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Ronan Le Bars

Ronan Le Bars, né le à Guingamp dans les Côtes-d'Armor, est un musicien français de culture bretonne, réputé pour sa virtuosité aux uilleann pipes, à la cornemuse et au low whistle.

Ronan Le Bars
Description de cette image, également commentée ci-après
Informations générales
Naissance
CĂ´tes-d'Armor, Bretagne
Activité principale musicien (sonneur)
Genre musical musique bretonne, musique celtique
Instruments cornemuse, uilleann pipes, low whistle
Années actives Depuis la fin des années 1980
Labels Coop Breizh
Influences musique irlandaise
Site officiel site officiel

Il participe aux grandes formations bretonnes comme L'Héritage des Celtes, The Celtic Social Club, An Tour-Tan, Celtictales, Celtic Procession, Pennoù Skoulm, Glaz. Il travaille notamment avec les plus grands artistes bretons ; Alan Stivell, Dan Ar Braz, Gilles Servat, Denez Prigent, Red Cardell, Gabriel Yacoub, Soïg Sibéril, Didier Squiban, Manu Lann-Huel, Jacques Pellen, les frères Boclé. Il est également présent sur les albums de Deep Forest, Johnny Hallyday, Claude Nougaro, Renaud, Yann Tiersen, Stephan Eicher, Michel Polnareff...

Ronan Le Bars est Chevalier des Arts et des Lettres.

Biographie

Les Uilleann pipes

Ronan Le Bars est né dans une famille de musiciens. Son père, Adolphe Le Bars, a joué de la cornemuse écossaise au Bagad Sonerien Bro Dreger de Perros-Guirec[1]. Malgré cela ses parents se sont opposés à ce qu'il devienne très tôt musicien[2]. Il découvre à l'âge de huit ans la cornemuse écossaise et commence son apprentissage et sa pratique au sein du bagad de Guingamp[3]. À l'âge de seize ans, en écoutant After the break du groupe irlandais Planxty, lui vient une révélation sonore[4]. Fasciné par l'instrument joué par le piper Liam O'Flynn, il se confectionne une cornemuse irlandaise, les uilleann pipes, à partir de pièces de Robby Hugues, luthier à Belfast[1]. C'est un coup de cœur pour cet instrument dont il en joue en autodidacte avec un talent atypique. Les enseignements apportés lors d'un stage par Patrick Molard pour la cornemuse lui permettent d'appliquer sa technique à la sensibilité des uillean pipes. Il a pour modèles irlandais des grands maîtres du uillean-pipes, de Paddy Keenan à Davy Spillane, le poète Seamus Hennis, Willy Clancy ou encore Léo Rowsome[1].

PennoĂą Skoulm

À 18 ans, il intègre le Bagad de Lann-Bihoué et y effectue son service militaire en 1990[5]. De retour, il travaille au palais des congrès de Trégastel et joue le soir dans les bars. Au contact des autres musiciens, il multiplie les sessions irlandaises, à Berhet notamment, qui lui permettent d'élaborer son propre style[1]. À la fin des années 1980, il forme alors le groupe Maogan avec Yvon Riou à la guitare et Alain Defer aux percussions (bodhran). C'est là qu'il se fait connaitre grâce à un premier enregistrement avec son trio, qui puise à la fois dans le répertoire irlandais et dans le fond breton[1]. Et en 1990 il entre au sein du groupe de musique à danser Pennoù Skoulm, aux côtés de Jean-Michel Veillon (flûtes), Soïg Sibéril (guitare), Jacky Molard et Christian Lemaître (violons).

L'HĂ©ritage des Celtes

Contacté en 1989 par le guitariste breton Dan Ar Braz, il participe à Rêves de Siam, la bande originale du film d'Olivier Bourbeillon sorti en 1992, utilisant la cornemuse de Yann Ar Bars[6], entouré de Maartin Allcock et John Kirkpatrick[7]. Il joue en 1992 avec groupe de rock celtique Glaz pour l'album Excalibur et il participe la même année à la création Le Fleuve du chanteur Gilles Servat sur l'album et le spectacle (Tombées de la Nuit à Rennes). Toujours en 1992, il entre au sein de L'Héritage des Celtes, la grande formation de Dan Ar Braz. Il côtoie les musiciens Celtes et connait le succès grand public[5].

