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La Garde-Freinet

La Garde-Freinet est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

La Garde-Freinet
La Garde-Freinet
Blason de La Garde-Freinet
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Communauté de communes du Golfe de Saint-Tropez
Maire
Mandat
Thomas Dombry
2020-2026
Code postal 83680
Code commune 83063
DĂ©mographie
Population
municipale
1 827 hab. (2020 en diminution de 1,51 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 24 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 19′ 03″ nord, 6° 28′ 12″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 674 m
Superficie 76,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Luc
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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La Garde-Freinet

    GĂ©ographie

    Localisation

    La Garde-Freinet est l'une des douze communes composant la communauté de communes du golfe de Saint-Tropez.

    Le village est situĂ© par la route Ă  20 km de Saint-Tropez, 35 km de Draguignan et 70 km de Toulon.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Le Cannet-des-Maures, Collobrières, Grimaud, Les Mayons, Le Plan-de-la-Tour et Vidauban.

    GĂ©ologie et relief

    Installée sur les reliefs du massif des Maures, la position de sentinelle du village au col lui valut l’appellation de « garde » d’où le nom de La Garde-Freinet[1]. Ce village est le plus élevé du massif des Maures

    Voies routières

    DĂ©partementale 558 Le Cannet-des-Maures - Grimaud[2].

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur

    Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou ! (ex Varlib). Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![3].

    Lignes SNCF

    Transports aériens

    Les aéroports les plus proches sont :

    Ports

    Climat

    Selon la classification de Köppen-Geiger, le climat est de type Csb[4].

    Sismicité

    • La commune est classĂ©e en zone de sismicitĂ© faible[5].

    Hydrographie et eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou Ă  son aval[6] :

    • La Garde (rivière)[7].
    • vallons des Bertrands, de BelleĂŻman, de Sartouresse, de Vanadal, de Basset, du DĂ©bat, des Migraniers, du Cros d'AillĂ©, de RĂ©oulet, de la Tourre, de Val Daubert,
    • ruisseaux de Fenouils[8], des Mourgues[9], de Règue Courte[10], de la Berthe[11], de Langastoua[12], de Val de Gilly[13], de Gagnal[14], de Brugassier[15], de Pignegut[16], du Pas de Sept Hommes[17], de Pedeban[18], d'Emponse[19], d'Infernon[20].
    • val d'Arnaud.

    Urbanisme

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme (PLU)[21] - [22] et d'un Plan de prévention du risque inondation (PPRI)[23].

    La Communauté de communes du Golfe de Saint-Tropez a lancé en 2014 une démarche de révision du Schéma de cohérence territoriale (SCOT) terrestre en l’assortissant de l’élaboration d’un volet littoral et maritime (VLM)[24].

    Typologie

    La Garde-Freinet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [25] - [26] - [27]. La commune est en outre hors attraction des villes[28] - [29].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 1,5 % 114
    Vignobles 4,4 % 337
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 1,6 % 125
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 4,5 % 348
    ForĂŞts de feuillus 29,3 % 2247
    Forêts de conifères 1,0 % 78
    Forêts mélangées 7,4 % 564
    Végétation sclérophylle 49,1 % 3761
    Forêt et végétation arbustive en mutation 1,2 % 92
    Source : Corine Land Cover[30]

    L'occupation des sols montre une nette prédominance de la végétation arbustive et/ou herbacée (50,3 %) sur la forêt (37,7 %) et sur les territoires agricoles (10,5 %) ainsi qu'une faible urbanisation du territoire.

    Toponymie

    La Garde-Freinet s'écrit La Gàrdi provençal classique ou La Gàrdi (mais aussi La Gardo-Freinet) selon la norme mistralienne[31]. La prononciation est la même puisque le -a final du féminin est muet après un -i dans les dialectes maritimes et rhodaniens, raison pour laquelle Joseph Roumanille n'a pas voulu réintégrer cette lettre dans son écriture phonétique.

    Freinet, du latin fraxinetum, « bois de frêne ».

    HĂ©raldique

    D'or, à un frêne arraché de sinople[32].

    L'armorial[33] et le blason de La Garde-Freinet[34].

    Histoire

    Fort Freinet et la Croix des Maures.

    IXe siècle : En 889, un raid arabe s'emparent de La Garde-Frainet et leur « garnison durant près d'un siècle soumet les populations voisines à des razzias continuelles et menace les routes qui, à travers les cols des Alpes, vont de France en Italie[35] ». Ce lieu est aussi évoqué sous d'autres patronymes dont celui de Fraxinet[36] ou Fraxinetum. Les Arabes lui donne le nom Jabal al-Qilal, « montagne des jarres », car ils y auraient trouvé les restes d’une industrie gallo-romaine[37].

