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Molezon

Molezon est une commune française, située dans le sud-est du département de la LozÚre en région Occitanie.

Molezon
Molezon
L'ancienne Ă©glise de Molezon.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement LozĂšre
Arrondissement Florac
Intercommunalité Communauté de communes des Cévennes au Mont LozÚre
Maire
Mandat
David Flayol
2020-2026
Code postal 48110
Code commune 48098
DĂ©mographie
Gentilé Molézoniens
Population
municipale
97 hab. (2020 en augmentation de 6,59 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 6,6 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 12â€Č 33″ nord, 3° 40â€Č 55″ est
Altitude Min. 389 m
Max. 1 011 m
Superficie 14,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Collet-de-DĂšze
LĂ©gislatives Circonscription de la LozĂšre
Localisation
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Molezon
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Molezon
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Molezon
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Molezon

    ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, elle est drainĂ©e par le Gardon de Sainte-Croix et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les CĂ©vennes, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (les « vallĂ©es du Tarn, du Tarnon et de la Mimente », la « vallĂ©e du Gardon de Mialet » et « les CĂ©vennes ») et deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Molezon est une commune rurale qui compte 97 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 544 habitants en 1836. Ses habitants sont appelĂ©s les MolĂ©zoniens ou MolĂ©zoniennes.

    GĂ©ographie

    Molezon se situe au cƓur du parc national des CĂ©vennes, dans le sud du dĂ©partement de la LozĂšre, Ă  une altitude moyenne de 700 m, Ă  mi-chemin entre Barre-des-CĂ©vennes et Sainte-Croix-VallĂ©e-Française.

    Communes limitrophes

    Lieux-dits et hameaux

    • Le Villaret
    • Trabassac Bas
    • Le Bruguier Haut
    • Le Mazel Escassier
    • La DevĂšze
    • Le PrĂ© du BĂ©al
    • Faubourg
    • Trabassac Haut
    • Mas Vallat
    • Le Ranc
    • Le Saltet
    • Bel Air
    • La Roquette Basse (MoulinariĂ©)
    • La Roquette Haute (Mazdal)
    • Le Plantier (hameau de la Tour de Canourgue)
    • L'Abriguet
    • La Fumade
    • TĂ©mĂ©lac
    • La Beaume
    • La Maison de NoĂ©
    • La Combe del Salze
    • Les Terrades
    • Les Combelles[2]

    Zone périphérique du Parc :

    • Biasses
    • La Moline
    • La RouviĂšre
    • Le Mas Soubeyran
    • Molezon
    • Mas Soubreton
    • Mas Breton
    • Le SouliĂ©
    • Le Puech
    • La Courte
    • L'Auradou
    • La Remise
    • Le Mazel
    • La Roque
    • Le Castellet
    • Le Bruguier bas

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[3].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 10,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 522 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 4,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Mont Aigoual », sur la commune de Val-d'Aigoual, mise en service en 1896[8] et qui se trouve Ă  15 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 5,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 931,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le dĂ©partement de l'Aveyron, mise en service en 1964 et Ă  50 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  10,9 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[15] - [16]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cƓur du Parc national des CĂ©vennes. Ce parc national, crĂ©Ă© en 1967, est un territoire de moyenne montagne formĂ© de cinq entitĂ©s gĂ©ographiques : le massif de l'Aigoual, le causse MĂ©jean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont LozĂšre, les vallĂ©es cĂ©venoles ainsi que le piĂ©mont cĂ©venol[17].

    Les CĂ©vennes sont Ă©galement un territoire reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en 1985 pour la mosaĂŻque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversitĂ© exceptionnelle, avec 2 400 espĂšces animales, 2 300 espĂšces de plantes Ă  fleurs et de fougĂšres, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[18] - [19].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la directive habitats[21] :

    • les « vallĂ©es du Tarn, du Tarnon et de la Mimente », d'une superficie de 10 493 ha, des habitats pour deux mammifĂšres : la Loutre (Lutra lutra) et le castor[22] ;
    • la « vallĂ©e du Gardon de Mialet », d'une superficie de 23 371 ha, abritant des populations de poissons d'intĂ©rĂȘt communautaire, notamment le Barbeau mĂ©ridional (Barbus meridionalis), mais aussi le Castor et l'Écrevisse Ă  pattes blanches[23] ;

    et un au titre de la directive oiseaux[21] :

