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Paul Welsch

Paul Welsch, né le à Strasbourg et mort le à Paris, est un peintre français figuratif. Également graveur (eau-forte, gravure sur bois et linogravure) et lithographe, il était membre de la Société des peintres-graveurs français.

Paul Welsch
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Biographie

Il y commence ses études secondaires qu'il achève à Hanovre. Ses carnets d'esquisses (1907-1908) montrent déjà sa maîtrise du dessin. Il poursuit des études de droit à l'université de Strasbourg puis de sciences politiques à la faculté de droit de Paris (1909-1911). C'est à cette époque qu'il devient l'élève d'Émile Schneider (1873-1947) à Strasbourg aux côtés duquel il expose ses premiers essais. À Paris, dès 1911, il débute en peinture chez Maurice Denis qui le convainc de consacrer sa vie aux beaux-arts. Il se perfectionne en dessin et gravure auprès de Bernard Naudin (1876-1946). Jusqu'en 1914 il étudie à l'Académie Ranson auprès de Maurice Denis et de Paul Sérusier. Il expose dans ces années-là, notamment à la Société des artistes français en , une série de gravures de facture très réaliste.

La guerre de 1914 interrompt brièvement ces débuts : enrôlé sous le drapeau allemand, il est blessé sur le front russe et rapatrié dès . Les peintures exécutées entre 1914 et 1919 sont caractérisées par des traits épais et nerveux aux couleurs vives, ainsi qu'en témoigne la Place Kléber pavoisée pour l'armistice, toile de 1918 conservée au Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg[2].

En 1919, il forme avec d'autres peintres alsaciens le Groupe de Mai, influencé par les œuvres de Paul Cézanne : Jacques Gachot (1885-1954), Hans Haug (1890-1965) dit Balthasar, Edouard Hirth (1885-1980), Martin Hubrecht (1892-1965), Luc Hueber (1888-1974), Louis-Philippe Kamm (1882-1959) et Lisa Krugell (1893-1977). Le Groupe de Mai, au sein duquel Gilles Pudlowski distingue« Paul Welsch qui peint les bleu azur de la Provence avec une luminosité tranquille et s'affirme comme le Méditerranéen du groupe »[3], exposera à Paris (chez Bernheim-Jeune en ) et Strasbourg (habituellement à la Maison d'Art Alsacienne, 6 rue Brûlée) jusqu'en 1934. Paul Welsch « reconstruit en architecte la nature, soumettant formes, lumière, couleurs à la discipline austère, d'une grande distinction. Lui est resté fidèle à l'un des préceptes du Maître d'Aix : faire du Poussin d'après nature » observe pour sa part Robert Heitz[4]. Après la guerre, l'artiste s'installe à Paris.

Paul Welsch illustre en 1920 son premier livre, Les bourgeois de Witzheim d'André Maurois, dans un esprit proche de Hansi. La même année, il séjourne huit mois en Tunisie qu'il transcrit dans une peinture sobre, grave et lumineuse, loin de tout orientalisme de bazar. Il participe cette année-là avec deux toiles au Salon tunisien[5] puis exposera le fruit de ce travail - « des toiles d'une rare sobriété de couleurs, aux lignes de force puissantes réduites à l'essentiel » restitue Gérald Schurr[6] - en la galerie Bernheim-Jeune à Paris en ).

Il effectue dès 1921 un premier séjour à Saint-Tropez où il reviendra régulièrement. Sa peinture n'est pas insensible aux courants de l'époque : Albert Marquet, André Derain ou Henri Matisse. « Welsch [dans Le palmier] cherche moins une émotion que l'architecture impeccable du tableau, le contraste des formes […] qui, à cette époque de sa carrière, le rapproche du cubisme » constate Robert Heitz dans La peinture en Alsace. Il explore les paysages du sud : Paysage au bord du Loup (1922), Paysage à Florence (1922), Paysage à la Gaude (1923), Citadelle à Corte (1925). Un voyage en Italie lui permet d'approfondir sa connaissance des peintres de la Renaissance, plus particulièrement Masaccio. Dès 1922, il devient sociétaire du Salon d'automne de Paris, participe au 33e Salon des indépendants et, en 1923, au Salon des Tuileries. Paraît cette même année son deuxième livre illustré : Amis et amiles d'Assenet, sept bois originaux aux traits géométriques, proches du vitrail.

