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Marnay (Haute-Saône)

Marnay est une commune française située dans le département de la Haute-Saône en région Bourgogne-Franche-Comté. À l'origine, la cité est localisée en terres du Saint-Empire romain germanique (jusqu'au traité de 1678).

Marnay
Commune de Marnay.
Blason de Marnay
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Vesoul
Intercommunalité Communauté de communes du val marnaysien
(siège)
Maire
Mandat
Vincent Ballot
2020-2026
Code postal 70150
Code commune 70334
Démographie
Population
municipale
1 522 hab. (2020 en augmentation de 5,69 % par rapport à 2014)
Densité 147 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 17′ 26″ nord, 5° 46′ 20″ est
Altitude Min. 189 m
Max. 324 m
Superficie 10,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Besançon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marnay
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Marnay
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Marnay
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Marnay
Liens
Site web www.marnay70.com

    Elle bénéficie du label Cité de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté et est typiquement franc-comtoise.

    Géographie

    À une vingtaine de kilomètres de Besançon, à la limite du Doubs et de la Haute-Saône, Marnay, est située dans la basse vallée de l'Ognon, un affluent du Doubs qui traverse la commune. Le canton de Marnay est l'un des dix-sept nouveaux cantons de la Haute-Saône, il s'est agrandi des territoires des deux anciens cantons de Gy et de Pesmes.

    Panorama sur la ville et ses ponts sur l'Ognon

    .

    Représentations cartographiques

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Marnay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Besançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 312 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (22,2 %), terres arables (21,4 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), prairies (17,6 %), zones urbanisées (12,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), eaux continentales[Note 3] (3,7 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Comme l'écrivait Xavier Marmier « Sur les confins de la Suisse, il existe une contrée riante et pittoresque, riche en souvenir, féconde en grands et beaux tableaux, une contrée qui a son histoire à elle, ses traditions et son caractère poétique. cette contrée s'appelle la Franche-Comté. »

    L’étymologie de Marnay est « Marne » et « Nay » (cavité) qui veut dire « marnière ». Marnay est écrit Marnai et Mernay dans quelques titres du XIIIe siècle.

    Histoire

    Au XIe siècle, Marnay appartient à la comté de Bourgogne, fief impérial germanique, issu, à la mort de Charlemagne, du démembrement du traité de Verdun (en 843) qui sépare la Bourgogne franque (devenue la région de Bourgogne) et la Bourgogne impériale (dont le nord deviendra la région de Franche-Comté), qui avait été léguée en 1032, par Rodolphe III de Bourgogne, dernier successeur de Lothaire Ier, à son neveu, l'empereur germanique.

    Hommage et fief de la seigneurie de Marnay

    En 1210, Marnay appartenait à la famille de Chalon, branche cadette des comtes de Bourgogne. Étienne II d'Auxonne, comte de Chalon avait donné à sa fille Béatrice d'Auxonne la seigneurie de Marnay[8]. En 1215, Béatrice l'apporta en dot à son époux, Simon de Joinville, puis, en 1250, remis Marnay à son fils Simon II de Joinville, lequel donna hommage à Jean Ier de Chalon « pour Marnay le chatel ».

    En 1289, Pierre de Joinville, fils de Simon II, reconnut qu'il était homme lige de Jean de Chalon et tenait de lui en fief le château et le bourg de Marnay.

    En 1303, lors du partage des fiefs à la mort du comte de Bourgogne (Othon IV de Bourgogne, fils de Hugues de Chalon), la vassalité de Marnay fut reconnue à sa veuve (Mahaut d'Artois) et non à son gendre (le roi de France Philippe V le Long). Le bourg et le château sont de la souveraineté du comte de Bourgogne, appartenant en fief aux Chalon, qui tiennent dans leur vassalité les seigneurs de Marnay (les Joinville).

    En 1339, Hugues de Joinville épousa Jeanne de Montbéliard, fille d'Henri de Montfaucon et d'Agnès de Montbéliard. Hugues de Chalon mentionnait alors le droit de réachat perpétuel de Marnay appartenant aux Chalon qu'ils ne purent ou ne jugèrent pas bon d'exercer[9].

    En 1397, Étienne de Montbéliard légua Marnay à sa petite-fille Agnès, femme de Thiébaud VIII de Neuchâtel.

