AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Saint-Congard

Saint-Congard [sɛ̃ kɔ̃gaʁ] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Morbihan en rĂ©gion Bretagne.

Saint-Congard
Saint-Congard
Bourg de Saint-Congard.
Blason de Saint-Congard
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité De l'Oust à Brocéliande Communauté
Maire
Mandat
Didier Hurtebize
2020-2026
Code postal 56140
Code commune 56211
DĂ©mographie
Gentilé Congardais, Congardaise
Population
municipale
798 hab. (2020 en augmentation de 6,83 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 36 hab./km2
Population
agglomération
16 453 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 46â€Č 16″ nord, 2° 18â€Č 58″ ouest
Altitude 25 m
Min. 5 m
Max. 102 m
Superficie 21,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Moréac
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Congard
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Congard
GĂ©olocalisation sur la carte : Morbihan
Voir sur la carte topographique du Morbihan
Saint-Congard
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
Voir sur la carte administrative de Bretagne
Saint-Congard

    GĂ©ographie

    Situation

    La commune de Saint-Congard, bordée par le canal de Nantes à Brest, est située entre le golfe du Morbihan et le massif forestier de Paimpont, à mi-distance entre Malestroit et Rochefort-en-Terre.

    ThĂ©Ăątre d’évĂ©nements historiques et culturels, terre d’origine de personnages cĂ©lĂšbres, Saint-Congard expose un patrimoine considĂ©rable et bien conservĂ©.

    C’est Ă  Saint-Congard que la Claie rejoint l’Oust. C’est ici que fut construite l’une des premiĂšres Ă©cluses Ă  sas de France. C’est ici que NominoĂ«, roi des Bretons, Ă©rigea son donjon. C’est ici enfin que la derniĂšre pĂ©niche commerciale dĂ©barqua sa marchandise en 1977.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 891 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pleucadeuc », sur la commune de Pleucadeuc, mise en service en 1990[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 902,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Vannes-SĂ©nĂ© », sur la commune de SĂ©nĂ©, mise en service en 1998 et Ă  36 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,3 °C pour 1981-2010[11] Ă  12,4 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Congard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16] - [17].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (64,1 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (64,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (34,1 %), forĂȘts (31,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (16,4 %), prairies (13,6 %), zones urbanisĂ©es (2,3 %), mines, dĂ©charges et chantiers (1,8 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[19].

    Toponymie

    Saint-Congard en breton Sant-Kongar est attestée sous la forme francisée Sanctus Congarus en 1387 [20].

    Origine du nom : Cette ancienne trÚve de Pleucadeuc porte le nom du patron de la chapelle tréviale, devenue église paroissiale, saint Congar (ou saint Kongar), moine du Pays de Galles au VIe siÚcle.

    Histoire

    Préhistoire

    Le territoire de l’actuelle commune garde quelques traces de son lointain passĂ©. Une allĂ©e couverte Ă  Bignac et plusieurs menhirs, mentionnĂ©s au XIXe siĂšcle, attestent une occupation au NĂ©olithique tandis que la prĂ©sence romaine a laissĂ© peu de vestiges.

    Moyen-Âge

    Au IXe siĂšcle, cette terre de landes et d’eau est le thĂ©Ăątre d’évĂ©nements qui contribuent Ă  l’histoire religieuse et politique de la rĂ©gion : au lieu-dit CoĂ«t Leu de Bas, NominoĂ« aurait en 848 rĂ©uni un synode ; le lieu-dit Roga est dĂ©jĂ  citĂ© en 820 dans le cartulaire de Redon.

    On y apprend que Jarnhitin, machtiern de Pleucadeuc, fait don d’un terrain Ă  un ermite qui a charge et permission de “ couper, arracher, dĂ©fricher tout autour ”. DĂ©pendant de l’abbaye bĂ©nĂ©dictine de Redon, Ă  partir de 834, le prieurĂ© de Roga se heurte Ă  une nature rude et inhospitaliĂšre, et pĂ©riclite. C’est au XIIe siĂšcle que Saint-Congard devient paroisse, alors dĂ©tachĂ©e de sa voisine Pleucadeuc.

    Temps modernes

    Le prieurĂ© de Roga est abandonnĂ© au XVIIe siĂšcle par les moines de Redon. Mais, soucieux d’une prĂ©sence religieuse sur ces terres, le comte de Rieux-Rochefort, suzerain des lieux, en fait don en 1672 Ă  l’ordre des Camaldules, fondĂ© au XIe siĂšcle par saint Romuald, en Italie. AprĂšs maintes batailles juridiques, l’établissement devient, en 1786, propriĂ©tĂ© de l’hĂŽpital de Malestroit pour ĂȘtre finalement vendu comme bien national, Ă  la RĂ©volution.

