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Michel Couchat

Michel Couchat, né le à Courbevoie et mort le à Paris 15e[1], est un peintre français.

Michel Couchat
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Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
Michel Charles François Couchat
Nationalité
Activité

Biographie

Michel Couchat naĂ®t le , Ă  Courbevoie. Ses parents sont horlogers bijoutiers au VĂ©sinet, Ă  l’ouest de Paris. Il est l’aĂ®nĂ© d’une fratrie de trois enfants. Après de brèves Ă©tudes au lycĂ©e de Saint-Germain-en-Laye, il entre comme soliste soprano dans la manĂ©canterie des Petits Chanteurs Ă  la Croix de Bois de l’abbĂ© Maillet. Il dĂ©couvre le monde  : l’AmĂ©rique latine, les États-Unis et le Canada.

En 1951, il enregistre le rôle d’Ingold dans Pelléas et Mélisande, sous la direction d’Ingelbrecht. La même année, Léo Ferré lui confie un rôle dans un de ses oratorios.

Vers l'âge de quinze ans, il suit l’enseignement du sculpteur Joseph Rivière, entre Ă  l’acadĂ©mie Julian puis aux Beaux-Arts de Paris en 1953. Mais très vite, il prĂ©fère peindre sur le motif : les berges de la Seine, les Ă©cluses de Bougival ou le parc de Marly. Ă€ Auvers-sur-Oise, il rencontre le fils du docteur Gachet ; ils iront ensemble fleurir la tombe de Van Gogh. Aux Beaux-Arts, son condisciple M'hamed Issiakhem lui prĂ©sente l’écrivain algĂ©rien Kateb Yacine avec qui il nouera une relation durable. Ă€ 18 ans, il vend sa première toile, Le Parc de Marly, Ă  Margherita Sarfatti, de la galerie Valori-Plastici.

Les débuts en peinture, premières expositions

En 1954, le peintre écrivain Giulio Cesare Silvagni présente la première exposition personnelle de Michel Couchat au public parisien à sa «  Galerie de l’Odéon ». Les critiques sont encourageantes : « Michel Couchat n’a que 20 ans, pâte onctueuse, couleurs fraîches, tendres, poésie ingénue, amour d’adolescent au printemps : enfin un jeune ! »[2]. Il y exposera plusieurs fois de 1956 à 1958.

Le peintre Roger Chastel le conseille et l’invite Ă  participer Ă  l’exposition collective Confrontations Ă  l’AcadĂ©mie des Beaux-Arts de Saint-Germain-en-Laye. S’ensuit une exposition Ă  la galerie « Le HĂ©risson Â» en 1955. Un an plus tard, Henri HĂ©raut l’inscrit Ă  l’exposition Jeunes peintres de qualitĂ©.

Amateur de jazz, il devient membre d'un Hot club. Il présente la toile Orchestre de jazz au 8e salon de la Jeune peinture, au musée d’art moderne de Paris.

Fayence, les rencontres

Au cours de l'été 57, il part à la recherche d'une maison dans le sud de la France et, en 1958, s'installe à Fayence dans le pays Varois. Là, dans une maison achetée par son père, il entraîne sa sœur Anne-Marie, son frère Jean, son beau-frère Jean-Jacques Condom, peintre aussi, et le potier Raymond Thomas. Ensemble ils créent un atelier de poterie,  La Poterie de l’Évêché  où passeront de nombreux artistes.

Dans la région, il rencontre de nombreux artistes dont Albert Diato qui lui présentera le photographe André Villers, avec qui ils noueront une amitié durable. En 1958 à Vence, il rencontre le galeriste Alphonse Chave qui expose ses  Petits gras, paysages semi-abstraits aux tons ocre et terre, des huiles peintes sur « papier boucherie ». Entre mer et montagne, il peint. La vie de village lui inspire les thèmes de la fanfare, des bals champêtres et des joueurs de boules. C'est une année de fête propice aux rencontres : Jean-Pierre Azéma, historien, et ses frères, Jean-Loup et Jacques, Pierre Vidal-Naquet, historien, Jean-Claude Penchenat, cofondateur du théâtre du Soleil, le comédien Philippe Léotard, Iris Barry, premier conservateur du département de cinéma du M.O.M.A. de New York ainsi que le jazzman Claude Luter.

De retour à Paris en 1959, il s’interroge sur la direction que doit prendre sa peinture  : abstraction ou figuration  ?

Les années 1960

À paris en 1960, il s'installe à la Villa des Arts dans l'atelier des Philippart-Quinet, grands parents de sa future femme, Agnès Kempf. Eugène Carrière avait peint dans cet atelier.