    En 1512, la seigneurie de Marnay fut acquise par Laurent de Gorrovod, comte de Pont-de-Vaux, aux Neuchâtel et fit reprise de fief à Philibert de Chalon. Son neveu prêta hommage de sa terre de Marnay à l'empereur du saint Empire romain germanique Charles Quint.

    En 1600, La baronnie de Marnay fut érigée en marquisat pour Charles-Emmanuel de Gorrovod, par lettres patentes de l'archiduc Albert d'Autriche[9], enregistrées à la Chambre des comtes de Dôle, le .

    En 1712, le marquisat de Marnay fut pris en possession par Louis Benigne de Bauffremont par substitution par un arrêt du Parlement de Paris et qui resta dans la maison de Bauffremont.

    Lettres de Bourgeoisie de Marnay

    Maisons bourgeoises rue des Tisserands (Gambetta) - Marnay.

    Au XIVe siècle, la cité reçut un éclat particulier car la bourgeoisie de Marnay était renommée par ses artisans et son commerce. Une classe bourgeoise a émergé quand les habitants de Marnay devinrent nettement plus riches que ceux de la campagne.

    La comtesse de la Franche-Comté Jeanne II de Bourgogne, devenue reine du roi de France Philippe V le Long, fit venir de Paris dès 1318 des tisserands pour y faire prospérer une nouvelle bourgeoisie[10]. Dès le XIVe siècle, il est établi que Marnay possède (comme une autre cité du saint Empire : Montjoie) une halle aux draps et attire les marchands à ses foires périodiques.

    En longeant la rue Gambetta (anciennement rue des Tisserands), on peut encore y admirer les anciennes maisons bourgeoises, la «maison à tour», témoins d’une activité jadis prospère.

    Les bourgeois de Marnay avaient reçu dès le une charte d'affranchissement, leur conférant sécurité et abondance de biens[11] et la bourgeoisie était reconnue comme telle par les empereurs du Saint Empire romain germanique.

    La charte d'affranchissement, octroyée aux habitants leur permit de s'administrer eux-mêmes et d'édifier des remparts. Le bourg de Marnay s'entoura donc d'une double ceinture de murailles entre lesquelles furent aménagés des jardins individuels (encore visibles de nos jours).

    Le droit de bourgeoisie à Marnay était ainsi réglé : « quiconque aura maison et tiendra feu dans le bourg sera bourgeois ». Le droit de bourgeoisie créé par cette charte s’est perpétué à Marnay jusqu’à la Révolution.

    En 1787, nous trouvons encore une requête présentée aux officiers du conseil pour être admis au nombre des Bourgeois de Marnay. Le le Conseil l’agrée et donne pouvoir à l’échevin officier du Conseil de passer devant notaire les « Lettres de Bourgeoisie » de Marnay en faveur du demandeur.

    Marnay devient une commune, au sens actuel du terme, lors de la Révolution française. Elle intègre entre 1795 et 1800 celle de Marnay-la-Ville[12].

    Politique et administration

    Carte départementale représentant en rouge les communes de la communauté de communes du Val marnaysien de la Haute-Saône et en marron celles du Doubs.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.

    Elle était depuis 1826 le chef-lieu du canton de Marnay[12]. La composition de ce canton a été modifiée dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, et la commune en est désormais le bureau centralisateur.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes de la vallée de l'Ognon créée le . Celle-ci a fusionné avec d'autres pour former, le la communauté de communes du val marnaysien, dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[13]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    ? ? Jean-Baptiste Brusset Gauche Notaire, Sénateur (1881-1896), conseiller général du canton de Marnay (1875-1896)
    1951 1958 Fernand Perrot-Migeon Rad. Sénateur (1952-1958), conseiller général du canton de Marnay (1951-1958)
    1958 1971 Marcel Chapuis
    1971 2001 Michel Bailly[14] DVD Chef d'entreprise
    2001 En cours Vincent Ballot REM Gérant de société[15] - [16]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].

    En 2020, la commune comptait 1 522 habitants[Note 4], en augmentation de 5,69 % par rapport à 2014 (Haute-Saône : −1,57 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0001 1821 1691 1241 1251 1661 2821 0721 295
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2121 2711 2091 1141 144999952879862
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    846825808809776807853831864
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    8691 0261 0731 1751 2011 2871 4151 4271 380
    2015 2020 - - - - - - -
    1 4641 522-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    • Activités nautiques
      Handball Club Marnaysien ;
    • Étoile Sportive Marnaysienne (football) ;
    • Judo Club ;
    • Tennis Club Marnaysien ;
    • Moto Club Marnaysien ;
    • Foyer Club (danse) ;
    • La Gaule Marnaysienne (pétanque).