Paul Welsch abandonne progressivement dans ses toiles, à partir de 1924, cette géométrie appuyée. Il se tourne vers un style plus dépouillé : limitation des couleurs (bleus, bruns, verts), formes simplifiées mais souples. Au Salon des Indépendants de 1925, Raymond Régamey repère un Vendanges à Capri « très sobre et noble de lignes […] avec cet art déroutant au premier coup d'œil de rendre par des demi-teintes la forte lumière »[7]. Paul Welsch peint en cette même année 1925 deux panneaux pour le Pavillon de Mulhouse de l'Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes à Paris : L'Eau et La Terre (conservés aujourd'hui au Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg). L'artiste, à côté des paysages du Midi, se consacre aux teintes sourdes de Paris et d'Alsace, sans négliger la nature morte ou le nu dans lesquels il excelle. L'austérité très attachante de cette peinture culminera dans les toiles du Quercy (Route à Puylaroque, 1927), avec « de lourds paysages au ciel plombé, vides, inquiets, à l'allure lente » (M. K.). Les couleurs vives transpirent à travers la pâte plutôt qu'elles ne s'offrent ostensiblement au regard grâce à une parfaite maîtrise du glacis. Les portraits - des femmes au visage souvent triste - sont transcendés par la souplesse des lignes et l'art de la correspondance des couleurs (Femme au gilet rouge, 1929, Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg).

Au cours des années 1930, Paul Welsch assied définitivement son style, un réalisme poétique très caractéristique, fait, ainsi que l'observe Maurice Betz dans le catalogue de l'exposition à la galerie Berthe Weill en 1931, d'une « perfection dense, humaine, dédaigneuse de toute éloquence ». Sa formation politique lui permet sans doute de trouver les appuis nécessaires pour participer aux grandes manifestations de son temps : décoration murale pour la Semaine Coloniale de mai-, illustration pour les livres d'Armand Megglé portant sur l'Afrique-Occidentale française, l'Afrique-Équatoriale française et la Syrie (1931), La vie aux champs, panneau accroché dans le vestibule du Pavillon d'Alsace lors de l'Exposition Internationale des Arts et Techniques de 1937. On trouve dans cette dernière œuvre les thèmes de l'homme et de la terre qui sont au centre de toute la carrière de Welsch.

Après un bref séjour aux États-Unis évoqué par David Karel, « sans doute à Chicago »[8], et plusieurs séjours à Obernai en Alsace (1935-1939), il est mobilisé sur le front de Lorraine en tant que capitaine de cavalerie, se distinguant en pour sa conduite au feu. Il est fait prisonnier de 1940 à 1941 aux Oflags XVII d'Edelbach et Va de Weinsberg. Il en rapportera de nombreux dessins et aquarelles qui seront exposés à Paris. Durant cette époque, il signe ses œuvres Velche. Il passe le reste de la guerre principalement en Dordogne, à Génis. Les huiles qu'il y peint déclinent à l'infini la gamme des verts, une de ses couleurs de prédilection.

Après guerre, restitue Jean-Eugène Bersier, « il reprendra avec sa passion contenue, cette sorte d'ardeur réservée qui lui est si personnelle, son métier de peintre et sans doute s'exprimera-t-il en ces dix dernières années mieux encore qu'auparavant, son œuvre calme et profonde va s'enrichir d'une quiétude, d'une sûreté qui ne faibliront pas jusqu'à la fin »[9]. Les dernières œuvres - peintes à Paris, Saint-Tropez ou Malaucène dans le Vaucluse - ne s'écartent guère de celles des années 1930 mais se caractérisent par une gamme plus étendue de couleurs chaudes. Il produit aussi de nombreuses lithographies, majoritairement en noir et blanc mais aussi en couleurs (Le rendez-vous des chasseurs, Salon d'Automne de Paris 1949), et réalise les illustrations de quatre livres : Petits poèmes en prose de Baudelaire (1947) restés semble-t-il inédits ; Le pilier des anges de Claude Odilé (1948) ; Croquis de Provence d'André Suarès (1952), ouvrage pour lequel il se lance dans la technique de la gravure sur bois ; enfin La bonne chanson de Paul Verlaine (1954). En 1953, il réalise encore une vaste peinture murale pour le collège technique hôtelier de Strasbourg (actuellement collège Fustel de Coulanges) qui résume son univers : la vie simple de l'homme dans la nature. Il meurt d'un cancer le à Paris et est enterré au cimetière Saint-Gall de Strasbourg[10]. Il avait épousé Germaine Roth (1895-1974).

