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Orveau-Bellesauve

Orveau-Bellesauve est une ancienne commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle du Malesherbois[1].

Orveau-Bellesauve
Orveau-Bellesauve
La méridienne d'Orveau-Bellesauve.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Pithiviers
Intercommunalité CC du Pithiverais-Gâtinais
Maire délégué
Mandat
Dominique Chanclud
2016-2020
Code postal 45330
Code commune 45236
DĂ©mographie
Population 462 hab. (2013)
DensitĂ© 29 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 16′ 58″ nord, 2° 19′ 47″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 139 m
Superficie 15,8 km2
Élections
DĂ©partementales Malesherbes
Historique
Commune(s) d'intégration Le Malesherbois
Localisation
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Orveau-Bellesauve
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Orveau-Bellesauve

    GĂ©ographie

    Localisation

    Carte de la commune de Orveau-Bellesauve et des communes limitrophes

    La commune d'Orveau-Bellesauve se trouve dans le quadrant nord du dĂ©partement du Loiret, en limite du dĂ©partement de l'Essonne, dans la rĂ©gion agricole de la Beauce riche[2] et l'aire urbaine de Paris[3]. Ă€ vol d'oiseau, elle se situe Ă  52,4 km d'OrlĂ©ans[4], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  13,2 km de Pithiviers[5], sous-prĂ©fecture, et Ă  6,3 km de Malesherbes, ancien chef-lieu du canton dont dĂ©pendait la commune avant mars 2015. La commune fait partie du bassin de vie de Malesherbes[3].

    Les communes les plus proches sont : Nangeville (km), Coudray (3,1 km), Mainvilliers (4,2 km), CĂ©sarville-Dossainville (4,6 km), Manchecourt (km), Brouy (5,3 km, dans l'Essonne), Malesherbes (6,3 km), Blandy (6,3 km, dans l'Essonne), Labrosse (6,4 km) et Audeville (6,7 km)[6].

    Hydrographie

    Aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune[7].

    Zones nationales d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal d'Orveau-Bellesauve comprend trois ZNIEFF[INPN 1].

    La ZNIEFF, de deuxième gĂ©nĂ©ration et de type 2[Note 1], dĂ©nommĂ©e « Coteaux de l'Essonne et de la Rimarde », d'une superficie de 1 812 hectares, s'Ă©tend sur 17 communes, dont Orveau-Bellesauve[8]. Son altitude varie entre 90 et 140 m[INPN 2]. Les coteaux de l'Essonne et de la Rimarde sont un des espaces les plus intĂ©ressants du Loiret sur le plan biologique et Ă©cologique et gĂ©ologique, tant pour les habitats naturels et les espèces d'intĂ©rĂŞt patrimonial qu'ils abritent que pour le rĂ´le fonctionnel qu'ils jouent. Les Ă©lĂ©ments singuliers et typiques de la flore sont notamment l'aster amelle (station très localisĂ©e), le carex de Haller, le lin de LĂ©on, la violette des rochers ou encore le petit pigamon[INPN 3].

    • SĂ©lection de reprĂ©sentants de la flore de la ZNIEFF « Coteaux de l'Essonne et de la Rimarde ».
    • Aster amelle
      Aster amelle
    • carex de Haller
      carex de Haller
    • Violette des rochers
      Violette des rochers
    • Petit pigamon
      Petit pigamon

    La ZNIEFF, de deuxième gĂ©nĂ©ration et de type 1[Note 2], dĂ©nommĂ©e « Pelouses calcicoles de Bel air », d'une superficie de 14 hectares, est situĂ©e immĂ©diatement au nord-Ouest du bourg d'Orveau-Bellesauve[DREAL 1]. Son altitude varie entre 110 et 130 m[INPN 4]. Il s'agit de pelouses du Meso et du Xerobromion associĂ©es Ă  une chĂŞnaie sessiliflore oĂą le ChĂŞne pubescent est très prĂ©sent. Les pelouses, en voie de fermeture, abritent encore une dizaine d'espèces dĂ©terminantes, dont deux protĂ©gĂ©es. Cette zone se caractĂ©rise par sa richesse floristique (une centaine d'espèces), le nombre d'espèces dĂ©terminantes qu'elle abrite et l'Ă©tendue des formations herbacĂ©es encore prĂ©sentes (une quinzaine d'hectares). L'anĂ©mone pulsatille (Pulsatilla vulgaris), devenue très rare dans le Nord de la rĂ©gion, est prĂ©sente[INPN 5].

