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Port de commerce de Kergroise

Le port de commerce de Kergroise est un port de commerce d’intérêt national situé à Lorient dans le quartier de Kergroise, sur la côte sud de la Bretagne, en France. Il est la propriété de la région Bretagne depuis 2007 et géré par la Chambre de commerce et d'industrie du Morbihan. Par le tonnage annuel traité, il s'agit du 14e port de commerce au niveau français, et il se situe à la 7e place dans le classement des ports d’intérêt national.

Port de commerce de Kergroise
Vraquier déchargeant
Présentation
Type
Trafic
2,7 Mt/an
GĂ©ographie
Coordonnées
47° 44′ 06″ N, 3° 21′ 15″ O
Pays
Commune
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Construit dans les années 1910, il est agrandi après-guerre lors de la reconstruction de la ville, les gravats servant à combler l'anse de Kergroise. Ses quais sont de nouveau agrandis dans les années 1970 et de nouveaux équipements permettent de diversifier ses activités. Son chenal d'accès est dragué au début des années 2010, pour faciliter l'accès de navires de type Panamax.

Ses activités sont principalement orientées vers l'importation, majoritairement d'hydrocarbures, de produits agroalimentaires et de matériaux de construction. Il est par ailleurs ponctuellement utilisé pour le transport de passagers et par des navires militaires en relation avec l'arsenal de Lorient.

Histoire

Création du premier quai à Kergroise

L'arsenal et la rade de Lorient sont modernisés à partir de la fin du XIXe siècle, période durant laquelle la ville redevient un port militaire[1]. En 1889, les ateliers de l'arsenal passent de la fonte à l'acier moulé, ce qui nécessite des quantités grandissantes de charbon[2]. Afin de faire face à cette demande, la ville développe une activité commerciale avec le Pays de Galles, d'où est importé le charbon pour les machines à vapeur de la ville et vers lequel est exporté du bois de pin maritime pour l'étayage des mines galloises, ce qui permet à la ville d'équilibrer la balance de son commerce[3].

Vue du bassin à flot au XIXe siècle.

Le bassin à flot qui est utilisé par les bateaux de commerce devient trop limité pour le tonnage des navires et, en 1880, la chambre de commerce et d'industrie du Morbihan demande à ce qu'un port en eau profonde soit installé dans le quartier de Kergroise[4]. Cette dernière récupère par ailleurs peu à peu la gestion des outils du port en commerce. La gestion de deux grues au bassin à flot et dans l'avant-port est obtenue le . Au , la totalité des outils est gérée par la CCI[5].

Un quai est construit Ă  Kergroise entre 1910 et 1920, permettant Ă  la ville de disposer d'un quai de 110 mètres pour un tirant d'eau de 9 mètres[6]. Le commerce connaĂ®t alors un pic d'activitĂ©, qui atteint les 438 000 tonnes en 1929, dont la moitiĂ© concernant des importations de charbon[5].

Agrandissement après-guerre

La ville de Lorient est durement touchĂ©e par les bombardements alliĂ©s lors de la Seconde Guerre mondiale. Quelque 1 700 000 m3 de gravats[7] sont ainsi utilisĂ©s pour combler l'anse de Kergroise, ce qui permet de dĂ©velopper la surface de la zone industrielle du port ainsi que la longueur de ses quais[8]. Entre 1946 et 1958, la chambre de commerce et d'industrie du Morbihan qui est concessionnaire du port porte ainsi Ă  330 mètres la longueur des quais pour un tirant d'eau de 9 mètres. D'autres Ă©quipements sont aussi mis en place : l'accessibilitĂ© est renforcĂ©e par le raccordement Ă  une voie ferrĂ©e et par le dĂ©veloppement d'une chaussĂ©e renforcĂ©e, trois grues Ă©lectriques de 5 Ă  6 tonnes permettent elles d'amĂ©liorer les opĂ©rations de dĂ©chargement[6].