    Lors des raids des Hongrois de 942, Hugues d'Arles, roi d'Italie, les engage à mener une campagne militaire contre eux, à cause de leurs attaques contre son royaume et la Provence. La Bataille de La Garde-Frainet (en) se déroule semble-t-il en mai 942 et voit les musulmans battus mais non détruits. Plus tard le comte de Provence Guillaume Ier dit le Libérateur chassera les Arabes en 973 lors de sa victoire à la bataille de Tourtour, après 80 années de présence sarrasine au nord des Pyrénées.

    Philippe Sénac[38], en s’appuyant sur les sources arabes et les données de l’archéologie[39], montre combien le Fraxinet, ne constituait pas un simple repaire de brigands mais un emplacement stratégique pour les musulmans qui semblaient vouloir « entraver les relations entre les cités marchandes italiennes et le reste de la chrétienté méridionale ». Toujours selon Philippe Sénac il n'est pas « du tout exclu que le Fraxinet ait été le théâtre d'une symbiose communautaire, ce qui tendrait à expliquer sa longévité »[40].

    XIIe siècle : Ă  450 m d'altitude, on dĂ©couvre le fort Freinet (XIIe au XVIe siècle) et les vestiges d'un ancien village fortifiĂ© du Moyen Ă‚ge, constituĂ© d'une trentaine d'habitations taillĂ©es dans la roche. Ils dominent le massif forestier des Maures sur la voie reliant la vallĂ©e de l'Argens et le golfe de Saint-Tropez. Ce fort stratĂ©gique, classĂ© monument historique, servait Ă  contrĂ´ler le passage entre la vallĂ©e du Vidauban et le golfe de Grimaud. Une grande fosse servait de rĂ©servoir d'eau. Il s'Ă©tend sur 120 m2 et est composĂ© de cinq vastes pièces. La rue principale le sĂ©pare du reste du village constituĂ© des maisons troglodytes.

    XIIIe siècle : les habitants s'installent sur le col de la Garde. Le bourg devient : « La Garde du Freinet ». Un Rostagni (?-v.1341) était connu pour être seigneur de Châteaudouble (1324) et de La Garde-Freinet (1327)[41]. Il reçut donation de l'albergue de ces deux villages[42].

    XIXe siècle : l'industrie du bouchon se développe avec près de 700 bouchonniers grâce à la forêt de chênes-lièges. À cette époque, la production de marrons et de magnan (ver à soie) est également bien développée.

    Dans le livre " La Fortune des Rougon Macquart " Emile Zola a donné le nom de La Palud à La Garde-Freinet

    En 1900, l'abbĂ© Mathieu dresse la croix des Maures (altitude 437 m), restaurĂ©e en 1978. Le Christ pesait 175 kg.

    Politique et administration

    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 André Werpin
    mars 2008 octobre 2009 Jean-Claude Deletang démission
    novembre 2009 en cours Jean-Jacques Courchet

    Budget et fiscalité 2020

    En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[44] :

    • total des produits de fonctionnement : 2 633 000 â‚¬, soit 1 371 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 1 977 000 â‚¬, soit 1 029 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 1 773 000 â‚¬, soit 924 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 1 570 000 â‚¬, soit 818 â‚¬ par habitant.
    • endettement : 539 000 â‚¬, soit 281 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 20,05 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 13,04 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 67,47 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2019 : MĂ©diane en 2019 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 18 830 â‚¬[45].

    Population et société

    DĂ©mographie

    Frédéric Mistral a confirmé que le nom du village était "La Gardi", vocable relevé dans un document datant de 1143.

    Les habitants se nomment :

    1. appellation usuelle : d’après Frédéric Mistral les habitants se nomment les Gardois et les Gardoises ou Gardiòu et Gardiolo en provençal. Il confirme qu'en dialecte provençal varois, ils s'appelaient Garduou et Garduelo.
    2. L'appellation Fraxinois ou Fraxinetains n'est absolument pas fondée historiquement.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[47].

    En 2020, la commune comptait 1 827 habitants[Note 2], en diminution de 1,51 % par rapport Ă  2014 (Var : +4,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5051 8411 7971 9692 1122 3482 3862 4332 573
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5892 5952 6492 6872 6512 5152 3312 0921 872
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5691 7811 7701 4351 1901 2041 1321 0151 028
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 1341 3321 2411 4021 4651 6191 7341 7711 746
    2015 2020 - - - - - - -
    1 8781 827-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune est située dans l'académie de Nice

    • École maternelle et Ă©lĂ©mentaire[50].

    Les Ă©tablissements scolaires les plus proches[51] :

    • Collèges Ă  Cogolin,
    • LycĂ©es Ă  Gassin, Draguignan, Le Muy, Lorgues.

