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Ploubezre

Ploubezre (/plu.bɛʁ/[Note 1]) est une commune située dans le département des Côtes-d'Armor, en Bretagne.

Ploubezre
Ploubezre
Le château Kergrist.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Lannion
Intercommunalité Communauté d'agglomération Lannion-Trégor Communauté
Maire
Mandat
Brigitte Gourhant
2020-2026
Code postal 22300
Code commune 22211
Démographie
Gentilé Ploubezrien
Population
municipale
3 736 hab. (2020 en augmentation de 4,18 % par rapport à 2014)
Densité 119 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 15″ nord, 3° 26′ 53″ ouest
Altitude 94 m
Min. 3 m
Max. 114 m
Superficie 31,44 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lannion
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Plestin-les-Grèves
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Ploubezre
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Ploubezre
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Ploubezre
Liens
Site web www.ploubezre.fr

    Ses habitants sont les Ploubezriens ([plubeʁjεn]).

    Géographie

    Situation

    La commune, relativement étendue, possédait une gare au lieu-dit Kerauzern, fermée en 1993.

    Cadre géologique

    Carte géologique du Massif armoricain, avec au nord-est le batholite mancellien et ses nombreux plutons de granite cadomien (Trégor, Lanhélin, Louvigné, Vire, Avranches…). Ce batholite dessine une ellipse de 150 km (d'Alençon à la Rance) sur 90 km (de Vitré à Vire)[1].

    Ploubezre est localisée à l'extrémité occidentale du domaine nord armoricain, dans le Massif armoricain qui est le résultat de trois chaînes de montagne successives. Le site géologique de Ploubezre se situe plus précisément au sud d'un bassin sédimentaire essentiellement briovérien et d'un important massif granitique cadomien, le batholite nord-trégorrois. Ce pluton fait partie d'un ensemble plus vaste, le batholite mancellien[2] - [3].

    L'histoire géologique de la région est marquée par la chaîne cadomienne. À la fin du Précambrien supérieur, les sédiments briovériens environnants sont fortement déformés, plissés et métamorphisés par le cycle cadomien, formant essentiellement des schistes[4]. Cette chaîne montagneuse, qui devait culminer à environ 4 000 m, donne naissance à des massifs granitiques (dont le batholite côtier nord-trégorrois associé à un volcanisme d'arc insulaire et daté à 615 Ma)[5] - [6].
    Dans le domaine continental, l'épaississement consécutif à l'orogenèse cadomienne, provoque la fusion crustale à l'origine de la mise en place des dômes anatectiques (migmatites de Guingamp et Saint-Malo à l'est de Plouaret) qui est datée entre 560 et 540 Ma[7].

    L'orogenèse hercynienne s'accompagne d'un métamorphisme et d'un magmatisme qui se manifeste par un important plutonisme : le chapelet nord de granites rouges tardifs (ceinture batholitique de granites individualisée pour la première fois par le géologue Charles Barrois en 1909[8], formant de Flamanville à Ouessant un alignement de direction cadomienne, contrôlé par les grands accidents directionnels WSW-ENE, datés de 300 Ma, correspond à un magmatisme permien[9]. Ploubezre est située bordure septentrionale du massif granitique de Plouaret qui est lié au fonctionnement du cisaillement nord-armoricain, fait partie de ce chapelet[10].

    Le relief de la commune est ainsi caractérisé par des plateaux accidentés de cuvettes humides qui dérivent de la surface d'érosion éocène qui se retrouve sur ce massif granitique et tout le long de la côte bretonne[11]. De ces plateaux se détachent une série de crêtes et de buttes alignées sur 9 km d'Ouest en Est, entre Plouaret et Caouënnec-Lanvézéac. Il s'agit de bancs de quartzite paléozoïques très résistants. La majorité de ces crêtes culminant entre 100 et 110 m, sont des butte-témoins de la surface éocène sont des témoins de la surface éocène[12].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[14].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[13]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 10,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 898 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lannion_aero », sur la commune de Lannion, mise en service en 1993[19] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[20] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 945 mm pour la période 1981-2010[21]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 48 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[23] à 11,2 °C pour 1981-2010[24], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Ploubezre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [26] - [27] - [28]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lannion, une agglomération intra-départementale regroupant 11 communes[29] et 46 701 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[30] - [31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannion, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[32] - [33].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (55,3 %), terres arables (22,5 %), forêts (14,6 %), zones urbanisées (5,2 %), prairies (2,4 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[35].

    Toponymie

    L'office de la langue bretonne a relevé les formes écrites à plusieurs époques[36]. Dans les textes en latin, les formes Plebis Petri et Plebe Petri sont attestées au XIVe siècle, puis Ploeebre en 1404, Ploeberre en 1426, Plobezre en 1516, Plou Berre en 1630 et Plou-Pezr en 1636.

