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Oxfam International

Oxfam International (Oxford Committee for Famine Relief) est une confédération d'une vingtaine d'organisations caritatives indépendantes à travers le monde. Celles-ci travaillent ensemble et en collaboration avec des partenaires locaux répartis dans 66 pays dans le monde.

Oxfam International
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Oxfam international dans le monde
Situation
RĂ©gion Monde Monde
Création
Type Aide humanitaire
Organisation internationale
Oxfam House, John Smith Drive Oxford, Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
CoordonnĂ©es 51° 43â€Č 37″ N, 1° 12â€Č 31″ O
Langue anglais, français
Directeur général intérimaire José María Vera

Site web Oxfam.org
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Oxfam International

Histoire

Oxfam, initialement Oxford Committee for Famine Relief (l'abrĂ©gĂ© date de 1965), a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en Angleterre en 1942 pour agir contre la famine provoquĂ©e par le blocus anglais contre l'occupation nazie en GrĂšce. Alors que les puissances de l’Axe occupent presque toute l’Europe, la GrĂšce fait face Ă  un blocage naval des forces alliĂ©es que refuse de lever Winston Churchill, malgrĂ© la famine qui tue 2 000 personnes chaque jour. À Oxford, un petit groupe de personnes dĂ©cide de former le « Oxford Committee for Famine Relief ».

Dans les annĂ©es 1960, l’organisation dĂ©veloppe des mĂ©thodes de mobilisation, dĂ©sormais courantes. Des annonces poignantes dans les journaux aux mobilisations sur Trafalgar Square aux cĂŽtĂ©s des Beatles et des Stones, Oxfam mobilisa des dizaines de milliers de citoyens et citoyennes pour interpeller directement les dĂ©putĂ©s britanniques.

Par la suite, des organisations non gouvernementales de coopération au développement se sont constituées indépendamment sous le nom d'Oxfam dans différents pays développés. En 1995, elles se sont regroupées au sein de la confédération Oxfam international, créée pour assurer à leur action une meilleure efficacité et une plus grande visibilité.

Ces ONG luttent aujourd'hui sur les terrains politiques, économiques et humanitaires contre la pauvreté et les inégalités dans le monde ainsi que pour un développement durable : commerce équitable, lutte contre la pauvreté, plan d'urgence, réglementation des armes, éducation pour tous et autres.

Le , Oxfam annonce la suppression de 1 450 emplois sur 5 000 et la fin de sa prĂ©sence dans 18 pays sur 66[1] - [2] - [3]. Cette dĂ©cision est d'autant plus mal perçue qu'elle est suivie par un appel au bĂ©nĂ©volat sur les rĂ©seaux sociaux[4].

Organisation

Confédération

Magasin d'Oxfam International Ă  DĂŒsseldorf en Allemagne

Les 20 affiliĂ©s Oxfam sont basĂ©s en Allemagne, Australie, Belgique, BrĂ©sil, Canada, Espagne, États-Unis, France (Oxfam France), Hong Kong, Inde, Irlande, Italie, Japon, Mexique, Nouvelle-ZĂ©lande, Pays-Bas, Royaume-Uni et dans la province canadienne du QuĂ©bec.

Le secrétariat d'Oxfam international se trouve à Oxford (Royaume-Uni). Il compte également des bureaux à Bruxelles, GenÚve, Washington, New York et Addis Abeba (Afrique de l'Est).

Financement

Oxfam est notamment financĂ©e par l’Union europĂ©enne, qui lui a versĂ© 75,3 millions d’euros pour l’annĂ©e 2013-2014[5].

Activité

Présentation

Oxfam International est une confĂ©dĂ©ration d'une vingtaine d'organisations caritatives indĂ©pendantes Ă  travers le monde. Celles-ci travaillent ensemble et en collaboration avec des partenaires locaux rĂ©partis dans 66 pays dans le monde, pour s'attaquer de maniĂšre globale Ă  la pauvretĂ© et aux inĂ©galitĂ©s : actions humanitaires d'urgence, programme de dĂ©veloppement et d'appui de long terme, mobilisation citoyenne et plaidoyer — ou « lobby citoyen » — pour agir sur les causes profondes de la pauvretĂ© et des inĂ©galitĂ©s et obtenir des changements durables.

