon fut pendant 43 ans instituteur à Saint-Germain-sur-Ille vers le milieu du XIXe siècle[21]
Héraldique
Blason | D'argent au mont de trois coupeaux de sable mouvant d'une mer d'azur; au chef parti au 1er de gueules à la mitre d'or et au 2e d'azur à l'épée basse d'argent brochant sur deux clefs du même, renversées, passées en sautoir, les pannetons affrontés, le tout accompagné de quatre fleurs de lis d'or ordonnées 2 et 2[22]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Élections présidentielles
Résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 1995 : 57,04 % pour Lionel Jospin (PS), 42,96 % pour Jacques Chirac (RPR). Le taux de participation était de 86,75 %.
- Élection présidentielle de 2002[23] : 92,69 % pour Jacques Chirac (RPR), 7,31 % pour Jean-Marie Le Pen (FN). Le taux de participation était de 84,75 %.
- Élection présidentielle de 2007[24] : 62,19 % pour Ségolène Royal (PS), 37,81 % pour Nicolas Sarkozy (UMP). Le taux de participation était de 91,78 %.
- Élection présidentielle de 2012[25] : 68,40 % pour François Hollande (PS), 31,60 % pour Nicolas Sarkozy (UMP). Le taux de participation était de 87,06 %.
- Élection présidentielle de 2017[26] : 86,39 % pour Emmanuel Macron (EM), 13,61 % pour Marine Le Pen (FN). Le taux de participation était de 80,91 %.
- Élection présidentielle de 2022[27] : 79,96 % pour Emmanuel Macron (LREM), 20,04 % pour Marine Le Pen (RN). Le taux de participation était de 78,75 %.
Élections législatives
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 1993 : 54,92 % pour Yvon Jacob (RPR), 45,08 % pour Edmond Hervé (PS). Le taux de participation était de 72,73 %.
- Élections législatives de 1997 : 57,85 % pour Edmond Hervé (PS), 42,15 % pour Yvon Jacob (RPR). Le taux de participation était de 74,44 %.
- Élections législatives de 2002[28] : 54,28 % pour Philippe Tourtelier (PS), 45,72 % pour Loïck Le Brun (UDF). Le taux de participation était de 65,11 %.
- Élections législatives de 2007[29] : 65,57 % pour Philippe Tourtelier (PS), 34,43 % pour Loïck Le Brun (UMP). Le taux de participation était de 71,08 %.
- Élections législatives de 2012[30] : 71,99 % pour Louis Feuvrier (DVG), 28,01 % pour Thierry Benoit (ALLI). Le taux de participation était de 62,62 %.
- Élections législatives de 2017[31] : 70,12 % pour Nolwenn Vahé (LREM), 29,88 % pour Thierry Benoit (UDI). Le taux de participation était de 46,08 %.
- Élections législatives de 2022[32] : 65,32 % pour Hélène Mocquard (LFI), 34,68 % pour Thierry Benoit (HOR). Le taux de participation était de 65,95 %.
Élections européennes
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections européennes de 1994 : 26,34 % pour Dominique Baudis (UDF), 17,28 % pour Michel Rocard (PS). Le taux de participation était de 55,19 %.
- Élections européennes de 1999 : 23,01 % pour François Hollande (PS), 22,57 % pour Daniel Cohn-Bendit (LV). Le taux de participation était de 48,69 %.
- Élections européennes de 2004[33] : 39,33 % pour Bernard Poignant (PS), 19,48 % pour Marie-Hélène Aubert (LV). Le taux de participation était de 50,93 %.
- Élections européennes de 2009[34] : 34,78 % pour Yannick Jadot (LV), 19,57 % pour Bernadette Vergnaud (PS). Le taux de participation était de 47,70 %.
- Élections européennes de 2014[35] : 24,22 % pour Yannick Jadot (EÉLV), 13,98 % pour Isabelle Thomas (PS). Le taux de participation était de 53,40 %.
- Élections européennes de 2019[36] : 28,50 % pour Yannick Jadot (EÉLV), 18,76 % pour Nathalie Loiseau (LREM). Le taux de participation était de 65,48 %.