    La ZNIEFF, de deuxième gĂ©nĂ©ration et de type 1[Note 2], dĂ©nommĂ©e « Pelouses calcicoles de la butte blanche », d'une superficie de 41 hectares, correspond Ă  une butte calcaire formant un Ă©peron entre deux amples vallĂ©es sèches et se situe au nord-Ouest du hameau de Gollainville et Ă  trois kilomètres environ au nord-Ouest du bourg d'Orveau-Bellesauve[DREAL 2]. Son altitude varie entre 120 et 130 m[INPN 6]. Cette zone se caractĂ©rise par sa richesse floristique (une centaine d'espèces) et le nombre d'espèces dĂ©terminantes qu'elle abrite. Ă€ signaler la prĂ©sence du cornouiller mâle (Cornus mas), arbuste très dissĂ©minĂ© dans le Gâtinais, et de l'orchis moucheron (Gymnadenia conopsea), orchidĂ©e peu commune[9].

    Zone Natura 2000

    La commune d'Orveau-Bellesauve est intégrée depuis 2004 au réseau Natura 2000. Le site « Vallée de l'Essonne et vallons voisins », qui concerne 19 communes du Loiret, est en effet déclaré site d'importance communautaire (SIC) au titre de la directive directive habitats (92/43/CEE)[10] le 7 décembre 2004 puis zone spéciale de conservation (ZSC) le 29 novembre 2011[11] - [INPN 7].

    Le site, très Ă©clatĂ©, se compose d’une multitude d’îlots plus ou moins isolĂ©s, qui se rĂ©partissent sur une surface de plus de 60 000 hectares, entre la vallĂ©e de la Juine Ă  l’ouest et la vallĂ©e de l’Essonne Ă  l’est, dans la petite rĂ©gion naturelle du Pithiverais. Le site lui-mĂŞme ne couvre qu’une surface de 969 hectares[DREAL 3]. Il s’agit d’un ensemble formĂ© par les coteaux et les vallĂ©es qui constituent l’entitĂ© la plus Ă©tendue et la plus remarquable du Loiret au titre de la flore calcicole. On recense plusieurs espèces vĂ©gĂ©tales en limite de leur aire de rĂ©partition (cardoncelle douce, baguenaudier). Les fonds de vallĂ©e de la ZSC renferment plusieurs vastes mĂ©gaphorbiaies et stations marĂ©cageuses[INPN 8]. Outre les espèces thermophiles des pelouses, sont intĂ©grĂ©es au site des espèces est-europĂ©ennes Ă©galement en limite d’aire de rĂ©partition comme l’inule hĂ©rissĂ©e et les pĂ©tasites. De manière complĂ©mentaire dans l’intĂ©rĂŞt floristique, un très important cortège mycologiques, lichenique et entomologique a Ă©tĂ© identifiĂ©[INPN 8].

    Selon le FSD (Formulaire Standard des Données), le site Natura 2000 est occupé par une diversité d’habitats inscrits a l’annexe 1, dont on retiendra tout particulièrement les pelouses sèches seminaturelles et faciès d’embroussaillement sur calcaire[INPN 8]. La présence de populations d'espèces d'insectes inscrites à l’annexe II de la directive 92/43/CEE comme le lucane cerf-volant (Lucanus cervus) ou l'écaille chinée (Euplagia quadripunctaria) et de poissons comme le chabot commun (Cottus gobio), la bouvière (Rhodeus amarus ) ou la lamproie de Planer (Lampetra planeri) caractérisent le site[INPN 8].

    Le secteur d'Orveau-Bellesauve comprend plusieurs noyaux du site Natura 2000 : des formations à genévrier commun, des pelouses sèches sur calcaire et des pelouses pionnères des dalles calcaires[DREAL 4] - [DREAL 5].

    Toponymie

    Orveau, formée sur aurea, « or », et vallis, « vallée ».

    Bellesauve est une bella sylva, « belle forêt».

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse d'Orveau acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l'Assemblée Nationale[12] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[13]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[14].

    La commune est orthographiĂ©e Orveau dans l'arrĂŞtĂ© de 1801. En 1918, la Chambre de Commerce de Paris Ă©met le souhait « qu'un nom de complĂ©ment soit donnĂ© aux localitĂ©s qui portent une dĂ©nomination identique » afin d'Ă©viter toute confusion dans les transmissions postales et le transport des marchandises. Le gouvernement accueille favorablement cette demande et le 7 juin 1918 le prĂ©fet du Loiret invite 82 communes du Loiret ayant des homonymes dans d'autres dĂ©partements Ă  complĂ©ter leur nom. Vingt-trois conseils municipaux refusent. Trente-et-une changent de nom en 1918 et 1919. 16 autres communes d'abord hostiles Ă  un changement de leur nom acceptèrent une modification qui fut officialisĂ©e par le dĂ©cret . Parmi celles-ci figure Orveau qui prend le nom de Orveau-Bellesauve[15].

