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Saint-Étienne-du-Vigan

Saint-Étienne-du-Vigan est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-Étienne-du-Vigan
Saint-Étienne-du-Vigan
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité Communauté de communes des Pays de Cayres et de Pradelles
Maire
Mandat
Alain Enjolras
2020-2026
Code postal 43420
Code commune 43180
DĂ©mographie
Population
municipale
96 hab. (2020 en diminution de 4,95 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 10 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 46′ 51″ nord, 3° 50′ 10″ est
Altitude Min. 872 m
Max. 1 164 m
Superficie 9,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Velay volcanique
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Étienne-du-Vigan
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Saint-Étienne-du-Vigan
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Saint-Étienne-du-Vigan

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Saint-Étienne-du-Vigan se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1]. Elle est limitrophe de la Lozère et proche de l'Ardèche.

    Elle se situe Ă  43 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  36 km de Cussac-sur-Loire[2], bureau centralisateur du canton du Velay volcanique dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Pradelles (3,9 km), Fontanes (4,1 km), Rauret (5,4 km), Naussac (5,9 km), Langogne (6,1 km), Saint-Paul-de-Tartas (6,2 km), Landos (7,0 km), LespĂ©ron (7,4 km).

    Communes limitrophes de Saint-Étienne-du-Vigan[4]
    Landos
    Rauret Saint-Étienne-du-Vigan Saint-Paul-de-Tartas
    Naussac-Fontanes
    (Lozère)
    Pradelles

    Hydrographie

    L'Allier borde le sud de la commune et fait la limite départementale.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Étienne-du-Vigan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [5] - [I 2] - [6]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3] - [I 4].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,8 %), prairies (38,2 %), forêts (11,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 121, alors qu'il Ă©tait de 117 en 2013 et de 118 en 2008[I 5].

    Parmi ces logements, 41,6 % étaient des résidences principales, 49,1 % des résidences secondaires et 9,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 6].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Étienne-du-Vigan en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (49,1 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,9 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].

    Le logement à Saint-Étienne-du-Vigan en 2018.
    Typologie Saint-Étienne-du-Vigan[I 5] Haute-Loire[I 8] France entière[I 9]
    RĂ©sidences principales (en %) 41,6 71,5 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 49,1 16,1 9,7
    Logements vacants (en %) 9,3 12,4 8,2

    Toponymie

    Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Vigan-d'Allier[8].

    Histoire

    Ancien barrage

    A hauteur de la commune, l'Allier supĂ©rieur Ă©tait barrĂ© par un barrage de près de 12 m de haut, construit en 1895 pour notamment produire de l'hydroĂ©lectricitĂ©, dont l'Ă©clairage, pour la ville de Langogne (Lozère.

    En l'absence de passe Ă  poisson, et trop haut pour ĂŞtre franchi, ce barrage a empĂŞchĂ© les saumons de remonter vers l'amont durant plus d'un siècle[9]. Pour rĂ©tablir la continuitĂ© Ă©cologique de cette rivière pour les saumons, le , l'ancien barrage EDF de Saint-Étienne-du-Vigan (sur l'Allier supĂ©rieur) a Ă©tĂ© dĂ©truit par explosifs, dans le cadre de la renaturation de la Loire (Plan Loire Grandeur Nature). C'Ă©tait le premier barrage dĂ©truit en France pour cette raison. Les saumons peuvent ainsi rejoindre une trentaine d'hectares des frayères utiles pour le bassin de la Loire. La retenue avait Ă©tĂ© vidĂ©e en 1997, en profitant d'une crue de 80 m3/s pour diluer la grande quantitĂ© de sĂ©diments (a priori non polluĂ©s ou peu polluĂ©s) accumulĂ©s dans la retenue. Le cout prĂ©vu de l'opĂ©ration Ă©tait d'environ 14 millions de francs, dont 7,2 en mesures d'accompagnement visant Ă  dĂ©velopper des alternatives Ă  la disparition de la taxe professionnelle versĂ©e par EDF Ă  la commune, et pour valoriser le saumon et le site. Dans le mĂŞme contexte, un autre barrage a Ă©tĂ© dĂ©truit, celui de Maisons-rouges sur la Vienne (barrage de m de haut et 800 ha de plan d'eau qui ont ennoyĂ© les anciennes frayères Ă  saumon)[10] - [11].