Le port est amĂ©nagĂ© pour recevoir des navires de plus fort tonnage, il est agrandi[9], ce qui permet au trafic commercial d'augmenter de 90,9 % de 1965 Ă  1975[10]. Un appontement pĂ©trolier est construit en 1961, suivi en 1970 d'une extension du quai principal Ă  569 mètres, puis de la construction en 1987 d'un quai de 150 mètres dĂ©diĂ© aux marchandises diverses[5]. 365 millions de francs sont ainsi investis de 1968 Ă  1983 pour augmenter la longueur des quais[11]. D'autres infrastructures sont aussi installĂ©es pendant cette pĂ©riode, comme la construction du silo et de la station de transit rail-route en 1980[5].

La nature des marchandises traitées par le port évolue aussi pendant la période. Le trafic de charbon et des poteaux de mines disparaît en 1975 ; celui de vin suit en 1991[5].

Développements ultérieurs

La zone portuaire (en rouge) et la rade

Des équipements sont ajoutés à partir des années 1990, comme une grue « kangourou » pour la manutention de vracs agroalimentaires et des marchandises diverses en 1992, la construction d'un entrepôt frigorifique à quai en 1998, l'acquisition d'une grue pour manutentionner conteneurs et colis lourds en 2004, ou encore l'installation d'un service pour les vracs de ciment en 2007. D'autres équipements sont aussi modernisés, comme les cuves pétrolières qui sont remplacées par des bacs à double paroi en béton, en 2009, pour le site lorientais et, en 2012, pour le site de Lanester[12].

La gestion du port évolue, avec le transfert de la propriété et de la gestion du port de l'État à la région à partir du [13].

Les conditions d'accès au port sont revues Ă  partir de la fin des annĂ©es 2000. Un accès pour les convois routiers de 44 tonnes est amĂ©nagĂ© en 2005[5]. Les abords terrestres de l'ensemble portuaire sont clĂ´turĂ©s en 2008 et 2009. L'accès devient restreint Ă  partir de , en application d'une nouvelle rĂ©glementation internationale[14]. En mer, des travaux de dragage de la passe ouest sont rĂ©alisĂ©s en 2012 afin de porter la profondeur de chenal d'accès au port Ă  plus de 10 mètres, avec pour but affichĂ© de permettre aux navires de type Panamax d'accĂ©der au port indĂ©pendamment du coefficient de la marĂ©e[15] - [n 1].

Infrastructures

Gestion

Le port est la propriété de la région Bretagne depuis le , date à laquelle l'État a transféré la propriété à cette dernière[13].

La concession de l'ensemble portuaire est assurée par la Chambre de commerce et d'industrie du Morbihan depuis 1889[17]. Elle est renouvelée au [13] pour une période de 10 ans[18] à la suite d'un appel d'offres lancé par la région[19]. La capitainerie du port est dirigée par le commandant Éric Roellinger depuis [20]. L'inspection des navires accostant est assurée par cinq inspecteurs qui traitent tous les ans une soixantaine de bateaux[21].

Structures

Navire déchargeant au terminal dédié au vrac agroalimentaire.

L'ensemble portuaire est structurĂ© autour de plusieurs implantations spĂ©cialisĂ©es dans certains types de marchandises. Ă€ l'ouest de la rade de Lorient, se trouve un appontement pĂ©trolier de 195 m, situĂ© dans la zone la plus au sud de l'ensemble[22]. Un terminal dĂ©diĂ© au vrac agroalimentaire, d'une capacitĂ© de deux navires, est amĂ©nagĂ© plus au nord[23], puis dans la zone la plus au nord, un quai de 150 mètres est rĂ©servĂ© aux produits froids[24]. De l'autre cĂ´tĂ© de la rade, Ă  l'embouchure du Blavet, le port dispose d'un quai de 110 m dĂ©diĂ© au traitement des sables et graviers[25]. Ă€ terre, se rajoute Ă  ces structures un terminal roulier d'une surface de 4 hectares sous douane[26].

L'accès au port peut se faire par plusieurs biais. Par voie maritime, le chenal d'accès Ă  la rade de Lorient rĂ©servĂ© aux navires usagers du port passe Ă  l'ouest des courreaux de Groix, permettant un accès en 40 minutes entre la zone de mouillage au nord de l'Ă®le de Groix et le port[27]. Par voie terrestre, le port est Ă  proximitĂ© immĂ©diate de la route nationale 165 qui fait partie de la route europĂ©enne 60[28] et un accès aux voies ferrĂ©es est disponible dans l'enceinte du complexe portuaire[29]. Pour les passagers, la proximitĂ© de la gare de Lorient et de l'aĂ©roport de Lann-BihouĂ© permet une liaison avec les principales villes françaises[30].