    Il s'agit d'un composé de Plou (paroisse) et de Pêr (Pierre en français), soit la « paroisse de Pierre », ce qui est également le sens des traductions latines. Le prénom breton Per était écrit Pezr en moyen-breton, avant que le /z/ ne cesse d'être prononcé puis d'être écrit dans l'évolution finale du moyen-breton. La mutation P/B était parfois écrite, parfois non, d'où les formes en B- et en P-. C'est pourquoi l'église est dédiée à Saint-Pierre.

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    La présence humaine sur le territoire de la commune est attestée depuis le Néolithique comme en témoignent quelques outils lithiques retrouvés (haches en pierre polie) et le menhir du Rhun, parfois mentionné sous le nom d' « Ar Min Sul ».

    Au Run se trouvent des vestiges d'un tumulus, un cimetière datant de la même époque est également présent à Keryanouen, les différentes fouilles effectuées ont permis de constater qu'il fut utilisé à l'époque romaine.

    Des haches en bronze ont été découvertes sur la commune. Une stèle signale également la période gauloise. Les différentes fouilles effectuées à Runfao ont permis de découvrir, dans la basse-cour du château, des tuiles, des briques et des restes de construction, ce qui atteste la présence d'une occupation romaine.

    Moyen-Âge

    En 1330, apparaît la première mention de Ploubezre, des traces de cet écrit figurent dans le procès de canonisation de saint Yves, Ploubezre a alors pour nom de Plebis Petri (pour paroisse de Pierre).

    Au Moyen Âge, s'élèvent à Ploubezre des mottes féodales, Kerhervé, des châteaux, notamment ceux de Coatfrec et Runfao. Ces deux châteaux sont les plus puissants de la paroisse.

    Le , le seigneur de Coëtfrec, Guillaume de Penhoët, reçoit le titre de banneret du duc de Bretagne, ce qui valut à la terre de ce nom le titre de baronnie.

    Plusieurs manoirs viennent couvrir le sol de la commune, ils affichent la richesse des seigneurs locaux durant le XVe siècle.

    Époque moderne

    Le commence l'édification du clocher-mur de l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul (inscription sur le porche).

    « Le troisième et septième jours de fut brûlée et ravagée la paroisse de Plestin par ceux du parti du roi. Et en réciproque le 21 du même mois de fut pareillement brûlée et ravagée la paroisse de Plouaret, Ploubezre et la ville de Lannion par ceux qui tenaient le parti du duc de Mercœur » a écrit le curé de Lanvellec[37]. En 1592, le chef de guerre de la Fontenelle, tristement célèbre pour ses méfaits, occupe le château de Coatfrec (Coëtfrec) en 1592 au nom du duc de Mercœur suivant mandement donné à Nantes le . Il s'y fortifie et dirige des incursions sur les environs. Il en est chassé par Sourdéac, gouverneur de Brest, au printemps 1593. Vers 1600, le château de Coëtfrec, qui avait servi de repaire aux Ligueurs pendant la guerre précédente, est démantelé sur ordre de Henri IV.

    À partir du XVIIe siècle, la noblesse préfère résider à Lannion, et de ce fait Ploubezre vit dans l'orbite de Lannion qui se développe de plus en plus.

    Le XIXe siècle

    En 1817, le clocher de l'église est frappé par la foudre ; le , le clocher est foudroyé une seconde fois.

    Le , Ploubezre cède le hameau de Keranstivel et le moulin de Rosalic au profit de Lannion.

    La 1ère Guerre mondiale

    Le Monument aux Morts fait état de 136 soldats morts pour la France. Parmi eux, 3 ont péri en mer[38].

    La 2ème Guerre mondiale

    Entre 1939 et 1945, 25 soldats sont morts pour la France, dont 2 qui ont péri en mer[38].

    Le , une patrouille allemande ayant été attaquée par des résistants entre le bourg de Ploubezre et la gare de Kerauzern, de nombreuses arrestations eurent lieu dans le bourg de Ploubezre et les soldats allemands firent sauter à la dynamite une usine de teillage de lin, une ferme et trois maisons[39].

    Le , des maquisards font sauter un pont de chemin de fer sur la commune.

    La guerre d'Indochine

    Deux soldats sont Morts pour la France[38].

    L'après 2ème Guerre mondiale

    Vers 1950, la chapelle Saint-Guirec, qui datait de 1698, est démolie.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].