Cette même année, il reçoit le prix de Biarritz décerné par Michel Ragon, Bernard Dorival, Roger Chastel et Georges Pillement.

L'influence d'HĂ©lion

Une toile de Jean Hélion Le Grand Brabant, exposée à la galerie Zervos, va fortement influencer sa peinture. Hélion lui présente le sculpteur William Chattaway, le peintre Isaac Celnikier et l’écrivain critique d’art, collectionneur et mécène, Pierre-Georges Bruguière, qui suivra avec intérêt le travail de Couchat.

En 1962, naissent ses filles Fanny et Domitille.

La palette du peintre change. Ses toiles dynamiques aux couleurs vives encore abstraites laissent entrevoir une approche plus figurative : Les flamboyants.

Jean-Jacques Lévêque, auteur et historien d'art, l’accueille à l’exposition L’Art actuel une première fois en 1962 puis de 1972 à 1974.

En 1963 il reçoit le prix Fénéon décerné par Louis Aragon, Jean Paulhan, Michel Butor, Jean Fautrier, Roger Chastel et André Berne-Joffroy.

À la galerie de Denise Riquelme, il rencontre Yorick Blumenfeld (en), fils du photographe Erwin Blumenfeld, et sa femme Hélène, sculptrice. Il se rendra plusieurs fois chez eux à Cambridge notamment en 1989 en qualité d'invité d'honneur pour le bicentenaire de la Révolution française.

Il participe à une exposition chez Alphonse Chave, placée sous le sigle SIC (Sénile, Inculte, Crétin). En 1964, Chave présente sa propre collection sous l'intitulé Collection privée d'un marchand de tableaux à la galerie Henriette-Le Gendre à Paris. Ce sera leur dernière collaboration.

Les paysages urbains

Michel Couchat peint Les Troncs d’olivier et déjà de nouveaux thèmes surgissent, ses paysages se font plus urbains et rendent compte de préoccupations plus sociales  : sites industriels, bidonvilles, buildings… Jean Rolin, conservateur du Musée d'art et d'histoire de Saint-Denis, acquiert la grande toile Fabrique à Saint-Denis. La ville de Courbevoie achète la toile La Tour Nobel en construction, le conservateur du musée Albertina de Vienne remarque son œuvre au salon de Saint-Denis et acquiert une lithographie sur le thème Ferrailles et Fumées .

Il quitte la Villa des Art en 1967 pour un atelier plus spacieux dans la même rue. À l’occasion des événements de Mai 68, Ferrailles et Fumées  sera réimprimée avec le titre Requiem pour le Général Moteur et figurera ensuite dans le livre de Louis F. Peters, Kunst und Revolt. Les affiches de Mai seront présentées à la galerie du Dragon à Paris. Parallèlement le musée Albertina de Vienne l’invite à présenter ses œuvres. Il y rencontre le peintre Georg Eisler (en).

Il poursuit le thème des paysages urbains, banlieue, carcasses de voitures et objets de rebuts et parallèlement peint les Nus roses et bleus aux parapluies en clin d’œil à Jean Hélion.

Ă€ contre-courant des tendances de son temps

En 1969, Patrick Waldberg, rencontré à Seillans, l’invite à participer à l'exposition Dessins 1900 - 1969 à la galerie Messine à Paris. Il y fait connaissance des peintres André Queffurus et Max Papart.

Patrick Waldberg salue l'initiative de Michel Allongue et LoĂŻc Chauvin qui organisent l'exposition L’art Contemporain dans les Collections du Haut Var Ă  la galerie La PĂ©gère Ă  Fayence. Il prĂ©facera Ă©galement l’exposition Dessins rĂ©cents sur le thème  des ferrailles Ă  la galerie « l’Échelle 30 Â» Ă  Paris. Ă€ la galerie, Couchat se lie d’amitiĂ© avec Raymond Mason, Gaston-Louis Roux et Miklos Bokor. L’annĂ©e 1969 se termine par une exposition Ă  la galerie Jacques-Casanova Ă  Paris.

Les lavis Ă  l'encre

L'actrice Bernadette Lafont propose à Couchat une figuration dans l’un des trois films du réalisateur d’origine libanaise Jacques Bral, Une baleine qui avait mal aux dents.

En 1971 la ville de Fayence lui commande une fresque pour le collège ; il réalise une scène de fête de village.