Eurovision

En 1993 il collabore sur un projet de musique fusion, Keltic Tales (« Contes celtiques »), avec les frères Gildas et Jean-Baptiste Boclé, jazzmen réputés. Entre jazz, rock et musique traditionnelle bretonne, ils enregistrent trois albums : Celtic Tales en 1997, Pas an Dour en 2000 et enfin Crossfields en 2011 En 1994, il enregistre sur l'album Les Iles de Manu Lann-Huel. Il rencontre le pianiste Didier Squiban et participe à son groupe An TourTan en 1995 et à Penn Ar Bed, un album enregistré pour l’événement maritime Brest 96. Il participation aussi au concours de l'Eurovision à Oslo avec Dan Ar Braz[5].

Celtic Procession

Duo avec Nicolas Quemener (ici en 2016).

En 1996 il entre dans la formation Celtic Procession du guitariste Jacques Pellen. Il sort en 1997 un album, Bímís Ag Ol ("Buvons ensemble"), sous la direction artistique de Didier Squiban. La rencontre avec le guitariste Nicolas Quemener se concrétise fin 1996 pour l’enregistrement de l’album. Ensemble, ils créent un duo[8]. Il fait la connaissance en 1999 du producteur Hughes de Courson pour l'enregistrement de l'album Songs of innocence qui sera suivi de O'Stravaganza, où la musique celte rencontre celle de Vivaldi. Avec Celtic Procession il enregistre un CD en public au festival des Tombées de la Nuit 2000[9].

Il collabore avec Stefan Eicher pour l'enregistrement de l'album Louanges, en 1999, suivi d'une tournée avec des musiciens internationaux, des Vieilles Charrues[10] jusqu'en Allemagne et en Suisse pour une soixantaine de dates mais aussi une semaine à l'Olympia[11]. Il est amené à retravailler avec Eicher, sur Hotel's en 2001[12], sur un titre avec Les Enfoirés[11], au festival de Cornouaille 2004[13]...

Stade de France

En 2000 il joue pour Claude Nougaro et participe Ă  l'album L'Ile HĂ©lène[14], chanson qui touche le public du festival des Vieilles Charrues en 2001 au son de la cornemuse[15]. Il enregistre sur l'album :Y: de Gabriel Yacoub en 2001, sur O'Stravaganza pour le projet de Hugues De Courson et Youenn Le Berre rĂ©unissant musiciens classiques et traditionnels et sur Au-delĂ  des mots d'Alan Stivell[16]. Il fait la rencontre de Yann Tiersen et participe Ă  l'enregistrement en public du double album C'Ă©tait ici en Ă  la CitĂ© de la musique[17] puis l'accompagne en tournĂ©e[7]. En , avec Dan Ar Braz et une bonne partie de l’équipe de l’HĂ©ritage des Celtes (Carlos Núñez, Denez Prigent, Didier Squiban, Gilles Le Bigot, Bagad Kemper, etc.) il donne deux concerts au Stade de France, Ă  l’occasion de la FĂŞte de la Saint-Patrick. La Nuit Celtique (sortie en DVD) rĂ©unit en deux soirs plus de 90 000 spectateurs, avec plus de 600 artistes[18].

Reconnaissance

Ronan Le Bars au festival de Cornouaille 2016.

En 2003, appelé par l'arrangeur rennais Yvan Cassar, il enregistre de la flûte sur l'album À la vie, à la mort de Johnny Hallyday[12]. Il apporte également des sonorités celtiques sur les albums des chanteuses, Hélène Ségara et Isabelle Boulay[12]. Il retrouve Dan Ar Braz, qui collabore avec Jean-Jacques Goldman, pour l'album À toi et ceux[19]. Il intervient sur la tournée du chanteur-compositeur Renaud. En 2004, il rencontre en studio le groupe Deep Forest qui l'invite sur leur album[12] et il accompagne Dan Ar Braz en tournée. Après avoir enregistré sur l'album Yacoub, il joue avec Gabriel Yacoub lors de doubles concerts à Quimper, en , et [20].