    La commune est membre de la Communauté de communes du Malesherbois depuis sa création le jusqu'à sa disparition le , un établissement public de coopération intercommunale issu de la transformation en communauté de communes du S.I.Vo.M de la Région de Malesherbes, créé en novembre 1972[16].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse d'Orveau était rattachée sur le plan ecclésiastique à l'ancien diocèse d'Orléans, sur le plan judiciaire au bailliage d'Orléans , sur le plan militaire au gouvernement d'Orléans et sur le plan administratif à la généralité d'Orléans, élection de Pithiviers[17].

    La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă  neuf districts eux-mĂŞmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siège d’une administration d’État et constituent Ă  ce titre des circonscriptions administratives. La commune d'Orveau est alors incluse dans le canton de Malesherbes, le district de Pithiviers et le dĂ©partement du Loiret[18].

    La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838[19]. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l'action de l'État. La régionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit à la création de régions[20]. L'acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l'autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes[21]. L'acte II intervient en 2003-2006[22], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune d'Orveau-Bellesauve aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom Période Type Évolution du découpage territorial
    DistrictPithiviers1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Pithiviers de 1790 à 1795[23]> - [18]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance[24].
    CantonMalesherbes1790-1801Administrative et électoraleLe 10 février 1790, la municipalité d'Orveau est rattachée au canton de Malesherbes[25]. Les cantons acquièrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    Malesherbes1801-2015Sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 59 à 31[26]. Orveau est alors rattachée par arrêté du 9 vendémiaire an X (30 septembre 1801) au canton de Malesherbes[27] - [23].
    Malesherbes2015-ÉlectoraleLa loi du [28] et ses décrets d'application publiés en février et [29] introduisent un nouveau découpage territorial pour les élections départementales. La commune est alors rattachée au nouveau canton de Malesherbes[29]. Depuis cette réforme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compétence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau découpage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est désormais uniquement une circonscription électorale dédiée à l'élection d'un binôme de conseillers départementaux siégeant au conseil départemental[30].
    ArrondissementPithiviers1801-1926AdministrativeOrveau est rattachée à l'arrondissement de Pithiviers par arrêté du 9 vendémiaire an X (30 septembre 1801)[23] - [27].
    Orléans1926-1942Sous la Troisième République, en raison d'un endettement considérable et de l'effort nécessaire pour la reconstruction post-Première Guerre mondiale, la France traverse une crise financière. Pour réduire les dépenses de l’État, Raymond Poincaré fait voter plusieurs décrets-lois réformant en profondeur l’administration française : 106 arrondissements sont ainsi supprimés, dont ceux de Gien et de Pithiviers dans le Loiret par décret du 10 septembre 1926[31]. Orveau, puis Orveau-Bellesauve à partir de 1933, est ainsi transférée de l'arrondissement de Pithiviers à celui d'Orléans[23] - [32].
    Pithiviers1942-La loi du 1er juin 1942 rétablit l'arrondissement de Pithiviers[32]. Orveau-Bellesauve est alors à nouveau rattachée à l'arrondissement de Pithiviers[33].
    Circonscription lĂ©gislative5e circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siège de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[34] - [35]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[36]. La rĂ©forme n'affecte pas Orveau-Bellesauve qui reste rattachĂ©e Ă  la cinquième circonscription[37].

    Collectivités de rattachement

    La commune d'Orveau-Bellesauve est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire[33], à la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivités territoriales.

    Conseil municipal et maire

    Depuis les Ă©lections municipales de 2014, le conseil municipal d'Orveau-Bellesauve, commune de moins de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin majoritaire plurinominal Ă  deux tours, les Ă©lecteurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[38], pour un mandat de six ans renouvelable[39]. Il est composĂ© de 11 membres [40]. L'exĂ©cutif communal, est constituĂ© par le maire, Ă©lu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-Ă -dire pour la durĂ©e du mandat du conseil.

    En janvier 2016, Orveau-Bellesauve devient Commune déléguée de la Commune nouvelle de Le Malesherbois [1].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2008 2014 Bernard Yaggi
    mars 2014 décembre 2015 Dominique Chanclud[41]

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Ă€ partir du , les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose dĂ©sormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂŞte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[43] - [Note 3].