La galerie  « La PĂ©gère Â» prĂ©sente la mĂŞme annĂ©e Ă  la Chapelle de Seillans ses paysages panoramiques, grands lavis Ă  l’encre de chine Ă©voquant la semi-abstraction des calligraphes paysagistes d’ExtrĂŞme-Orient. Max Ernst et sa femme Dorothea Tanning, Seillanais d’adoption, prĂ©sents au vernissage, saluent le talent de Couchat. L’annĂ©e suivante, ce travail est montrĂ© Ă  la maison des jeunes et de la culture de Sceaux. Le poète surrĂ©aliste Jacques Baron prĂ©face le catalogue. Ces lavis sont ensuite prĂ©sentĂ©s Ă  la galerie Remarque chez HĂ©lène Bondil, c'est leur première collaboration. Sur le carton d’invitation, Couchat cite un passage du texte d’Alexander Cozens paru en 1785 sur sa nouvelle mĂ©thode pour assister l’invention dans la composition du paysage  :

« ... Une tache véritable est un assemblage de formes ou de masses obscures tracées sur un morceau de papier avec de l’encre, et aussi bien de formes ou de masses lumineuses constituées par la blancheur du papier non couvert. Toutes ces formes sont rudimentaires et privées de signification. Mais dans le même temps, ces masses s’organisent en une disposition globale et une forme compréhensive… ».

Des lavis de Michel Couchat illustrent le recueil de poésies de Kenneth White Travels in the Drifting Dawn.

Il expose en 1973 au CREP (Centre régional d’éducation populaire) à Paris puis à la maison des jeunes et de la culture à Le Blanc-Mesnil. Fabrice Hélion lui écrit le texte Symphonie pour bidonvilles et boîtes de conserves. Cette année 1973, contraint par son propriétaire de quitter son atelier, il retourne à Fayence à La Poterie avec sa famille.

Les dessins

Il revient à Paris en 1975 et s'installe dans un petit studio où il ne peut plus peindre. La période est difficile, il se consacre au dessin par l’exercice quotidien de l’autoportrait. Enfin, il retrouve un atelier à Pantin.

Ses dessins sont montrĂ©s pour la première fois en 1975 Ă  « La Bouquinerie Â», galerie d’Alain Schrotter Ă  Avallon. Pierre-Georges Bruguière signe la prĂ©sentation de l’exposition.

En 1976, Couchat expose pour la deuxième fois Ă  la galerie « Remarque Â» Ă  Trans-en-Provence, puis prĂ©sente ses autoportraits Ă  la galerie Charley-Chevalier Ă  Paris. L'exposition est saluĂ©e par la critique, notamment par Jean-Marie Dunoyer dans Le Monde et Marie-Claude Volfin dans Les Nouvelles littĂ©raires. La prĂ©face du catalogue de l’exposition rĂ©unit les signatures de Patrick Waldberg, Jacques Baron, Emmanuel Saulnier, Jean Marcenac, AndrĂ© Berne-Joffroy et Pierre-Georges Bruguière. Il sympathise avec Henri Cartier-Bresson que ses dessins ne laissent pas indiffĂ©rent.

Durant l'année 1976, les quatre peintres Bollo, Boucraut, Bréschand et Couchat confrontent leurs points de vue sur le dessin. Une exposition collective de leurs dessins est présentée à Paris puis à Avallon, et aboutit à une publication.

Il renoue avec la peinture au cours de l’été 1978 lors d'un séjour dans le Cotentin où il participe aux moissons.

Le retour Ă  la peinture

En 1981, au cours d'un séjour chez Yorick et Helaine Blumenfeld (en) à Cambridge, il fait la connaissance de Sophia Reitman qui devient son élève pendant un an.

En 1983, Martine Heuze, sa nouvelle compagne, lui donne une troisième fille, Aliénor. Il découvre la Belgique, pays natal de Martine. Invité de nouveau à Cambridge, il peint les cèdres de Grandchester et des champs de coquelicots.

En 1985, pour célébrer son retour à la peinture, son ami, le poète Kenneth White, écrit Retrouvailles et Pierre-Georges Bruguière avec Les Amis de La Rue de Bourgogne l’invitent à exposer.

Pierre-André Boutang et le peintre André Queffurus le présentent à la galerie Diane Manière, où il expose plusieurs fois. Gérard Xuriguera le convie à Confrontations. Pierre Vidal-Naquet signe le texte de présentation de l'exposition à la maison de la musique de Fayence.

Au nom des Artistes pour la paix, il participe à L’appel des 100 à Pantin. Sur le thème de la figuration, Gérard Xuriguera organise une exposition à la maison des jeunes et de la culture des Hauts de Belleville. Michel Couchat participe au débat avec Lucien Curzi.