Actions humanitaires de la confédération Oxfam Internationale

Oxfam a apportĂ© au cours de l'annĂ©e 2019 une aide humanitaire, incluant eau propre et vĂȘtement, Ă  1,2 million de personnes en Syrie.

Deux employés d'Oxfam sont tués en janvier 2020 lors d'une attaque d'un groupe armé dans le sud du pays. Un bénévole de l'association a également été blessé[6].

Positions politiques publiques

En 2014, Oxfam milite pour que la fin de la fraude fiscale internationale soit une priorité du G20[7].

Activités commerciales

Oxfam Books, Oxfam Bookshop ou Oxfam Books & Music sont les principales enseignes sous lesquelles sont connues les activités de libraire d'Oxfam International, qui opÚre une chaßne de points de vente d'ouvrages de seconde main[8].

Études et rapports

En , Oxfam publie une étude sur les inégalités sociales dans le monde. Selon cette étude :

  • les huit hommes les plus riches dĂ©tiennent autant de richesses que les 3,7 milliards de personnes les plus pauvres ;
  • les 1 % les plus riches dĂ©tiennent autant de richesses que les 99 % restants[9].

Selon le magazine Capital, certaines « approximations » de cette étude annuelle sur le creusement des inégalités ont « été maintes fois dénoncées »[3].

Critiques et scandales

Actions controversées

En 2006, Oxfam fait pression auprĂšs de la chaĂźne Starbucks pour que les producteurs Ă©thiopiens de cafĂ© soient mieux rĂ©munĂ©rĂ©s, notamment les producteurs des rĂ©gions de Yirgacheffe, Sidamo et Harar qui tentaient d'obtenir une certification pour leur production. AprĂšs deux annĂ©es de campagne contre l'entreprise, les producteurs Ă©thiopiens courent le risque de perdre un acheteur important. Starbucks accuse Oxfam de comportement trompeur et lui demande de cesser sa campagne[10]. L'entreprise ne souhaitant pas « reconnaĂźtre Ă  l'Éthiopie la propriĂ©tĂ© de ses marques de cafĂ© », un accord de distribution et marketing en partenariat est scellĂ© avec l'Éthiopie pour Ă©viter de dĂ©stabiliser le marchĂ© du cafĂ© dans le pays[11] - [12].

En 2013, Oxfam demande à la société Dole d'enlever le label éthique de ses produits, en pointant, avec le parti écologiste, les mauvaises conditions de travail des agriculteurs et les atteintes à l'environnement aux Philippines. Selon l'entreprise, qui conteste les faits, l'action d'Oxfam viserait à promouvoir la marque concurrente Fair trade[13].

Critiques

En 2005, l'organisation est critiquĂ©e pour ses liens avec le gouvernement britannique travailliste[14] - [15]. En 2014, Oxfam fait face Ă  une enquĂȘte de l’organisme de surveillance des organisations caritatives aprĂšs avoir attaquĂ© le programme d’austĂ©ritĂ© du gouvernement conservateur. Les dĂ©putĂ©s conservateurs ont Ă©tĂ© consternĂ©s par ce qu'ils ont qualifiĂ© de campagne manifestement politique d'une organisation caritative au Royaume-Uni. Oxfam a plusieurs liens avec le Parti travailliste, notamment par l'intermĂ©diaire de David Pitt-Watson, trĂ©sorier honoraire de l'association, nommĂ© secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du Parti travailliste en 2008, mais qui n'a pas pris ses fonctions. Stephen Doughty, ancien conseiller de Douglas Alexander, ministre du cabinet fantĂŽme du Labour, a travaillĂ© pour Oxfam en 2006 et, entre 2010 et 2011, au poste de directeur gĂ©nĂ©ral d’Oxfam Wales. Il a Ă©tĂ© Ă©lu dĂ©putĂ© travailliste de Cardiff South et de Penarth en . Jo Cox, ancienne responsable des politiques chez Oxfam, est la candidate du parti travailliste aux Ă©lections gĂ©nĂ©rales de 2015 Ă  Batley et Spen, ainsi que la prĂ©sidente du rĂ©seau des femmes travaillistes. Elle est Ă©galement une ancienne conseillĂšre de Sarah Brown, Ă©pouse de l'ancien Premier ministre travailliste Gordon Brown et de la baronne Kinnock[16].