    Il reste encore quelques murs Ă©pars tĂ©moignant des traces de cette implantation religieuse, Ă©lĂ©ment important de l’histoire locale. Autre tĂ©moignage, deux grands tableaux aujourd'hui conservĂ©s dans l'Ă©glise du Roc-Saint-AndrĂ©.

    Révolution française

    En 1790, Saint-Congard est érigé en commune et passe en 1801 dans le canton de Rochefort-en-Terre.

    Le XXIe siĂšcle

    En , Simone Ferry, nĂ©e Guiho (dont le pĂšre Ă©tait natif de ce village), dĂ©cĂ©dĂ©e sans enfant, lĂšgue la somme de 800 000 â‚Ź Ă  la commune[21].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 25 mai 2020 Daniel Brule
    25 mai 2020 En cours Didier Hurtebize[22] Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Mairie de Saint-Congard.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[24].

    En 2020, la commune comptait 798 habitants[Note 6], en augmentation de 6,83 % par rapport Ă  2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    740637677721721730716750725
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    715730748738801803828841854
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    876935959861875866857847820
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    769722697683664637702702744
    2014 2019 2020 - - - - - -
    747795798------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee Ă  partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Patrimoine sur la commune de Saint-Congard
    • L'Ă©glise paroissiale Saint-Congard
      L'Ă©glise paroissiale Saint-Congard
    • Boviduc dans le Mont HersĂ©
      Boviduc dans le Mont Hersé
    • Retable de la chapelle Notre-Dame de Quemper
      Retable de la chapelle Notre-Dame de Quemper
    • Sculpture (chapelle Notre-Dame de Quemper)
      Sculpture (chapelle Notre-Dame de Quemper)

    Chapelles

    La commune compte plusieurs chapelles, celle de Quemper, de Foveno et de Lorette.

    La chapelle de Quemper (XVIIe) dĂ©pendait de l'abbaye de Paimpont lors de sa construction. La chapelle est un lieu de pĂšlerinage et de pardon. Il y a dans la chapelle, un retable du XVIIe qui est rĂ©alisĂ© dans le style de l’école lavalloise. A l'extĂ©rieur, des pierres sculptĂ©es portent des armoiries d'alliance de RenĂ© du Maz et de Gillonne de la MarzeliĂšre, seigneur et dame du Brossay Ă  Saint-GravĂ©. Ces armes se retrouvent aussi sur l’église paroissiale de Saint-GravĂ© et sur la chapelle de la Bogerais[27].

    Chapelle de Foveno XVIIe

    Chapelle de Lorette XIXe.

    • Atelier d'outillage nĂ©olithique, proche du site de Nazareth.
    • MĂ©galithes : allĂ©e couverte du Mont HersĂ©.
    • SĂ©pultures du Bronze moyen.
    • Vestiges gallo-romains Ă  Carhon (statuettes).
    • Église du bourg, nĂ©o-gothique, de 1881.
    • Calvaire du cimetiĂšre XVe.
    • Croix anciennes Ă  la sortie du village, sur la route de Lorette, plusieurs croix, du XVIIe au XVIIIe, en palis de schistes.
    • Manoir Foveno XVIIe.
    • Plaque commĂ©morative de CoĂ«t-Leu-de-Bas : indiquant le passage supposĂ© de NominoĂ«.

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Congard Blason
    D'azur à la bande ondée d'hermine accompagnée de six besants d'or ordonnés en orle; au franc canton de gueules chargé d'une couronne fleuronnée d'or.
    DĂ©tails

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Pleucadeuc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Congard et Pleucadeuc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Pleucadeuc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Congard et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    20. Dans les archives du chapitre de Vannes
    21. « La belle histoire du jour : à sa mort, elle lÚgue 800 000 euros à un village breton », sur Metronews, (consulté le ).
    22. « Municipales à Saint-Congard. Didier Hurtebize, élu à la majorité absolue », sur Ouest-France, (consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    27. M. -D. Menant, « Chapelle de pÚlerinage Notre-Dame de Quemper (Saint-Congard) » (notice descriptive - IA00008761), sur Inventaire du patrimoine culturel en Bretagne

    Voir aussi

    Bibliographie

    • JoĂ«l Lecornec, Une tombe de l'Age du Bronze au bois de la Touche en Saint-Congard, Annales de Bretagne, no 73, 1, 1966, p. 38–41.
    • Louisette Radioyes, Traditions et chansons de Haute-Bretagne, vol. 1 : le rĂ©pertoire de Saint-Congard et ses environs : 1962-1970, Paris, CNRS Ă©d., (BNF 35799684)

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.