Dans Le Quotidien de Paris, Jean-Jacques Lévêque soutient l’exposition à la galerie Diane Manière des dessins de Wolf, Bribois et Michel Couchat. Il retrouve les photographes André Villers et François Goalec à la 3e rencontre des artistes contemporains au palais de la Croisette à Cannes, aux côtés de César, Pignon, Arman et d’autres.

Le décès de Jean Hélion en 1987 l’affecte profondément ; il perd son père spirituel.

Le fleuriste de Vallauris Jean-Louis Iperti, ami des artistes, remarque chez André Villers une toile de Michel Couchat. Intéressé, il lui propose une exposition dans sa fondation Sicard-Iperti. La rencontre entre Jean Marais et Michel Couchat à cette occasion est pérennisée par le photographe fayençois Jean-Jacques Molinengo. André Villers, Pierre Vidal-Naquet et Jean Clair préfacent le catalogue  :

« ... Il y a dix ans, quand j’ai connu Couchat, il peignait encore les usines, le canal, les cheminées, tout un décor plus noir que ceux de Trauner. C’était sans issue, sans espoir. La misère bégaie, elle n’a rien à dire, elle répète toujours la même plainte. Quand je l’ai revu, comme dans son jardin, il avait recréé la nature dans ses tableaux… ». (Jean Clair)

En 1988 il peint Les Tumulus en mĂ©moire de ses amis disparus. Son ami Jacques Bibonne le prĂ©sente Ă  la galerie de Jean Peyrole « L’œil de SĂ©vignĂ© Â» Ă  Paris, qui l'accepte parmi ses peintres. Lucien Curzi invite Couchat Ă  participer Ă  l’exposition Peintures abstraites et figuratives Ă  Château-Plaisir.

En 1989 il peint les Vanités, thème à la symbolique forte qu’il reprend en 1991 à la mémoire des victimes de la Guerre du Golfe. Le sculpteur Raymond Mason les qualifie de chefs-d’œuvre.

Les dernières années

Il est invité par ses amis algériens à l’hommage rendu à Kateb Yacine au Lucernaire à Paris.

Au musée Carnavalet, Pierre-Georges Bruguière et Germain Viatte préfacent l’exposition La Rue de Bourgogne présente dix peintres et un sculpteur. En 1993, il prend comme sujet les gens de la rue.

Invité par Xavier Delannoy, il participe à La Garde-Freinet à l’exposition La Forêt et son environnement, thème qui lui est cher. En 1994, il retrouve ses amis de La Rue de Bourgogne, Hélion, Roux, Marks, Rhul, Robin, Castier, Remzi et Chattaway à la galerie Domhof en Allemagne.

Il montre de grandes toiles à la galerie des Artistes à Montparnasse. L’exposition Passions privées au musée d’Art moderne de Paris présente une de ses œuvres incluse dans la collection Pierre-Georges Bruguière.

En 1996, il reprend le thème des «  fanfares » déjà abordé dans les années 1960 et 1970. Ce travail l’amène en 1997 à peindre une suite de grandes toiles très colorées, les Charivari.

En 1998, malade, il meurt le . Il est enterré à Couterne, au côté de son ami et maître Jean Hélion.

Prix

  • 1956 : 2e prix LĂ©onie Moreau
  • 1961 : 1er prix de Biarritz
  • 1963 : Prix FĂ©nĂ©on

Collections

Collections publiques

  • MusĂ©e Roybet-Fould, Courbevoie, 1959
  • Direction des Arts et Lettres, 1962
  • Direction des Beaux-Arts de Paris, 1963
  • MusĂ©e Albertina de Vienne, 1968
  • MusĂ©e d'Art et d'Histoire de Saint-Denis, 1969
  • Ville de Fayence, 1974
  • MusĂ©e d'Avallon, 1977
  • Ville de Drancy, 1980
  • F.N.A.C., 1983
  • Ville de Duny, 1988
  • Ville de Pantin, 1995
  • C.N.A.C.