En 2011, la journaliste Karen Rothmyer reproche à Oxfam ainsi qu'à d'autres organisations non gouvernementales de communiquer avant tout sur la misÚre de l'Afrique afin d'attirer des fonds plutÎt que de montrer ce qui a été accompli cachant ainsi l'état réel de l'Afrique[17].

Oxfam a également été critiquée pour son manque de transparence et de traçabilité[18]. L'organisation est perçue par certains critiques comme n'étant pas efficace sur le terrain pour combattre la pauvreté. David Ransom a ainsi comparé ses valeurs au colonialisme d'évangélisation et au capitalisme industriel[15].

En 2014, des membres du Parlement anglais critiquent Oxfam pour sa politique de commerce Ă©quitable. Ils reprochent aux 150 librairies solidaires[19] Oxfam en Grande-Bretagne de bĂ©nĂ©ficier de 80 % d'exonĂ©ration fiscale, alors qu’elles gĂ©nĂšrent des fonds caritatifs importants[20].

En 2015, Oxfam affirme que les 1 % les plus riches possÚdent plus de la moitié des richesses. Cette affirmation est démentie par certains économistes, le calcul étant selon eux incorrect[21].

De 2006 Ă  2014, Scarlett Johansson est ambassadrice d'Oxfam. Elle dĂ©missionne Ă  la suite de pressions liĂ©es Ă  sa participation Ă  une publicitĂ© pour la sociĂ©tĂ© Sodastream qui possĂšde Ă  ce moment-lĂ , une usine Ă  Ma'aleh Adumim, une des colonies israĂ©liennes[22]. Bien qu'Oxfam n'appelle pas Ă  du boycott, l'organisme est considĂ©rĂ© comme anti-israĂ©lien par les conservateurs canadiens et d'autres soutiens Ă  IsraĂ«l[23]. Oxfam soutient « la solution politique de deux États », et ses actions sont critiquĂ©es pour ĂȘtre de caractĂšre politique et pour relayer les considĂ©rations humanitaires au second plan[24]. En 2014, une confĂ©rence en faveur de Gaza est annulĂ©e par Oxfam en raison de la participation d'Ibrahim Hewitt, ayant tenu des propos jugĂ©s homophobes et antisĂ©mites[25].

En , l'ambassadeur d'Israël en Grande Bretagne, Mark Regev proteste contre la vente de livres antisémites sur le site internet d'Oxfam, en particulier Le protocole des sages de Sion. En réponse, le directeur général d'Oxfam (GB) présente ses excuses et retire les livres haineux de la vente, en affirmant les avoir détruits[26].

Scandale d'abus sexuels

DĂ©but 2018, The Times publie un rapport mettant en cause le directeur rĂ©gional de l’organisation Ă  HaĂŻti[27]. D'anciens responsables de l'organisation, dont le directeur belge, Roland Van Hauwermeiren, sont accusĂ©s d'avoir engagĂ© des prostituĂ©es aux frais de l'organisation et de s’ĂȘtre livrĂ©s Ă  des viols. Le rapport relate une « culture de l’impunitĂ© » chez certains membres du personnel d’Oxfam et l'Ă©ventuelle prĂ©sence d'enfants parmi les prostituĂ©s[28]. Le Times rĂ©vĂšle Ă©galement qu'Oxfam Ă©tait au courant et a gardĂ© le silence pendant six ans. Oxfam avait dĂ©cidĂ© de ne pas divulguer les crimes pour ne pas nuire Ă  son image publique et avait licenciĂ© sept de ses employĂ©s, dont le directeur belge, ayant eu recours Ă  des prostituĂ©s[29].

