Rhinau
Rhinau (prononcĂ© [Êino] ; RhinĂ i en alsacien, Rheinau en Allemand[Note 1]) est une commune française situĂ©e dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la CollectivitĂ© europĂ©enne d'Alsace, en rĂ©gion Grand Est.
Rhinau | |
Vue du Brunwasser et de la place Jehl | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | SĂ©lestat-Erstein |
Intercommunalité | Communauté de communes du Canton d'Erstein |
Maire Mandat |
Marianne Horny-Gonier 2020-2026 |
Code postal | 67860 |
Code commune | 67397 |
DĂ©mographie | |
Population municipale |
2 651 hab. (2020 ) |
Densité | 153 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 48° 19âČ 13âł nord, 7° 42âČ 12âł est |
Altitude | Min. 155 m Max. 166 m |
Superficie | 17,35 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Rhinau (ville-centre) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton d'Erstein |
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription |
Localisation | |
Elle a la particularité d'avoir une partie de son territoire communal situé en Allemagne qui forme le secteur non constitué en municipalité de Rhinau.
Son nom signifie "Die Aue am Rhein" : la prairie au bord du Rhin. La localitĂ© se situe dans le Grand Ried dont la vĂ©gĂ©tation se compose de prairies et de forĂȘts. La rĂ©gion est entiĂšrement situĂ©e dans la plaine actuelle du Rhin composĂ©e d'alluvions rĂ©centes.
GĂ©ographie
La ville de Rhinau est situĂ©e sur le Rhin Ă 30 km au sud de Strasbourg. Sa particularitĂ© remarquable est d'avoir 994 hectares de son territoire situĂ©s sur la rive droite du Rhin, Ă savoir en Allemagne comme territoire hors commune dans l'arrondissement de l'Ortenau. Ces 994 hectares sont donc de jure sous souverainetĂ© allemande, mais de facto, l'exploitation en est faite par la commune de Rhinau. Cette particularitĂ© est due Ă une divagation du fleuve datant de 1541 qui a Ă©tĂ© ancrĂ©e dans l'histoire Ă la signature Ă MĂŒnster du traitĂ© de Westphalie qui mit fin, en 1648, Ă la guerre de Trente Ans.
Rhinau fait partie du canton d'Erstein et de l'arrondissement de SĂ©lestat-Erstein. Les habitants sont appelĂ©s les Rhinois. La continuitĂ© du territoire de la commune est assurĂ©e par son bac « Rhenanus » qui donne accĂšs, depuis la rive française, Ă une des plus belles rĂ©serves naturelles de prĂ©servation des paysages de ried et de forĂȘt tunnel tempĂ©rĂ©e.
Rhinau est une étape sur la Véloroute Rhin EV 15 (1 320 km) qui relie la source du Rhin, située à Andermatt en Suisse, à son embouchure à Rotterdam.
Daubensand | Le Rhin Schwanau (de) | |||
Boofzheim Friesenheim |
N | Le Rhin Kappel-Grafenhausen (de) | ||
O Rhinau E | ||||
S | ||||
Diebolsheim | Sundhouse | Le Rhin Rust (de) |
- Mairie en 2009.
- Mairie actuelle (rénovée).
Cours d'eau
- Le Rhin ;
- le Brunnwasser.
Urbanisme
Typologie
Rhinau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rhinau, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[4] et 4 079 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5] - [6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7] - [8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (37,8 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (38,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (31,1 %), terres arables (28,1 %), eaux continentales[Note 4] (21,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,7 %), zones urbanisĂ©es (8,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,5 %)[9].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[10].
Toponymie
Le second élément -au est un appellatif signifiant « pré (ou prairie) humide, prairie inondable »[11] (voir Haguenau : Toponymie).