    Santé

    Professionnels de santé sur la commune[52] : Médecin, pharmacie, dentiste, kinésithérapeute, cabinet d'infirmiers.

    Cultes

    Culte catholique, paroisse La Garde Freinet[53], secteur : Saint Tropez. Diocèse de Fréjus-Toulon[54] - [55]

    Loisirs

    Réservoir d'eau de Fort Freinet taillé dans la roche.

    De nombreuses promenades sont proposées :

    • La croix des Maures : balade de 40 min Ă  travers un sentier botanique avant d'arriver Ă  la croix. On a une vue superbe du village, des Alpes du Sud, du massif des Maures, du rocher de Roquebrune-sur-Argens, du golfe de Saint-Tropez et parfois de la montagne Sainte-Victoire ;
    • Visite guidĂ©e du fort et de son histoire pendant 45 min ;
    • Le chemin des crĂŞtes : balade d'1 h 15 en passant par la croix et le fort.

    La commune dispose d’un panorama sur le Massif des Maures et jusqu'à la Méditerranée, avec forêts de chênes-lièges et de châtaigniers. Dans les campagnes, poussent une végétation de maquis, adaptée au climat de la Provence (ciste de Montpellier, lavande, immortelles, genêts épineux...).

    Il y a également plusieurs fêtes tout au long de l'année : foire aux santons avant Noël, fête de la transhumance au printemps, foires de la châtaigne en octobre.

    Événements

    Le , La Garde-Freinet est endeuillée par la mort de trois sapeurs-pompiers du centre de secours principal de La Seyne-sur-Mer, sur la D 14 commune de la Môle, lors d'un feu de forêt provenant de La Garde-Freinet[56].

    Le , La Garde-Freinet est de nouveau endeuillée par un accident de camion de pompiers sur la D 558, avec la mort de trois pompiers du centre de secours de Puget-Ville.

    Économie

    Agriculture

    • Culture de la vigne[57].
    • Élevages d'ovins et de caprins.
    • Élevage de chevaux et d'autres Ă©quidĂ©s.
    • Exploitation forestière.

    Tourisme

    • La commune dispose de 3 hĂ´tels, d'un camping et de chambres d'hĂ´tes[58].

    Commerces

    • La commune dispose de 15 restaurants et 3 cafĂ©s[59].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux :

    • La chapelle Saint-Jean[60], face Ă  la mairie a Ă©tĂ© achetĂ©e par la commune afin de proposer un centre culturel rayonnant sur toute la rĂ©gion. L'office de tourisme s'est implantĂ© dans le bâtiment.
    • La cloche de 1680 de la chapelle Notre-Dame de la Moure (de-Bonne-Garde)[61] - [62].
    • La chapelle Saint-Éloi[63].
    • La Chapelle Saint-ClĂ©ment[64].
    • Chapelle Notre Dame de Miremer[65].
    • La ville possède bien sĂ»r une Ă©glise avec une cloche de 1698, typique de la rĂ©gion[66] - [67] et un autel en marbre.
    • Le monument aux morts[68] - [69].
    • La Croix de La Garde-Freinet[70] - [71].

    Patrimoine civil :

    • L'Ă©glise.
      L'Ă©glise.
    • La fontaine.
      La fontaine.
    • Haut du lavoir.
      Haut du lavoir.
    • Lavoir.
      Lavoir.
    • Place du marchĂ©.
      Place du marché.