Collaborations

En 2005, il enregistre l'album New Century avec Nicolas Quemener, auquel participe Ciaran Tourish au violon. Il accompagne Gwendal (album War-raog)[21] au festival de la Saint-Loup et Amadou et Mariam au festival des Vieilles Charrues[22]. En 2006, il joue sur l'album du chanteur Renaud Rouge Sang et participe à sa tournée française (Tournée Rouge Sang), passant par les salles parisiennes, mais aussi dans les festivals (Terre-Neuvas en Bretagne) et en Belgique pour un concert de soutien à Ingrid Betancourt[23]. Il joue au festival de la Saint-Loup et pour la Nuit de la Saint-Patrick à Bercy en 2007. En 2008, il participe à la création de Didier Lockwood intitulée Passeport pour un violon et à l'album Le Banquet de cristal de Red Cardell[24]. En sort l'album intitulé Trinkan avec Pennoù Skoulm. Il joue en concerts avec Pennoù Skoulm qui invite Andy Irvine (Paris, Carhaix, Festival interceltique de Lorient)[25]. Il accompagne Dan Ar Braz sur quelques dates. En 2011 il rejoue avec les Boclé Brothers (Keltic Tales, formation de musique jazz-irlandaise-bretonne), sur leur album Crossfields (avec Manu Katché, Canut Reyes des Gipsy Kings, Rodney Holmes) et au festival de Glasgow notamment[26]. Le il joue pour les 25 ans de scène du groupe Altan[27].

Ronan Le Bars Group

Le groupe Ă  la Nuit de la Bretagne 2014 au parc Lango Ă  Morlaix.

2012 voit la formation du premier collectif sous son nom avec 4 musiciens de renom, à la demande du festival Kann Al Loar[28]. Le spectacle, qui allie la musique bretonne à danser au uilleann pipe est également joué en juillet au festival de Cornouaille[29]. L'agence Lenn Production de Jean-Philippe Mauras travaille au développement de ce projet[30].

L'album qui en dĂ©coule, intitulĂ© Lammdour, sort en , suivi par plusieurs concerts l'Ă©tĂ©, dont la première partie de Clannad au Festival interceltique de Lorient[31] et celle de Catherine Lara au festival de la Saint-Loup[32]. Ronan Le Bars Group participe aux diffĂ©rentes Nuits de la Bretagne (Morlaix, Paris-Bercy, ZĂ©nith de Nantes)[33] ainsi qu'un concert au Old Fruitmarket de Glasgow pour Celtic Connections[34].

Fin 2015 voit l'enregistrement d'un second album, initialement appelé Tro Breizh, avec Robert Le Gall aux arrangements des morceaux avec orchestre. Le , An Erc'h Kentañ - The first snow sort chez Coop Breizh, avant une nouvelle série de concerts.

Il dévoile le le premier extrait de son nouvel album Strink Mor (Paker Prod). Dans ce premier titre Breton Man in New York, Ronan Le Bars s'inspire librement et rend hommage subtilement au célèbre English Man in New York de Sting.

En , l'album Strink Mor (Paker Prod) sort dans les bacs[35] ainsi qu'un clip Ă©ponyme en [36].

Collectifs de musiques celtiques

Ronan Le Bars et le bagad Kemper avec Dan Ar Braz au festival de Cornouaille 2013

Ronan Le Bars participe avec Dan Ar Braz à l'album Celebration et au spectacle qui suit, dont la première a lieu pour le festival interceltique de Lorient 2012, et qui se poursuit jusqu'en 2013, passant par les Zéniths lors des Nuits de la Bretagne, les festivals bretons et français[37] et les scènes étrangères (Allemagne).