À la suite de ces rĂ©vĂ©lations, Oxfam permet au directeur de l'organisation pour HaĂŻti puis Ă  la directrice gĂ©nĂ©rale adjointe de l'ONG, qui avaient couvert cette affaire, de dĂ©missionner[30] - [31] - [32]. Le , le directeur gĂ©nĂ©ral Mark Goldring reconnaĂźt devant la Chambre des communes britannique que des membres du personnel d'Oxfam s'Ă©taient livrĂ©s Ă  des crimes et viols au Liberia, au Soudan, aux Philippines, au Bangladesh ou encore au Liban. La secrĂ©taire d'État chargĂ©e du DĂ©veloppement international lui rĂ©torque alors : « Vous avez trompĂ© de maniĂšre sans doute dĂ©libĂ©rĂ©e les gouvernements, la police et le grand public[33]. »

Oxfam-Belgique

Oxfam-Belgique est une ONG fondée en 1964 par le Comte Victor de Robiano, le Baron Antoine Allard et quelques amis, suivant l'exemple de l'Oxford Committee for Famine Relief actif en Grande-Bretagne depuis 1942.

Historique

Dans le contexte de la dĂ©colonisation, l’organisation a pour premier objet l'aide aux pays du sud nouvellement indĂ©pendants. La sĂ©cheresse de 1964 confronte Oxfam-Belgique aux premiĂšres situations d’urgence, l'aide alimentaire est envoyĂ©e en Inde, au Burundi au Congo-Kinshasa (RDC) et au Nicaragua.

À partir de 1968, les premiĂšres rĂ©coltes de vĂȘtements ont lieu. Elles seront suivies plus tard par l’ouverture des premiers magasins de seconde main destinĂ©s Ă  la rĂ©colte de fonds.

En 1970, Ă  la suite d'un cyclone au PĂ©rou, ont lieu les premiĂšres implications de terrain d’aide au victimes en collaboration avec des organisations partenaires. L'organisation Oxfam-Projets est crĂ©Ă©e pour l'examen et la gestion des projets et des Ă©quipes de coopĂ©rants.

En Belgique, Oxfam-Belgique Ɠuvre Ă  la sensibilisation du public et participe, sous l'impulsion de son secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral Pierre Galand Ă  diffĂ©rentes actions et manifestations, lutte contre l'apartheid, mobilisation en rĂ©ponse Ă  la crise du Sahel, opposition au dĂ©ploiement d’armes nuclĂ©aires en Belgique, etc. 


L'idĂ©e de commerce Ă©quitable nĂ©e dĂšs le dĂ©but des annĂ©es 1970 avec la crĂ©ation en 1971 d'un premier magasin pionnier, le wereldwinkel (magasin du monde) d’Anvers, prend de l'ampleur avec la crĂ©ation en 1975, de l'organisation nĂ©erlandophone Oxfam-Wereldwinkels et l’annĂ©e suivante de son Ă©quivalent francophone, Oxfam-Magasins du Monde.

Depuis la fin des annĂ©es 1970, il participe avec d’autres organisations au Consortium belge pour les situations d'urgence. Son action principale, reste cependant axĂ©e sur des projets de dĂ©veloppement durable.

