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Peumerit-Quintin

Peumerit-Quintin [pĂžmʁit kɛ̃tɛ̃] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor en rĂ©gion Bretagne.

Peumerit-Quintin
Peumerit-Quintin
La chapelle du Loc'h
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Intercommunalité Communauté de communes du Kreiz-Breizh
Maire
Mandat
Marie-HĂ©lĂšne Bernard
2020-2026
Code postal 22480
Code commune 22169
DĂ©mographie
Gentilé Peumeritois, Peumeritoises
Population
municipale
172 hab. (2020 en diminution de 3,37 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 12 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 21â€Č 42″ nord, 3° 16â€Č 18″ ouest
Altitude 260 m
Min. 212 m
Max. 290 m
Superficie 14,8 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rostrenen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Rostrenen
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Peumerit-Quintin
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Peumerit-Quintin
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Peumerit-Quintin
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Peumerit-Quintin

    Langue bretonne

    GĂ©ographie

    Situation

    La paroisse fait partie du territoire breton traditionnel du pays Fañch et de l'Argoat.

    • Carte de la commune de Peumerit-Quintin.
      Carte de la commune de Peumerit-Quintin.
    Communes limitrophes de Peumerit-Quintin
    Maël-Pestivien Kerien
    Saint-NicodĂšme Peumerit-Quintin Lanrivain
    Trémargat

    GĂ©ologie et relief

    De Duault à Corlay en passant par Peumerit-Quintin et Saint-Nicolas-du-Pélem, sur plus de 30 km, un massif granitique correspondant à la partie ouest du batholite de Quintin, domine, atteignant 290 mÚtres, les collines schisteuses de la partie orientale du bassin de Chùteaulin situées à son sud.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 087 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 16,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Kerpert », sur la commune de Kerpert, mise en service en 1987[7] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 130,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de TrĂ©muson, mise en service en 1985 et Ă  36 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,2 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Peumerit-Quintin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rostrenen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (90,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (85 %), prairies (7,7 %), eaux continentales[Note 8] (3,7 %), forĂȘts (3,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Pumerit Quintin fin XVe siÚcle et Pemeuryt-Quintin en 1535 et en 1536[21].

    Peumerit vient du latin pomaritum (verger)[21].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    L'occupation humaine sur le territoire de la commune est attestée dÚs le Néolithique comme en témoignent les menhirs de Kerguen et de Pempoul-Hellez toujours visibles, ainsi qu'une allée couverte, désormais détruite, située prÚs de Pempoul mentionnée au début du XXe siÚcle[22]

    Une statuette en bronze, probablement d'origine gallo-romaine, représentant un homme avec casque et aigrette, probablement un guerrier, a été trouvée en 1872 à Coldeven[23].

    Le monument aux Morts

    Le monument aux Morts porte les noms de 52 soldats morts pour la Patrie[24] :

    • 40 sont morts durant la PremiĂšre Guerre mondiale.
    • 12 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.

    La Seconde Guerre mondiale

    Le maquis Tito se développa à partir du printemps 1943 dans le quadrilatÚre Trémargat, Lanrivain, Peumerit-Quintin, Saint-Nicolas-du-Pélem, sous le commandement de Louis Pichouron, alias "commandant Alain"[25].

    Ouvrier agricole nĂ© en 1921 Ă  Peumerit-Quintin, Albert Pinson rejoint un groupe d'une vingtaine de  jeunes rĂ©sistants, des Ă©tudiants rennais pour la plupart. BasĂ©s Ă  Senven-LĂ©hart, peu armĂ©s, ils furent rapidement repĂ©rĂ©s par les autoritĂ©s d'Occupation. Le 12 juin 1944,  Jean PĂ©ron fut arrĂȘtĂ© avec onze autres maquisards et transfĂ©rĂ© Ă  la prison de Guingamp oĂč il subit d'horribles tortures[26]. Il fut fusillĂ© quatre jours plus tard. Il avait 23 ans.

    Le , François Lagadec, Pierre-Marie Turpin et Lucien Quelen, de Plussulien, trois jeunes rĂ©sistants FFI, qui rapatriaient des armes provenant d'un parachutage en forĂȘt de Duault, furent tuĂ©s par des soldats allemands Ă  la Croix-Tasset en Peumerit-Quintin[27].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1988 1992 Pierre-Louis Le Naou
    1992 2014 Robert Le Moigne DVG Retraité
    2014 3 juillet 2020 Michel Connan DVG-PCF Agriculteur
    3 juillet 2020 En cours Marie-HĂ©lĂšne Bernard[28] PS
    Les données manquantes sont à compléter.

    Économie

    • En 1999 il y a 148 habitants Ă  Peumerit-Quintin dont 36 actifs, et 12 entreprises. Dans la commune il y a 6 personnes qui travaillent Ă  la mairie et qui l'entretiennent, une dizaine d'exploitants agricoles, ainsi que des personnes travaillant Ă  l'extĂ©rieur.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[30].

    En 2020, la commune comptait 172 habitants[Note 9], en diminution de 3,37 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    921235304306363605595608608
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    583598612568641591643622619
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    604605635643623600506446395
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    323295249206162148158159175
    2017 2020 - - - - - - -
    172172-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Peumerit-Quintin a perdu 76 % de sa population entre 1851 et 1999, passant de 608 Ă  148 habitants entre ces deux dates.

    Associations

    Il y a 8 associations Ă  Peumerit-Quintin :

    • 2 associations de chasse
    • 1 association pour les personnes ĂągĂ©es
    • L'Association des Amis de la chapelle du Loc'h
    • L'association Tal an Dour, alternant randonnĂ©e avec chants et autres activitĂ©s
    • L'association du Congo
    • Le Bueno DĂ©nous
    • L'association des Guitardmen

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Sainte-Anne.
    • La chapelle du Loc'h (XVe siĂšcle). Elle est dĂ©diĂ©e au culte de saint Cado. Inscrite aux monuments historiques depuis 1930.
    • L'Ă©glise Sainte-Anne.

    Personnalités liées à la commune

    Henri Le Naou, conteur du Pays Fañch [33] - [34].

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Kerpert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Peumerit-Quintin et Kerpert », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Kerpert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Peumerit-Quintin et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de peumerit-quintin ».
    22. Loïc Langouët, Les mégalithes de l'arrondissement de Guingamp, Institut Culturel de Bretagne, , 92 p. (ISBN 9782868221018), p. 56-57.
    23. Pierre-Roland Giot et P.-L. Gouletquer, Quelques petits bronzes armoricains, revue "Annales de Bretagne", 1964, consultable http://www.persee.fr/doc/abpo_0003-391x_1964_num_71_1_2210
    24. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    25. Louis Pichouron, né le à Minihy-Tréguier, voir Louis Pichouron, "Mémoire d'un partisan breton Louis Pichouron Commandant Alain", Presses universitaires de Bretagne, 1970
    26. Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités aprÚs jugement d'un tribunal militaire allemand (CÎtes-du-Nord, 1940-1944)", Les cahiers de la Résistance populaire, mai 2011, page 128.
    27. Éric Rondel, "Crimes nazis en Bretagne (septembre 1941-aoĂ»t 1944)", Ă©ditions Astoure, 2012, (ISBN 978-2-36428-032-8).
    28. « Peumerit-Quintin. Marie-HĂ©lĂšne Bernard, premiĂšre femme Ă©lue maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. article du Ouest France
    34. article du telegramme

    Voir aussi

    Liens externes

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