Équipements

Grue « kangourou »[n 2] utilisée pour les déchargements du terminal agroalimentaire.

Le port dispose de trois remorqueurs qui permettent de prendre en charge les navires entrant dans la rade de Lorient ou d'effectuer des opérations dans le port. Les deux plus anciens, le Morbihan et le Scorff, ont été construits en 1981 et en 1986[31]. Le plus récent, le Bretagne, construit en 2007, a été acquis par l'exploitant du port afin de permettre l'arrivée de navires type Panamax[32].

Ă€ terre, le terminal agroalimentaire dispose de deux engins de dĂ©chargement, d’une capacitĂ© unitaire de 1 000 tonnes par heure ; plusieurs zones de stockage sont aussi Ă  disposition, dont un silo de transit d’une capacitĂ© de 10 000 tonnes et 40 cellules de stockage privĂ©, d'une capacitĂ© totale de 160 000 tonnes[23]. Le terminal pĂ©trolier dispose quant Ă  lui d'un dĂ©pĂ´t d'une capacitĂ© de 140 000 m3[22] et la zone dĂ©diĂ©e au froid, d'une capacitĂ© de stockage de 22 400 m3 et de deux grues pour le dĂ©chargement[24].

Impact environnemental

Les activitĂ©s de Kergroise ont un impact sur la ville de Lorient Ă  plusieurs niveaux. La prĂ©sence de cuves de pĂ©trole limite l'urbanisation autour du dĂ©pĂ´t pĂ©trolier. Une zone Ă  risque couvrant 97 hectares dans le voisinage du site, oĂą vivent 7 200 habitants, a Ă©tĂ© dĂ©finie pour prĂ©venir des effets d'un boil over[33]. Par ailleurs, l'Ă©mission de poussières par les dĂ©chargements de ciment, du soja ou de tournesol a Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©e autour du port ; un cas d'empoussièrement ponctuellement Ă©levĂ© a Ă©tĂ© identifiĂ© aux abords immĂ©diats des quais, sans que les autres lieux de relevĂ©s, plus distants, ne montrent d'empoussièrement notable[34].

En mer, le site est l'un des ports de la ville Ă  avoir un impact sur les boues prĂ©sentes dans la rade de Lorient. Le dragage rĂ©gulier de celle-ci pour Ă©viter l'envasement de certaines parties de la rade, ou pour le creusement d'un chenal plus profond, a nĂ©cessitĂ© la mise en place d'un site de dĂ©pollution. Celui-ci doit traiter 25 000 m3 de boues polluĂ©es par an entre 2012 et 2017[35].

Activités

Le port est principalement tourné vers des activités d'importations. Les exportations restent limitées et concernent principalement de la ferraille et les pneus broyés. Des projets d'exportations de viandes vers les pays du Maghreb sont projetés par la chambre de commerce et d'industrie du Morbihan en 2012[36]. Au total, les importations ne représentent que 2,66 % du tonnage passé par le port en 2010[37].

Typologie des importations

L’activité du port de commerce de Lorient Kergroise est dominée par le transport de deux types de marchandises, l’agroalimentaire et les hydrocarbures[38]. Un trafic de 2,59 millions de tonnes y transite en 2012, ce qui place le port au 14e rang des ports de commerce français et en 7e position parmi les ports décentralisés[39]. Au niveau régional, il se situe au 2e rang des ports de commerce de la région Bretagne entre ceux de Brest et de Saint-Malo[38]. Ces trois ports concentrent 83 % du trafic de la région[40].

Vraquier déchargeant du colza.

Le vrac agroalimentaire est le premier poste d'importation du port et 1 039 835 tonnes sont passĂ©es par le port en 2011. Ce chiffre s'explique par la prĂ©sence importante d'industries agroalimentaires dans la rĂ©gion. Le soja est le principal produit en transit en 2011, avec 660 000 tonnes, suivi du blĂ© avec 200 000 tonnes[36].