    Économie

    La commune dispose, en 2016, de deux hôtels d'entreprise. Le second, implanté en 2016 dans la zone artisanale des Plantes, comprend quatre locaux destinés à accueillir des entreprises pour une durée maximale de 5 ans[20] - [21]. Elle accueille également un des sites de production de la marque Velux, qui emploie en 2016 environ 90 salariés[22].

    Manifestations culturelles et festivités

    Le festival « Bière Ki Cool », dont la cinquième édition aura le samedi , est dédiée au rock et à la bière artisanale[23].

    Le "festi'mômes", manifestation culturelle et ludique, créée en 2003, s’adresse aux enfants âgés de 3 Ã  13 ans. Cet évènement s’inscrit comme un rendez-vous incontournable de la fin de l’été à Marnay et sa région.

    Le moto-cross nocturne en juin et le Téléthon en novembre s'inscrivent dans le calendrier des manifestations annuelles de la Commune.

    "La Festivale" fameuse fête de la Musique du fait partie des manifestations annuelles importantes de Marnay.

    • Un nouvel espace : le moulin rénové
    • Charpente béton et panneaux solaire

    Culture locale et patrimoine

    • Château de Marnay : L'ancien château féodal du XIIIe siècle domine l'Ognon, affluent de la Saône. La porte du pont-levis et la cour ont été conservées, comme le bel escalier en viorbe hélicoïdal, construit dans la tour ronde aux fenêtres à meneaux et accolades[24]. À voir notamment : tour, escalier en vis, élévation, conciergerie, archives.
    • L'église Saint-Symphorien de Marnay, comportant une pietà de la Renaissance, quelques beaux tableaux et plusieurs statues du XVe siècle[25], un chemin de croix en terre cuite émaillée [26].
    • Hôtel Terrier de Santans, qui abrite la mairie, a été construit au XVIe siècle par la famille Terrier de Santans. Il présente une façade à deux niveaux, percée de fenêtres à meneaux de la renaissance, et encadrée de deux avant-corps[27].
    • Le couvent des Carmes construit à la fin du XVIIe siècle qui abrite le pôle scolaire et culturel de Marnay.
    • L'Hôtel-Dieu, utilisé comme espace d'exposition[28]
    • Plusieurs maisons à tourelles, des XVe et XVIe siècles, ainsi que de belles maisons bourgeoises de tisserands et de vignerons des XVIIIe et XIXe siècles (rues Bizot et Gambetta, anciennement rue des Tisserands).
    • Les ruelles ou trajes, ruelles traditionnelles percées entre les maisons.
    • Le plan d'eau de vingt hectares parsemé d'îles riches en faune et flore (balades, pêche, pratique du canoë).
    • Le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle traverse la cité de Marnay.
    • Château de Marnay.
      Château de Marnay.
    • Église Saint-Symphorien.
      Église Saint-Symphorien.
    • Pieta de la Renaissance en l'église Saint-Symphorien.
      Pieta de la Renaissance en l'église Saint-Symphorien.
    • Une station du chemin de croix réalisé par Christiane Robichon de la Guerinière
      Une station du chemin de croix réalisé par Christiane Robichon de la Guerinière
    • Maison rue Carnot.
      Maison rue Carnot.
    • Ancienne maison.
      Ancienne maison.
    • Vue d'une maison à Marnay.
      Vue d'une maison à Marnay.

