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Missile M1

Le M1 est le missile balistique à portée intermédiaire français qui arme les deux premiers sous-marin nucléaire lanceur d'engins français. Ce missile comporte deux étages à propergol solide et emporte une seule tête nucléaire MR 41 de 500 kt équivalent TNT avec une portée de 2450 kilomètres. Déployés à compter de 1971, 16 missiles de ce type arment les sous-marins de la classe Le Redoutable. D'une portée trop faible il est rapidement remplacé par le missile M2 (portée 3000 kilomètres) qui entre en service opérationnel dès 1974.

M1
Missile balistique
Missile M1
Prototype d'un corps de rentrée d'un missile M1 en 1969.
Présentation
Type de missile Missile mer-sol balistique stratégique
DĂ©ploiement 1971
Caractéristiques
Masse au lancement 20 t
Longueur 10,67 m
Diamètre 1,49 m
Portée 2500 km
Charge utile tête nucléaire MR 41 de 1360 kg
Plateforme de lancement Classe Le Redoutable

DĂ©veloppement

Les fusées du programme des Pierres Précieuses.

En le Conseil de DĂ©fense fige les caractĂ©ristiques des missiles balistiques qui doivent armer les premiers sous-marins nuclĂ©aires lanceurs d'engins français de la classe Le Redoutable. Ceux-ci doivent embarquer 16 missiles (une configuration Ă  8 missiles a Ă©tĂ© envisagĂ©e), dont la portĂ©e souhaitĂ©e est de 2 500 kilomètres et qui doivent emporter une charge militaire (bombe nuclĂ©aire) de 700 kilogrammes. Le missile doit pouvoir ĂŞtre lancĂ© depuis un sous-marin en immersion (donc nĂ©cessairement en mouvement car celui-ci ne peut ĂŞtre immobile pour rester stable) dans des conditions de forte houle. La prĂ©cision doit ĂŞtre compatible avec une stratĂ©gie de bombardement des citĂ©s. Le missile doit ĂŞtre opĂ©rationnel dĂ©but 1970[1]. Ă€ l'Ă©poque la France ne maitrise aucune des technologies nĂ©cessaires Ă  la rĂ©alisation de ce missile mĂŞme si certaines sont en cours de test. La SEREB (SociĂ©tĂ© d'Ă©tude et de rĂ©alisation d'engins balistiques) qui a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1959 par les dirigeants français pour crĂ©er une industrie des systèmes balistiques, est chargĂ©e de dĂ©velopper le nouveau missile. La SEREB a lancĂ© en 1960 le programme des Pierres prĂ©cieuses qui doit permettre de mettre au point de manière mĂ©thodique les diffĂ©rentes fonctions d'une fusĂ©e (propulsion liquide et solide, pilotage, guidage et rentrĂ©e atmosphĂ©rique). Dans le cadre de ce programme plusieurs plusieurs fusĂ©es expĂ©rimentales — Agate, Topaze, Émeraude et Rubis — sont rĂ©alisĂ©es et lancĂ©es depuis le site d'Hammaguir en AlgĂ©rie[2]. Ces travaux ont un objectif civil (mise au point du premier et seul lanceur spatial français Diamant) mais Ă©galement militaire. La fusĂ©e Rubis (VE 231) est utilisĂ©e pour Ă©valuer les phĂ©nomènes de rentrĂ©e atmosphĂ©rique qui affecteront les tĂŞtes nuclĂ©aires du missile tandis que le deuxième et troisième Ă©tage de la fusĂ©e Diamant sont pratiquement des copies Ă  Ă©chelle rĂ©duite des futurs M1/M2/M20 qui arment les Redoutable mais Ă©galement du missile S3 (sol-sol) dĂ©ployĂ© sur le plateau d'Albion[3].

Gyroscope du missile S3 sans doute similaire à celui qui équipe les premiers missiles embarqués sur les SNLE.

