Accueil🇫🇷Chercher

Mallemoisson

Mallemoisson, ou Mallemoisson-les-Grillons d'après le nom du village chef-lieu, est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Mallemoisson
Mallemoisson
Le vieux village
Blason de Mallemoisson
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Paul Comte
2020-2026
Code postal 04510
Code commune 04110
DĂ©mographie
Population
municipale
994 hab. (2020 en diminution de 3,4 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 165 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 02′ 34″ nord, 6° 07′ 33″ est
Altitude Min. 476 m
Max. 663 m
Superficie 6,04 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Digne-les-Bains-2
Législatives Première circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Mallemoisson
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Mallemoisson
GĂ©olocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Voir sur la carte topographique des Alpes-de-Haute-Provence
Mallemoisson
GĂ©olocalisation sur la carte : Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur
Mallemoisson

    Le nom de ses habitants est Mallemoissonnais.

    GĂ©ographie

     Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
    Mallemoisson et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).
    La vallée de Mallemoisson

    Le vieux village est situé à 505 m d’altitude[1]. Le chef-lieu est situé au village des Grillons[2].

    Vallée de la Bléone et village de Mallemoisson (en fond, pic d'Oise à Champtercier).

    Hydrographie

    La commune est limitée par la Bléone au sud et à l’ouest par les Duyes.

    Le torrent des Cathelières, de l’ancien nom de la communauté, borde la commune à l’est.

    Transports

    La commune de Mallemoisson est traversée par deux voies de communication importantes, parallèles et proches, dans la vallée de la Bléone :

    Ancienne passerelle et piles du pont en construction sur la Bléone

    Ces deux voies sont orientées Ouest-Sud-Ouest/Est-Nord-Est. L’essentiel de la population s’est installée à proximité de ces voies de transport, au hameau des Grillons, où se trouvent la gare (désaffectée), la mairie et l’école.

    La commune est également desservie par la départementale RD 17, perpendiculaire à la RN 85, qui la relie à Mirabeau au nord-ouest, et qui franchit la Bléone au sud-est pour rejoindre Le Chaffaut. Le pont supportant cette route est en cours de reconstruction début 2013.

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Digne-les-Bains-Ouest auquel appartient Mallemoisson est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[3], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4]. La commune de Mallemoisson est également exposée à trois autres risques naturels[4] :

    • feu de forĂŞt,
    • inondation (dans les vallĂ©es de la BlĂ©one et des Duyes),
    • mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernĂ©e par un alĂ©a moyen Ă  fort[5].

    La commune de Mallemoisson est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses, par rail, route et canalisations[6]. En ce qui concerne la voie ferrée, la ligne de Saint-Auban à Digne est neutralisée et aucun trafic ne l’emprunte. La route nationale 85 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[7]. Enfin, le gazoduc servant à alimenter Digne en gaz naturel traverse la commune et constitue donc un facteur de risque supplémentaire[8].

    Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 2004 pour les risques d’inondation, de mouvement de terrain et de séisme[6] et le Dicrim existe depuis 2011[9].

    La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle : en 1984 pour un tremblement de terre, pour des inondations et des coulées de boue en 1996, 2001 et 2012[10], en 1989 et en 1990 pour des mouvements de terrain dus à la sécheresse[4]. Dans la liste qui suit, figurent les tremblements de terre fortement ressentis dans la commune. Ils dépassent une intensité macro-sismique ressentie de V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets). Les intensités indiquées sont celles ressenties dans la commune, l’intensité peut être plus forte à l’épicentre[11] :

    • du 22 octobre 1965, avec une intensitĂ© macro-sismique de V et Malijai pour Ă©picentre[12],
    • du 30 juin 1984, avec une intensitĂ© de VI et Aiglun pour Ă©picentre[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Mallemoisson est une commune rurale[Note 1] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Aiglun, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[17] et 2 486 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,7 %), forêts (18,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8,4 %), zones urbanisées (7,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    La localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1272, sous le nom de Malismessibus, nom généralement interprété comme étant tiré de l’occitan mauvaise moisson[1] - [24] - [25]. Pour Daniel Thiery qui suit J.-P. Poly, il s’agit d’une corruption de Malus et Messianus, « le pommier de Messianus »[26].