Principales expositions

  • 1920 : Maison d'Art Alsacienne, Strasbourg.
  • 1920 : Salon tunisien, Tunis[5].
  • 1921 : Galerie Bernheim-Jeune, Paris, avec le Groupe de Mai[6].
  • 1925 : Exposition des Arts DĂ©coratifs, Paris.
  • 1927 : Galerie Zborowski, Paris.
  • 1931 : Galerie Berthe Weill, Paris[11]
  • 1932 : Exposition Coloniale Internationale, Paris.
  • 1933 : Maison d'Art Alsacienne, Strasbourg
  • 1937 :
    • Galerie Aktuaryus, Strasbourg ;
    • Maison d'Art Alsacienne, Strasbourg ;
    • Exposition Internationale des Arts et Techniques, Paris.
  • : Exposition 29e Groupe des artistes de ce temps Petit Palais, Paris.
  • 1942 : Galerie de Berri.
  • 1945 : Maison d'Art Alsacienne, Strasbourg.
  • 1948 : Galerie Aktuaryus, Strasbourg
  • 1950 : Galerie AndrĂ© Maurice, Paris ; Galerie Aktuaryus, Strasbourg.
  • 1953 : Galerie Aktuaryus, Strasbourg.
  • 1954 : RĂ©trospective Welsch, château des Rohan de Strasbourg.
  • 1968 : Exposition Ă  la Galerie Bellier, Paris ; puis vente aux enchères Ă  l'hĂ´tel Drouot, Paris
  • 1972 : Galerie Aktuaryus, Strasbourg.
  • 1975 : Maison d'Art Alsacienne (Ancienne Douane), Strasbourg.
  • 2002 : Le Groupe de mai, MusĂ©e historique de Haguenau[12].
  • 2006 : RĂ©trospective Welsch, MusĂ©e historique de Haguenau[12].
  • Avril-juin 2013 : Paysages et modernitĂ© : l'entre-deux-guerres, MusĂ©e des Beaux-Arts de Mulhouse[13].

Salon d'automne, Paris (1923-1928 ; 1934-1938 ; 1940-1954) - Salon des Tuileries, Paris (1923-1933 ; 1942-1943) - Salon des indépendants, Paris (à partir de 1922)

