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Port-Mort

Port-Mort est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Port-Mort
Port-Mort
La mairie.
Blason de Port-Mort
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité CA Seine Normandie Agglomération
Maire
Mandat
Gilles Auloy
2022-2026
Code postal 27940
Code commune 27473
Démographie
Gentilé Port Mortais
Population
municipale
903 hab. (2020 en diminution de 3,63 % par rapport à 2014)
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 09′ 55″ nord, 1° 24′ 57″ est
Altitude Min. 8 m
Max. 138 m
Superficie 12,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Andelys
Législatives 5e circonscription de l'Eure
Localisation
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Port-Mort
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Port-Mort
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Port-Mort
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Port-Mort
Liens
Site web https://www.port-mort.com/

    Ses habitants sont appelés les Pormortais.

    Géographie

    Description

    Vue générale vers la Seine et l'écluse.

    Port-Mort est située dans la vallée de la Seine.

    L'île Besac[1] est partagée entre Port-Mort et Saint-Pierre-la-Garenne.

    La commune est desservie par l'ancienne route nationale 313 (actuelle RD 313) sur l'axe Vernon - Les Andelys, tandis que la RD 10 traverse la commune, sur le tronçon commun à la RD 313, entre Courcelles-sur-Seine et Hennezis.

    Une liaison piétonnière et cyclable au niveau de l'écluse Notre-Dame-de-la-Garenne[2] a vocation à rouvrir dans le courant de l'année 2017.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le territoire communal est limité au sud-ouest par le cours de la Seine

    La commune partage avec Saint-Pierre-la-Garenne l'écluse Notre-Dame-de-la-Garenne en bord de Seine.

    La centrale électrique Hydrowatt, dotée de quatre turbines, produit de l'électricité depuis 1988. Elle alimente entre autres — gratuitement — l'école de Port-Mort[5].

    • La Seine et  l'écluse
      La Seine et l'écluse.
    • L'une des portes de l'écluse
      L'une des portes de l'écluse.
    • La centrale hydroélectrique
      La centrale hydroélectrique.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 729 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Louviers », sur la commune de Louviers, mise en service en 1960[12] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[13] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 723,8 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 21 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[16] à 10,8 °C pour 1981-2010[17], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Port-Mort est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [19] - [20] - [21].

    Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (45,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (45,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43 %), terres arables (28,9 %), zones urbanisées (7,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), eaux continentales[Note 8] (6,7 %), prairies (3,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 450, alors qu'il était de 436 en 2013 et de 431 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 87,1 % étaient des résidences principales, 8,2 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,8 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Port-Mort en 2018 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,2 %) supérieure à celle du département (6,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 91,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92 % en 2013), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Port-Mort en 2018.
    Typologie Port-Mort [I 1] Eure[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 87,1 85,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8,2 6,3 9,7
    Logements vacants (en %) 4,7 8,3 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Portus Maurus en 690[26], Port mort vers 1060, Porcus Mortuus (cartulaire de la Trinité-du-Mont) ou Portus Mortuus en 1075[27]; Pormor en 1130 (Vie de St Adjutor) ; Purmor en 1200 (Roger de Hoveden)[28] ; Portmort en 1793[29]; Pormort en 1801.

    La première forme ne s'applique peut-être pas à Port-Mort, toujours est-il qu'il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Port- (du type de Port-Saint-Ouen, à environ 40 km) désignant un port en Seine, la formule inverse influencée par le germanique ou l'ancien scandinave est représentée par Vatteport (Vatteville, à environ 20 km) également situé en bord de Seine.

    L'élément -Mort représente peut-être le nom de personne Maur (latinisé en Maurus dans les textes rédigés en latin médiéval. Voir aussi saint Maur)[27], le dérivé Morin, fréquent comme patronyme, se retrouve dans Port-Morin à Tosny, presque en face. Le même type de formation toponymique basé sur un anthroponyme et l'appellatif port se retrouve dans Vatteport, dont l'élément Vatte- désigne vraisemblablement le même personnage que dans Vatteville situé à côté.

    Cependant, il peut aussi s'agir de l'adjectif mort comme l'indiquent des formes anciennes plus régulières et la forme actuelle, dans ce cas, Port-Mort aurait le sens global de « port aux eaux dormantes »[27].

    Histoire

    Le menhir de Port-Mort, mieux connu sous l'appellation « gravier de Gargantua », se trouve sur l'ancienne route nationale 313 (actuelle RD 313) à l'entrée du village sur la gauche en venant de Gaillon ou des Andelys.