Oxfam-en-Belgique

L’appellation « Oxfam-en-Belgique » dĂ©signe en 2009 la plate-forme de collaboration entre les trois organisations Oxfam belges :

  • Oxfam SolidaritĂ©, organisation bilingue nĂ©e en 1996 de la fusion d‘Oxfam-Belgique et d‘Oxfam-Projets, et qui perpĂ©tue les actions de ces deux organisations.
  • Oxfam-Wereldwinkels, organisation de commerce Ă©quitable belge nĂ©erlandophone (plus de 200 magasins en rĂ©gion flamande et bruxelloise)
  • Oxfam-Magasins du Monde, organisation de commerce Ă©quitable belge francophone (une centaine de magasins en rĂ©gion wallonne et bruxelloise)

L'appellation « Oxfam Belgique » est le résultat d'une fusion entre Oxfam Solidarité asbl, Oxfam-Wereldwinkel vzw, Oxfam Fair trade sc en 2020.

Controverses

En 2002, Oxfam Belgique publie une affiche d'incitation au boycott d'IsraĂ«l, avec une carricature d'une orange sanglante. La ressemblance de l’orange saignante avec le mythe de l’hostie profanĂ©e saignante au Moyen–ñge et qui avait donnĂ© lieu aux pires atrocitĂ©s antisĂ©mites est jugĂ©e flagrante, notamment par le Centre Simon Wiesenthal. À la suite de leur plainte, Oxfam International communique qu'il ne soutient pas le boycott d'IsraĂ«l, qu'il considĂšre le message de l'affiche comme inappropriĂ©, regrette l'association d'Oxfam avec ce type de message et offre ses excuses. Oxfam Belgique est quant Ă  elle, rĂ©primandĂ© par le prĂ©sident Ian Anderson[34] - [35].

L'organisation reçoit de nombreuses critiques lorsqu'elle annonce le qu'elle n'acceptera pas et ne rendrait pas les fonds versés par le Vlaams Belang dans le cadre de l'action de solidarité Tsunami 12-12 pour les victimes du séisme et tsunami de 2004 dans l'océan Indien[36].

En 2009, Rudi Roth dĂ©plore que Oxfam Belgique aurait collaborĂ© avec l’UAWC, une filiale de l’organisation terroriste palestinienne FPLP[34].

En 2019, les services de renseignements israĂ©liens mettent en cause deux organisations belges, dont Oxfam Belgique, dans le financement du FPLP, qui commet un attentat Ă  la bombe la mĂȘme annĂ©e, qui tue l'adolescente Rina Sneirb. Oxfam Belgique a transfĂ©rĂ© des fonds Ă  la filiale Ă  hauteur de 288 002 euros de 2017 Ă  2018, mais affirme n'avoir effectuĂ© aucun financement depuis[37]