Le trafic d'hydrocarbure est le second poste d'importation du port, avec en 2011 987 515 tonnes. Le gazole est le premier produit importĂ© avec 50 % des importations traitĂ©es, suivi par l'essence sans plomb avec 30 % et le fioul avec 20 %[36].

Les matĂ©riaux de construction complètent les importations et reprĂ©sentent en 2011 un total de quelque 593 050 tonnes. Ils sont constituĂ©s majoritairement de sables marins et de ciment de Turquie. De la pierre ponce extraite de ce dernier pays est aussi importĂ©e depuis 2011[36].

Les importations sont à 36,6 % constituées par des activités de cabotage national. Parmi les principaux pays étrangers d'origine des exportations en 2010, le Brésil arrive en tête avec 24,4 % des exportations, suivi par la Russie avec 9,5 %, le Royaume-Uni avec 4,9 %, les Pays-Bas avec 4,6 % et la Suède avec 3,5 %[41].

Pour les conteneurs, le port était desservi par la ligne Sloman-Neptun jusqu'en 2006. En 2012, lors de la course Volvo Race, une soixante de conteneurs de 40 pieds (soit environ 12,20 m de long ou l'équivalent de 76 camions) ont été déchargés au port avec la grue pour conteneurs installée en 2004[42].

Évolution du tonnage

Évolution du tonnage traité
1880[5] 1929[5] 1939[5] 1955[43] 1966[44] 1967[44] 1968[44] 1969[44]
45 000 438 000 293 000 482 000 755 065 821 837 855 016 940 531
1970[44] 1971[44] 1972[44] 1973[44] 1974[44] 1975[44] 1976[44] 1977[44]
955 410 970 269 1 135 018 1 365 826 1 362 357 1 449 384 1 705 928 1 808 469
1978[44] 1979[44] 1980[44] 2001[39] 2002[39] 2003[39] 2004[39] 2005[39]
1 888 768 2 001 352 2 090 838 2 680 000 2 680 000 2 610 000 2 690 000 2 680 000
2006[37] 2007[37] 2008[37] 2009[37] 2010[37] 2011[45] 2012[45] 2013[46]
2 753 833 2 858 571 3 010 865 2 550 345 2 667 539 2 608 747 2 475 381 2 462 447
2014[46] 2015[46] 2016 2017 2018 2019 2020 2021
2 325 600 2 337 924

Transport de passagers

Le paquebot Black Watch en escale Ă  Kergroise.

Le port sert aussi ponctuellement pour le transport de passagers, via l'accueil de paquebots de croisière[47]. Cette activitĂ© s'est dĂ©veloppĂ©e Ă  partir de la fin des annĂ©es 1990 et Ă©tait portĂ©e par l'association « Lorient-Croisière-Bretagne Sud », crĂ©Ă©e en 1999. L'utilisation du port comme lieu d'escale est alors mise en place en lien avec Belle-ĂŽle-en-Mer. Sa gestion est reprise en 2009 par la Chambre de commerce et d'industrie du Morbihan[48]. En 2010, Kergroise a enregistrĂ© un total de 9 166 passagers rĂ©partis en dix escales. Ceux-ci ont reprĂ©sentĂ© un chiffre d'affaires d'environ quatre millions d'euros Ă  l'Ă©chelle du pays de Lorient[49]. Ces escales ont lieu principalement lors de la pĂ©riode estivale, notamment lors d'Ă©vènements locaux comme le festival interceltique de Lorient[50].

Des liaisons maritimes transrade utilisant le port sont aussi assurĂ©es dans le cadre des transports urbains de la rĂ©gion de Lorient. La compagnie de transport de la rĂ©gion lorientaise (CTRL), responsable des transports en commun dans l'agglomĂ©ration, se sert du port pour assurer des transports au dĂ©part de Lorient et en direction de Port-Louis et de LocmiquĂ©lic[51]. Au total, cette activitĂ© a concernĂ© 725 665 passagers en 2010[52].

Autres usages

Les installations du port peuvent être ponctuellement exploitées pour d'autres usages, le plus souvent en lien avec d'autres acteurs maritimes de la ville.

Plusieurs navires militaires peuvent être amenés à utiliser le port. L'arsenal de Lorient et ses navires peuvent en avoir un usage à différentes étapes de la construction de ceux-ci[53]. La Marine nationale et ses navires y font escale ponctuellement[54], de même que d'autres marines militaires alliées, lors d'exercices dans la région[55].