Principaux livres illustrés

  • 1920 : AndrĂ© Maurois, Les Bourgeois de Witzheim, illustrations de Paul Welsch, 90 exemplaires numĂ©rotĂ©s sur vergĂ© de Hollande, Grasset.
  • 1924 : Adaptation de Fernand Fleuret, Amis et amiles suivi de Asseneth, deux contes mĂ©diĂ©vaux, 7 bois originaux gravĂ©s par Paul Welsch, 450 exemplaires numĂ©rotĂ©s, collection « Les petites Ĺ“uvres », Ă©ditions Chiberre.
  • 1928 : Maurice Betz, Rouge et blanc.
  • 1930 :
    • Henri-Bert (prĂ©face d'AndrĂ© de Fouquières), Beau Brummel, illustrations de Paul Welsch, SociĂ©tĂ© française d'Ă©ditions ;
    • Paul Fort, La poĂ©sie de Paris.
  • 1931 :
    • Armand MegglĂ©, Afrique Ă©quatoriale française, dessins de Paul Welsch, SociĂ©tĂ© française d'Ă©ditions ;
    • Armand MegglĂ©, Afrique occidentale française, dessins de Paul Welsch, SociĂ©tĂ© française d'Ă©ditions ;
    • Armand MegglĂ©, Terres françaises - La Syrie, dessins de Paul Welsch, SociĂ©tĂ© française d'Ă©ditions.
  • 1937 : Paul Fort, Vol d'oiseaux noirs au temps des cerises, frontispice, vignette de la couverture et cul-de-lampe par Paul Welsch, 780 exemplaires numĂ©rotĂ©s, typographie Armand Jules Klein, Paris.
  • 1939 : Paul Fort, Livre d'espĂ©rance - La joie française vaincra les temps sans joie, frontispice d'Imre Perely, cul de lampe La ronde autour du monde de Paul Welsch, 620 exemplaires numĂ©rotĂ©s, typographie Armand Jules Klein, Paris.
  • 1947 : Charles Baudelaire, Petits Poèmes en prose (inĂ©dit).
  • 1948 : Claude OdilĂ©, Le Pilier des anges et autres lĂ©gendes, lithographies originales de Paul Welsch, 250 exemplaires numĂ©rotĂ©s, Ă©ditions des Arceaux.
  • 1949 : Collectif (dont Jean Cassou, Jean Fayard, Jean Follain, Marcel Haedrich, Edmond Jaloux, Thomas Mann, Daniel-Rops, Rainer Maria Rilke, Hommage Ă  Maurice Betz, lithographies originales de Jean-Gabriel Daragnès, Jacques Ernotte, Berthold Mahn et Paul Welsch, 305 exemplaires numĂ©rotĂ©s, Émile-Paul Ă©diteur.
  • 1952 : AndrĂ© Suarès, Croquis de Provence, 35 bois originaux en couleur gravĂ©s par Paul Welsch, 160 exemplaires numĂ©rotĂ©s, Les Francs bibliophiles, Paris.
  • 1954 : Paul Verlaine, La Bonne Chanson.

RĂ©ception critique

  • « Artiste distinguĂ© et sincère qui peint comme il sent et ne cherche pas Ă  plaire Ă  priori. » - Germain Bazin[11]
  • « Paul Welsch a un sentiment très sĂ»r de l'ordonnance gĂ©nĂ©rale du tableau. Sa composition est infaillible. Dans l'orchestration colorĂ©e, pas une fausse note, que ce soient les harmonies grises de ses tableaux d'il y a dix ans, les verts et bleus sourds de son Ă©poque cĂ©zannienne, les nuances phosphorescentes de ses toiles rĂ©centes oĂą se sent quelque influence de Simon-LĂ©vy et qui rachètent par de grandes qualitĂ©s picturales ce qu'elles ont pu perdre en soliditĂ©. Un mĂ©tier très sĂ»r, hostile Ă  tout effet de virtuose. » - Robert Heitz[14]
  • « Paul Welsch exprime spontanĂ©ment en lithographie toute l'Ă©motion qu'il refoule parfois au cours de l'exĂ©cution raisonnĂ©e et mĂ©thodique de ses peintures Ă  l'huile. Totalement affranchi des servitudes du mĂ©tier, cet illustrateur Ă©prouvĂ© se livre Ă  la joie d'une interprĂ©tation rapide et directe. Son crayon gras glisse sur la pierre, tantĂ´t brutal, tantĂ´t caressant, toujours sĂ»r, sobre et n'exprimant que l'essentiel… Il obtient des tonalitĂ©s veloutĂ©es, dĂ©licatement modulĂ©es et qui sont une dĂ©lectation pour l'Ĺ“il. Quant Ă  l'esprit, il est pleinement satisfait par ces visions personnelles et analytiques des sujets les plus divers… Il s'exprime librement. Si librement, mĂŞme, que le motif transposĂ© par sa vision n'est qu'un prĂ©texte. Comme CĂ©zanne, Welsch imprime Ă  ses Ĺ“uvres un rythme qui nĂ©cessite des dĂ©formations, des simplifications dĂ©cisives, un mĂ©pris absolu du dĂ©tail anecdotique et de la reprĂ©sentation figurative. » - Marc Lenossos[15]
  • « Paul Welsch furent de ceux qui dĂ©pouillèrent le mieux les sites nord-africains et ceux de la MĂ©diterranĂ©e des oripeaux colorĂ©s dont, jusqu'en 1900, on aimait Ă  les revĂŞtir abusivement. Sous lers Ă©clats accidentels, il sut percevoir des raffinements plus austères, des beiges, des ocres clairs, des verts Ă©teints qui constituent le vĂ©ritable visage de ces rĂ©gions. » - Robert Rey[16]
  • « Sa rencontre Ă  22 ans avec Maurice Denis et Bernard Naudin fait balancer du cĂ´tĂ© de l'expression artistique une carrière qui s'orientait vers le droit. Dix ans plus tard il expose Ă  Paris des paysages d'Italie et d'Orient aux tons très sobres soutenus par des lignes de force rĂ©duites Ă  l'essentiel. » - GĂ©rald Schurr[17]
  • « Dès ses premières Ĺ“uvres, on dĂ©cèle un art tendu vers la sobriĂ©tĂ©, sobriĂ©tĂ© dans le choix de ses sujets, des citrons posĂ©s sur une chaise de paille, un torse de femme endormie, une calme baie mĂ©diterranĂ©enne ou les majestueux vallonnements de son Alsace natale, sobriĂ©tĂ© dans la recherche des lignes, des plans et des volumes essentiels. » - Dictionnaire BĂ©nĂ©zit[18]
  • « Marc Lenossos, comme Robert Heitz, prĂ©fère ses dessins, plus vivants, Ă  ses huiles. D'autres apprĂ©ciaient sa retenue, cette austĂ©ritĂ© Ă©lĂ©gante, la sobriĂ©tĂ© de ses moyens et de ses gestes. Dans le Paysage au Mont national (près d'Obernai), Welsch montre, au contraire, toute la souplesse et l'ampleur de son geste. La composition est lĂ©gère, la matière fine, le paysage aĂ©rĂ©. L'huile ne recouvre pas tout le panneau, les espaces de rĂ©serve allègent l'ensemble. Les taches de couleur font palpiter la nature. On observe les traits et les coups de pinceau : le peintre traduit son Ă©motion de manière spontanĂ©e. Dans la plupart de ses huiles, il la contient dans un Ă©quilibre parfait de formes et de tons. » - HĂ©lène Braeuner[19]