    Personnalités liées à la commune

    • Henri AndrĂ©ani (1877-1936), acteur et rĂ©alisateur, y est nĂ©.
    • Anna Karina (1940-2019), actrice franco-danoise, a vĂ©cu dans ce village.
    • Serge Rezvani (nĂ© en 1928), peintre et Ă©crivain, a vĂ©cu dans ce village.
    • Jan VakowskaĂŻ (1932-2006), artiste peintre, a vĂ©cu dans ce village.
    • Jeanne Moreau (1928-2017), actrice, a vĂ©cu dans la commune, Ă  PrĂ©verger. Le tournage du film Lumière, dans lequel elle joue a en partie Ă©tĂ© tournĂ© Ă  PrĂ©verger[79]
    • AndrĂ© Pousse (1919-2005), acteur, s'y Ă©tait retirĂ© et ses cendres ont Ă©tĂ© dispersĂ©es dans sa propriĂ©tĂ©[80].
    • Xavier Bohl (nĂ© en 1954), architecte et urbaniste, y vit.
    • Henri Fille-Lambie, alias Jacques Morlane ou Morlanne (1919-1978), rĂ©sistant , colonel et fondateur du Service Action.
    • François-RĂ©gis Bastide (1926-1996), Ă©crivain et ambassadeur.
    • Jean Bilski (1954-1976), anarchiste qui assassina le 14 mai 1976 du PDG du CrĂ©dit Lyonnais Jacques ChaĂ®ne et se suicida juste après, vĂ©cut Ă  la Garde Freinet dans les annĂ©es 1970.
    • Eugène Saccomano (1936-2019), journaliste, cĂ©lèbre commentateur sportif et Ă©crivain en a Ă©tĂ© conseiller municipal, y a passĂ© sa retraite et y est inhumĂ©.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Rapport de présentation du plan local d'urbanisme : Chapitre 4 : État Initial de l’Environnement, p. 92 à 155
    2. Itinéraire
    3. Réseau régional de transports en commun
    4. Diagramme climatique
    5. Didacticiel de la règlementation parasismique
    6. L'eau dans la commune.
    7. Rivière La Garde.
    8. Ruisseau de Fenouils.
    9. Ruisseau des Mourgues.
    10. Ruisseau de Règue Courte
    11. Ruisseau de la Berthe
    12. Ruisseau de Langastoua.
    13. Ruisseau de Val de Gilly
    14. Ruisseau de Gagnal.
    15. Ruisseau de Brugassier
    16. Ruisseau de Pignegut.
    17. Ruisseau du Pas de Sept Hommes.
    18. Ruisseau de Pedeban
    19. Ruisseau d'Emponse.
    20. Ruisseau d'Infernon.
    21. PLU
    22. PLU sur GĂ©oportail de l'urbanisme
    23. P.P.R.I.
    24. Schéma de cohérence territoriale (SCOT) terrestre, assorti de l’élaboration d’un volet littoral et maritime (VLM)
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    31. Gardo-Freinet, Lou Tresor dou Felibrige, Frédéric Mistral, https://www.lexilogos.com/provencal/felibrige.php?q=gardi
    32. Canton de Grimaud : La Garde-Freinet, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    33. La Garde-Freinet - La Gardo-Freinet
    34. Blason de La Garde-Freinet
    35. Henri Pirenne, Les villes au moyen-âge, Bruxelles, Lamertin, 1927, p. 31.
      - A. Schulte, Geschichte des Mittelalterlichen Handels und Verkehrs zwischen Westdeutschland und Italien, Leipzig, 1900, t. II, p. 59.
    36. Note sur le Fraxinet des Maures, Annales du Sud-Est varois, tome XV, 1990, p. 19-23.
    37. « Des Maures et des Sarrasins en France », .
    38. Histoire de l'Islam et des musulmans en France du Moyen Âge à nos jours, sous la direction de Mohammed Arkoun, préface de Jacques Le Goff, A. Michel, 2006 (ISBN 2-226-17503-2), p. 40.
    39. Islam et chrétiens du Midi (XIIe au XIVe siècles), Colloque de Fanjeaux (18 ; 1982), éd. Privat, 1983 (ISBN 2-7089-3417-1).
    40. Philippe SĂ©nac, Provence et piraterie sarrasine, Maisonneuve et Larose, 1982, p. 70.
    41. AD du 13, série B1519f162 et B1835f200
    42. AD du 13, série B1519f162
    43. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), pp.412-413 «
    44. Les comptes de la commune
    45. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    50. École maternelle et élémentaire
    51. Les Ă©tablissements scolaires les plus proches
    52. Professionnels de santé
    53. Paroisse Saint-Clément de La Garde-Freinet
    54. La Garde-Freinet
    55. Chapelle de la Moure
    56. La cérémonie officielle à la mémoire de ces pompiers.
    57. Culture de la vigne
    58. Accueil touristique
    59. Restauration
    60. La Chapelle Saint-Jean
    61. Notice no PA00107323, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la chapelle Notre-Dame de la Moure (de-Bonne-Garde)
    62. L’église du Hameau de la Mourre
    63. La chapelle Saint-Éloi
    64. La Chapelle Saint-Clément
    65. Chapelle Notre Dame de Miremer
    66. Notice no PM83000324, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Saint-Clément
    67. L’église Saint-Clément
    68. Monument aux morts de La Garde-Freinet
    69. Monument aux morts, MĂ©moires de guerres du Var
    70. La Croix de La Garde-Freinet
    71. La croix des Maures
    72. L’ancienne mairie & la prison
    73. Le Fort-Freinet
    74. Du Fort Freinet aux Roches Blanches
    75. Le lavoir
    76. Inventaire des lavoirs du Var
    77. La fontaine vieille
    78. Pont du Moyen Ă‚ge sur l'Aille entre Le Luc et La Garde-Freinet
    79. "Lumière" sur le site http://www.jeannemoreau.fr/portfolio/lumiere/.
    80. "L'acteur fétiche de Michel Audiard, André Pousse, est mort", Le Monde avec AFP, 9 septembre 2005

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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