Histoire
Avant 1398, le village de Rhinau Ă©tait situĂ© sur les bords mĂȘme du Rhin. La ville actuelle ne date que du XVIe siĂšcle. Ă cette Ă©poque le bourg fut peu Ă peu submergĂ© par le Rhin[12]. Pour Ă©viter que cela ne se reproduise, on le reconstruisit plus Ă l'intĂ©rieur des terres, sur son site actuel. Pourtant Ă©loignĂ© du Rhin dĂ©sormais, il a conservĂ© son nom original mĂȘme si le sens n'est plus vrai. En 1267 Rhinau fit un traitĂ© d'alliance avec la ville de Strasbourg. En 1290, l'Ă©vĂȘque de Strasbourg transfĂ©ra Ă Rhinau le chapitre de Honau et lui confĂ©ra la plĂ©nitude des droits sur Rhinau, sans prĂ©judice pour le recteur de l'Ă©glise paroissiale. En 1398 le chapitre, que la violence du Rhin avait dĂ©jĂ chassĂ© de Honau, fut obligĂ© de quitter Rhinau pour le mĂȘme motif et fut transfĂ©rĂ© dans l'Ă©glise de Saint-Pierre-le-Vieux de Strasbourg. En 1444, les habitants de Rhinau se dĂ©fendirent vaillamment contre les Armagnacs. En 1592, la « Guerre des Ă©vĂȘques » bat son plein. 2500 Suisses, essentiellement des Bernois et des ZĂŒrichois, arrivent en renfort des troupes du magistrat protestant de Strasbourg. Elles attaquent les troupes du catholique duc de Lorraine. Le , sept compagnies de lansquenets sont lancĂ©es sur les positions lorraines Ă Erstein. Au passage, ils incendient Fegersheim et Rhinau. En 1610 Rhinau fut incendiĂ© par les troupes de l'Union. Par suite du traitĂ© de Westphalie, ses fortifications furent dĂ©truites. Au XVIIIe siĂšcle, le chapitre comprenait les paroisses d'Artolsheim, Richtolsheim, Rosfelden (Rossfeld), Bindernheim, Diebolsheim, Eschau, Wibolsheim, Gerstheim, Obenheim, Herbsenheim (Herbsheim), HĂŒltzheim (Holtzheim), Illkirch, Mussig, Neunkirch, Friesenheim, Witternheim, Zelsheim[13], Plobsheim, Rhinau, Boofzheim, Sassenheim, SchĆnau, Sundhouse, Swabsheim (Schwobsheim), BĆsenbiesen, Wittisheim, Baldenheim, et Muttersholtz. Au mois de dĂ©cembre 1749, les eaux du fleuve, Ă©tant devenues extraordinairement basses, on put distinguer les restes de l'ancienne ville.
HĂ©raldique
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Les armes de Rhinau se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
Population d'ancien régime[17] : 1663, 122 ; 1720, 156 ; 1746, 216 ; 1750, 176 ; 1760, 311 ; 1763, 169 ; 1766, 169.
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[19].
En 2020, la commune comptait 2 651 habitants[Note 5], en diminution de 3,81 % par rapport Ă 2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Jumelages
Beaumont-du-PĂ©rigord (France) (Dordogne)
Rhinau Ă©galement une parrainage de la 4e Compagnie du 291e JĂ€gerbataillon de la Bundeswehr allemande Ă Illkirch-Graffenstaden.
Lieux et monuments
Ăglise Saint-Michel
- Eglise actuelle (construite en 1955)
- ChĆur gothique, vestige de l'ancienne Ă©glise du xvie siĂšcle dĂ©truite lors des combats de dĂ©cembre 1944
- ChĆur de l'Ă©glise actuelle
- Pierre angulaire
Colonne de la Vierge
Située entre l'office de tourisme et le bac, cette haute colonne dominée par une statue dorée de la Viergevest la « MariensÀule am Rhein ».
Le , vers 9 h du matin, Louis Hilsz, sa fille Marie-Anne et André Boehli naviguaient sur le Rhin, transportant une lourde cargaison de pierres. Le Rhin était assez violent ce jour et la barque, trop chargée, chavira. Les malheureux furent emportés par le courant et périrent noyés.
Toute la ville fut touchĂ©e par ce drame et dĂ©cida d'Ă©lever un monument Ă leur mĂ©moire. La Vierge, consolatrice de toute dĂ©tresse, fut prise pour symbole et le monument inaugurĂ© le . La colonne est taillĂ©e dans la pierre blanche de la rĂ©gion de Phalsbourg et imite la colonne de la Piazza di Spagna de Rome, elle est l'Ćuvre du sculpteur Feuerstein de Barr.
Un verset du prophÚte Isaïe est taillé dans le socle de la colonne : « Si tu passes à travers les eaux, je serai avec toi, à travers les fleuves, ils ne te submergeront pas ».
Bac automoteur transfrontalier
Bac de Rhinau approchant de la rive allemande.Bac automoteur transfrontalier entre la France et l'Allemagne.
C'est en 1491 que la ville a obtenu le droit d'exploiter un bac, par convention entre lâĂ©vĂȘque de Strasbourg et les seigneurs de Rathsamhausen. Par la suite, ce droit fut confirmĂ© par le roi de France.
Le Rhin était, avant sa canalisation, un fleuve puissant, capricieux, aux nombreux méandres. Lors d'une crue en 1541, il changea de lit en laissant sur sa rive droite une partie du territoire de Rhinau. Les limites territoriales ont été définitivement établies par traité en 1542. L'origine de la nécessité de ce bac automoteur est d'assurer l'exploitation des 994 ha de terres rhinoises situées sur la rive allemande (dont la plupart constituent aujourd'hui la réserve naturelle du Taubergiessen). De fait, le passage est prioritaire pour les engins agricoles en vue de cette exploitation. Il charge 30 voitures et fait une navette toutes les 15 min. Gratuit toute l'année. Il ne prend pas les véhicules d'un poids supérieur à 3,5 tonnes, excepté les engins agricoles. Longueur hors rampes : 53 m, longueur coque : 41 m, largeur : 12,5 m, tonnage : 80 t.