    En 2020, la commune comptait 3 736 habitants[Note 9], en augmentation de 4,18 % par rapport à 2014 (Côtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 9252 8062 9833 0913 5823 3203 3463 4873 393
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 4903 3963 3943 3583 3023 2333 1293 0542 905
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 9832 9502 9002 6852 6082 5122 3252 1492 128
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    2 0521 9342 1962 6522 7092 6242 8552 9223 376
    2015 2020 - - - - - - -
    3 5653 736-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1942 1965 Pierre Huon de Penanster
    mars 1965 mars 1989 Claude Queffeulou[44] PS Colonel retraité
    mars 1989 décembre 1992 André Paugam PS Instituteur puis PEGC
    décembre 1992 mars 2014 Jean-Yves Menou PS Retraité
    mars 2014 En cours Brigitte Gourhant DVD Agricultrice
    Les données manquantes sont à compléter.
    Les cinq croix (Ar Pemp Kroaz).
    La chapelle de Kerfons-en-Kerfaouës.
    Château de Coatilliau.

    Résultats des élections

    Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

    Langue bretonne

    • En breton, la commune se nomme Ploubêr.
    • Le maire, Jean-Yves Menou, a signé la charte « Ya d'ar brezhoneg », visant à promouvoir le breton au sein de la commune, le .
    • La filière bilingue breton-français a fonctionné à Ploubezre jusqu'à la fermeture en 2011 de l'école privée Saint-Louis qui dispensait cet enseignement. En septembre 2020, une filière bilingue breton-français a été mise en place, à l’école maternelle publique de Ploubezre[47].

    Sites et monuments

    Manoirs et châteaux

    Édifices religieux

    L'église Saint-Pierre.

    Autres

    Jumelage

    La commune est jumelée avec :

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Prononciation en français de France retranscrite selon la norme API.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[15].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[16].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Carte géologique de la France au 1/50000 Fougères 13-17, éditions du BRGM, 1981, p. 5
    2. De Mancellia, nom latin de la région du Maine, domaine structural de la partie nord-est du Massif armoricain dénommé en 1949 par le géologue Pierre Pruvost. Il est caractérisé par un Précambrien récent au sein duquel se sont mis en place des granitoïdes intrusifs antérieurement au dépôt des terrains paléozoïques ; ce domaine surélevé a été épargné par les transgressions marines du Cambrien.
    3. Géologie de la France, éditions du BRGM, , p. 11.
    4. François de Beaulieu, La Bretagne. La géologie, les milieux, la faune, la flore, les hommes, Delachaux et Niestlé, , p. 15.
    5. (en) Richard Simon D'Lemos, The Cadomian Orogeny, Geological Society Publishing House, , p. 128.
    6. Hubert Lardeux et Claude Audren, Bretagne, Masson, , p. 30.
    7. [PDF] J. Chantraine (coordinateur) et al., Carte géologique France (1/50 000), feuille Lannion (203), éditions du BRGM, 1999, p. 89
    8. C. Barrois, Carte géologique à 1/80000, feuille Lannion (1re édit.), 1909.
    9. Louis Chauris, « Le granite porphyroïde de Porzpaul dans l'île d'Ouessant: un nouvel élément dans la ceinture des « granites rouges » du Massif armoricain (France) », Comptes Rendus de l'Académie des Sciences, Paris, iI, t. 313, , p. 245-250.
    10. CHAURIS L., GARREAU J. (1983a) - Un pluton polyphasé dans la ceinture batholitique hercynienne médio-armoricaine : le massif de Plouaret (Côtes-du-Nord, France). C.R. Acad. Sci. Paris, 296, p. 1591-1594
    11. Chantraine, op. cit., p. 91
    12. Chantraine, op. cit., p. 93
    13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    14. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    15. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    16. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    17. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    18. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    19. « Station Météo-France Lannion_aero - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    20. « Orthodromie entre Ploubezre et Lannion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station Météo-France Lannion_aero - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    22. « Orthodromie entre Ploubezre et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    24. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    25. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    28. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Unité urbaine 2020 de Lannion », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    30. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    31. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    32. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    35. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    36. Entrée dans la base de données du service Patrimoine linguistique de l'Office public
    37. Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1).
    38. « Ploubezre - Monument aux Morts », sur memorialgenweb.org.
    39. Éric Rondel, "Crimes nazis en Bretagne (septembre 1941-août 1944)", éditions Astoure, 2012, (ISBN 978-2-36428-032-8).
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    44. « Claude Queffeulou : un homme intègre », Le Télégramme, (lire en ligne).
    45. Résultats de l'élection présidentielle de 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur.
    46. Résultats de l'élection présidentielle de 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur.
    47. « Les inscriptions pour la classe bilingue sont ouvertes à Ploubezre », sur Le Telegramme, (consulté le )
    48. « Notice n°PA00089469 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Notice n°PA00089468 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « Notice n°PA00089472 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. Botin Mondain, édition 2016, page 286.
    52. Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Châteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 146.
    53. Notice no PA00089470, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    54. Notice no PA00089466, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. Notice no PA00089467, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. Notice no PA00089471, base Mérimée, ministère français de la Culture.

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