Moncoutant-sur-Sèvre
Moncoutant-sur-Sèvre est une commune nouvelle française résultant de la fusion — au — des communes du Breuil-Bernard, La Chapelle-Saint-Étienne, Moncoutant, Moutiers-sous-Chantemerle, Pugny et Saint-Jouin-de-Milly située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.
Moncoutant-sur-Sèvre | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Deux-Sèvres | ||||
Arrondissement | Bressuire | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Bocage Bressuirais | ||||
Maire Mandat |
Roland Moreau 2020-2026 |
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Code postal | 79240 79320 79380 |
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Code commune | 79179 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
5 070 hab. (2020) | ||||
Densité | 55 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 43′ 28″ nord, 0° 35′ 15″ ouest | ||||
Altitude | Min. 153 m Max. 247 m |
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Superficie | 92,78 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Moncoutant-sur-Sèvre (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Cerizay | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | moncoutantsursevre.fr | ||||
Géographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vernoux-en-Gati », sur la commune de Vernoux-en-Gâtine, mise en service en 1971[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 044,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Niort », sur la commune de Niort, mise en service en 1958 et à 45 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Moncoutant-sur-Sèvre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Moncoutant-sur-Sèvre, une unité urbaine monocommunale[17] de 5 046 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Moncoutant-sur-Sèvre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Ouine, la rivière l'Ouine et la Sèvre Nantaise. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1995, 1999, 2008, 2010, 2012 et 2014[24] - [22].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. 39,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[27]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [28].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[22].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Moncoutant-sur-Sèvre est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].
Histoire
Elle est créée par l'arrêté préfectoral du avec effet au [30].
Le chef-lieu est situé à Moncoutant.
L'Historien médiéviste Philippe Contamine y est inhumé.
Politique et administration
Communes déléguées
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Moncoutant (siège) |
79179 | CA du Bocage Bressuirais | 26,32 | 3 171 (2016) | 120 |
Le Breuil-Bernard | 79051 | CA du Bocage Bressuirais | 8,25 | 527 (2016) | 64 |
La Chapelle-Saint-Étienne | 79075 | CA du Bocage Bressuirais | 18,81 | 321 (2016) | 17 |
Moutiers-sous-Chantemerle | 79188 | CA du Bocage Bressuirais | 25,64 | 603 (2016) | 24 |
Pugny | 79222 | CA du Bocage Bressuirais | 6,99 | 228 (2016) | 33 |
Saint-Jouin-de-Milly | 79261 | CA du Bocage Bressuirais | 6,77 | 191 (2016) | 28 |
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2020, la commune comptait 5 070 habitants[Note 8].
Économie
La commune est d'abord à vocation agricole, mais quelques commerces sont implantés en centre-ville. Il existe un peu d'artisanat et quelques industries. Avec l'ouverture du centre de vacances Pescalis en 2001, la commune se donne une nouvelle vocation touristique.
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Gervais et Saint-Protais
Elle a été agrandie de 1865 à 1867. Elle mélange les styles gothique flamboyant et roman. La base du clocher semble romane. Le pavage de la nef remploie de nombreuses pierres tombales gravées du XVIIe siècle. Les vitraux sont l'œuvre de G.P. Gustave Pierre Dagrant, peintre verrier à Bordeaux.
- L'église Saint-Gervais et Saint-Protais.
- La nef de l'église Saint-Gervais et Saint-Protais.
Temple protestant de Moucoutant
Le premier temple est construit en 1808, au hameau de la Cournolière. Le temple protestant de Moncoutant actuel date de 1884[34].
Château de Pugny
Les plus anciennes mentions de l’existence des seigneurs de Pugny remontent aux Xe et XIe siècles. La plus ancienne mention de l’existence du château remonte à 1379 et se trouve dans les archives de Saint-Loup. Aujourd’hui à l’état de ruine, le château était autrefois un vaste rectangle de plus de 100 mètres dans sa plus grande longueur, flanqué dans ses extrémités de 4 tours imposantes dont la tour nord-est qui comptait 7 étages. Le logis de près de 60 mètres de long a vu passer bon nombre d’illustres propriétaires.
