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Lussac (Gironde)

Lussac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Lussac
Lussac (Gironde)
Le château.
Blason de Lussac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Saint-Émilionnais
Maire
Mandat
Dorothée Breton
2020-2026
Code postal 33570
Code commune 33261
Démographie
Gentilé Lussacais
Population
municipale
1 223 hab. (2020 en diminution de 5,92 % par rapport à 2014)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 57′ 03″ nord, 0° 05′ 42″ ouest
Altitude Min. 22 m
Max. 84 m
Superficie 23,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Libourne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Libournais
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Lussac
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Lussac
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Lussac
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Lussac
Liens
Site web www.lussac-gironde.fr/

    Géographie

    Commune située dans le vignoble de lussac-saint-émilion.

    Communes limitrophes

    Les communes limuitrophes en sont Saint-Médard-de-Guizières au nord-nord-est, Petit-Palais-et-Cornemps au nord-est, Tayac à l'est, Puisseguin au sud-est, Montagne au sud-ouest, Les Artigues-de-Lussac à l'ouest-nord-ouest, et Abzac au nord-nord-ouest.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 863 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Émilion », sur la commune de Saint-Émilion, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 802,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 45 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Lussac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Libourne, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (78 %), forêts (12,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), prairies (3,2 %), zones urbanisées (2,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Lussac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2009[24] - [22].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[25]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lussac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 633 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 633 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2009, 2010 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Toponymie

    Le nom de la commune de Lussac provient d'un nom de domaine gallo-romain basé sur l'anthroponyme Lucius[28].

    En gascon, le nom de la commune, de graphie identique, se prononce [ly'sat].

    Histoire

    À la Révolution, la paroisse Saint-Pierre de Lussac forme la commune de Lussac[29].

    En 1869, une partie des communes de Lussac et de Montagne en sont séparées pour former la nouvelle commune des Artigues[30].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 01/04/1793 M. Queyreau
    02/04/1793 31/10/1813 M. Lavignerie
    01/11/1813 17/05/1816 M. Eymerie
    18/05/1816 31/12/1831 M. Drivet
    01/01/1832 31/12/1844 M. Mouillac Notaire, conseiller d'arrondissement[31]
    01/01/1845 15/06/1845 M. Deymene
    16/06/1845 20/03/1848 M. Chambarriere
    21/03/1848 21/09/1853 M. Deymene
    22/09/1853 30/12/1863 M. Montouroy
    31/12/1863 30/12/1869 M. Charmolue
    31/12/1869 03/10/1870 M. Combret
    04/10/1870 28/05/1871 M. Severac
    29/05/1871 31/01/1874 M. Drivet
    01/02/1874 30/06/1876 M. Mourret
    01/07/1876 16/03/1878 M. Brieu
    17/03/1878 07/06/1884 M. Jeansonnet
    08/06/1884 16/05/1896 M. Leynier
    17/05/1896 ? M. Petit
    31/10/1947 20/03/1965 M. Teynac
    21/03/1965 27/03/1971 M. Vergniol
    28/03/1971 08/07/1982 Georges Delord PS Conseiller général
    09/07/1982 23/03/1989 M. Gaillard
    24/03/1989 23/06/1995 M. Abadie
    24/06/1995 22/03/2001 Mme Laborie
    23/03/2001 24/05/2020 Martine Cruzel DVG Retraitée de la fonction publique
    25/05/2020 En cours Dorothée Breton SE

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

    En 2020, la commune comptait 1 223 habitants[Note 7], en diminution de 5,92 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 5752 0322 0542 2912 3852 4542 3812 4642 471
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5122 5202 6401 8721 9101 8321 7211 7051 811
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8971 8701 8291 7191 6681 6281 5811 4611 572
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 5051 5561 4251 4281 4141 3331 3031 3021 269
    2020 - - - - - - - -
    1 223--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Économie

    La commune a une activité économique quasi exclusivement agricole orientée vers la viticulture et produit des crus AOC de saint-émilion.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Notre-Dame de Lussac est un édifice d'architecture romane édifié au XIIe siècle, remanié au XIVe siècle, dévasté par les troupes huguenotes en 1587 et entièrement restauré dans la seconde partie du XIXe siècle avec l'ajout d'un clocher à flèche[38] selon les goûts du cardinal Donnet.
    • Château de Lussac, édifié au cÅ“ur du village en 1876 pour Gascon Montouroy[39].
    • Maison du vin, manoir édifié à la fin du XVIIIe siècle pour Paul Montouroy, devenu successivement mairie, gendarmerie, maison de justice, école privée avec une forge dans l’aile droite de l’édifice, théâtre et finalement propriété du syndicat viticole communal, à usage de lieu de dégustation et de promotion des vins de la commune, productrice de crus AOC de saint-émilion[40].
    • Chateau de Bellevue, domaine viticole d'une quinzaine d'hectares[41].
    • Au cÅ“ur d'un domaine viticole, à l'est du village, se trouvent les vestiges d'une villa gallo-romaine dite villa de Luccius dont le nom est à l'origine du nom de la commune[42].
    • Lavoir double et fontaine du XIXe siècle[43].
    • Mégalithe du tertre de Picampeau ayant servi à des rites sacrificiels celtiques[44].
    • Château Latour Ségur

    Héraldique

    Blason de Lussac Blason
    D’or aux trois perdrix au naturel.
    Détails
    Officiel, présent sur le site de la mairie.

    Littérature

    Lussac est le lieu où se déroule une grande partie de la pièce La Démonstration du Professeur Glomus de Jacques Aeschlimann (1946).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Lussac sur Géoportail, consulté le 12 octobre 2015.
    2. Lussac sur Géoportail, consulté le 12 octobre 2015.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Émilion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Lussac et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Émilion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Lussac et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Lussac », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lussac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5)..
    29. Historique des communes, p. 32, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 12 octobre 2015.
    30. Bulletin des lois de l'Empire français, XIe série, deuxième semestre de 1869, p. 267 sur Google Livres.
    31. « Almanach royal et national... : présenté à Sa Majesté et aux princes et princesses de la famille royale », sur Gallica, (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. École Georges-Delord sur le site de la mairie.
    37. Collège de Lussac sur le site de la mairie.
    38. Église Saint-Pierre sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 12 octobre 2015.
    39. Château de Lussac sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 12 octobre 2015.
    40. Maison du vin de Lussac sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 12 octobre 2015.
    41. Château de Bellevue sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 12 octobre 2015.
    42. Villa de Luccius sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 12 octobre 2015.
    43. Lavoir double et fontaine de Lussac sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 12 octobre 2015.
    44. Mégalithe du tertre de Picampeau sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 12 octobre 2015.
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