Saint-Genès-de-Castillon
Saint-Genès-de-Castillon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Genès-de-Castillon | |||||
La mairie (juin 2009). | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Libourne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Grand Saint-Émilionnais | ||||
Maire Mandat |
Yannick Guimberteau 2020-2026 |
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Code postal | 33350 | ||||
Code commune | 33406 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
373 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 55 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 53′ 55″ nord, 0° 03′ 52″ ouest | ||||
Altitude | Min. 32 m Max. 98 m |
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Superficie | 6,8 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Libourne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Coteaux de Dordogne | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Située dans le Libournais, son territoire se développe sur une superficie de 680 ha confrontant au sud la commune de Sainte-Colombe, à l'ouest Saint-Étienne-de-Lisse au nord, Montagne, Puisseguin, Saint-Philippe-d'Aiguille et Gardegan-et-Tourtirac à l'est.
La commune de Saint-Genès-de Castillon présente un paysage vallonné, une succession de coteaux parcourus par des petits cours d’eau et ruisseaux (La Barbanne, L’Aiguille, La Pécotte). La majeure partie de la commune se situe à une altitude supérieure à 90 m. Saint-Genès est situé à équidistance de Saint-Émilion, Castillon-la-Bataille et Lussac.
Le vignoble qui domine avec 282 ha, les bois qui s’étendent sur 96 ha, et la présence de prairies marquent le caractère vallonné du relief et offrent de beaux points de vue.
La commune comprend un grand nombre de hameaux où l'on retrouve des constructions en pierre de qualité traduisant un passé relativement riche (maisons girondines, moulins, lavoirs…).
Deux grandes voies de communication traversent la commune d’est en ouest et du nord au sud : la route départementale D17 (itinéraire bis Paris/Espagne) et la route départementale D243 (appelée route de Saint-Émilion).
Communes limitrophes
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Les communes limitrophes en sont Puisseguin au nord, Saint-Philippe-d'Aiguille au nord-est, Gardegan-et-Tourtirac à l'est, Belvès-de-Castillon au sud-est, en quadripoint, Sainte-Colombe au sud, Saint-Étienne-de-Lisse au sud-ouest et Montagne au nord-ouest.
Le quadripoint, point de la surface de la Terre qui touche quatre régions distinctes, réunit les communes de Gardegan-et-Tourtirac en son nord-est, Belvès-de-Castillon en son sud-est, Sainte-Colombe en son sud-ouest et Saint-Genès-de-Castillon en son nord-ouest.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Émilion », sur la commune de Saint-Émilion, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 802,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 43 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Saint-Genès-de-Castillon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Libourne, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (59,9 %), prairies (21,5 %), forêts (12 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Genès-de-Castillon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[24]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 206 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 206 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2009.
Toponymie
Le nom de la commune provient de saint Genès de Rome, patron des comédiens, martyr chrétien décapité en 286 sous l'empereur romain Dioclétien ou de saint Genès de Lyon, évêque de Lyon, mort en 678[27].
La terminaison -de-Castillon a été ajouté au nom de la commune en 1956[28].
En gascon, le nom de la commune est Sent Genès de Castilhon[29].
Politique et administration
Liste des maires
Services
La commune dispose de bâtiments communaux tels que mairie, salle polyvalente, cantine scolaire, école, et un bâti ancien (ancienne mairie et ancien logement de l’instituteur).
Population et société
Les habitants sont appelés les Saint-genésiens[30].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].
En 2020, la commune comptait 373 habitants[Note 7], en diminution de 6,52 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
La population reste stable, autour de 387 habitants, mais compte tenu de la proximité de la ville de Libourne dans un premier temps, et de Saint-Émilion, la demande d'hébergement évolue. Le recensement montre que la population est diversifiée en termes d’âge.
Enseignement
La commune est en regroupement pédagogique (avec les communes de Sainte-Colombe, Belves-de-Castillon et Gardegan et Tourtirac) et possède une classe (CE2/CM1) de 24 élèves). Un P.L.U.et une convention d'aménagement de bourg sont à l'étude.
Économie
La commune dispose de deux ZAD.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le patrimoine monumental de Saint-Genès comprend plusieurs châteaux et monuments :
- le château Flojague du XVIe,
- Le manoir de Gravoux, datant de XIVe et XVe siècles, inscrit au titre des monuments historiques depuis le [34],
- le château l’Estang
- le château de la Jarousse
- et un nombre important de « maisons » bourgeoises.
- Dans la commune on recense de nombreux éléments de patrimoine rural bâti (10 fontaines et lavoirs associés, 20 puits, 3 fours à pain et 4 moulins à vent).
Le patrimoine rural a été restauré et intégré dans une démarche d’ouverture de sentiers thématiques de découverte du patrimoine.
La commune a créé deux sentiers thématiques de découverte du patrimoine (parcours de 7 km et 11 km) qui proposent aux promeneurs de suivre un circuit passant par les différents édifices communaux : puits de l’église, la croix du cimetière, le lavoir de Bray, le lavoir de la Gramondie, le lavoir de loterie, le lavoir du Grand Maine, la croix de mission, le lavoir du bourg. Cette démarche montre à quel point, la commune est tournée sur la dynamique de mise en valeur de son patrimoine petit et grand (études petits patrimoines 2001 inauguration des sentiers en 2004).
- L'église Saint-Genès date du XIXe. Une messe y est donnée chaque mois, et elle est ouverte au public tous les jours. Elle présente des murs intérieurs décorés de fresques néo-gothiques. Initialement édifiée au XIe siècle, elle fut reconstruite, à la suite des menaces d’effondrement, en 1883 dans le style néo-gothique. L’église possède également une statue en bois doré remarquable du XVIIIe siècle représentant la Vierge à l’Enfant, cette statue formant le trait d’union entre l’histoire de l’ancienne et de la nouvelle église a été restaurée en 2004. Elle possède également une statue de saint Genès dont la restauration est envisagée. Le carillon de cette église (composé d’un bourdon, de deux médium et d’une petite cloche) a été fondu en 1887 par Étienne Émile Vauthier de Saint-Émilion et compose un ensemble rare dans la région.
- L'entrée dans le bourg (juin 2009)
- La façade de l'église Saint-Genès (juin 2009)
- Vue nord-est de l'église Saint-Genès (juin 2009)
- Le manoir de Gravoux (juillet 2014)
Personnalités liées à la commune
- Jean-Raymond Lubiato (1933-2006), footballeur, né dans la commune.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Saint-Genès-de-Castillon sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Saint-Genès-de-Castillon sur Géoportail, consulté le 18 octobre 2015.
- Saint-Genès-de-Castillon sur Géoportail, consulté le 18 octobre 2015.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Émilion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Genès-de-Castillon et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Émilion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Genès-de-Castillon et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Genès-de-Castillon », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Genès-de-Castillon », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- Saint-Genès-de-Castillon sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 18 octobre 2015.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Sent Genès de Castilhon sur la Wikipèdia occitane, consultée le 18 octobre 2015.
- Nom des habitants de la commune sur le site « habitants.fr », consulté le 30 janvier 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Notice MH du manoir de Gravoux », notice no PA00083741, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 18 octobre 2015.