Expositions

1954
  • Galerie de l’OdĂ©on, Paris
1955
  • Galerie Le HĂ©risson, Saint-Germain-en-Laye.
  • Galerie de l’OdĂ©on.
  • AcadĂ©mie des Beaux-Arts de Saint-Germain-en-Laye, Confrontations
1956
  • Galerie de l’OdĂ©on, Paris, Peintures Nouvelles
  • Galerie Lettres et Arts, Paris, Jeunes Peintres de QualitĂ©
1957
  • Galerie de l’OdĂ©on, Paris, Autour du Chien
  • MusĂ©e d’Art Moderne de la ville de Paris, 8e salon de la jeune peinture
1958
  • Galerie de l’OdĂ©on, Paris,  Le Groupe de Fayence
1959
  • Galerie Mage, Alphonse Chave, Vence
1960
  • Galerie Madame J. Cusin, Mougins
  • Galerie Denise Riquelme, Paris
1962
  • L’Art Actuel, Toulouse
1963
  • Galerie Denise Riquelme, Paris
  • Galerie Alphonse Chave, Vence,  SIC
1964
  • Galerie Henriette Legendre, Paris,  Collection PrivĂ©e d’un Marchand de Tableaux, Collection Alphonse Chave
1967
  • Galeria d’Arte, Renato Bussi, Rome
  • 21e Salon de l’Union des Arts Plastiques, Saint-Denis
  • Galerie La PĂ©gère, Fayence,  Peintures, Dessins, Lavis, Paysages de Provence, Ă©tĂ© 67
1968
  • Galerie du Dragon, Paris,  Les Affiches de Mai
  • Galerie de l’Imprimerie Nationale d’Autriche, Vienne, Banlieue de Paris et Impressions Provençales, Schauraum der Osterreichischen.
  • 22e Salon de l’Union des Arts Plastiques, Saint-Denis,  Dominante Rouge
1969
  • Galerie Messine, Paris, Dessins 1900-1969
  • Galerie La PĂ©gère, Fayence, L’Art Contemporain dans les Collections du Haut Var
  • Galerie Jacques Casanova, Paris, Lia Grambihler
  • Galerie l’Échelle 30, Paris,  Dessins RĂ©cents 
1971
  • Galerie La PĂ©gère, Seillans
1972
  • Maison de la culture, Sceaux
  • Galerie Remarque (HĂ©lène Bondil), Trans-en-Provence, Lavis, Dessins, Peintures
  • Galerie de la Halle au BlĂ©, Alençon, Aspect de l’Art Actuel
  • CafĂ©tĂ©ria de l’institut d’anglais Charles V, Paris, Travels in Dritting Down de Kenneth White, dessins de Michel Couchat.
1973
  • CREP (centre rĂ©gional d’éducation populaire), Paris.
  • Maison de la culture, Blanc-Mesnil,  Symphonie pour Bidonvilles et BoĂ®tes de Conserves
  • Maison de la culture, Sceaux,  8 Peintres Exposent, invitĂ©s par Jean-Jacques LĂ©vĂŞque : Benauteur, Chantarel, Couchat, Iscan, Ivakovic, Pelissier, Sato, Yeru.
1974
  • Galerie 89, Avallon, Dessins
  • Aspects de l’Art Actuel, Paris
1975
  • Galerie La Bouquinerie, Avallon, Dessins-Peintures
  • Galerie Verrière, Lyon,  30  CrĂ©ateurs d’Aujourd’hui, Alechinsky, Soulages, LindstrĂ´m, Agam…, invitĂ©s par A. Parinaud.
  • Galerie Jacques Davidson, Tours, Bollo, Griton.
1976
  • Galerie Remarque (HĂ©lène Bondil), Trans-en-Provence,  Encres de Chine
  • Galerie Charley Chevalier, Paris,  Autoportraits 
1977
  • Maison de la culture des hauts de Belleville, Paris, Dessins, Bollo, Breschand, Boucraut, Couchat.
  • MusĂ©e de l'Avallonnais, Bourgogne, Dessins, Bollo, Breschand, Boucraut, Couchat.
  • Galerie 89 (Alain Shrotter), Avallon,  Dessin, Bollo, Couchat, Dewez, Diaz, Schrotter, Wiegant.
1979
  • Galerie Bellint, Paris,  Les  Travestis du RĂ©el 
1980
  • Galerie Remarque (HĂ©lène Bondil),  Trans-en-Provence
1983
  • Liège, Belgique.
  • Maison de la culture des hauts de Belleville, Figurations , organisĂ© par GĂ©rard Xuriguera.
1984
  • Centre culture, Pantin,  Retrouvailles
  • Association Cimaise, Paris,  Peinture, Sculpture, invitĂ© par Jacqueline Bonnefous.
1985
  • Galerie Diane Manière, Paris, Couchat, Wolf, Brisbois.
  • Maison de la musique, Fayence, texte inĂ©dit de Pierre Vidal-Naquet.
  • Caveau La RĂ´ele, Villers-Les-Nancy.
  • Centre culture, Pantin,  L’appel des Cent , Les artistes pour la paix
  • Centre culturel Scandicci, Italie,  Ensemble Ă  Scandicci
  • Maison de la culture les hauts de Belleville, Paris,  Confrontations
