Misy-sur-Yonne
Misy-sur-Yonne est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Misy-sur-Yonne | |||||
La mairie-Ă©cole. | |||||
HĂ©raldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | ĂŽle-de-France | ||||
DĂ©partement | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Provins | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pays de Montereau | ||||
Maire Mandat |
Monique Jacquier 2020-2026 |
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Code postal | 77130 | ||||
Code commune | 77293 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Misyciens | ||||
Population municipale |
894 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 143 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 48° 21′ 36″ nord, 3° 05′ 31″ est | ||||
Altitude | Min. 53 m Max. 104 m |
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Superficie | 6,25 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Montereau-Fault-Yonne | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
GĂ©olocalisation sur la carte : ĂŽle-de-France
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GĂ©ographie
Localisation
La ville de Misy-sur-Yonne est une commune de Seine-et-Marne qui se trouve à la limite de la région Bourgogne-Franche-Comté. C'est la dernière commune de l'Île-de-France située en amont de l'Yonne, à environ 12,9 kilomètres à l’est de Montereau-Fault-Yonne [Carte 1].
Communes limitrophes
Marolles-sur-Seine | La Tombe | Gravon | ||
Barbey | N | Vinneuf (Yonne) | ||
O Misy-sur-Yonne E | ||||
S | ||||
Villeneuve-la-Guyard (Yonne) |
Villeblevin (Yonne) |
GĂ©ologie et relief
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 53 mètres à 104 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 59 mètres d'altitude (mairie)[2].
RĂ©seau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau référencé : l’Yonne, longue de 292,34 km[3], principal affluent gauche de la Seine.
Sa longueur totale sur la commune est de 2,25 km[4].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[5].
La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[6] - . Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[7].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11,1 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[10]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 41 km à vol d'oiseau[11], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[12] à 11,6 °C pour 1991-2020[13].
RĂ©seau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[15] - [Carte 2] :
- la « Bassée et plaines adjacentes », d'une superficie de 27 643 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine bordée par un coteau marqué au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d’une avifaune très riche[16] - [17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Misy-sur-Yonne comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2] - [18] - [Carte 3], la « Basse vallée de l'Yonne » (1 658,38 ha), couvrant 6 communes du département[19].
Urbanisme
Typologie
Misy-sur-Yonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [20] - [21] - [22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23] - [24].
Lieux-dits et Ă©carts
La commune compte 31 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[25].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,8% ), zones agricoles hétérogènes (11,5% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,4% ), zones urbanisées (8,2% ), eaux continentales[Note 6] (7,1% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (4 %)[26].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[27] - [28] - [Carte 4]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 5].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[29].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[30]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 6].
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 550 dont 95,5 % de maisons et 2,7 % d’appartements.
Parmi ces logements, 66,1 % étaient des résidences principales, 25 % des résidences secondaires et 8,9 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 86,6 % contre 11,2 % de locataires[31] - [Note 7], dont 0,5 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 8] et, 2,2 % logés gratuitement.
Transports
La commune est desservie par les lignes d'autocars du réseau Transdev :
- No Eb (La Brosse-Montceaux – Montereau-Fault-Yonne)[32] ;
- No I (Montereau-Fault-Yonne – Vinneuf)[33].
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Mirei au XIe siècle[34] ; Le fief des Marestz en 1587[35] ; Quedam villula que dicitur Miriacus en 1165[36] ; Ecclesia Sancti Martini de Miri en 1173[37] ; Misiacum en 1189[38] ; Meri vers 1201[39] ; Miri en 1206[40] ; Miriacum en 1217[40] ; Myri juxta Barbez en 1265[41] ; Miry super Yonam en 1276[42] ; Miry sur Yonne en 1413[43] ; Miry en 1415 (Archives du château de Misy) ; Misy en l'an IX[34].
Histoire
- Présence d'occupation humaine depuis le néolithique. La commune est mentionnée dès le XIe siècle sous le nom de mirei.
- 1971 marque la fin de l'exploitation d'une importante carrière, qui devient, sous l'impulsion de la Caisse des Dépôts et Consignation, un parc résidentiel de loisir pour une clientèle cherchant une hébergement de week-end pas trop éloigné de la capitale. Ainsi se crée le parc "les forestières du lac", système original où chaque acquéreur d'un lot (chalet + un peu de terrain) devient également copropriétaire des surfaces et équipements communs.
Politique et administration
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [44] - [45].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Misy-sur-Yonne est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [46] - [47] - [48].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[49]. La communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2026[46] - [50].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [46] - [51].
Population et société
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[53].
En 2020, la commune comptait 894 habitants[Note 9], en diminution de 9,24 % par rapport Ă 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 374, représentant 925 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 22 740 euros[56].
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 85, occupant 404 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 67,2 % contre un taux de chômage de 8,3 %.
Les 24,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 12,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,5 % de retraités ou préretraités et 6,7 % pour les autres inactifs[57].
Entreprises et commerces
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 63 dont 4 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 9 dans la construction, 23 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans l’information et communication, 2 dans les activités financières et d'assurance, 2 dans les activités immobilières, 11 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 3 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 7 étaient relatifs aux autres activités de services[58].
En 2019, 12 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 11 individuelles.
Agriculture
Misy-sur-Yonne est dans la petite région agricole dénommée la « Bassée » ou « Basse Seine », au sud-est du département[Carte 7]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 10] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[59].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[60]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 6 en 1988 à 1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 78 ha en 1988 à 191 ha en 2010[59]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Misy-sur-Yonne, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension Ă©conomique[59] - [Note 11] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 6 | 2 | 1 |
Travail (UTA) | 10 | 6 | 1 |
Surface agricole utilisée (ha) | 465 | 190 | 191 |
Cultures[61] | |||
Terres labourables (ha) | 463 | s | s |
Céréales (ha) | 306 | s | s |
dont blé tendre (ha) | 230 | s | s |
dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) | s | s | |
Tournesol (ha) | s | ||
Colza et navette (ha) | s | s | s |
Élevage[59] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 12]) | 23 | 0 | 0 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin construite au XVIe siècle ;
- Château de Misy.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Pierre Norblin de La Gourdaine (1740-1830), peintre né à Misy-sur-Yonne (Misy-Fault-Yonne) ; il a vécu une grande partie de sa vie en Pologne.
Équipements culturels
- Musée de la maréchalerie et du charronnage, fondé en 1988 au sein d'une forge[62].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Localisation de Misy-sur-Yonne, » sur Géoportail (consulté le 19 avril 2020)..
- « Sites Natura2000 de Misy-sur-Yonne » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
- « Zones ZNIEFF de Misy-sur-Yonne » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
- « Misy-sur-Yonne - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
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- « Misy-sur-Yonne » sur Géoportail. Carte IGN classique.
- Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Yonne (F3--0200) » (consulté le ).
- 77293 Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 15 mars 2019
- « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
- « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
- « Ile SDDEA et sa régie », sur www.sddea.fr, (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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- Transdev, ligne Eb
- Transdev, ligne I
- Archives nationales, P 1651, n° 1700.
- Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 366.
- D'Achery, Spicil., II, p. 554.
- Dom Marrier, p. 307.
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- Archives nationales, LL 1450a, fol. 166.
- Arch. hosp. Provins, H.-D. 4.
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