Malleret
Malleret est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.
Malleret | |||||
La mairie de Malleret. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Creuse | ||||
Arrondissement | Aubusson | ||||
Intercommunalité | Haute-Corrèze Communauté | ||||
Maire Mandat |
Michel Lacrocq 2020-2026 |
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Code postal | 23260 | ||||
Code commune | 23119 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Malleretois, Malleretoises | ||||
Population municipale |
42 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 3,6 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 45′ 56″ nord, 2° 19′ 13″ est | ||||
Altitude | Min. 716 m Max. 869 m |
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Superficie | 11,8 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auzances | ||||
Législatives | Circonscription unique | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Généralités
- 1Carte dynamique
- 2Carte Openstreetmap
- 3Carte topographique
- 4Carte avec les communes environnantes
Dans le quart sud-est du département de la Creuse, dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin, la commune de Malleret s'étend sur 11,8 km2. Elle est également située sur la Méridienne verte qui symbolise le méridien de Paris ; en l'an 2000, le , un pique-nique géant était organisé sur le trajet de ce méridien.
Malleret est arrosée par la Méouzette et le ruisseau de la Gratte, qui y prennent leur source. L'altitude minimale, 716 mètres, se trouve localisée à l'extrême nord-ouest, là où le ruisseau de la Gratte quitte la commune et entre sur celle de Beissat. L'altitude maximale avec 869 mètres est située au sud-ouest, au puy de la Borde[1].
En bordure de la route départementale (RD) 29, le bourg de Malleret est situé, en distances orthodromiques, vingt-quatre kilomètres au sud-sud-est d'Aubusson et autant au nord d'Ussel.
La commune est également desservie par les RD 18, 18A3 et 29A.
Communes limitrophes
Malleret est limitrophe de cinq autres communes, dont Magnat-l'Étrange au nord-ouest sur seulement 500 mètres.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Courtine », sur la commune de La Courtine, mise en service en 1949[8] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 9 °C et la hauteur de précipitations de 1 031,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Clermont-Fd », sur la commune de Clermont-Ferrand, dans le département du Puy-de-Dôme, mise en service en 1923 et à 59 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Malleret est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,3 %), prairies (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %), eaux continentales[Note 6] (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Malleret est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 38,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 36 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 7 sont en en aléa moyen ou fort, soit 19 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Malleret est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[25].
Histoire
Les Hospitaliers
Malleret est une ancienne seigneurie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, membre de la commanderie de Sainte-Anne (Sainte-Anne-Saint-Priest) jusqu'à la Révolution française[26]. Les Hospitaliers du grand prieuré d'Auvergne possédaient la haute, moyenne et basse justice ainsi que la paroisse[27]. La présence de cet ordre religieux est attestée dès le XIIIe siècle avec une mention de la Domus Hospitalis de Malareto en 1293[28] - [29] puis de la commanderie de Malareti au siècle suivant (1374-75)[30].
L'église Saint-Jean-Baptiste date des XIVe et XVIIe siècles Cette église a appartenu aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dont l'une des commanderies se trouvait au Naberon plus au nord sur l'actuelle commune de Crocq, passée ensuite sous la juridiction de la commanderie de Sainte-Anne[31].
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
Les habitants de Malleret s'appellent les Malleretois et les Malleretoises.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].
En 2020, la commune comptait 42 habitants[Note 7], en diminution de 2,33 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La croix de cimetière du XVIe siècle — déplacée de l'ancien au nouveau cimetière — est classée au titre des monuments historiques en 1965[37] - [38].
- L'église Saint-Jean-Baptiste date des XIVe et XVIIe siècles[39]. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[39].
- Le château de Pradal qui date du XVe ou XVIe siècle a subi des modifications aux XVIIIe et XIXe siècles[40].
- Le château de Galmaud, ou Galemaud, qui date possiblement du XVIIe siècle a un pigeonnier carré[41].
- La croix de cimetière du XVIe siècle.
- L'église Saint-Jean-Baptiste.
- Son clocher-mur.
- Le monument aux morts.
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes de la Creuse
- Haute-Corrèze Communauté
- Malleret-Boussac, autre commune de la Creuse.
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Malleret sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Puy de la Borde » sur Géoportail (consulté le 24 juin 2018)..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Courtine - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Malleret et La Courtine », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La Courtine - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Malleret et Clermont-Ferrand », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Malleret », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Malleret », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎ , p. 53-54, lire en ligne sur Gallica.
- B. de Boysson, « La visite d'une commanderie de Malte au XVIIe siècle par Jean de Saint-Viance », Bulletin de la Société scientifique historique et archéologique de la Corrèze, t. XXI,‎ , p. 145-147, lire en ligne sur GallicaVisite de la commanderie Sainte-Anne et de ses membres et annexes en 1685..
- Augustin Chassaing, Spicilegium Brivatense : recueil de documents historiques relatifs au Brivadois et à l'Auvergne, Impr. nationale (Paris), , p. 212-213 (199-214, N°84), lire en ligne sur GallicaCe document contient la liste des principales commanderies templières et hospitalières d'Auvergne en 1293. Malleret (Malareto) est mentionnée page 213..
- Jean-Marie Allard, « Templiers et Hospitaliers en Limousin au Moyen Âge. État de la recherche et nouvelles considérations. », Revue Mabillon, no 14,‎ , p. 56, 67, 80-81 (carte) (lire en ligne) [PDF].
- Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte -Langue d'Auvergne , t. I, (lire en ligne), p. 197 (H. 244.)Ce document comptable permet de connaître le nom des principales commanderies de la langue d'Auvergne au XIVe siècle..
- B. de Boysson, « La visite d'une commanderie de Malte au XVIIe siècle par Jean de Saint-Viance », Bulletin de la Société scientifique historique et archéologique de la Corrèze, t. XXI,‎ , p. 115-..., lire en ligne sur GallicaVisite de la commanderie Sainte-Anne en 1685. Voir en particulier les pages 53-54 qui concernent la visite de Malleret..
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Croix du 16e siècle », notice no PA00100106, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 juin 2018.
- Inventaire général du patrimoine culturel, « Croix de cimetière », notice no IA00030680, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 juin 2018.
- Inventaire général du patrimoine culturel, « Eglise paroissiale Saint-Saint-Jean-Baptiste », notice no IA00030678, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 juin 2018.
- Inventaire général du patrimoine culturel, « Château », notice no IA00030684, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 juin 2018.
- Inventaire général du patrimoine culturel, « Château », notice no IA00030683, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 juin 2018.