Le lancement d'un missile, que ce soit depuis une plateforme fixe (missile sol-sol du plateau d'Albion) ou mobile (SNLE) nécessite de disposer d'une centrale inertielle (comprend un gyroscope et des accéléromètres) extrêmement précise. En 1960, lorsque le général de Gaulle décide de créer la force nucléaire stratégique, les industriels français ont une maitrise très relative de ce domaine pointu. La Sagem a acquis en 1958 une licence de fabrication auprès de la société américaine Kearfott pour une centrale inertielle utilisable par un engin balistique de 100 kilomètres de portée. Celle-ci n'est pas suffisamment précise pour un missile dont la portée est de plusieurs milliers de kilomètres. La détérioration des relations de la France avec les États-Unis impose le développement d'une filière de fabrication nationale. Ces travaux vont représenter un budget équivalent à celui du prototype de réacteur nucléaire. La Sagem est chargée de développer la centrale inertielle de navigation pour sous-marin (CIN) ainsi que celle embarquée sur le missile tandis que le laboratoire de recherche LRBA réalise les essais. Les principes utilisés sont validés par le lancement réussi de la version guidée de la fusée Saphir et par celui du lanceur Diamant en 1965. Électronique Marcel Dassault (EMD) fournit les calculateurs de guidage tandis que SFENA et LCT livrent les électroniques de pilotage. Ces travaux débouchent sur une version opérationnelle qui est incorporée dans les premiers missiles en 1971[4].

Le missile M1, qui Ă©quipe initialement les Redoutable a une masse de 18 tonnes et un diamètre de 1,5 mètre. Il comprend deux Ă©tages chargĂ©s respectivement de 10 et 4 tonnes de propergol solide constituĂ© par un mĂ©lange de perchlorate d'ammonium (comburant) et le polyurĂ©thane (carburant). Le propergol solide a Ă©tĂ© choisi car, bien que moins performant Ă  masse Ă©gale que les ergols liquides, il ne pose pas de problème liĂ© au stockage sur de longues durĂ©es, besoin critique Ă  bord des sous-marins. Les essais statiques du missile ont lieu Ă  Saint-MĂ©dard-en-Jalles (agglomĂ©ration de Bordeaux) autour de la poudrerie de Saint-MĂ©dard qui assure la fabrication du propergol. C'est lĂ  que se sont installĂ©s les diffĂ©rents industriels participant Ă  la fabrication du missile : la SNECMA pour la structure en acier du premier Ă©tage, la SEPR pour les tuyères et le propulseur dans son ensemble des deux Ă©tages et Sud-Aviation pour la structure en fibre de verre du deuxième Ă©tage. Les essais statiques s'achèvent en 1968. Les essais en vol du premier Ă©tage ont lieu Ă  Hammaguir, puis depuis un caisson immergĂ© au large de l'Ă®le du Levant et enfin depuis un sous-marin spĂ©cialement Ă©quipĂ©, le Gymnote[5].

Le lancement d'un missile balistique depuis un sous-marin en plongĂ©e prĂ©sente de nombreuses difficultĂ©s. Le missile doit ĂŞtre expulsĂ© Ă  l'aide d'air comprimĂ© avec une vitesse suffisante pour atteindre la surface. Pour rester stable un sous-marin doit toujours ĂŞtre en mouvement. Mais ce dĂ©placement dĂ©sĂ©quilibre le missile lorsqu'il sort du tube. En atteignant les eaux de surface le missile est de nouveau dĂ©stabilisĂ© par la houle et il doit parvenir Ă  corriger un angle de sortie qui peut ĂŞtre très Ă©loignĂ© de la verticale. DĂ©pourvu d'empennages pour pouvoir coulisser dans son tube, le missile est aĂ©rodynamiquement instable ce qui complique la mise au point du système de pilotage de la fusĂ©e. Enfin au moment de l'expulsion du missile par le sous-marin l'eau s'engouffre dans le tube qu'il occupait. Il faut parvenir Ă  empĂŞcher celle-ci de noyer complètement le tube car la masse serait supĂ©rieure Ă  celle du missile et compromettrait la stabilitĂ© du sous-marin. Aussi pour mettre au point ce processus de lancement très complexe sans dĂ©pendre de la livraison du Redoutable, des essais sont d'abord effectuĂ©s Ă  Ă©chelle rĂ©duite puis Ă  l'Ă©chelle 1 Ă  partir d'un caisson (baptisĂ© Nemo) contenant un tube de lancement qui est immergĂ©. Pour parachever ces tests dans des conditions plus proches du fonctionnement opĂ©rationnel, les responsables du projet dĂ©cident en 1962 de construire un sous-marin expĂ©rimental : le Gymnote. Celui-ci est rĂ©alisĂ© Ă  partir de la coque du sous-marin Q244 (diamètre 8,5 mètres) en intercalant une tranche d'une diamètre de 10,6 mètres contenant quatre tubes de lancement. La rĂ©alisation du Gymnote est achevĂ©e le et il est mis en service le . Il sera Ă©galement utilisĂ© pour la mise au point du missile M4 puis dĂ©sarmĂ© le [6] - [7]. Les essais du missile complet sont d'abord effectuĂ©s depuis le Centre d'essais des Landes durant l'Ă©tĂ© 1968 qui vient d'ĂŞtre inaugurĂ© (4 tirs dont deux rĂ©ussis). Les essais suivants ont lieu Ă  bord du Gymnote (7 tirs dont 5 rĂ©ussis d'une version intermĂ©diaire puis 8 tirs dont 6 rĂ©ussis de la version de production). Ces lancements permettent de qualifier le lancement depuis un sous-marin en plongĂ©e. Deux tirs de qualification tous deux rĂ©ussis auront encore lieu depuis le Redoutable. DĂ©but 1972 avec deux ans de retard sur la date prĂ©vue, le missile devenait opĂ©rationnel[8].