    En 2013, la commune comptait 462 habitants, en augmentation de 22,55 % par rapport Ă  2008 (Loiret : 2,42 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    220207225250489486470452468
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    464463418406390380359376385
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    398389407318308282276273272
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 -
    242180205216286316377462-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee Ă  partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Notes et références

    Notes

    1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée caractérisée par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂŞte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Inventaire national du patrimoine naturel

    Site de la Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Centre-Val de Loire

    Autres sources

    1. « arrêté de création » (consulté le )
    2. « Zonage en petites régions agricoles », sur http://agreste.agriculture.gouv.fr/ (consulté le )
    3. « Fiche communale », sur http://www.insee.fr/ (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre "Orveau-Bellesauve" et "Orléans" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    5. « Orthodromie entre "Orveau-Bellesauve" et "Pithiviers" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    6. « Villes les plus proches d'Orveau-Bellesauve », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    7. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le )
    8. « Découpage communal de la ZNIEFF 240030654 - Coteaux de l'Essonne et de la Rimarde » (consulté le ).
    9. « ZNIEFF 240030558 - Pelouses calcicoles de la butte blanche - fiche descriptive. » (consulté le ).
    10. Directive habitats
    11. « Arrêté du 29 novembre 2011 portant désignation du site Natura 2000 vallée de l'Essonne et vallons voisins », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le )
    12. Motte 2003, p. 24
    13. Motte 2003, p. 23
    14. « Les grands principes de la loi municipale de 1884 », sur le site du sénat, (consulté le )
    15. Dossier des archives départementales du Loiret coté 15 M 4
    16. « Communautés de communes de la région Centre-Val de Loire », sur Dictionnaire toponymique de la région Centre - Val de Loire (consulté le )
    17. Bloch 1906, p. 735
    18. Prudhomme 1798, p. 162.
    19. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 3.
    20. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 41-46.
    21. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 61-72.
    22. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 118-138.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.3. : l’œuvre révolutionnaire », sur http://projetbabel.org/, (consulté le ).
    25. Denis Jeanson, « Cantons de la région Centre-Val de Loire », sur Dictionnaire toponymique de la région Centre - Val de Loire (consulté le ), p. 6.
    26. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.4. : le Consulat et l'Empire », sur http://projetbabel.org/, (consulté le )
    27. « Arrêté du 9 vendémiaire an X portant réduction des justices de paix du département du Loiret - Bulletin des lois de 1801 - page 42 », sur https://gallica.bnf.fr (consulté le )
    28. « LOI no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral », JORF no 0114 du 18 mai 2013 p. 8242, (consulté le ).
    29. « Décret n° 2014-244 du 25 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Loiret », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    30. « Question no 460 de M. Jean-Jacques Cottel », sur http://questions.assemblee-nationale.fr/, (consulté le ).
    31. Masson 1984, p. 395.
    32. Denis Jeanson, « Arrondissements dans la région Centre », sur Dictionnaire toponymique de la région Centre - Val de Loire (consulté le )
    33. « Rattachements administratifs de la commune d'Orveau-Bellesauve », sur le site de l'Insee (consulté le )
    34. « Législatives 2012 : élections selon des modalités révisées. », sur http://www.vie-publique.fr/ (consulté le ).
    35. « Délimitation des circonscriptions législatives - Loi ratifiant l'ordonnance n° 2009-935 du 29 juillet 2009 portant répartition des sièges et délimitation des circonscriptions pour l'élection des députés », sur le site du sénat (consulté le ).
    36. « Carte du découpage législatif du Loiret », sur http://www.elections-legislatives.fr/ (consulté le ).
    37. « Rattachements dans le Loiret avant et après la réforme de 2010 », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    38. Loi no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51 et son décret d'application no 2013-938 du 18 octobre 2013.
    39. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL (consulté le )
    40. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
    41. « Liste des maires du Loiret en 2014 », sur le site de l'association des maires du Loiret (consulté le )
    42. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    43. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Directive 92/43/CEE du Conseil concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages, 31992L0043, adoptĂ©e le 21 mai 1992, JO du 22 juillet 1992, p. 7–50, entrĂ©e en vigueur le 10 juin 1992 [consulter en ligne, notice bibliographique]
    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire gĂ©ographique et mĂ©thodique de la RĂ©publique française en 120 dĂ©partements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 1, OrlĂ©ans, Ministère de l'Instruction publique, (lire en ligne)
    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 2, OrlĂ©ans, Ministère de l'Instruction publique, (lire en ligne)
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    • AbbĂ© Patron, DĂ©partement du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870 (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)
    • Jean-Louis Masson, Provinces, dĂ©partements, rĂ©gions : l'organisation administrative de la France, Paris, Fernand Lanore, , 703 p. (ISBN 2-85157-003-X, lire en ligne).

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