Accompagnant aussi régulièrement sur scène Red Cardell lors de leur tournée Falling in Love, en 2012, il est présent en Bretagne et aux Francofolies et puis en fin d'année, à Toulouse, St-Etienne, Belfort et Paris à La Boule noire où il participe à l'enregistrement de l'album live Running in Paris, sorti en [38]. Il accompagne le groupe jusqu'en 2015. En 2014, le sonneur rejoint une nouvelle création, The Celtic Social Club, initiée et dirigée par Manu Masko de Red Cardell, regroupant sept musiciens autour de musiques celtiques réarrangées[39]. Il s'agit de la création de l'année du festival des Vieilles Charrues présentée le après la prestation de Tinariwen et avant celle d'Elton John[40]. Keltia Musique produit un album studio puis un live enregistré à New-York et Caramba spectacles organise une tournée en 2015, passant par plusieurs festivals[41]. Le , le groupe se rend à Central Park pour un concert exceptionnel à l'occasion des 25 ans des Vieilles Charrues[42].

En , il enregistre pour le nouvel album de Michel Polnareff aux studios ICP à Bruxelles[43]. En , il rejoue au festival de Cornouaille avec en invité son ami Stefan Eicher qui dit de lui : « Quel musicien ! Il y a des musiciens qui m’énervent. Et Ronan en fait partie. Ils m’énervent par ce don qu’ils ont reçu et ce qu’ils en ont fait. »[44].

À l'occasion des 30 ans du groupe irlandais Altan, une création voit le jour début 2017 à Rennes : « Altan & Breton Guests ». Ronan Le Bars participe à la tournée qui suit, dont une date au festival interceltique de Lorient 2017, jusqu'en 2018[45]. En 2018, il enregistre en studio pour les nouveaux albums des chanteurs Michel Polnareff et Denez Prigent, de la harpiste Cécile Corbel ainsi que du violoniste de jazz Didier Lockwood, un mois avant son décès[46]. Le , Ronan Le Bars est nommé chevalier des Arts et des Lettres[47] et reçoit sa médaille par le député des Côtes-d’Armor Yannick Kerlogot le [48]. À partir de 2018, il réalise plusieurs concerts pour la « Nuit des étoiles celtiques » qui réunit également Gilles Servat, Cécile Corbel et Gwennyn[49].

Discographie

Au uilleann pipe avec Celebration de Dan Ar Braz lors des 90 ans du festival de Cornouaille en 2013.