  • Galerie Diane Manière, Paris,  Dessin , Couchat, Wolff, Brisbois.
  • Palais de la croisette, Cannes, 3e Rencontre des Artistes Contemporains , Association DĂ©fense des Arts Plastiques, organisĂ© par Michel Vojic.
1986
  • Galerie Diane Manière, Paris, Les AnnĂ©es 60
  • Maison de la culture du 14e, Paris, Association Cimaise,  Peinture, Sculpture
  • Maison de la culture, Paris.
1987
  • Galerie Diane Manière, Paris.
  • Exposition privĂ©e organisĂ©e par Bernadette Lafont, Paris.
  • Fondation Sicard Iperti, Vallauris
  • Art collection, Honfleur, Pontaven, CarnacVille,  Les Grands Peintres Modernes
  • Espace Art Tension, Paris.
1988
  • Galerie L’œil de SĂ©vignĂ©, Jean Peyrole, Paris.
  • Art collection, Honfleur,  Les Grands Peintres Modernes
  • Château Plaisir,  Peinture Abstraite et Peinture Figurative Contemporaines
  • 18e Salon d’Arts Plastiques, VilleDugny, Forme et Lumière , invitĂ© d’honneur.
1989
  • Cambridge Festival, cĂ©lĂ©bration du centenaire de la RĂ©volution 1989, invitĂ© d’honneur.
  • Maison de la musique, Fayence.
  • Aart galerie (Claude Lalandre), Paris, prĂ©face de Paul Lengrand.
  • Art collection, Courchevel,  Les MaĂ®tres Contemporains
  • 2e Biennale, Courbevoie.
  • Leinster Fine Arts, Londres, Angleterre.
  • Galerie L’œil de SĂ©vignĂ© (Jean Peyrole), Paris, Voir et Revoir les Peintres de la Galerie
1990
  • Galerie L’œil de SĂ©vignĂ© (Jean Peyrole), Paris.
  • Maison de la musique, Fayence, texte de Paul Lengrand.
  • Galerie Remarque, 15e anniversaire de la galerie.
  • Espace Lucernaire, Paris, Hommage Ă  Kateb Yacine
1991
  • Galerie « L’œil de SĂ©vignĂ© Â», Paris, Voir et Revoir les Peintres de la Galerie.
1992
  • Galerie Remarque, Trans-en-Provence
  • Galerie L’œil de SĂ©vignĂ© (Jean Peyrole), Paris, Bollo, Couchat
  • MusĂ©e Carnavalet, Paris, La Rue de Bourgogne prĂ©sente  Dix Peintres et un Sculpteur.
  • Galerie Trace, Claude Lalandre, Paris.
  • MusĂ©e Carnavalet 
1993
  • Galerie Diane Manière, Paris,  Livres et Papiers d’Artistes
  • Galerie Xavier Delannoy, La Garde Frenet, La forĂŞt et son environnement
1994
  • Galerie am Domhof, Zwichau, Allemagne,  Les amis peintres et sculpteurs de la Rue de Bourgogne, HĂ©lion, Roux, Marks, Rhul, Robin, Couchat, Castier, Remzi, Chattaway.
  • Club de la Presse, Nancy
1995
  • Galerie L’œil de SĂ©vignĂ© (Jean Peyrole), Paris.
  • Salle des expositions, Pantin.
  • Galerie Diane Manière, Paris, peintres de la galerie Portraits, Autoportraits
  • Galerie des Artistes, Montparnasse, Paris.
  • MusĂ©e d’Art Moderne, Paris, Passions privĂ©es
1996
  • Exposition privĂ©e, Atelier de Pantin, Les Amis de la Rue de Bourgogne
  • La Capitale Galerie. F.Bazencir, Paris
1997
  • Espace d’art contemporain du château de La Ballue, Marie-France Barrère et Alain Schrotter, Bazouges-la-PĂ©rouse.
  • Exposition privĂ©e, Atelier de Pantin,  Les Amis de la Rue de Bourgogne
  • Exposition privĂ©e, Suresnes,  Les Amis de la Rue de Bourgogne.
1998
  • Exposition privĂ©e, Atelier de Pantin, Hommage Ă  Michel Couchat.
1999
  • Espace Lhomond, Paris, Les peintres de La Rue de Bourgogne
  • MusĂ©e d’Art et d’Histoire, Saint-Denis, Les cheminĂ©es dans la plaine, 100 ans d’industrie Ă  Saint Denis, Ĺ“uvre exposĂ©e Fabrique Ă  Saint Denis.
2002
  • Wimpole Hall, Cambridge, Old Laundry Gallery. RĂ©trospective prĂ©sentĂ©e par Yurick et Helaine Blumenfeld.
2003
  • Galerie du Griffon, Paris, Peintures prĂ©sentes. Castier, Chattaway, Couchat, HĂ©lion, Mark, Robin, Gaston Louis Roux, Ruhl, Schauer.
2006
  • Galerie du Griffon, Paris, 50 ans de dessins. HĂ©lion, H. Arp, Bonnard, M.H. Castier, Chattaway, Doma, Mason …
2015
  • Avallon, RĂ©trospective

