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Tonquédec

TonquĂ©dec (/tɔ̃.ke.dɛk/[Note 1]) (Tonkedeg en breton) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor, en rĂ©gion Bretagne.

Tonquédec
Tonquédec
Vue aérienne du chùteau de Tonquédec.
Blason de Tonquédec
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Lannion
Intercommunalité Communauté d'agglomération Lannion-Trégor Communauté
Maire
Mandat
Joël Philippe
2020-2026
Code postal 22140
Code commune 22340
DĂ©mographie
Gentilé Tonquédois, Tonquédoise
Population
municipale
1 201 hab. (2020 en augmentation de 1,09 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 67 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 40â€Č 12″ nord, 3° 23â€Č 38″ ouest
Altitude 90 m
Min. 10 m
Max. 106 m
Superficie 18,01 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lannion
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de BĂ©gard
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Tonquédec
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Tonquédec
    Signalisation bilingue.

    GĂ©ographie

    TonquĂ©dec est une commune de 1 096 habitants (en 2010), a une superficie de 1 801 ha et est situĂ©e Ă  une altitude de 90 m.

    TonquĂ©dec se trouve dans le Centre du TrĂ©gor (Argoat, le pays des bois), rĂ©gion situĂ©e Ă  l’ouest du dĂ©partement des CĂŽtes d’Armor (22), Ă  environ 10 km au sud-est de Lannion (voir carte).

    TonquĂ©dec fait partie du canton de Plouaret et de l’arrondissement de Lannion.

    Tonquédec est jumelée avec la commune de Corofin, dans le comté de Clare, en Irlande.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 10,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 924 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 14,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lannion_aero », sur la commune de Lannion, mise en service en 1993[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 945 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Saint-Brieuc », sur la commune de TrĂ©muson, mise en service en 1985 et Ă  43 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,2 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Tonquédec est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannion, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (82 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (82,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (66 %), forĂȘts (15,5 %), terres arables (14,4 %), zones urbanisĂ©es (2,5 %), prairies (1,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le village est attesté avec les graphies suivantes : Tonkadoc (en 1231), Tonguedoc (en 1235), Tonkedoc (en 1239), Trunkedus (en 1242, qui est une cacographie), Tonquedec (en 1253, en 1267, en 1330), Tonquedeuc (en 1395). On relÚve bien ici l'évolution du suffixe localisant vieux breton -og (gallois -og; issu de *ako-, qui a donné -acum en gallo-roman), devenu -euc (-eug), puis -ec (-eg) en breton moderne.

    TonquĂ©dec tire probablement son nom du chĂąteau. Pierre-Yves Lambert[21] y voit le breton tonket, destinĂ© (base celtique *tonk-, jeter un sort, prĂ©destiner) et le suffixe -eg (confondu avec -og, suffixe localisant), d'oĂč *Tonketeg, dont on trouve l'Ă©quivalent exact en vieil irlandais Toi(n)cthech, traduit par le latin Fortunatus. Il s'agirait donc, comme c'est souvent le cas en toponymie, d'un nom de personne pris absolument.

    Bernard Tanguy. 1992 : "Tonquédec a, en fait, un exact correspondant dans un anthroponyme attesté par une inscription chrétienne de Grande-Bretagne du début du VIe siÚcle sous la forme Tunccetace, composé formé avec un équivalent du gallois twung "serment' et un dérivé en -acos d'un mot cet "don, tribut". Comme le nom de Cavan, la paroisse voisine, celui de Tonquédec serait donc aussi un éponyme employé seul. Nom d'homme ou laïc ou de saint ? On ne peut le dire".

    Selon une autre hypothĂšse, TonquĂ©dec, qui s'Ă©crivait initialement "Traon-Cadoc" (la "vallĂ©e de Cadoc"), et saint Cado pourrait ĂȘtre Ă  l'origine du nom, mais c'est incertain[22].

    Histoire

    L'histoire du bourg de Tonquédec est intimement liée à celle de la famille de Coëtmen, du chùteau de Tonquédec.