Distinctions

Collections publiques

Drapeau du Canada Canada

États-Unis

France

Références

  1. « ark:/36937/s005b07bd747f97f », sous le nom WELSCH Paul (consulté le )
  2. François Walgenwitz, « Paul Welsch - Les sentiments et les émotions tempérées d'un grand seigneur », Alsace Collections, 15 mars 2017
  3. Gilles Pudlowski, Dictionnaire amoureux de l'Alsace, Plon, 2010.
  4. Robert Heitz, « Paul Welsch », Saisons d'Alsace, n° 47, 1973.
  5. Salon tunisien, catalogue, Institut de Carthage, 1920, p. 13
  6. Gérald Schurr, Les petits maîtres de la peinture, valeur de demain, Les Éditions de l'Amateur, tome 4, 1979, p. 165.
  7. Raymond Régamey, « Paul Welsch », revue L'Amour de l'art, n°4, 1er avril 1927.
  8. David Karel, Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord, Musée du Québec / Les Presses de l'Université Laval, 1992, p. 830.
  9. J.-E. Bersier, « Paul Welsch », Revue de la Méditerranée, tome 17, n°3, 1957.
  10. Christian Claude, « Paul Welsch, le plus parisien des peintres alsaciens », Neustadt Galerie
  11. Germain Bazin, « Le Moulin à peinture - Les expositions : Paul Welsch, Galerie Berthe Weill »., L'Amour de l'art, n°5, mai 1931, p. 251.
  12. Ville d'Haguenau, expositions passées
  13. Musée des Beaux-Arts de Mulhouse, Paysages et modernité : l'entre-deux-guerres, présentation de l'exposition, 2013
  14. Robert Heitz, « Physionnomie d'artiste - Paul Welsch », La Vie en Alsace, 1931.
  15. Marc Lenossos, « Des œuvres de Cézanne aux paysages alsaciens de Paul Welsch », La Vie en Alsace, 1937.
  16. Robert Rey, Atelier Paul Welsch, Ă©ditions de la Galerie Bellier, 1968.
  17. Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996, p. 963.
  18. Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, tome 14, pp. 532-533.
  19. Hélène Braeuner, Les peintres et l'Alsace - Autour de l'impressionnisme, La Renaissance du livre, 2003, p. 188.
  20. Musée national des beaux-arts du Québec, Paul Welsch dans les collections
  21. Smithsonian American Art Museum, "Autoportrait" de Paul Welsch dans les collections
  22. Smithsonian American Art Museum, "Le chantier" dans les collections
  23. Musée d'art moderne de la ville de Paris, "Les barques à Saint-Tropez" dans les collections
  24. Musée d'art moderne de la ville de Paris, "Café, Malaucène, la nuit" dans les collections
  25. François Walgenwitz, « L'analyse d'une œuvre - Paul Welsch : "Portrait de la femme de l'artiste", 1928 », Alsace Collections, 15 mars 2017
  26. Musée d'art moderne et contemporain de Strasbourg, "Le cours à Malaucène" dans les collections (œuvre ayant fait l'objet d'un dépôt à l'Orchestre philharmonique de Strasbourg)
  27. Musée d'art moderne et contemporain de Strasbourg, "Les Decques au Brusq" dans les collections
  28. Musée d'art moderne et contemporain de Strasbourg, "Le fort de Six-Fours" dans les collections