Écrits sur Michel Couchat

  • Henri Adam : « Peinture fraĂ®che Â», Les Lettres Françaises,
  • FrĂ©dĂ©ric Altman
    • « Michel Couchat, le solitaire Â», Nice Matin, 1992
    • « Hommage Ă  Michel Couchat Â», Nice Matin, 1999
  • Amen : « Michel Couchat, des paysages de Provence Â», Var Matin, 1967
  • John Ashbery : « Paris Art Note Book Â», New York Herald Tribune,
  • Jacques Baron
    • Catalogue de l’exposition Ă  la Maison des jeunes et de la culture de Sceaux, 1972
    • Catalogue de l’exposition Ă  la galerie Charley Chevallier, Paris, 1976
  • RenĂ© Barotte : Journal des Arts, Paris Presse l’Intransigeant,
  • Beauclair : « Peintres rĂ©gionaux Ă  Poissy Â», Courrier RĂ©publicain,
  • Mondher Ben Milad
    • Combat, 1969
    • « A travers les galeries Â», Combat,
    • Combat, 1973
    • « Les peintres parlent Â», Les Cahiers de la Peinture,
  • AndrĂ© Berne-Joffroy
    • Catalogue de l’exposition Ă  la galerie Charley Chevalier, Paris, 1976
    • Citation dans l'article « Henri Cartier Bresson, photographe et dessinateur Â», Gazette des Beaux-Arts, 1981
  • Evelyne Bosc : Texte inĂ©dit citĂ© par Amen, Var Matin, 1967
  • Jean Bouret : « Le deuxième souffle du dessin Â», Les Papiers du Barbabooth’s Club,
  • François Breley : « Ă€ la maison de la Musique, un grand peintre : Michel Couchat Â», Fayence, Var Matin,
  • Pierre Brisset
    • Exposition Ă  La Bouquinerie, Avallon, 1975
    • Exposition Ă  la galerie L’œil de SĂ©vignĂ©, L’œil, Paris, 1987
  • Pierre-Georges Bruguière
    • Exposition Ă  La Bouquinerie, Avallon, 1975
    • Catalogue de l’exposition Ă  la galerie Charley Chevallier, Paris, 1976
    • Catalogue de l’exposition du musĂ©e Carnavalet, Dix peintres, un sculpteur, Paris MusĂ©e, 1991
    • Catalogue de l’exposition Ă  l’Espace Lhomond, Paris, 1999
  • Raymond Charmet : Le Nouvel Observateur,
  • Dominique Chemin : « Michel Couchat Â», L’Éducation,
  • François Cheron : Exposition Ă  la galerie Cusin, Mougins, 1960
  • Jean Clair : Catalogue de l’exposition Ă  la Fondation Iperti, Vallauris, 1987
  • E.R Collot
    • « Un jeune artiste de classe : Michel Couchat Â», Le Figaro Ile-de-France, .
    • Le Figaro Ile-de-France,
  • Jean-Jacques Condom : Catalogue de l’exposition Ă  la galerie Cusin, Mougins, 1960
  • B. Conem : L’Amateur d’Art, 1969
  • C.G. : Yonne RĂ©publicaine,
  • Pierre Descargues : Les Lettres Françaises, 1954
  • Albert Diatto : Catalogue de l’exposition Ă  la galerie Cusin, Mougins, 1960.
  • RenĂ© Domergue
    • « Au long des cimaises Â», L’Information (?), 1954
    • L’Information (?),
  • Jean-Marie Dunoyer : « Pour un Art Intemporel Â», Le Monde 
  • Marcel Espiau : Nouveaux Jours de Paris, 1969
  • Jean-Louis Ferrier : Exposition Ă  la galerie Denise Riquelme, Paris, 1963
  • Maximilien Gauthier : « Le Flâneur des deux rives Â», Les Nouvelles LittĂ©raires, 1954
  • MichaĂ«lGibson : Herald Tribune,
  • Michel Gresset : Texte inĂ©dit, 1960
  • G.J. Gros
    • Carrefour, 1954
    • La Parisienne, 1954
  • Fabrice HĂ©lion : Exposition au G.R.E.P. de Paris, 1973