    La plupart des événements historiques ayant eu lieu dans cette commune se rapportent au chùteau de Tonquédec, dont le début de la construction par les Coëtmen-PenthiÚvre remonte au XIIe siÚcle.

    Le Moyen Âge

    Le nom de TonquĂ©dec a dĂ©jĂ  sa forme actuelle dans un compte de 1330 environ, oĂč l'Ă©glise de ce lieu est citĂ©e parmi les bĂ©nĂ©fices du diocĂšse de TrĂ©guier. C'Ă©tait une paroisse dĂšs 1426.

    • Entre le et le , le duc Jean IV s'empara du chĂąteau de TonquĂ©dec et le fit raser, aprĂšs la victoire d'Oliver de Clisson, auquel Roland III de CoĂ«tmen, vicomte de TonquĂ©dec, Ă©tait alliĂ©.

    La Renaissance

    Le principal édifice de cette commune a été classé monument historique dÚs 1862 : il s'agit des ruines du chùteau (vers 1447, et au XVIe siÚcle), qui a donné son nom à la famille de Quengo de Tonquédec, laquelle acheta la vicomté de Tonquédec en 1636.

    • Le , l'Ă©glise de TonquĂ©dec fut Ă©rigĂ©e en collĂ©giale par une bulle fuminĂ©e Ă  la requĂȘte de Roland V de CoĂ«tmen, vicomte de TonquĂ©dec.
    • Vers , Charles Gouyon de la Moussaye, protestant, seigneur de TonquĂ©dec, commença d'entretenir une garnison pour servir le roi pendant toutes les guerres de la Ligue.
    • Quelques jours avant le , la garnison de TonquĂ©dec rentra victorieuse d'une rencontre avec les Ligueurs, commandĂ©s par le capitaine de PlƓuc du Breignou qui mourut de ses blessures au chĂąteau de TonquĂ©dec. Cette garnison prit part Ă  plusieurs autres affaires pendant la guerre, qui dura jusqu'en .

    L'Époque moderne

    • Le , Jacques de la Moussaye, baron de Marc, frĂšre du vicomte de TonquĂ©dec, s'Ă©tablit au chĂąteau avec quelques hommes en armes.
    • Dans la nuit du 17 au , une douzaine de gentilshommes du pays de Lannion, rĂ©unis et commandĂ©s par Jonathan de Kergariou de KerhaĂ«l, entrĂšrent dans le chĂąteau par le toit et le reprirent sans coup fĂ©rir.
    • Le , Amaury III de Gouyon, marquis de la Moussaye, vendit la vicomtĂ© de TonquĂ©dec Ă  RenĂ© du Quengo, comte du Rochay.
    • En 1665, le pĂšre Julien Maunoir , invitĂ© par Vincent de Meur, supĂ©rieur du sĂ©minaire des Missions Ă©trangĂšres, vint prĂȘcher une mission Ă  TonquĂ©dec et y guĂ©rit une fille « qu'on croyait obsĂ©dĂ©e et qui probablement n'estoit que folle ».

    La Révolution française

    Cette paroisse élut sa premiÚre municipalité le .

    Les guerres du XXe siĂšcle

    Le monument aux morts porte les noms des 87 soldats morts pour la Patrie[23] :

    • 70 sont morts durant la PremiĂšre Guerre mondiale ;
    • 16 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale ;
    • 1 est mort durant la guerre d'AlgĂ©rie.
    • En , un maquis d'une douzaine d'hommes se forma dans une maison abandonnĂ©e, prĂšs du moulin de Kerguignou.
    • Le , ce maquis fut attaquĂ© par les Allemands. Trois de ses membres furent tuĂ©s. Le village de Kerguignou fut entiĂšrement incendiĂ©.