    • « les CĂ©vennes », d'une superficie de 92 044 ha, correspondant prĂ©cisĂ©ment Ă  la zone centrale du parc national des CĂ©vennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversitĂ© des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiĂ©e : au total, 135 espĂšces d'oiseaux, dont 22 inscrites Ă  l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensĂ©es dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espĂšces de rapaces diurnes et sept nocturnes[24].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[25] : le « Gardon de Sainte-Croix » (231 ha), couvrant 7 communes du dĂ©partement[26] et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [25] : les « Hautes vallĂ©es des Gardons » (73 898 ha), couvrant 48 communes dont 27 dans le Gard et 21 dans la LozĂšre[27].

    • Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Molezon.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Molezon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [28] - [I 1] - [29]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (98,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (98,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (77 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (21,7 %), prairies (1,4 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Molezon est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[31]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[32].

    Molezon est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en dĂ©cembre 2014 pour la pĂ©riode 2014-2023[33]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du , complĂ©tĂ© par un arrĂȘtĂ© de 2020, rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du , abrogeant un arrĂȘtĂ© de 2002, rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 8] - [33] - [34].

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrainsdes éboulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[35].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[36].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003, 2011, 2014 et 2020.

    Politique et administration

    Liste des maires de Molezon
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1981 ? André Cavalier DVG
    2001 2004 Frédéric Monod
    2004 2020 Annie Goiset-Pascal DVG
    2020 En cours David Flayol DVG

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[38].

    En 2020, la commune comptait 97 habitants[Note 9], en augmentation de 6,59 % par rapport Ă  2014 (LozĂšre : +0,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    521436533477529544540509530
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    502507476450405400404385380
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    342306278228212190168193159
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    128627686638511011590
    2015 2020 - - - - - - -
    9397-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 4]10 %17,2 %14,3 %
    DĂ©partement[I 5]5 %6,4 %7,1 %
    France entiĂšre[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  48 personnes, parmi lesquelles on compte 75,5 % d'actifs (61,2 % ayant un emploi et 14,3 % de chĂŽmeurs) et 24,5 % d'inactifs[Note 10] - [I 4]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 2] - [I 7]. Elle compte 16 emplois en 2018, contre 16 en 2013 et 23 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 35, soit un indicateur de concentration d'emploi de 44,6 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 49,4 %[I 8].

    Sur ces 35 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 36 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 69,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 8,3 % les transports en commun, 11,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Ancien temple protestant de Molezon.
    • ChĂąteau du Mazel classĂ© au titre des monuments historiques
    • ChĂąteau de Molezon rĂ©cemment primĂ© par la Fondation Bern Ă  travers le Loto du Patrimoine (2021)
    • Tour de Canourgue (donjon d'un chĂąteau mĂ©diĂ©val)
    • ChĂąteau de la DevĂšze
    • Menhirs

    L'église Notre-Dame de Molezon a été récemment restaurée, cette église fait partie des monuments romans des vallées Française et de Borgne. Elle est inscrite au titre des monuments historiques en 2012[41]. En été des concerts y sont donnés.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Saisons CĂ©venoles, Le Ruisseau de Trabassac, par FrĂ©dĂ©ric Monod, Ă©ditions Ampelos, 2020. Ce rĂ©cit sensible Ă©voque amplement les hameaux de Trabassac Ă  Molezon, et ses habitants.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[20].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. « Décret n° 2009-1677 du 29 décembre 2009 pris pour l'adaptation de la délimitation et de la réglementation du Parc national des Cévennes aux dispositions du code de l'environnement issues de la loi n° 2006-436 du 14 avril 2006 », sur .legifrance.gouv.fr, (consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Mont Aigoual - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Molezon et Val-d'Aigoual », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Mont Aigoual - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Molezon et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    16. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
    18. « Réserve de biosphÚre des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    19. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Molezon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « site Natura 2000 FR9101363 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « site Natura 2000 FR9101367 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR9110033 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Molezon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF le « Gardon de Sainte-Croix » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF les « Hautes vallées des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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