  • Henri HĂ©raut : L’Amateur d’Art,
  • Claude Imbert : Journal de Biarritz, 1961
  • Robert Lapoujade : Exposition Ă  la galerie Denise Riquelme, Paris, 1963
  • Sylvain Lecombre : Info arTitude,
  • Paul Lengrand
    • Exposition The Cambridge Festival, 1989
    • Exposition Ă  la Maison de la Musique, Fayence 1990
  • Jean-Jacques LevĂŞque
    • Les nouvelles LittĂ©raires, 1969
    • Nouveau Journal, 1969
    • Quotidien du MĂ©decin, 1975
    • Les nouvelles LittĂ©raires, 1976
    • Nouveau Journal, 1977
    • Galerie Jardin des Arts, 1977
    • Quotidien de Paris,
    • Quotidien de Paris,
    • Exposition de la galerie Jean Peyrolle, Quotidien de Paris, 1988
  • Georges Libaut : Courrier RĂ©publicain,
  • De Montgolfier : Catalogue de l’exposition La rue de Bourgogne, Dix peintres, un sculpteur, MusĂ©e Carnavalet, Paris, 1992
  • Jean Marcenac
    • Catalogue de l’exposition Ă  la galerie Charley, Chevallier, Paris, 1976.
    • « Demain Â», L’HumanitĂ©,
  • AndrĂ© Parinaud : « 30 crĂ©ateurs d’aujourd’hui Â», galerie Jardin des Arts, Paris, 1975
  • Pierre Pic : Les Échos de Seine et Oise, 1954
  • Louis F. Peters : Kunst und Revolte, Dumont Aktuell, 1968
  • Michel Ragon
    • « Peintre de matière et d’instinct Â», Art, 1963
    • Cimaise, 1961
    • Cimaise, 1963
  • Jean Rollin
    • « Michel Couchat, Natures mortes et compositions Â», L’HumanitĂ©,1993
    • « Michel Couchat, De l'Ă©clat de la Provence aux horreurs de la guerre Â», L’HumanitĂ©,1995
    • « Hommage, PensĂ©e Ă  Michel Couchat », L’HumanitĂ©,
  • Emmanuel Saulnier : Catalogue de l’exposition Ă  la galerie Charley Chevalier, Paris, 1976
  • CĂ©sar Silvagni
    • Exposition Ă  la galerie de l’OdĂ©on, 1954
    • Exposition Ă  la galerie de l’OdĂ©on, 1955
    • « Le groupe de Fayence, Poteries », Gazette de Lauzanne, 1958
  • Bertrand Tillier : Catalogue de l’exposition Les cheminĂ©es dans la plaine Saint-Denis, 1998
  • Guy Trastour : Exposition Ă  la galerie Cusin, Mougins, 1960
  • Germain Viatte : Catalogue de l’exposition Dix peintres, un sculpteur, prĂ©sentĂ©e par le collectif Autour de La rue de Bourgogne, MusĂ©e Carnavalet, Paris, 1992
  • Pierre Vidal-Naquet : Exposition Ă  Fayence, Ă©tĂ© 1985
  • Robert Vrinat
    • Le Figaro,
    • Le Figaro,
    • Le Figaro,
  • Patrick Walberg : Catalogue de l’exposition Ă  la galerie Échelle 30, Paris, 1969.
  • Marie-Claude Wölfin : Les Nouvelles LittĂ©raires,
  • Kenneth White : « Retrouvailles Â», prĂ©sentation de l’exposition Ă  Pantin, 1983.
  • GĂ©rard Xuriguerra
    • Regard sur la peinture Contemporaine de 45 Ă  83, Arted, 1983.
    • Les Figurations, 1960-1985, Mayer, 1985
    • Des cheminĂ©es dans la plaine, cent ans d’industrie Ă  Saint-Denis, Saint-Denis, musĂ©e d’Art et d’Histoire, 1998
    • La rue de Bourgogne, Dix peintres, un sculpteur, Paris MusĂ©e, 1992

Notes et références

  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. Henri Héraut, L’Amateur d’art

Liens externes

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