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Saint-Sauveur-de-Puynormand

Saint-Sauveur-de-Puynormand est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Sauveur-de-Puynormand
Saint-Sauveur-de-Puynormand
La mairie.
Blason de Saint-Sauveur-de-Puynormand
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Libournais
Maire
Mandat
GĂ©rard Moulinier
2020-2026
Code postal 33660
Code commune 33472
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Sauveurois
Population
municipale
366 hab. (2020 en diminution de 5,18 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 66 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 59â€Č 56″ nord, 0° 02â€Č 05″ ouest
Altitude Min. 19 m
Max. 93 m
Superficie 5,57 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Libourne
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Nord-Libournais
LĂ©gislatives DixiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Sauveur-de-Puynormand
Liens
Site web www.saintsauveurdepuynormand.fr/

    GĂ©ographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune, classée commune forestiÚre, se situe dans le pays du Libournais à environ 50 km de Bordeaux, au nord du département de la Gironde. Le territoire communal est situé à 18 km environ au Nord Est de Libourne.
    La commune, traversĂ©e par le 45Ăš ParallĂšle, est de ce fait situĂ©e Ă  Ă©gale distance du pĂŽle Nord et de l'Ă©quateur terrestre (environ 5 000 km).

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Camps-sur-l'Isle, Petit-Palais-et-Cornemps, Puynormand, Saint-MĂ©dard-de-GuiziĂšres et Saint-Seurin-sur-l'Isle.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 834 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Coutras », sur la commune de Coutras, mise en service en 1966[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 836 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le dĂ©partement de la Dordogne, mise en service en 1988 et Ă  44 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sauveur-de-Puynormand est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Libourne, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (55,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (55,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (55,5 %), cultures permanentes (19,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,4 %), zones urbanisĂ©es (8,9 %), prairies (6,4 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Sauveur-de-Puynormand est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Saint-Sauveur-de-Puynormand est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[24]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[25] - [26].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Sauveur-de-Puynormand.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 164 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 164 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2009, par la sécheresse en 1996, 2003, 2010, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Toponymie

    Le nom de la commune provient de la dĂ©dicace de la paroisse Ă  saint Sauveur, nom donnĂ© Ă  JĂ©sus-Christ, et du nom de la chĂątellenie de Puynormand[29], commune voisine dont le nom provient des Normands qui s’emparĂšrent de l’ancien chĂąteau construit sur un puy, mot dĂ©rivĂ© du latin podium qui dĂ©signe un mont, une Ă©lĂ©vation[30].

    Histoire

    Peu de mentions Ă©crites existent sur Saint-Sauveur-de-Puynormand et son Ă©glise.

    Au IXe siÚcle, des Normand s'installent au point culminant de la région, c'est-à-dire à Puynormand et à Saint-Sauveur-de-Puynormand.

    LĂ©o Drouyn dans sa « Guyenne militaire », nous prĂ©sente la chĂątellenie de Puynormand : dĂ©pendante de la vicomtĂ© de Castillon jusqu’à son dĂ©membrement en 1252, la chĂątellenie de Puynormand exerçait ses droits fĂ©odaux sur 23 paroisses ou seigneuries. AnnexĂ©e Ă  la couronne d’Angleterre, elle fut confiĂ©e Ă  BĂ©rard d’Albret en 1330.

    ContestĂ©e entre les vicomtes de Castillon et la famille d’Albret, elle dĂ©pendit, Ă  la fin du XIVe siĂšcle, pendant une courte pĂ©riode, des jurats de Libourne.

    Au XVIe siÚcle, cette chùtellenie est érigée en baronnie appartenant à Henri de Navarre, qui la vendit en 1602 à plusieurs acquéreurs pour rembourser ses dettes.

    Au XVIIIe siÚcle, comme beaucoup de communes, la commune de Saint-Sauveur-de-Puynormand a été créée par le décret du 14 décembre 1789 à partir de l'ancienne paroisse de Saint-Sauveur-de-Puynormand, dépendante de l'église paroissiale Saint-Sauveur.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1988 ? Jeanne Mages PS
    mars 2001 En cours Gérard Moulinier Retraité Fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[31].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[33].

    En 2020, la commune comptait 366 habitants[Note 7], en diminution de 5,18 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    234213204231194206204196178
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    191171206176174184176158158
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    175174158149156161159147156
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    147146162245340361402397407
    2015 2020 - - - - - - -
    368366-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Équipements, services et vie locale

    Une « aire de convivialitĂ© » est situĂ©e dans la forĂȘt, sur la route de l'Ă©glise.

    • Square et place des boulistes
      Square et place des boulistes
    • HĂŽtel de Ville
      HĂŽtel de Ville
    • Aire de convivialitĂ©
      Aire de convivialité
    • Ecole Maternelle
      Ecole Maternelle
    • EntrĂ©e de Village
      Entrée de Village
    • Terrain multisports Saint Sauveur de Puynormand
      Terrain multisports Saint Sauveur de Puynormand

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    L'Ă©glise paroissiale Saint-Sauveur est situĂ©e sur un site privilĂ©giĂ© en bordure du coteau dominant la vallĂ©e de l’Isle. Elle domine un vaste paysage.

    Le cimetiÚre abrite un cénotaphe du XIe ou XIIe siÚcle classé monument historique au titre objet depuis 1924[36].

    Patrimoine civil

    Le tertre de Maragout, situĂ© Ă  300 mĂštres, est attestĂ© comme motte castrale, l’église primitive Ă©tait-elle celle d’un village mĂ©diĂ©val associĂ© Ă  cette motte ? Il est Ă  2 kilomĂštres du village de Puynormand, siĂšge d’une importante chĂątellenie oĂč se trouve Ă©galement une remarquable motte fĂ©odale dĂ©crite par LĂ©o Drouyn.

    • Le monument aux morts
      Le monument aux morts
    • Eglise
      Eglise

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Sauveur-de-Puynormand

    « D’azur Ă  la roue pleine au naturel chargĂ©e d’une croix pattĂ© d’argent et bardĂ©e de tennĂ© avec l’inscription SAINT SAUVEUR DE PUYNORMAND en lettre capitales de sable, surmontĂ©e de deux lions affrontĂ©s d’or, Ă  la filiĂšre aussi d’argent. »

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Saint-Sauveur-de-Puynormand sur Géoportail, consulté le 13 septembre 2015.
    2. Saint-Sauveur-de-Puynormand sur Géoportail, consulté le 13 septembre 2015.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Coutras - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Sauveur-de-Puynormand et Coutras », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Coutras - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Sauveur-de-Puynormand et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Sauveur-de-Puynormand », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    25. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    26. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. Saint-Sauveur-de-Puynormand sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 13 septembre 2015.
    30. Puynormand sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 13 septembre 2015.
    31. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. « Notice MH du cénotaphe », notice no PM33000767, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
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