Élections régionales
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections régionales de 2004[37] : 68,49 % pour Jean-Yves Le Drian (PS), 31,51 % pour Josselin de Rohan (UMP). Le taux de participation était de 65,09 %.
- Élections régionales de 2010[38] : 48,45 % pour Jean-Yves Le Drian (PS), 27,64 % pour Guy Hascoët (LV), 23,91 % pour Bernadette Malgorn (DVD). Le taux de participation était de 56,13 %.
- Élections régionales de 2015[39] : 68,45 % pour Jean-Yves Le Drian (PS), 19,64 % pour Marc Le Fur (LR), 11,90 % pour Gilles Pennelle (RN). Le taux de participation était de 59,16 %.
- Élections régionales de 2021[40] : 42,07 % pour Claire Desmares-Poirrier (EÉLV), 28,96 % pour Loïg Chesnais-Girard (PS), 12,20 % pour Thierry Burlot (LREM), 10,67 % pour Isabelle Le Callennec (LR), 6,10 % pour Gilles Pennelle (RN). Le taux de participation était de 46,90 %.
Élections départementales
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections départementales de 2015[41] : 66,56 % pour Ludovic Coulombel (PS) et Gaëlle Mestries (DVG), 33,44 % pour Jean-Michel Arbona (UDI) et Antoinette Depresle (DVD). Le taux de participation était de 52,13 %.
- Élections départementales de 2021[42] : 54,57 % pour Ludovic Coulombel (PS) et Gaëlle Mestries (DVG), 45,43 % pour Mathieu Frémeaux et Clémence Morinière (EÉLV). Le taux de participation était de 46,36 %.
Élections cantonales
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 1992 : 54,01 % pour Maurice Perrin (MAJ), 45,99 % pour Louis Genouël (DVD). Le taux de participation était de 65,21 %.
- Élections cantonales de 1998 : 60,30 % pour Pierre Esnault (PS), 39,70 % pour Philippe Daunay (DVD). Le taux de participation était de 56,11 %.
- Élections cantonales de 2004[43] : 67,45 % pour Jean-Yves Praud (PS), 32,55 % pour Pascale Picard (UMP). Le taux de participation était de 74,81 %.
- Élections cantonales de 2011[44] : 69,05 % pour Jean-Yves Praud (PS), 30,95 % pour Pascal Reinaud (M). Le taux de participation était de 45,19 %.
Liste des maires
Jumelages
Saint-Germain-du-Bel-Air (France) depuis 1992
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].
En 2020, la commune comptait 982 habitants[Note 8], en augmentation de 9,72 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- La gare.
- La bibliothèque municipale.
- Le clocher de l'église.
- L’église.
- L'ancienne poste.
- Le château du Verger au Coq
Voir aussi
Archives
- Une industrie de la pierre aux portes de Rennes : les carrières de Saint-Germain-sur-Ille, étude dactylographiée, 1973. Fonds Lucien Piquet<, Archives I&V, fonds 136 J, (0,40 ml). Lucien Piquet, (1909 †1995), étudiant en histoire à la faculté des lettres de Rennes, professeur d’histoire au lycée Joliot-Curie à Rennes. Voir aussi Saint-Germain-sur-Ille et l’histoire, 1989.
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020, légale en 2023.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Feins Sa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Germain-sur-Ille et Feins », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Feins Sa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Germain-sur-Ille et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Gilbert Nicolas, "Instituteurs entre politique et religion", éditions Apogée, 1993, Modèle:Isbnr2-909275-11-6.
- « Saint-Germain-sur-Ille Sant-Jermen-an-Il (Ille et Vilaine) », sur L'Armorial des villes et des villages de France (consulté le ).
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- « Résultat des élections cantonales de 2011 à Saint-Germain-sur-Ille », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534,‎ , p. 10-11 (ISSN 1285-7688).
- « Municipales à Saint-Germain-sur-Ille. Bertrand Legendre élu maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.