    Le château de la Roque, hameau de Châteauneuf[30] ou Château-Neuf (dont une tour demeure à titre de vestige) a été érigé par le duc-roi Richard Cœur de Lion, après la perte d'autres châteaux sur la frontières de l'Epte et dans le Vexin normand[31].

    Comme suite immédiate du traité du Goulet, Louis VIII de France (surnommé Le Lion) épouse Blanche de Castille le . Son père Philippe Auguste étant frappé d'excommunication, le mariage ne pouvait être célébré en royaume de France.

    Le fief au roi de Port-Mort releva de l'abbaye de Mortemer entre 1319[32] et le XVIIIe siècle.

    En 2004, l'ancien presbytère est réaménagé et devient la nouvelle mairie de Port-Mort[33].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement des Andelys du département de l'Eure.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton des Andelys[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton des Andelys

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Eure.

    Intercommunalité

    Port-Mort était membre de la communauté de communes des Andelys et de ses environs, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée Seine Normandie Agglomération dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    septembre 1974 mai 1989 Serge Chrétien[35] Comptable
    Picard
    mai 1995 mars 2014[36] Guillemette Alquier Présidence CCAE (2003 → 2008)
    mars 2014[37] janvier 2022 Christian Lordi Démissionnaire
    mars 2022[38] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Gilles Auloy

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40].

    En 2020, la commune comptait 903 habitants[Note 9], en diminution de 3,63 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    665698669684680661640614587
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    542488484450450538480443440
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    433414412383357352323383425
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4414315636728398201 008951936
    2020 - - - - - - - -
    903--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le menhir dit Gravier de Gargantua.
    • Le menhir de Port-Mort, dit « gravier de Gargantua », classé au titre des monuments historiques par arrêté du [42]. Il se trouve sur la D 313 à l'entrée ouest du village, sur la gauche en venant de Gaillon ou des Andelys.
    • La butte de Château-Neuf. Elle domine par un abrupt de 40 mètres la Seine, dont un des bras, jusqu'à une époque récente, en bordait quasiment le pied. L'ouvrage fortifié[43], dont il reste les soubassements du donjon, est construit en 1198 pour Richard CÅ“ur de Lion. C'est en l'église Saint-Martin de Château-Neuf[44], aujourd'hui détruite, qu'est célébré le mariage entre le prince Louis et Blanche de Castille, le [45].
    • Le tombeau de saint Ethbin[46], de la fin du XIXe siècle, à proximité de la rive droite de la Seine, érigé à l'emplacement d'un ancien dolmen.
    • La proximité de l'architecte Jean-Jacques Lequeu (1757-1826) et de Marie-Alexandre-Gabriel Jubert, comte de Bouville (1756-1793) vaut le dessin d'un Temple du Silence[47] réalisé par ce premier en 1788. Sa mention surprenante figure à l'inventaire général du patrimoine culturel[48] - [49].
    • Le château de Port-Mort des XVIIe et XVIIIe siècles[50], ayant appartenu à la famille Jubert de Bouville.
    • Le château neuf,vestige du XIIe siècle.
      Le château neuf,
      vestige du XIIe siècle.
    • Le tombeau desaint Ethbin.
      Le tombeau de
      saint Ethbin.
    • Villa florentine due à Alfred Schmid.
      Villa florentine due à Alfred Schmid.
    • L'église Saint-Pierre.
      L'église Saint-Pierre.

    Personnalités liées à la commune

    • Les familles Jubert et Croismare sont établies à Port-Mort. Elles sont citées entre les années 1540 et années 1790[52]
    • André Castelot (1911-2004), écrivain, historien et journaliste, vit à Port-Mort jusqu'à sa mort.
    • Jacques Castelot (1914-1989), frère du précédent, acteur.
    • Famille Hatt : Jacques et Yvonne Hatt, les parents de l'archéologue Jean-Jacques Hatt, se sont attachés à la villa dite ingénieur Schmid (Henri Alfred Schmid, 1851-1920), du nom du père de Mme Yvonne Hatt (°1888), ingénieur qui a supervisé les travaux de construction du barrage sur la Seine entre 1879 et 1889 et s'est ainsi épris de Port-Mort.
    • Françoise Bourdin (1952-2022), romancière, y a vécu.
    • Géori Boué (1918-2017) y a vécu.
    • Eugène Pujol (1876-1946), ingénieur A&M / directeur d'entreprise, Accomplissement à Nice, la grue Applevage n°14, construit par la société parisienne Applevage en 1937, est installée sur le port Lympia à Nice, il a été l'un des ingénieurs et inventeur de système de levage (dont les déplacements de grue sur rail, les crochets de levage et bien d'autres systèmes pour la société Applevage) Elle est classée monument historique par arrêté du 27 mars 2000 et obtient le label ½ Patrimoine XXe siècle, le et décédera à Port-Mort dans sa seconde résidence[53].
    • Louis Joseph Marchand (1848-1928), instituteur, secrétaire de mairie, instituteur de Port-Mort durant de nombreuses années, par son éminent dévouement pour la commune, il est fait chevalier des Palmes académiques par le recteur académique de l'Eure, et quelques années par monsieur le maire de Port-Mort, il reçoit la médaille de la commune 14 juillet 1890 en reconnaissance de l'instruction des enfants de Port-Mort ; à sa mort, il fut inhumé dans le caveau familial au cimetière communal[53].