Notes et références

  1. « Oxfam s'apprĂȘte Ă  se retirer de 18 pays et Ă  supprimer 1.500 emplois », sur Slate.fr, (consultĂ© le )
  2. « L'Humanité relaie l'ONG Oxfam contre le Cac 40, l'Opinion fustige Oxfam qui licencie telle une multinationale! », sur franceinter.fr (consulté le )
  3. Eric Wattez, « Oxfam, L'ONG qui ne peut plus donner de leçons », Capital, no 348,‎ , p. 36-37
  4. Tweet de CĂ©cile Duflot
  5. Ces ONG financĂ©es par un milliardaire amĂ©ricain qui chuchotent Ă  l’oreille de l’Union europĂ©enne pour encourager les migrants Ă  s’y installer, entretien, atlantico.fr, 13 mai 2016
  6. « Deux employés d'Oxfam tués lors d'une attaque en Syrie », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  7. « International: Prioriser la réforme du systÚme fiscal international », sur afriquejet.com, (consulté le ).
  8. (en) Nick Pandya, « Step forward - and step up », sur The Gardian, (consulté le )
  9. « Une économie au service des 99 % », Document d'information d'OXFAM, janvier 2017.
  10. http://www.seattlepi.com/business/article/Starbucks-chairman-Ethiopia-talk-beans-1257087.php.
  11. Eric Leser, « Starbucks contre l’Éthiopie », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  12. Virginie Gomez, « Un grain de cafĂ© Ă©thiopien dans la machine Starbucks », LibĂ©ration,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  13. (en) Tamara McLean, « Dole bananas not ethical - Oxfam », Newshub,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  14. (en) Katharine Quarmby, « Why Oxfam is Failing Africa », sur globalpolicy.org, (consulté le ).
  15. (en) David Ransom, « The big charity bonanza », New Internationalist,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  16. (en) Christopher Hope, Oxfam: MPs shocked by 'disgraceful' political campaigning, telegraph.co.uk, 10 juin 2014
  17. (en) Karen Rothmyer, « Hiding the Real Africa : Why NGOs prefer bad news », Columbia Journalism Review,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  18. (en) Omaar; de Waal (1997). Food and Power in the Sudan: A Critique of Humanitarianism. African Rights.
  19. ClĂ©ment Solym, « Oxfam lance une librairie solidaire Ă  Paris », ActuaLittĂ©,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  20. ClĂ©ment Solym, « Les librairies Oxfam accusĂ©es de ne pas payer assez d'impĂŽts », ActuaLittĂ©,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  21. (en)Jacob Davidson, Yes, Oxfam, the Richest 1% Have Most of the Wealth. But That Means Less Than You Think, 2015.
  22. (en) « Last Palestinian employees at SodaStream lose their jobs », sur Jewish Telegraphic Agency, (consulté le ).
  23. « Les troupes de Stephen Harper attaquent Oxfam », (consulté le ).
  24. (en) « Oxfam agrees to conditions on Israel set by UK Jewry », sur timesofisrael.com (consulté le ).
  25. (en) James Bloodworth, « Left Foot Forward forces Oxfam climbdown over speaker's homophobic comments », sur leftfootforward.org, (consulté le ).
  26. (en) Gabriella Swerling, « Oxfam removes antisemitic books from sale after Israel's UK ambassador tweets condemnation », sur telegraph.co.uk,
  27. Sonia Delesalle-Stolper, « Scandale sexuel : l'organisation caritative Oxfam épinglée », sur liberation.fr, (consulté le ).
  28. « “Orgies” sexuelles Ă  HaĂŻti, l’ONG Oxfam dans la tourmente », Courrier international,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  29. (en) Sean O'Neill, « Minister orders Oxfam to hand over files on Haiti prostitute scandal », The Times,‎ (lire en ligne AccĂšs payant, consultĂ© le ).
  30. « Scandale sexuel en HaĂŻti : la directrice adjointe d’Oxfam dĂ©missionne », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne).
  31. Voir sur thetimes.co.uk.
  32. « “Orgies” sexuelles Ă  HaĂŻti, l’ONG Oxfam dans la tourmente », sur courrierinternational.com, (consultĂ© le ).
  33. François d'Orcival, « Quand l'ONG tombe le masque
 », Le Figaro Magazine, semaine du 2 mars 2018, p. 37.
  34. Rudi Roth, UNIA et l'antisémitisme en Belgique: «stop ou encore» ?, 2012, mis à jour en 2017
  35. « NGOs and Antisemitism: Oxfams "Blood Oranges", Christian Aids "Bethlehems Child", and HRWs "Indiscriminate killings" » ngomonitor », sur www.ngo-monitor.org (consulté le )
  36. (nl-BE) Steven Samyn, « Tsunami-giften Vlaams Belang niet welkom », sur De Standaard Mobile (consulté le )
  37. L'Echo, « De l'argent belge géré en Palestine par des terroristes présumés »,

Annexes

Articles connexes

Bibliographie

  • (en) Maggie Black, A Cause for Our Times: Oxfam: The First 50 Years, Oxfam University Press, 1993, 366 p. (ISBN 978-0192852830)
  • (en) Susan Blackburn, Practical Visionaries: A Study of Community Aid Abroad, Melbourne University Press, 1994, 272 p. (ISBN 978-0522845624)

Liens externes

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