    L’entrée du village par la RN85, du côté d’arrivée des touristes, est signalée par un panneau qui mentionne également le nom du lieu-dit : Mallemoisson-les-Grillons.

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 483 personnes, dont 29 chômeurs[27] (48 fin 2011[28]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (88 %)[29] et travaillent majoritairement hors de la commune (87 %)[29].

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 13 établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et un emploi salarié[30].

    Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de neuf en 2010. Il était de 10 en 2000[31], de 18 en 1988, soit une perte de la moitié des exploitations en vingt ans[32]. Actuellement, ces exploitants pratiquent les grandes cultures (cinq sur neuf) et la polyculture (les quatre restants)[31]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement augmenté, de 246 à 433 ha[32]. La SAU a légèrement diminué lors de la dernière décennie, mais reste à un niveau élevé, à 380 ha[31].

    La vigne, qui Ă©tait cultivĂ©e pour l’autoconsommation et le marchĂ© de Digne jusqu’au milieu du XXe siècle, n’est plus prĂ©sente qu’à titre anecdotique dans la commune[33]. Par contre, l’autre plante symbolique des rĂ©gions mĂ©diterranĂ©ennes, l’olivier est cultivĂ©e dans la commune depuis des siècles, tout en Ă©tant limitĂ©e Ă  des surfaces restreintes. Le terroir de la commune se situe en effet Ă  la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement ĂŞtre exploitĂ© au-delĂ  des 650 mètres. L’oliveraie de Mallemoisson occupait moins de 10 hectares au dĂ©but du XIXe siècle, et compte actuellement plus de mille pieds exploitĂ©s[34].

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait 16 établissements, employant 19 salariés[30].

    Le transporteur routier Martin emploie 9 salariés[35].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait 38 établissements (avec 32 emplois salariés), auxquels s’ajoutent les 17 établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant 47 personnes[30].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est secondaire pour la commune, avec moins de un touriste accueilli par habitant[36]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :

    Les résidences secondaires sont trop peu nombreuses pour constituer un complément significatif à la capacité d’accueil[41] : au nombre de 19, elles représentent moins de 4 % des logements. Parmi les résidences secondaires, cinq possèdent plus d’un logement[42] - [39].

    Une foire caprine (chèvres) d’intérêt régionale a lieu le 2e dimanche de juillet.

    Histoire

    Dans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallée de la Bléone, et étaient donc le peuple gaulois qui vivait dans l’actuelle commune de Mallemoisson. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachés à la province des Alpes-Maritimes lors de sa création[43].

    Le village appartenait à l’abbaye de Cluny au XIIIe siècle[44]. La communauté, qui s'appelait les Cathelières au milieu du Moyen Âge, relevait de la baillie de Digne[26].

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[45].

    Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 3 habitants de Mallemoisson sont traduits devant la commission mixte[46].

    Comme de nombreuses communes du département, Mallemoisson se dote d’école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[47]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[48], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Mallemoisson[49]. Si la commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve[50], ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Mallemoisson sont régulièrement scolarisées.

    En 1939, prenant acte du déplacement de la population, le chef-lieu administratif de la commune est déplacé de l'ancien village de Mallemoisson à celui des Grillons, situé dans la plaine[2].

    Pont-bâche surmontant deux voies, la route nationale et la voie ferrée, plusieurs fois réparé, et où le maquis arrêta une colonne allemande faisant retraite en août 1944
    Pont-bâche à l’entrée est de Mallemoisson, où le maquis de Thoard arrêta la garnison allemande de Digne faisant retraite, le 17 août 1944.

    La Libération de Mallemoisson est marquée par le passage d’une colonne de la 36e division d’infanterie (US), le 19 août 1944, venant de Malijai et se portant en renfort d’une colonne secondaire stoppée à Digne, afin de prendre à revers la garnison allemande de Digne[51].

    Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée dans la commune sur 47 ha, pour la consommation locale. Une partie de la production était vendue à Digne. Cette culture a aujourd'hui presque entièrement disparu[33].

    Le château est démoli en 1951[52].