Ronan Le Bars Group

En duo avec Nicolas Quemener

Avec Dan Ar Braz

Avec The Celtic Social Club

Autres participations

Compilations

Notes et références

  1. Jigourel 2011, p. 107
  2. Il a dû passer un BEP et CAP de peintre en décoration d'intérieur. P.H.A.R.E Classes Presse
  3. Convenant 1996, p. 23
  4. Interview sur Divroet
  5. « Musique. Une cornemuse venue d'ailleurs... », Le Telegramme,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. « Nécrologie : Yann Ar Bars, sonneur de plinn », sur saint-brieuc.maville.com (consulté le )
  7. Karine Gaonac'h, « Ronan Le Bars : de Dan Ar Braz à Hallyday », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  8. Ronan Le Bars / Nicolas Quéméner / Ronan Pellen
  9. Hervé Gauville, « France-Musiques. Xavier Prévost propose, en direct et en public, un concert de Celtic Procession. », L'Express,‎
  10. kervador22, « Vieilles Charrues 1999 Stephan Eicher chante La riviere », sur Youtube, (consulté le )
  11. « Ronan Le Bars se souvient de ses rencontres avec Eicher », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  12. Gildas Jaffré, « Ronan Le Bars, itinéraire d'un uilleann piper », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  13. « Stephan Eicher. « Je n'ai pas de racines » », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  14. Véronique MORTAIGNE, « Claude Nougaro : chanteur français, diseur de mots, jongleur de rythmese », Le Monde,‎
  15. Patrick Labesse, « Les Vieilles Charrues confirment leur succès, avec près de 200 000 spectateurs », Le Monde,‎
  16. Guy Pellen, « « Au-delà des mots » : histoire sans parole d'Alan Stivell », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  17. Bertrand Dicale, « Yann Tiersen élargit l'écran », Le Monde,‎
  18. Bertrand Dicale, « Nuits celtiques, du triomphe à l'envol », Le Figaro,‎
  19. « Dan Ar Braz Nouvel album : « A toi et ceux » », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  20. « La double auréole de l'ange Gabriel », Ouest-France,‎ , p. 4
  21. Bouziane DAOUDI, « World. Gwendal : War-raog », Libération,‎ , p. 11
  22. Erwan Louyer, Amadou et Mariam - Festival Les Vieilles Charrues 2005, volubilis.net
  23. « Festival des Terre-Neuvas Renaud parmi une constellation de stars », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  24. Gérard Classe, « « Banquet de Cristal ». Le Red Cardell des 15 ans », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  25. « Espace Marine. Pennoù Skoulm invite l'Irlande », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  26. « Une cornemuse venue d'ailleurs... », Le Télégramme,
  27. « Glenmor. Un frais parfum d'Irlande », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  28. « Le Ronan Le Bars Group au Kann Al Loar », Ouest-France,‎
  29. François-Xavier Gomez, « Le Cornouaille, bombardes à bloc », Libération,‎ , p. 18 (lire en ligne)
  30. « Ronan Le Bars », sur lennproduction.fr (consulté le )
  31. Éric Rannou, « Musique.Pas de vacances pour Ronan Le Bars », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  32. Bastien Pyz, « Catherine Lara. « Nuit magique » à la Saint-Loup », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  33. Jean-Laurent Bras, « Nuit de Breizh : Bercy avant Nantes le 1er février », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  34. « Uilleann pipe. Le virtuose Ronan Le Bars sur la scène du Vauban », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  35. Christian Gouerou, « Il y a du Chopin chez Ronan Le Bars », sur Ouest-France,
  36. Liza Mell, « Parzh Ar Strink Mor », sur YouTube,
  37. François-Xavier Gomez, « Dan Ar Braz, bain de Celtes à Quimper », Libération,‎ , p. 22 (lire en ligne)
  38. « Red Cardell sort un nouvel album live », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  39. « Celtic Social Club. Sept mercenaires libèrent la musique celtique ! », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  40. « Vieilles charrues. The Celtic social club, nouvelle création musicale », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  41. Laurent Carpentier, « Reportage. La musique traditionnelle par coefficient 103 », Le Monde,‎ , p. 15 (lire en ligne)
  42. « Concert des Vieilles Charrues à New York : un petit bout de Bretagne à Central Park », Europe 1,‎ (lire en ligne, consulté le )
  43. Erwann Hirel, « Interview. Prix de groupe pour Ronan Le Bars », Le Trégor,‎ (lire en ligne).
  44. Benoît Tréhorel, « Stephan Eicher. « Molène, la plus grande peur de ma vie » », sur Le Telegramme, (consulté le )
  45. Léa Duperrin, « Interceltique de Lorient. Altan enchante le public en gaélique », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  46. Loïc Tissot, « Le uilleann pipe, instrument roi avec Ronan Le Bars », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. « Nomination dans l'ordre des Arts et des Lettres mars 2018 - Ministère de la Culture », sur www.culture.gouv.fr (consulté le )
  48. « Guingamp. Ronan Le Bars, ambassadeur de la culture bretonne », Ouest-France.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  49. « Nuit des étoiles celtiques. De Servat à Gwennyn », sur Le Telegramme, (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • Didier Convenant, La musique celtique : Bretagne, Irlande, Écosse, Pays de Galles, Cornouailles, Asturies, Galice, ĂŽle de Man, Paris, Hors Collection, , 76 p. (ISBN 2-258-04446-4), p. 23
  • Thierry Jigourel, Cornemuses de Bretagne, Ă©ditions CPE, , « Ronan Le Bars, virtuose du uillean-pipes », p. 107-108
  • Daniel Morvan (photogr. Bernard GalĂ©ron), Bretagne, Terre de musiques, e-novation, , 144 p. (ISBN 978-2-9516936-0-9), « Sonner (son) : Les maĂ®tres de cĂ©rĂ©monie. Ronan Le Bars, l'Ă©bène et l'argent », p. 29

Liens externes

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