Puynormand
Puynormand est une commune française située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.
Puynormand | |||||
L'Ă©glise Saint-Hilaire. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Gironde | ||||
Arrondissement | Libourne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Libournais | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Arnaud 2020-2026 |
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Code postal | 33660 | ||||
Code commune | 33347 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
307 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 40 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 59âČ 01âł nord, 0° 00âČ 01âł est | ||||
Altitude | Min. 32 m Max. 117 m |
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Superficie | 7,64 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Nord-Libournais | ||||
LĂ©gislatives | DixiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | puynormand.fr | ||||
GĂ©ographie
Dans la partie nord de la commune, à 100 m de la limite avec la commune de Saint-Seurin-sur-l'Isle, se situe le point d'intersection entre le méridien de Greenwich et le 45e parallÚle nord (longitude 0°, latitude 45°N), à égale distance du pÎle Nord et de l'équateur[1] - [Note 1].
Communes limitrophes
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Puynormand est limitrophe de sept autres communes, dont une dans le département de la Dordogne.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Coutras », sur la commune de Coutras, mise en service en 1966[8] et qui se trouve Ă 12 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 836 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le dĂ©partement de la Dordogne, mise en service en 1988 et Ă 41 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 13,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Puynormand est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (56,9 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (57,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (43 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (32,8 %), cultures permanentes (24,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Puynormand est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2009[23] - [21].
Puynormand est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[24]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[25] - [26].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 159 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 159 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2009, 2010 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Histoire
Au IXe siÚcle, des Normands s'installent au point culminant de la région, c'est-à -dire à Puynormand.
Du XIe siÚcle jusqu'en 1252, une chùtellenie exerçait sur Puynormand, sous la vicomté de Castillon. La chùtellenie exerçait ses droits féodaux sur vingt-trois paroisses ou seigneuries jusqu'à sa suppression par le royaume d'Angleterre.
Contestée entre la vicomté de Castillon et la maison d'Albret, elle finit par dépendre pendant une courte période de la fin du XIVe siÚcle aux jurats de Libourne.
La baronnie d'Henri IV achĂšte Puynormand au XVIe siĂšcle et revend le territoire en 1602 pour rembourser ses dettes.
à la fin du XVIIIe siÚcle, comme beaucoup de communes, la commune de Puynormand est créée par décret du à partir de l'ancienne paroisse de Puynormand, dépendante de l'église Saint-Hilaire.
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[31].
En 2020, la commune comptait 307 habitants[Note 7], en diminution de 1,6 % par rapport Ă 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'Ă©glise Saint-Hilaire est inscrit au titre des monuments historique en 1925[34].
- L'intersection du 45e parallÚle nord et du méridien de Greenwich se trouve sur le territoire de la commune (voir aussi le Degree Confluence Project).
- La sépulture de Jappeloup, un cheval selle français champion de saut d'obstacles mort en 1991, se situe dans un pré, à Puynormand.
HĂ©raldique
Blason | D'azur à l'aigle bicéphale de gueules* soutenue d'une montagne de trois pics d'argent mouvant de la pointe ; au chef de gueules chargé d'un léopard d'or[35]. |
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Détails | * Il y a là non-respect de la rÚgle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (gueules sur azur). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site de la commune
- Résultats du recensement de la population du Pian-sur-Garonne sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Puynormand », sur ehess.fr, Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Puynormand sur le site de l'Institut géographique national
- Le point 45N0E sur le Degree Confluence Project
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- En termes de distance, les points situés à mi-chemin du pÎle Nord et de l'équateur, sont un peu au nord du 45e parallÚle, vers 45° 09' N, du fait que la Terre est un sphéroïde légÚrement aplati. C'est La Roche-Chalais (à 16 km au nord) qui est exactement à mi-distance.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Coutras - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Puynormand et Coutras », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Coutras - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Puynormand et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Puynormand », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
- « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Puynormand », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Ăglise Saint-Hilaire », notice no PA00083692, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture, consultĂ©e le .
- « 33347 Puynormand (Gironde) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).