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Saint-Martin-sur-Oust

Saint-Martin-sur-Oust [sɛ̃ maʁtɛ̃ syʁ ust], dénommée antérieurement Saint-Martin[1], est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

Saint-Martin-sur-Oust
Saint-Martin-sur-Oust
Le château de Castellan.
Blason de Saint-Martin-sur-Oust
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité De l'Oust à Brocéliande Communauté
Maire
Mandat
Marion Le Pogam
2020-2026
Code postal 56200
Code commune 56229
Démographie
Gentilé Martinais, Martinaise
Population
municipale
1 299 hab. (2020 en diminution de 2,18 % par rapport à 2014)
Densité 46 hab./km2
Population
agglomération
10 480 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 48″ nord, 2° 15′ 09″ ouest
Altitude 10 m
Min. 2 m
Max. 103 m
Superficie 28,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Guer
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Martin-sur-Oust
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Saint-Martin-sur-Oust
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Saint-Martin-sur-Oust

    Décrivant la localité aux alentours de 1980, Jean Rolin écrit : « Saint-Martin-sur-Oust, Morbihan, est par sa banalité même, sa banalité absolue, un endroit très remarquable, quelque chose comme la quintessence de la France profonde[2]. »

    Géographie

    Situation

    Paysage et relief

    • voir la légende ci-après
      Carte topographique de la commune de Saint-Martin-sur-Oust.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 869 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Jacut-les-Pins », sur la commune de Saint-Jacut-les-Pins, mise en service en 1986[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 896,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « La-Noe-Blanche », sur la commune de Noë-Blanche, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1988 et à 39 km[12], la température moyenne annuelle évolue de pour 1981-2010[13] à pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martin-sur-Oust est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,9 %), terres arables (34,9 %), forêts (16,6 %), prairies (5,2 %), zones urbanisées (3,4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Saint-Martin-sur-Oust dérive du nom de l'Oust[22], cours d'eau emprunté par Saint Martin de Tours[23].

    Le nom de la commune est Saent-Martein-sur-Out en gallo et Sant-Varzhin-an-Oud en breton[24].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 26 mai 2020 Jean-Luc Madouasse SE Employé de banque
    26 mai 2020 En cours Marion Le Pogam[25] Cadre administratif
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2020, la commune comptait 1 299 habitants[Note 6], en diminution de 2,18 % par rapport à 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4121 4101 4461 3591 3891 4011 4281 4241 470
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4141 4011 4771 4711 5031 4851 4821 6001 662
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7181 7601 8001 6721 6621 5851 5761 6331 408
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 3121 2551 2621 3441 3231 2811 2681 2641 328
    2018 2020 - - - - - - -
    1 2921 299-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture et patrimoine

    Langue

    Comme pour beaucoup de communes de Haute-Bretagne, la langue vernaculaire est en net recul au profit du français. Néanmoins, Saint-Martin compte encore de nombreuses personnes dont le gallo (brito-roman) est la langue d'usage.

    Saint-Martin-sur-Oust est référencée au point 32 de l'Atlas Linguistique et ethnographique de Bretagne Romane d'Anjou et du Maine. Travail de Jean-Paul Chauveau et de Gabriel Guillaume. Ce dernier, originaire de Saint-Martin, a également écrit un glossaire du vocabulaire de sa commune natale ainsi que quelques poèmes.

    En 2008, Chubri, une association pour l'étude du gallo, a réalisé une étude sur les noms de lieux et de famille en gallo de la commune[30].

    Église Saint-Martin

    XVe - XIXe siècle.

    Porte et bénitier de l'église

    Vers XVe siècle.

    Retable et tabernacle

    Sans doute du maître sculpteur François Ropert vers 1725. Ledit François Ropert se marie d'ailleurs à Saint-Martin-sur-Oust avec mademoiselle Roulette Morin, alors qu'il y effectuait ces travaux.

    Chapelle de Saint-Mathurin

    Dite, en son temps, Saint-Mathurin-des-Garais. Sur ses linteaux de portes, on peut lire deux dates : 1602 et 1681. Ceci témoigne déjà de plusieurs aménagements. Les archives de l'état civil y font état de mariages vers 1580... Son retable vient d'être restauré en 2007. Ce site de Saint-Mathurin, qui surplombe la vallée de l'Oust, est occupé depuis des temps très lointains. Aux alentours, la présence de tuiles romaines et autres vestiges anciens en témoigne.

    Chapelle de Saint-Léonard

    Son fronton arbore une date : 1651. L'existence d'une chapelle de Saint-Léonard, en ce secteur, est avérée depuis 1155. Il s'agissait alors d'une petite colonie fondée par un monastère de femmes, l’abbaye Saint-Sulpice de Rennes. La maison principale, était sise en « la forêt du nid de merle » près de cette ville. Les moniales furent probablement envoyées à Saint-Martin par l’abbesse Marie de Blois, fille du roi Etienne. En 1151, le pape Eugène III cite comme seul bien de ladite abbaye, sur le diocèse de Vannes, le prieuré de Locmaria en Plumelec. En 1161, Alexandre III y ajoute l’église de Priziac en Molac et « l’église de Saint-Léonard avec ses dépendances ». Le nord de la paroisse de Saint-Martin était alors une immense forêt. Longtemps, le village de Saint-Léonard s'est d'ailleurs nommé « Saint Léonard-de-la-Vieille-Forêt ». Cette forêt s'étendait de la Rouérie en Les Fougerêts, jusqu'à la « borne des trois Barons, lieu de jonction des terres des De Rieux, De Malestroit et De Couëtion, près de Beaumont-en-Saint-Laurent.