    Personnalités liées à la commune

    • Bernard Klotz : officier de marine ;
    • Emmanuel Ballyet (1702-1773) : religieux carme, ordonné prêtre en 1726, consacré évêque de Babylone en 1743, consul de France ; né à Marnay le [29] - [30] ;
    • Jean-Baptiste Brusset : maire de Marnay puis sénateur de la Haute-Saône. Il participa à la réalisation de la ligne des CFV Marnay-Gy inaugurée en 1897. mort à Marnay le ;
    • Georges Gardet (1863-1939) : sculpteur animalier, médaille d'honneur du Salon des Arts de 1898, chevalier de la Légion d'honneur en 1896, officier de la Légion d'honneur en 1900, membre de l'Institut en 1917. Å’uvres : Combat de panthères au musée du Luxembourg, Lions du pont Alexandre-III, Chiens danois au château de Chantilly ;
    • François Gauthier : écrivain et imprimeur originaire de Marnay, il exerça à Besançon vers 1700, auteur de Noëls livre écrit en patois bisontin ;
    • Simon Hubert Maire, dit Lemaire : militaire, maire de Marnay de 1811 à 1815, né à Besançon le , membre de la Légion d'honneur, commandeur de l'Ordre, maréchal de camp chargé du commandement de l'artillerie à Walcheren puis commandant de l'artillerie à Dunkerque. Mort le à Marnay.
    • Léon Paget (1873-1954) : écrivain et membre de la Société d'agriculture, lettres, sciences et art de la Haute-Saône. Auteur de la Monographie du bourg de Marnay[31] ;
    • Régis Carisey, né à Marnay le 28 mars 1962, écrivain et encyclopédiste gastronomique [32]

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    Blasonnement :de sable au soleil d’or. Devise : Je Luis Pour Tous.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Besançon », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. page 76 Monographie du bourg de Marnay (Haute-Saône) par Léon Paget - Le Livre d'Histoire collection dirigée par M.-G MICBERTH, réimpression de l'édition de 1926
    9. Nouveau dictionnaire des communes, Société d'agriculture, lettres, sciences et arts de la Haute-Saône, Tome IV, p.81
    10. Monographie du bourg de Marnay - Léon Paget, Le Livre d'histoire- p.80
    11. Monographie du bourg de Marnay - Léon Paget, Le Livre d'histoire - p.86
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. « Les maires de Marnay », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    14. « Un bâtisseur s’en est allé… : Maire de la commune pendant 30 ans, Michel Bailly s’est éteint lundi. Ses obsèques auront lieu samedi en l’église de Marnay », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
    15. Préfecture de la Haute-Saône, Liste des communes de la Haute-Saône, consultée le 18 juillet 2013
    16. « Vincent Ballot repart pour un tour », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    20. « Marnay : la petite ville qui ne connaît pas la crise », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
    21. « Deuxième hôtel d’entreprise : trois cellules sur quatre occupées », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
    22. « 75 ans et pas une seule ride : Aussi immense qu’agréable à traverser, sur une zone industrielle des Plantes qui porte bien son nom, la société KH France n’est pas seulement une fierté pour Marnay. L’usine de volets roulants est un maillon essentiel du groupe leader mondial », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
    23. « Quand l’eau et la bière coulent à flot », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
    24. Classement aux Monuments Historiques : la plate-forme en totalité, sols et sous-sols, y compris les parements extérieurs et la base de la tour ronde à l'angle nord-est ; l'aile nord et l'escalier en vis en totalité ; la façade est de l'aile est et sa toiture ; la partie nord de l'aile est, depuis l'emplacement de la chapelle (non compris), en totalité, y compris les cheminées et plafonds ; la tourelle en surplomb au nord-est, en totalité ; le sous-sol voûté de l'aile est ; la façade sud du bâtiment sud ; la porterie, façades et toitures ; le pavillon des archives et la tour mitoyenne, au nord-ouest, en totalité (cad. AB 249, 310, 309, 311, 381, 251, 344, 436, 437, 243 à 245, 449) : inscription par arrêté du 6 décembre 2002 : Notice no PA70000061, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    25. Inscription par arrêté du 15 novembre 1926
    26. http://www.upmarnay.fr/chemin.php
    27. Façade : classement par arrêté du 2 juin 1915 : Notice no PA00102221, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. « Les châteaux expliqués : Exposition - En octobre à l’Hôtel-Dieu de Gray », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne) « Le rythme des expositions mensuelles se poursuit à l’Hôtel-Dieu de Gray qui fait partager depuis plusieurs mois les travaux des équipes des Archives départementales de la Haute-Saône ».
    29. Anne Mézin, Les consuls de France au siècle des Lumières, 1997
    30. Léon Four, « Un Comtois à Babylone : Ballyet, évêque de Babylone, 1702-1773 », Bulletin de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Besançon, 1934
    31. Bibliographie nationale bnf.fr, Paget Léon, (1873-1954), Monographie du bourg de Marnay.
    32. Biographie de Régis Carisey.
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