Mise au point de l'ogive nucléaire

La France dispose depuis 1964 d'une arme nuclĂ©aire de 50 kilotonnes Ă©quivalent en TNT qui est emportĂ©e par des avions Mirage IV. Pour le missile Ă©quipant les sous-marins de la classe du Redoutable il est demandĂ© de dĂ©velopper une charge militaire dix fois plus puissante (500 kt) qui conserve toutefois la masse et les dimensions de l'arme Ă©quipant les Mirage. Celle-ci doit en plus rĂ©sister aux conditions sĂ©vères rencontrĂ©es durant le vol du missile (accĂ©lĂ©ration, tempĂ©rature) et rĂ©pondre Ă  des niveaux de sĂ©curitĂ© très Ă©levĂ©s nĂ©cessaires dans les SNLE. Les Ă©tudes sur cette charge militaire dĂ©butent en 1963. Pour Ă©quiper les missiles embarquĂ©s l'idĂ©al serait d'Ă©quiper ceux-ci d'une bombe thermonuclĂ©aire (bombe H) beaucoup plus compacte que la bombe A utilisĂ©e par les Mirage IV. Mais les travaux des chercheurs français dans ce domaine piĂ©tinent (ce qui leur attirera les foudres du gĂ©nĂ©ral de Gaulle) et le choix porte sur une variante de la bombe A, dite Ă  fission exaltĂ©e, qui grâce Ă  un matĂ©riau Ă  base de tritium permet d'obtenir une puissance explosive plus importante qu'une simple bombe A toutefois au prix d'une grande complexitĂ© de conception. La première bombe de ce type est rĂ©alisĂ©e avec l'uranium enrichi produit par l'usine de Pierrelatte qui a commencĂ© Ă  fonctionner en 1967. Le rĂ©sultat de ces travaux, la tĂŞte nuclĂ©aire MR41, est testĂ© au Centre d'expĂ©rimentation du Pacifique en . De manière ironique, quelques semaines plus tard explosait sur le mĂŞme site la première bombe thermonuclĂ©aire française qui traçait l'avenir de l'arme nuclĂ©aire[9] - [10].