    Château de Castellan

    Une terre de ce nom existe depuis le XIVe siècle sur le territoire de la paroisse.

    Croix événementielles ou de carrefour

    On en compte encore près d'une cinquantaine sur la commune. Leurs styles sont très variés. Certaines datent du XVIe. L'une d'entre elles est classée monument historique en 1921. Il s'agit de la croix des Friches, proche de la chapelle Saint-Mathurin.

    Barrage de La Née

    Sur le canal de Nantes à Brest (Oust canalisée).

    Le Guélin

    En 1468, le Guélin, village situé sur les bords de la rivière d'Aoust (Oust) est signalé comme étant un passage fréquenté. Il est situé entre Saint-Martin et Saint-Gravé. De cet endroit, un chemin mène à Rochefort-en-Terre. En 1531, le site s'appelle, le Port du Gueslin. Il est dit qu'un grand chemin mène de ce port à Peillac. De toute évidence, un certain trafic a toujours existé dans ce secteur. Plus tard, vers 1740, les déclarations d'imposition du « Vingtième » (impôt sur les biens) démontrent, à cet endroit de la rivière « d'Aoust », l'existence d'un gué en période sèche. Prétextant un flot mal régulé au fil des saisons, Guillaume Breton, alors « passager de l'Oust » (autrement dit passeur en bateau de l'endroit) demande à l'administration fiscale une déduction sur cet impôt. Il arguë du fait qu'il ne peut exercer régulièrement son métier que 4 mois de l'année, lors de deux périodes transitoires : printemps et automne. Il décrit par ailleurs un fort courant l'hiver et un passage guéable l'été.

    Personnalités liées à la commune

    Maires de la commune
    Maires de Saint-Martin-sur-Oust Début de mandat Fin de mandat

    Louis Chevalier, du Bourg

    du

    au 12 germinal an VI

    Julien Martin, du Bourg, ayant le titre d'agent municipal jusqu'au 4 prairial an VIII - 1799

    du 12 germinal an VI

    au

    Mathurin Bouvier, du Val

    du

    au

    Augustin Borel de Bottemont, du château de Castellan, chevalier de la légion d'honneur

    du

    à 1832

    Louis Chevalier, du Bourg, fils du 1er maire

    de 1832

    à 1837

    Pierre Vendogre, du Guélin, originaire d'Ytrac Cantal. Chaudronnier migrant.

    de 1837

    à 1848

    Louis Guy Chevalier, du Bourg, petit-fils du 1er maire

    de 1848

    à 1864

    Jacques Marie Cheval, du Guélin

    de 1864

    à 1890, année de son décès. Gendre de Pierre Vendogre, ancien maire

    Auguste De La Ruée, château de Castellan

    du

    au

    Louis De Boussineau, château de La Luardaye

    de 1904

    à

    Louis Guillaume, de Grossenée

    de

    à 1941, démissionnaire pour cause santé

    Jean Marie Provost, Bourg, Chevalier de la Légion d'honneur

    du

    à , démission

    Emile Rollo, Les Gaudines de Bas

    de

    à

    Marcel Rubeaux, de La Croix Piguel

    de

    Charles Possémé, du Bourg

    de

    à

    Jean Luc Madouasse, du Guélin

    de

    à ce jour ; réélu en 2008

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. La commune a changé de nom par décret no 2008-1021 du 3 octobre 2008 portant changement de nom de communes, après délibération du conseil municipal de Saint-Martin du 1er février 2007 et du conseil général Morbihan du 30 juillet 2007.
    2. Dans Chemins d'eau, réédition Payot, 1996, (ISBN 2-228-89038-3), p. 43. Jean Rolin consacre trois pages à la description de la « banalité absolue » de Saint-Martin-sur-Oust, sur un ton souriant.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Jacut-les-Pins - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Martin-sur-Oust et Saint-Jacut-les-Pins », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Jacut-les-Pins - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Martin-sur-Oust et La Noë-Blanche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de La-Noe-Blanche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de La-Noe-Blanche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. « Étymologie et Histoire de Saint-Martin-sur-Oust », sur infobretagne.com (consulté le ).
    23. « Villes bretonnes, nom breton », Geobreizh (consulté le ).
    24. Saint-Martin-sur-Oust, geobreizh.bzh.
    25. « Municipales à Saint-Martin-sur-Oust. Marion Le Pogam élue maire », sur Ouest-France, (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. « Diz mil môt den ChuMétiv - institu Chubri - Du galo pourr astourr », sur chubri.org (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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