Annexes

Sources et bibliographie

Cet article a été écrit à partir des archives personnelles de Paul Welsch.

  • Aloyse Andrès, Cinquante annĂ©es de peinture en Alsace, Saisons d'Alsace n° 3, Strasbourg, 1950.
  • Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 Ă  nos jours, Arts et Images du Monde, 1992.
  • BĂ©nĂ©zit :
    • BĂ©nĂ©zit Emmanuel, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, tome 14, Paris, GrĂĽnd, 1999.
    • (en) lire en ligne (ISBN 9780199899913).
  • Jean-Eugène Bersier, Paul Welsch, Revue de la MĂ©diterranĂ©e, tome 17 n° 3, Paris-Alger, 1957.
  • HĂ©lène Braeuner, Les peintres et l'Alsace, autour de l'Impressionnisme, La Renaissance du Livre, Tournai (Belgique), 2003.
  • Christian Claude (prĂ©face de Marianne Le Morvan), Paul Welsch ou le rĂ©alisme poĂ©tique en peinture, JĂ©rĂ´me Do Betzinger Ă©diteur, Colmar, 2015.
  • François Joseph Fuchs, « Paul Welsch Â», Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, vol. 48, p. 5018.
  • Robert Heitz, « Le Groupe de mai : dixième anniversaire, 1919-1929 », La Vie en Alsace, Strasbourg, 1929.
  • Robert Heitz, « Physionnomie d'artiste - Paul Welsch », La Vie en Alsace, Strasbourg, 1931.
  • Robert Heitz, La peinture en Alsace 1050-1950, Dernières Nouvelles d'Alsace, Strasbourg, 1975.
  • Davis Karel, Dictionnaire des artistes de langue française en Afrique du Nord, MusĂ©e du QuĂ©bec / Les Presses de l'UniversitĂ© Laval, 1992 (consulter en ligne).
  • Marc Lenossos, « Des Ĺ“uvres de Paul CĂ©zanne aux paysages alsaciens de Paul Welsch », La Vie en Alsace, Strasbourg, 1937.
  • François Lotz, Artistes peintres alsaciens de jadis et de naguère 1880-1982, Kaysersberg, Printek, 1987.
  • Claude OdilĂ©, « Les artistes vivants de l'Alsace », La Vie en Alsace, Strasbourg, 1926.
  • Claude OdilĂ©, « Le Groupe de mai, exposition de 1928 », La Vie en Alsace, Strasbourg, 1928.
  • Raymond RĂ©gamey, « Paul Welsch, peintre », L'Amour de l'art, n°5, mai 1927, p. 136 (consulter en ligne).
  • Robert Rey, Atelier Paul Welsch, Ă©ditions de la galerie Bellier, Paris, 1968.
  • GĂ©rald Schurr, Les petits maĂ®tres de la peinture, valeur de demain, Les Éditions de l'Amateur, tome IV, 1979.
  • GĂ©rald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996.
  • Pia Wendling, Une gĂ©nĂ©ration de peintres en Alsace : le Groupe de -1934, MusĂ©e Historique, Haguenau, 2002.
  • Pia Wendling, Paul Welsch 1889-1954, MusĂ©e Historique, Haguenau, 2006.

Liens externes

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