Au cours d'essais de vibration de la charge MR41 une rupture mĂ©canique est constatĂ©e et entraine des travaux de renforcement de la structure de la bombe. L'utilisation du tritium gĂ©nère par ailleurs de nouvelles contraintes car ce gaz radioactif Ă  demi-vie relativement courte (12 ans) se transforme en hĂ©lium ce qui augmente la pression interne dans la charge nuclĂ©aire. L'enveloppe en acier doit ĂŞtre renforcĂ©e pour contenir ce gaz sans porter atteinte aux performances de l'arme. Les reprĂ©sentants de la Marine nationale imposent Ă  la DAM (concepteur de la bombe) des tests poussĂ©s qui reculent la mise au point de l'arme opĂ©rationnelle jusqu'en 1971. Finalement une charge nuclĂ©aire opĂ©rationnelle, respectant le devis de poids et la puissance souhaitĂ©e, est testĂ©e avec succès Ă  Moruroa en et les premiers missiles sont embarquĂ©s Ă  bord du Redoutable en 1972. La tĂŞte nuclĂ©aire MR41 ne sera qu'un engin de transition car elle sera très rapidement remplacĂ©e par la MR60 utilisant une bombe thermonuclĂ©aire (missile M20 dĂ©ployĂ©e Ă  compter de 1977). Initialement le commandant des sous-marins dispose d'un Ă©quipement permettant de contrĂ´ler en cours de mission la disponibilitĂ© de la charge nuclĂ©aire des missiles embarquĂ©s. Ce dispositif, gĂ©nĂ©rateur d'une charge de travail sans valeur ajoutĂ©e, sera supprimĂ© Ă  la demande des commandants Ă  partir de la livraison de l'Indomptable[10].

Caractéristiques techniques

Le missile M1 qui équipe à leurs débuts les deux premiers Redoutable, comprend deux étages à propergol solide (polybutadiène hydroxytéléchélique). Entre les deux étages s'intercale une structure contenant le dispositif pyrotechnique de séparation du premier étage. Au-dessus du deuxième étage on trouve la case à équipements comprenant la centrale à inertie, le calculateur de guidage, le bloc de pilotage et le système de séparation du deuxième étage. La tête militaire qui contient la charge nucléaire protégée par le corps de rentrée surmonte le tout. Le missile est stocké dans un tube interne qui débat de manière élastique dans un tube externe grâce à une suspension pour amortir les mouvements du bateau. Le tube externe qui déborde largement au-dessus de la coque épaisse du sous-marin (mais est recouvert par la superstructure) participe de celle-ci. Un tapis de glissement est placé entre le missile et le tube interne pour éviter tout choc. Le tube est fermé par une porte qui s'ouvre pour permettre le tir du missile. Une membrane en néoprène empêche l'eau de mer de pénétrer dans le tube après son ouverture juste avant le lancement qui s'opère à faible profondeur. Un système de chasse utilisant de l'air comprimé expulse le missile vers la surface à près de 100 km/h. La membrane en néoprène est déchirée par le missile lorsque celui-ci est lancé[11].

DĂ©ploiement

Lee missile M1 est mis en service en 1972 sur les deux premiers SNLE français : Le Redoutable et Le Terrible. Mais ses capacitĂ©s sont limitĂ©es par sa portĂ©e de 2 450 kilomètres. Pour que le missile puisse atteindre Moscou (Ă  cette Ă©poque de guerre froide l'Union soviĂ©tique constitue l'unique menace de conflit nuclĂ©aire pour la France), il faut que le sous-marin soit positionnĂ© en mer de Norvège ou dans le golfe de GĂŞnes des mers trop frĂ©quentĂ©es et de taille trop rĂ©duite pour permettre de patrouiller Ă  l'abri des menaces. Dès 1958 la Marine nationale avait demandĂ© que la portĂ©e soit allongĂ©e Ă  3 000 km[12] - [3] - [8]. Il est rapidement remplacĂ© sur cette classe de SNLE successivement par les missiles M2, M20 et M4 dont les caractĂ©ristiques sont rĂ©sumĂ©es dans le tableau ci-dessous :

Principales caractéristiques des missiles[13]
Caractéristique Missile M1 Missile M2 Missile M20 Missile M4
Date de mise en service
Hauteur10,4 m.10,67 m.11 m.
Diamètre1,50 m.1,93 m.
Nbre Ă©tages2 Ă©tages3 Ă©tages
Masse18 t.19,5 t.19,5 t.36 t.
PortĂ©e2 450 km< 3 000 km> 3 000 km5 000 km
Charge militaire1 tĂŞte nuclĂ©aire MR41 de 500 kt1 tĂŞte nuclĂ©aire de 500 kt1 tĂŞte nuclĂ©aire MR60/MR61 de Mt6 tĂŞtes nuclĂ©aires MR70 de 150 kt
Autre caractéristiqueDeuxième étage RITA 1Deuxième étage RITA 2Lanceur refondu
Sous-marin équipé[14]Le Redoutable
Le Terrible
Le Redoutable
Le Terrible
Le Redoutable
Le Terrible
Le Foudroyant
L'Indomptable
Le Tonnant
Le Terrible
L'Indomptable
Le Foudroyant
Le Tonnant
L'Inflexible