Le développement à Lorient d'un pôle course au large et dans sa région d'une Sailing Valley a entraîné une utilisation des infrastructures du port. Des voiliers de course peuvent ainsi y être débarqués à quai avant d'être mis à l'eau[56] et des équipements peuvent y passer en transit avant d'être utilisés au pôle course au large ou par des organisateurs de courses nautiques comme la Volvo Ocean Race en 2012[57].

Vue du port depuis Locmiquélic.

Sources

Notes

  1. Avant ces travaux, les Panamax ne pouvaient avoir accès au quai principal que 26 jours par an, la passe n'ayant une profondeur que de 8 mètres[16].
  2. Une grue « kangourou » dispose d'une trémie embarquée, rappelant lorsqu'elle est rangée la poche d'un marsupial, d'où le nom.

Références

  1. Nières 1988, p. 205
  2. Nières 1988, p. 207
  3. Nières 1988, p. 210
  4. « Port de commerce de Kergroise, Lorient », sur topic-topos.com (consulté le )
  5. Histoire du Port de commerce de Lorient Bretagne Sud, Port de commerce de Lorient Bretagne-Sud, consulté sur lorient.port.fr le 15 janvier 2011
  6. Martinez-Roda 1983, p. 414
  7. Nières 1988, p. 264
  8. Nières 1988, p. 262
  9. Nières 1988, p. 273
  10. Nières 1988, p. 274
  11. Nières 1988, p. 280
  12. Charles Josse, « Des cuves à double paroi pour le dépôt pétrolier », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  13. Bienvenue sur le site du Port de commerce de Lorient Bretagne Sud, Port de commerce de Lorient Bretagne-Sud, consulté sur lorient.port.fr le 15 janvier 2011
  14. « Port de commerce. Les quais sous clé », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  15. « Gâvres. Des grains de sable dans le chantier », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  16. Sophie Paitier, « Kergroise. La passe ouest bientôt draguée », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  17. « Kergroise. Le sort du port se joue aujourd'hui », Le Télégramme, 3 décembre 2008, consulté sur www.letelegramme.com le 17 janvier 2012
  18. « Une première mise en concurrence », Le Télégramme, pages Lorient, 3 décembre 2008, consulté sur www.letelegramme.com le 17 janvier 2012
  19. « Port de commerce de Kergroise : la Région lancera un appel à candidatures », Ouest-France, 4 septembre 2007, consulté sur www.lorient.maville.com le 15 janvier 2012
  20. « Ports. Un nouveau commandant à la capitainerie », Le Télégramme, pages Lorient, 16 mai 2011, consulté sur www.letelegramme.com le 17 janvier 2012
  21. Sophie Paitier, « Port. La traque des navires poubelles », Le Télégramme, 18 avril 2011, consulté sur www.letelegramme.com le 15 janvier 2012
  22. Produits pétroliers, Port de commerce de Lorient Bretagne-Sud, consulté sur lorient.port.fr le 24 juillet 2012
  23. Vracs agroalimentaires, Port de commerce de Lorient Bretagne-Sud, consulté sur lorient.port.fr le 24 juillet 2012
  24. Marchandises sous température dirigée, Port de commerce de Lorient Bretagne-Sud, consulté sur lorient.port.fr le 24 juillet 2012
  25. Sables, Port de commerce de Lorient Bretagne-Sud, consulté sur lorient.port.fr le 24 juillet 2012
  26. Trafic roulier, Port de commerce de Lorient Bretagne-Sud, consulté sur lorient.port.fr le 24 juillet 2012
  27. Des conditions nautiques exceptionnelles, Port de commerce de Lorient Bretagne-Sud, consulté sur lorient.port.fr le 24 juillet 2012
  28. Accès routier, Port de commerce de Lorient Bretagne-Sud, consulté sur lorient.port.fr le 24 juillet 2012
  29. Accès ferroviaires, Port de commerce de Lorient Bretagne-Sud, consulté sur lorient.port.fr le 24 juillet 2012
  30. Accès aérien, Port de commerce de Lorient Bretagne-Sud, consulté sur lorient.port.fr le 24 juillet 2012