    HĂ©raldique

    Blason de Tonquédec Blason
    De gueules aux sept annelets d'argent 3,3,1.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1977 1989 Pierre Le Manac'h PS Agriculteur
    mars 1989 2008 Yves Le Fustec PS Employé territorial
    mars 2008 2014 Jean-Yves Prigent PS Agriculteur retraité
    mars 2014 28 mai 2020 Jean-Claude Le Buzulier SE Commercial
    28 mai 2020 En cours Joël Philippe PS Agriculteur[24]
    Conseiller départemental du canton de Bégard (depuis 2017)
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[26].

    En 2020, la commune comptait 1 201 habitants[Note 9], en augmentation de 1,09 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7781 5551 5941 8461 9542 0442 0222 0952 102
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0582 0511 5471 5311 8901 8781 8401 7911 846
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8161 6791 6101 4651 4571 4021 2701 1501 109
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 1129588651 0451 0611 0631 0721 0721 131
    2017 2020 - - - - - - -
    1 1801 201-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Langue bretonne

    L’adhĂ©sion Ă  la charte Ya d’ar brezhoneg a Ă©tĂ© votĂ©e par le Conseil municipal le .

    Lieux et monuments

    La collégiale Saint-Pierre.
    • La chapelle Saint-Gildas et ses bas-reliefs
    • ChĂąteau de TonquĂ©dec construit au XIIIe siĂšcle
    • L’église ou collĂ©giale Saint-Pierre : elle dĂ©pendait autrefois de l’évĂȘchĂ© de TrĂ©guier. Elle a Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e en collĂ©giale en 1447. Devenue paroissiale sous la RĂ©volution (1790), reconstruite en 1835, seuls ont Ă©tĂ© conservĂ©s une tour datĂ©e de 1773, les portes du XVe, un bĂ©nitier du XIIIe et le chevet avec ses vitraux de couleur du XVe (la maĂźtresse vitre date du XVe et reprĂ©sente des chevaliers de la maison de TonquĂ©dec au XIIIe).

    Le campanile (ou clocher) qui fait l’originalitĂ© de l’église date de la seconde moitiĂ© du XIXe siĂšcle. Il a Ă©tĂ© rasĂ© en 1961 et la cloche qui s’y trouvait revit maintenant dans la chapelle de St GwenolĂ© depuis 1991.

    • La chapelle de Kerrivoallan : cette chapelle de caractĂšre (1600) domine la vallĂ©e du LĂ©guer et comporte une tribune remarquable ornĂ©e d’entrelacs celtiques sĂ©parĂ©s par des pilastres sculptĂ©s Ă  fĂ»ts canelĂ©s. Non loin de lĂ , on trouve une fontaine qui servait Ă  la cĂ©lĂ©bration d’un rite en faveur des enfants accusant un retard Ă  marcher. Et sur la riviĂšre Le LĂ©guer, une passerelle permettant un accĂšs au moulin de Kergrist, l’un des nombreux moulins Ă  grains de la vallĂ©e du LĂ©guer.
    • La chapelle du Loc
    • Il existait jusqu'en 1936 deux menhirs le long du chemin menant au village de Kermeur dans la parcelle dĂ©nommĂ©e Parc-ar-Rohel. Un faux-menhir a Ă©tĂ© dressĂ© depuis dans une parcelle voisine[29].

    Personnalités liées à la commune

    Bibliographie

    • Bernard Tanguy : Dictionnaire des noms de communes, trĂšves et paroisses des CĂŽtes d'Armor. Chasse-MarĂ©e . Ar Men. 1992

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Prononciation en français de France retranscrite selon la norme API.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Lannion_aero - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Tonquédec et Lannion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Lannion_aero - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Tonquédec et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Dictionnaire de la langue gauloise, Ă©ditions errance 1994.
    22. D'aprÚs une notice d'information touristique située dans la chapelle Saint-Cado de Bannalec.
    23. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    24. « TonquĂ©dec. JoĂ«l Philippe portĂ© Ă  la tĂȘte de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Anne Marchat et Michelle Le Brozec, Les mĂ©galithes de l'arrondissement de Lannion, Rennes, Institut Culturel de Bretagne, , 102 p. (ISBN 2-86822-039-8), p. 58 Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article.
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