Retombées industrielles

Dans le cadre du programme des missiles M1, S2 et du lanceur spatial Diamant, les principaux acteurs industriels français de l'aéronautique acquièrent la connaissance qui leur permettra de faire jeu égal avec les Américains dans le domaine des lanceurs classiques dans le cadre du programme Ariane : les établissements de la future Aérospatiale pour le corps des fusées, Snecma pour la propulsion, Matra pour la case à équipements, SFENA et SAGEM pour la centrale à inertie. Des organismes de recherche comme l'ONERA (aérodynamique, propulsion), le CNET et le CNRS participent en amont aux études de conception des missiles, du lanceur et des satellites.

Notes et références

  1. Un demi-siècle d'aéronautique en France - Les missiles balistiques de 1955 à 1995, p. 130
  2. Marcel Morer, « Le Redoutable 1963-1991 - Le programme MSBS M1 », Cols bleus, no 2139 (supplément),‎ , p. 1-17 (lire en ligne)
  3. « La sage du MSBS : 50 années de passion et de réussite », sur armement-innovations.fr, Confédération amicale des Ingénieurs de l'Armement (consulté le )
  4. « Le guidage et le pilotage des missiles balistiques MSBS », sur armement-innovations.fr, Confédération amicale des Ingénieurs de l'Armement (consulté le )
  5. Marcel Morer, « La Genèse de la Force Océanique Stratégique - Développement du missile MSBS de première génération », AGASM, no x,‎ , p. 7-10 (lire en ligne)
  6. Sous-marin expérimental lance-missiles Gymnote (1964-1987)
  7. L’aventure des SNLE français, p. 14
  8. Un demi-siècle d'aéronautique en France - Les missiles balistiques de 1955 à 1995, p. 134-138
  9. Yves Ploux, « Le Redoutable 1963-1991 - Les armes nucléaires », Cols bleus, no 2139 (supplément),‎ , p. 10 (lire en ligne)
  10. Claude Ayçoberry, « La Genèse de la Force Océanique Stratégique - La première charge nucléaire M.S.B.S. », AGASM, no x,‎ , p. 7-10 (lire en ligne)
  11. « Un missile balistique : Comment ça marche ? » [archive du ], sur Netmarine,
  12. L’aventure des SNLE français, p. 17
  13. « Les missiles M20, M4, M45 » [archive du ], sur Netmarine,
  14. Un demi-siècle d'aéronautique en France - Les missiles balistiques de 1955 à 1995, p. 143

Bibliographie

  • Emile Arnaud (collectif), Un demi-siècle d'aĂ©ronautique en France - Les missiles balistiques de 1955 Ă  1995, DĂ©partement d'histoire de l'armement du Centre des hautes Ă©tudes de l'armement, , 316 p. (lire en ligne)
  • Emmanuel Duval, « L’aventure des SNLE français », La Revue Maritime, Institut français de la mer, no 491,‎ , p. 21 (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • aerospatiale 06, mensuel de l'Ă©tablissement de Cannes, paru de 1982 Ă  1998.
  • France Durand-De Jongh, De la fusĂ©e VĂ©ronique au lanceur Ariane une histoire d'hommes 1945-1979, Paris, Editions Stock, , 283 p. (ISBN 2-234-04659-9)
  • Sylvie Moncieu (dir.), Alain Coursier (rĂ©dacteur) et al., 80 ans de passion, le site de Cannes de 1919 Ă  1999, Éditions Version latine, , 111 p.
  • La saga des missiles europĂ©ens (1945-2005), Guillaume Belan, Patrick Mercillon, Paris, Ă©ditions TTU-Certes, 2005
  • HervĂ© Moulin, « La France dans l’Espace 1959-1979 Contribution Ă  l'effort spatial europĂ©en », sur Agence spatiale europĂ©enne, (consultĂ© le )
  • Philippe Varnoteaux, L'aventure spatiale française : de 1945 Ă  la naissance d'Ariane, Paris, Nouveau Monde Edition, , 432 p. (ISBN 978-2-36942-157-3)

Articles connexes

Liens externes

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