  31. Remorqueurs, Port de Lorient Bretagne-sud, consulté sur lorient.port.fr le 23 juillet 2012
  32. « Lorient. Le nouveau remorqueur arrive demain ou jeudi », Le Télégramme, 8 février 2011, consulté sur www.letelegramme.com le 23 juillet 2012
  33. Christian Gouerou, « La ville bute sur les cuves de Kergroise », Ouest-France, 17 janvier 2008, consulté sur www.lorient.maville.com le 23 juillet 2012
  34. Sophie Paitier, « Kergroise. Les poussières parlent », Le Télégramme, 13 février 2012, consulté sur www.letelegramme.com le 23 juillet 2012
  35. Yves Madec, « Traitement des boues. Clapage de fin? », Le Télégramme, édition Lorient, 19 janvier 2012, consulté sur www.letelegramme.com le 23 juillet 2012
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  37. RĂ©gion Bretagne 2011, p. 3
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  39. André Jourt 2011, p. 11
  40. André Jourt 2011, p. 17
  41. RĂ©gion Bretagne 2011, p. 17
  42. La Volvo Race largue ses conteneurs Ă  Kergroise (06/2012)
  43. André Meynier, « Chronique armoricaine », Norois, vol. 14, no 14,‎ , p. 283-288 (lire en ligne)
  44. Martinez-Roda 1983, p. 413
  45. RĂ©gion Bretagne 2013, p. 3
  46. RĂ©gion Bretagne 2016, p. 33
  47. « Un premier paquebot à Kergroise », Le Télégramme, pages Lorient, 7 mai 2009, consulté sur www.letelegramme.com le 17 janvier 2012
  48. Yann Lukas, « La croisière va-t-elle continuer à s'amuser ? », Ouest-France, 4 septembre 2009, consulté sur www.lorient.maville.com le 23 juillet 2012
  49. RĂ©gion Bretagne 2011, p. 19
  50. Hélène Nourdin, « Le Balmoral fait sa première escale à Lorient », Ouest-France, 8 août 2011, consulté sur www.ouest-france.fr le 23 juillet 2012
  51. « Transrade. Bientôt du nouveau pour Port-Louis », Le Télégramme, 13 juillet 2010, consulté sur www.letelegramme.com le 17 janvier 2012
  52. Port de Lorient, Résultats 2010, Chambre de commerce et d'industrie du Morbihan, 2010, p. 4, consulté sur lorient.port.fr le 23 juillet 2012
  53. « DCNS. Tir de torpille réussi pour la Fremm Aquitaine », Le Télégramme, 3 juillet 2012, consulté sur www.letelegramme.com le 23 juillet 2012
  54. « Kergroise. La frégate Chevalier-Paul en escale », Le Télégramme, 21 mars 2012, consulté sur www.letelegramme.com le 23 juillet 2012
  55. « La Navy a débarqué au port de commerce », Ouest-France, 23 juillet 2012, consulté sur www.lorient.maville.com le 23 juillet 2012
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Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Frederico J. Martinez-Roda, « L'ensemble portuaire de Lorient », Norois, no 119,‎ , p. 407-420 (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Claude Nières, Histoire de Lorient, Toulouse, Privat, , 319 p. (ISBN 978-2-7089-8268-0, LCCN 89121626). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • RĂ©gion Bretagne, Port de Lorient : Bilan d'activitĂ© 2010 du port de commerce, Direction DĂ©lĂ©guĂ©e des Ports, AĂ©roports et Voies Navigables, , 20 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • RĂ©gion Bretagne, Port de Lorient : Bilan d'activitĂ© 2012 du port de commerce, Direction DĂ©lĂ©guĂ©e des Ports, AĂ©roports et Voies Navigables, , 21 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • RĂ©gion Bretagne, Port de Lorient : Bilan d'activitĂ© 2015 des ports de commerce de Brest, Lorient et Saint-Malo, Direction DĂ©lĂ©guĂ©e des Ports, AĂ©roports et Voies Navigables, , 92 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • AndrĂ© Jourt, Les ports de commerce de Bretagne 2010, Rennes, Observatoire rĂ©gional des transports en Bretagne, , 43 p. (ISSN 2101-6607, lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article

Annexes

Articles connexes

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