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Rivehaute

Rivehaute (en béarnais Ribahauta ou Ribehaute) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Rivehaute
Rivehaute
L'Ă©glise de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Marcel Montegut
2020-2026
Code postal 64190
Code commune 64466
DĂ©mographie
Gentilé Ribaltars
Population
municipale
270 hab. (2020 en augmentation de 5,88 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 32 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 20â€Č 40″ nord, 0° 52â€Č 42″ ouest
Altitude Min. 79 m
Max. 212 m
Superficie 8,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du CƓur de BĂ©arn
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Rivehaute
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Rivehaute
Liens
Site web http://www.rivehaute.com

    Le gentilé est Ribaltar[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Rivehaute se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe Ă  56 km par la route[Note 1] de Pau[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  36 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-prĂ©fecture, et Ă  30 km de Mourenx[5], bureau centralisateur du canton du CƓur de BĂ©arn dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Sauveterre-de-BĂ©arn[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Gestas (0,9 km), Nabas (1,4 km), Tabaille-Usquain (1,9 km), Charre (3,2 km), Espiute (3,4 km), Tabaille-Usquain (3,8 km), Aroue-Ithorots-OlhaĂŻby (4,2 km), Lichos (4,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Rivehaute fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un État et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă  laquelle s’oppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[7].

    Communes limitrophes de Rivehaute[8]
    Gestas Montfort
    Nabas Rivehaute Araujuzon
    Charre

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Rivehaute.

    La commune est drainĂ©e par le Saison, l'Apaure, un bras du Saison, le ruisseau de BĂ©dat, le ruisseau de la MousquĂšre, le ruisseau de Larrunduigt, le ruisseau de Sabalot, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 12 km de longueur totale[9] - [Carte 1].

    Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron Ă  Autevielle-Saint-Martin-Bideren, aprĂšs avoir traversĂ© 31 communes[10].

    L'Apaure, d'une longueur totale de 11,2 km, prend sa source dans la commune d'Arrast-Larrebieu et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Saison Ă  Nabas, aprĂšs avoir traversĂ© 5 communes[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[13].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 278 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[15] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[16] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Gladie », sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein, mise en service en 1986[17] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[18] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 293,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[19]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă  37 km[20], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[21], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[22], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[23].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[25], d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de trĂšs bonne qualitĂ© Ă  salmonidĂ©s[26] - [Carte 2].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensĂ©e sur la commune[27] - [Carte 3] : le « rĂ©seau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Rivehaute est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [29] - [30] - [31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32] - [33].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (60,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (60,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (32,9 %), terres arables (31,5 %), prairies (17,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (11,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,5 %), zones urbanisĂ©es (3,2 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 4].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Rivehaute est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[35]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[36].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le Saison et l'Apaure. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1998, 2007, 2008, 2009 et 2018[37] - [35].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rivehaute.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[38]. 81,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [39].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Rivehaute apparaßt[40] sous les formes Ecclesia de Aribalda et Sancta-Maria de Arribalte (respectivement XIe et XIIe siÚcles, cartulaire de Sorde[41]), Arribalda (XIIe siÚcle, collection Duchesne volume CXIV[42]), Arribaute (1323, cartulaire d'Orthez[43]), Ribaute (1385, censier de Béarn[44]), Arribauta, Arribahauta, Ribahaute et Ribe-Aute (respectivement 1538, 1540 et 1548 pour les deux derniers, réformation de Béarn[45]) et Nostre-Dame de Rivehaute (1656, insinuations du diocÚse d'Oloron[46]).

    Signification

    « La rive haute » (sans doute la rive la plus escarpée d'un cours d'eau).

    Graphie béarnaise

    Son nom béarnais est Ribahauta[47] ou Ribehaute[48] (Rivehaute en français).

    Histoire

    Paul Raymond[40] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
    En 1385, Rivehaute comptait 26 feux et dépendait du bailliage de Sauveterre.

    Parmi les seigneurs de Rive-Haute, on connaĂźt Jean de Rive-Haute (seigneur de Rive-Haute et de LadevĂšze en RiviĂšre vers 1350).

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 2001 Jean Mulas DVG
    2001 En cours Marcel Montegut

    Intercommunalité

    La commune fait partie de six structures intercommunales[49] :

    • la CommunautĂ© de communes du BĂ©arn des Gaves ;
    • le syndicat AEP du pays de Soule ;
    • le syndicat d’énergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat de la perception de Navarrenx ;
    • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys ;
    • le syndicat mixte forestier des chĂȘnaies des vallĂ©es basques et bĂ©arnaises.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[51].

    En 2020, la commune comptait 270 habitants[Note 10], en augmentation de 5,88 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    364337385378436457448412414
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    365392390393410412414398405
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    393457410345314305290256248
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    255259250250230237232231250
    2018 2020 - - - - - - -
    264270-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee Ă  partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'activité est principalement agricole (élevage, pùturages, polyculture). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Le cimetiĂšre.

    FĂȘte communale vers le 15 aoĂ»t.

    Club de football, avec tournoi de poussins et benjamins en mai.

    Patrimoine civil

    Appréciée par la noblesse de Pau et de Bayonne qui y fit édifier plusieurs résidences secondaires, la commune présente plusieurs belles demeures autour de l'église.

    Patrimoine religieux

    L'Ă©glise de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie date[54] du XIXe siĂšcle.

    Équipements

    Sports

    Le village dispose d'un complexe sportif regroupant trois terrains dont dispose le club de football local Rivehaute Sport[55].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[14].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[24].
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Rivehaute » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Rivehaute », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Rivehaute », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. « Métadonnées de la commune de Rivehaute », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Rivehaute et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Rivehaute et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Rivehaute et Mourenx », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Rivehaute », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    8. Carte IGN sous GĂ©oportail
    9. « Fiche communale de Rivehaute », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    10. Sandre, « le Saison ».
    11. Sandre, « l'Apaure ».
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    13. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    14. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    15. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    16. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Saint-Gladie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Rivehaute et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Saint-Gladie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Rivehaute et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Rivehaute », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « site Natura 2000 FR7200790 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Liste des ZNIEFF de la commune de Rivehaute », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
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    37. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    38. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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    40. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
    41. Cartulaire de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
    42. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothÚque impériale - BibliothÚque nationale de France
    43. Cartulaire d'Orthez, dit Martinet, manuscrit du XIVe au XVIIe siĂšcle - Archives de la mairie d'Orthez
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