L'usine List
Elle fait partie des quelques rares vestiges de bĂątiments industriels allemands conservĂ©s dans la rĂ©gion. Il sâagit dâune usine construite entre 1941 et 1942 pour la firme dâĂ©lectrotechnique berlinoise Heinrich List.
- Vue depuis la rue de Boofzheim
- Vue depuis la rue de Daubensand
- Vue depuis la rue Saint-Avit-SĂ©nieur
Centrale hydroélectrique
La construction de la centrale hydraulique et du grand canal d'Alsace a eu pour conséquence l'apparition d'une ßle de 10 km de long comprise entre celui-ci et l'ancien cours du Rhin. La partie Sud de cette ßle a été classée réserve naturelle afin de prendre en compte l'exceptionnelle richesse faunique et floristique de ce site. AccÚs libre de la salle des machines depuis une passerelle d'exposition.
BérangÚre Abba annonce que les barrages de Rhinau et Marckolsheim seront équipés de passes à poisson, pour assurer la continuité écologique du Rhin[22].
- Ecluse de Rhinau.
- Inscription sur la centrale hydroélectrique de Rhinau.
- Centrale hydroélectrique de Rhinau.
Ăle de Rhinau
La rĂ©serve naturelle nationale de l'Ăźle de Rhinau (RNN106) est une rĂ©serve naturelle nationale dâAlsace ; elle a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1991 et occupe une superficie de 306,72 hectares.
Personnalités liées à la commune
- Jacques de Hochstatt : né à Rhinau, il commenta les livres de sentences et brilla en 1360 avec son ouvrage Lycosthenes in Elencho.
- Beatus Rhenanus : Ă©diteur, Ă©crivain, avocat humaniste. Une rue porte son nom Ă Rhinau.
- Ignace Jehl : deux fois maire, cultivateur, aubergiste et député sous la IIÚ République. Une place porte son nom à Rhinau[23].
- Alphonse Gilliot : né le à Erstein puis devenu maire de Rhinau.
- Maryse Hilsz : née en 1903 à Levallois-Perret, grande aviatrice française d'avant-guerre, elle avait de la parenté à Rhinau et y venait réguliÚrement en vacances. Son grand-pÚre avait dû quitter Rhinau aprÚs 1870 et travailla comme caviste à Paris : n'ayant pas effectué son service militaire dans l'armée allemande, le retour en Alsace lui était interdit durant toute la durée de l'annexion.
- Philippe Leclerc de Hauteclocque : aprÚs avoir libéré Paris et Strasbourg, le Maréchal fait entrer ses chars à Rhinau le 5 décembre 1944 (12Ú régiment de Cuirassiers commandé par le Colonel Rouvillois). Les troupes allemandes ont déjà quitté le village sans combat. Le poste de commandement est installé dans la rue qui porte aujourd'hui son nom. Leclerc est revenu à Rhinau le 23 novembre 1947 en se rendant à Ebersmunster inaugurer le monument à la gloire de la 2Ú D.B.
Commandites
Rhinau parraine la 4e escadron du 291e JÀgerbataillon de la Bundeswehr stationnée à Illkirch-Graffenstaden.
Voir aussi
Bibliographie
- Racontez-moi Strasbourg, les trÚs riches heures d'une ville libre, Guy Trendel, La Nuée Bleue, 2006, p. 161
- La toponymie alsacienne, Jean Schweitzer, Ăditions Jean-Paul Gisserot, 2001, 123 pages
Notes et références
Notes
- Ă ne pas confondre avec Rheinau (Bade-Wurtemberg).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Rhinau », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 732a.
- Laguille dans son Histoire d'Alsace,signale que Rhinau fut une ville considérable
- Zelsheim = hameau de la commune de Friesenheim
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
- Accompagne comme colonel en 1830 la famille royale à Cherbourg puis entre dans l'armée autrichienne.
- « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'Ătat (consultĂ© le ).
- Paroisses et Communes de France, Dictionnaire dâhistoire administrative et dĂ©mographique. Bas-Rhin. Laboratoire de dĂ©mographie historique, Ăcole des Hautes Ătudes en Sciences Sociales, 5 bld Raspail, Paris. Jean-Pierre Kintz, 1977.page 116. Archives dĂ©partementales du Bas-Rhin ABR A19
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Visite de la secrĂ©taire d'Etat BĂ©rangĂšre Abba : deux nouvelles passes Ă poissons sur le Rhin bas-rhinois dâici 2026 », sur DerniĂšres Nouvelles d'Alsace, .
- Dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (A. Robert et G. Cougny)