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune de Saint-Étienne-du-Vigan est membre de la communauté de communes des Pays de Cayres et de Pradelles[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Costaros. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[12].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Velay volcanique pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[13].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1959 juin 1995 René Saby DVD agriculteur
    juin 1995 2020 Didier Saby DVD agriculteur
    2020 En cours Alain Enjolras[14]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].

    En 2020, la commune comptait 96 habitants[Note 4], en diminution de 4,95 % par rapport Ă  2014 (Haute-Loire : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    200361510420451374425454436
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    480390423396436469472461508
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    515683506450420422377333253
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    235228194134110110114123113
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1019896------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee Ă  partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 21,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 40,8 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 51 hommes pour 48 femmes, soit un taux de 51,52 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 11]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    2,0
    90 ou +
    4,2
    8,0
    75-89 ans
    16,7
    32,0
    60-74 ans
    18,8
    24,0
    45-59 ans
    33,3
    8,0
    30-44 ans
    10,4
    12,0
    15-29 ans
    8,3
    14,0
    0-14 ans
    8,3
    Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2018 en pourcentage[I 12]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2,4
    8
    75-89 ans
    11,6
    19,7
    60-74 ans
    19,6
    21,6
    45-59 ans
    20,5
    17,2
    30-44 ans
    16,4
    15,3
    15-29 ans
    13,4
    17,4
    0-14 ans
    16,1

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂ´mage
    Division200820132018
    Commune[I 13]1,6 %3,8 %11,7 %
    DĂ©partement[I 14]6,3 %7,7 %7,7 %
    France entière[I 15]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lève Ă  61 personnes, parmi lesquelles on compte 63,3 % d'actifs (51,7 % ayant un emploi et 11,7 % de chĂ´meurs) et 36,7 % d'inactifs[Note 5] - [I 13]. En 2018, le taux de chĂ´mage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement et de la France, alors qu'en 2008 la situation Ă©tait inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2] - [I 16]. Elle compte 24 emplois en 2018, contre 20 en 2013 et 24 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 33, soit un indicateur de concentration d'emploi de 72,6 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 46 %[I 17].

    Sur ces 33 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 20 travaillent dans la commune, soit 61 % des habitants[I 18]. Pour se rendre au travail, 57,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 21,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 21,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 19].

    Culture locale et patrimoine

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Saint-Étienne-du-Vigan » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Étienne-du-Vigan » (consulté le ).
    6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Étienne-du-Vigan - Section LOG T2 » (consulté le ).
    7. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Étienne-du-Vigan - Section LOG T7 » (consulté le ).
    8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
    9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    10. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Saint-Étienne-du-Vigan » (consulté le ).
    11. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Étienne-du-Vigan (43180) », (consulté le ).
    12. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
    13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Étienne-du-Vigan » (consulté le ).
    14. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
    15. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    17. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Étienne-du-Vigan » (consulté le ).
    18. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    19. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Étienne-du-Vigan et Le Puy-en-Velay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Étienne-du-Vigan et Cussac-sur-Loire », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Saint-Étienne-du-Vigan », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Carte IGN sous GĂ©oportail
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Étienne-du-Vigan », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    9. Bachelier R., 1964, L’Histoire du saumon en Loire, Bull. Fr. Pêche Pisc., p. 211, 212 & 213.
    10. Source : Colloque Ouvrages hydrauliques Intervention de Jean-René MALAVOI, Géomorphologue du pôle CEMAGREF/ONEMA de Lyon, spécialiste des ouvrages hydrauliques, des impacts et solutions « pour des rivières vivantes » Vidéo présentant l'intégralité de la communication, consulté 2011-08-23
    11. Page sur l'effacement des barrages, consulté 2011-08-23
    12. « communauté de communes des Pays de Cayres et de Pradelles - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    13. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    14. « Liste des maires » [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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