Ce n’est qu’à la fin du XVe siècle que le château de Pugny ne deviendra une vraie forteresse par autorisation royale. C’est en effet à Guillaume d’Appelvoisin, personnage en vue à la cour de Louis XI, écuyer du roi, que l’on doit cette fortification. Alors que ce privilège n’était que rarement accordé, Guillaume d’Appelvoisin obtint de Louis XI en 1474 d’une part l’autorisation de faire de son château une forteresse et d’autre part d’instituer à Pugny une foire le jour de la Saint-Pierre, patron de la paroisse.
Le grand remaniement du château a lieu vers 1550 par Guy de Sainte-Maure. Il fit construire le porche d’entrée, transformer la chapelle en temple, ouvrir les remparts et construire un château renaissance. On y voit encore aujourd’hui au-dessus du porche d'entrée son blason et la date 1557.
Le , le château fut pillé, saccagé et incendié par les gardes nationaux de Pouzauges, de la châtaigneraie et de Fontenay qui allaient au secours de Bressuire attaquée par les paysans. Ce jour-là disparurent complètement le logis, les écuries et le pigeonnier. C’est à partir de cet évènement tragique que débutèrent les guerres de Vendée. Le château fut ensuite confisqué au marquis de Mauroy (dernier propriétaire issu de la noblesse) et vendu avec les terres comme bien national.
Aux XIXe et XXe siècles le château fut transformé en exploitation agricole. Jusqu’à 3 familles se partagèrent et occupèrent les bâtiments. On compta jusqu’à 25 personnes vivant dans l’enceinte du château. A l’orée des années 1980 la plupart des vestiges du château avaient été détruits pour faciliter l’exploitation agricole. De l’ancien et prestigieux monument historique rien ne subsistait.
Aujourd'hui, l'association des Amis du Château de Pugny (A.C.P) sauvegarde le château et tente de lui rendre son lustre d'autrefois. Des visites privées sont organisées et le site est ouvert au public lors des Journées européennes du patrimoine[35].
Personnalités liées à la commune
- Clovis Macouin, élu député en 1928, il devint maire de Moncoutant en 1930 jusqu'en 1938 date à laquelle il quitta Moncoutant pour Parthenay dont il devint maire par la suite. Réélu député en 1942, 1946 et 1951. Chevalier de la Légion d'honneur.
- Michel Bécot, sénateur des Deux-Sèvres de 1995 à 2014 et maire de Moncoutant de 1977 à 2008, a été fait maire honoraire[36] par Philippe Mouiller, également conseiller régional d'opposition, maire de Moncoutant le en présence de Jean-Pierre Raffarin (Premier ministre de 2002 à 2005).Chevalier de la Légion d'honneur.
- Jean Grellier, député du Nord Deux-Sèvres, né à Moncoutant.
- Philippe Mouiller, maire de Moncoutant de 2008 à 2017, Sénateur de 2014 à 2020, réélu sénateur en 2020.
- Philippe Contamine, historien médiéviste spécialiste de la guerre et de la noblesse à la fin du Moyen Âge, membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, inhumé au cimetière du Breuil-Bernard[37].
Voir aussi
Liens externes
- Site officiel
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Vernoux-en-Gati - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Moncoutant-sur-Sèvre et Vernoux-en-Gâtine », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Vernoux-en-Gati - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Moncoutant-sur-Sèvre et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Moncoutant-sur-Sèvre », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Moncoutant-sur-Sèvre », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Moncoutant-sur-Sèvre », sur le site de la préfecture des Deux-Sèvres, (consulté le ).
- « Moncoutant-sur-Sèvre. Gilles Pétraud élu maire ce mardi soir », Le Courrier de l'Ouest, (lire en ligne).
- « Moncoutant-sur-Sèvre : Roland Moreau élu maire », La Nouvelle République, (lire en ligne)
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Eglise protestante unie de France, « Eglise protestante unie de France », sur Eglise protestante unie de France (consulté le )
- « Le domaine, l'association et mille ans d'histoire … Le château, l'association et 2000 ans d'Histoire … », sur Bienvenue au Château de Pugny (consulté le )
- maire honoraire
- « 2022 - Cimetières de France et d'ailleurs », sur www.landrucimetieres.fr (consulté le )