    Héraldique

    Blason de Port-Mort Blason
    Écartelé : au 1er de gueules à deux léopards d'or l'un au-dessus de l'autre, au 2e d'or au cep de vigne au naturel fruité de gueules, au 3e d'or à la nef de sable habillée de gueules voguant sur trois burelles ondées et alésées d'azur, au 4e d'azur à trois fleurs de lis d'or.
    Détails
    Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Port-Mort », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. ZNIEFF 230030978 - L'île Besac sur le site de l’INPN..
    2. « Accord entre le Département de l'Eure, VNF et l'Etat » [archive du ] [PDF], sur eure-en-ligne.fr, .
    3. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    4. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    5. « À la découverte de la centrale électrique Hydrowatt installée à Port-Mort dans l'Eure : Les adhérents de l'Association de Sauvegarde du Site de Port-Mort ont été invités à découvrir les infrastructures de la centrale électrique Hydrowatt, installée à Port-Mort (Eure) », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Louviers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Port-Mort et Louviers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Louviers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Port-Mort et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Portus Maurus en dans une charte de Vandemir (à la fin du règne de Thierry III), rapporté par Charpillon et Caresme op. cit..
    27. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 160-161.
    28. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 173
    29. Sur la carte de Cassini, éditée en 1757.
    30. https://carmen.developpement-durable.gouv.fr/IHM/metadata/HN/Publication/donneesnature/donneessi27000048.pdf
    31. En ligne sur Gallica .
    32. Décision de Philippe V le Long. Le roi cède à l'abbaye de Lyons le passage de la Garenne.
    33. Christian Lordi, « Nouvelle mairie : la date de l'emménagement apoproche », Le Journal de Port-Mort, no 27,‎ , p. 7 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Réélu pour le mandat 1983-1989 : Gilles Auloy, « 37 ans d'infos », Le Journal de Port-Mort, no 78,‎ , p. 1 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    36. Jean-Paul Gosselin, « Le dernier budget du conseil communautaire fait l’unanimité : Lundi soir dernier s’est tenu le dernier Conseil communautaire de la mandature. L’occasion aussi pour Guy Burette, le président, de saluer les maires qui ne se représentent pas », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    37. Jean-Paul Gosselin, « Port-Mort : Christian Lordi nouveau maire », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L’adjoint sortant succède à Guillemette Alquier, qui après trois mandats ne se représentait pas ».
    38. Guillaume Voisenet, « Gilles Auloy est le nouveau maire de Port-Mort : Après l'élection municipale complémentaire, le Conseil municipal de Port-Mort s'est réuni samedi 26 mars pour élire le maire et ses adjoints », L'Impartial,‎ (lire en ligne) « Le seul à se présenter était Gilles Auloy. Il a été élu avec 14 voix sur 15 ».
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. « Menhir dit Gravier de Gargantua », notice no PA00099522.
    43. « Château fort », notice no IA00017601.
    44. « Église Paroissiale Saint-Martin », notice no IA00017605.
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    46. « Le tombeau de Saint Ethbin », sur Le site de la commune de Port-Mort (consulté le ).
    47. Les Grandes galeries européennes XVIIe-XIXe siècles, Claire Constans, Mathieu da Vinha, Les Editions de la MSH, 23 sept. 2010 - 429 pages.
    48. « Temple du Silence », notice no IA00019001.
    49. Résumé sur les dessins cy-joints pour le recueil des châteaux et maisons de campagne de Mr Krafft : Temple du Silence élevé à Port-Mort pour le comte de Bouville.
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    52. Charpillon et Caresme op. cit..
    53. « Je vous parle avec mon cœur », sur Lulu (consulté le )
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