    HĂ©raldique

    Blason de Mallemoisson Blason
    D'azur à une gerbe d'or sommée de deux colombes affrontées d'argent la becquetant[53].
    DĂ©tails
    Conflit héraldique : le blasonnement dit « sommée » et la becquetant ; la représentation montre deux colombes accostant la gerbe et à distance de cette dernière.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie moderne et médiathèque, aux Grillons.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1841 1846 Elzéard Ricavy
    mai 1945 Augustin Comte[54]
    1977 1983 Jean-Claude Mazzega[55]
    1983 réélu en 1989 Dominique Vellieux
    1995 2001 Claude Chandre
    mars 2001 2014 André Nalin[56] DVG[57] - [58]
    avril 2014 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Emmanuelle Martin[59] DVG Employée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Autres maires :

    • Segond ;
    • Marie Henri FĂ©raud.

    Intercommunalité

    Mallemoisson a fait partie, de 1992 à 2016, de la communauté de communes des Duyes et Bléone. Celle-ci a fusionné avec d'autres communautés de communes pour constituer la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération, existant depuis le .

    Enseignement

    La commune est dotée d’une école primaire[60].

    DĂ©mographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[62].

    En 2020, la commune comptait 994 habitants[Note 3], en diminution de 3,4 % par rapport Ă  2014 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,39 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1765 1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    233236238227250275279295289
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    285286283285321326326288289
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    301303258233249251230233234
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    3253554156127839941 0311 036993
    2015 2020 - - - - - - -
    1 044994-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[63] puis Insee Ă  partir de 2006[64].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique avant 1765
    1315 1471
    14 feuxinhabité

    Lieux et monuments

    Le seul monument classé de la commune est une statue de la Vierge en bois, datant du XVIIe siècle et classée au titre objet[65].

    L’église paroissiale est sous la titulature de Notre-Dame (1630)[44] et le patronage de sainte Anne[26].

    • L’église paroissiale
    • Façade de Notre-Dame, Ă©glise paroissiale au vieux village.
      Façade de Notre-Dame, église paroissiale au vieux village.
    • Le clocher-mur.
    • Mur sud-est de l’église paroissiale.
      Mur sud-est de l’église paroissiale.

    La chapelle Notre-Dame-des-Cathelières, ancienne église paroissiale nommée ainsi d’après l’ancien nom de la communauté (Gatileriis), est au cimetière[26].

    • Notre-Dame-des-Cathelières
    • Notre-Dame-des-Cathelières, au cimetière
      Notre-Dame-des-Cathelières, au cimetière
    • Façade de Notre-Dame-des-Cathelières avec en arrière-plan, le Cousson enneigĂ©
      Façade de Notre-Dame-des-Cathelières avec en arrière-plan, le Cousson enneigé
    • Toit plat du chĹ“ur de Notre-Dame-des-Cathelières
      Toit plat du chœur de Notre-Dame-des-Cathelières
    • Le vieux village
    Intérieur du pont-bâche

    À l’est de la commune, se trouve un pont-bâche qui fait passer le torrent des Cathelières et un chemin agricole au-dessus de route nationale 85 et la ligne de Saint-Auban à Digne. C’est ici que le maquis de Thoard arrêta la colonne allemande faisant retraite, en 1944.

    Personnalités liées à la commune

    Le syndicaliste François Chérèque est enterré dans la commune.

    Mathieu Couvé, champion de France d'échecs en 2013 à l'âge de 15 ans[67]. À cette occasion, il a reçu la médaille de la ville de Digne-les-Bains des mains du maire Serge Gloaguen[68].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7).
    2. Philippe Nucho, Les structures territoriales des Alpes-de-Haute-Provence, Digne-les-Bains : Ă©ditions de Haute-Provence, 1993. (ISBN 2-909800-07-5), p. 63.
    3. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
    4. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 31 juillet 2012.
    5. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37.
    6. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96.
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80.
    8. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 81.
    9. Document, base Dicrim, consultée le 31 juillet 2011.
    10. « Etat de catastrophe naturelle reconnu pour Mallemoisson »
    11. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Mallemoisson », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 31 juillet 2012.
    12. BRGM, « fiche 40125 », Sisfrance, consultée le 31 juillet 2012.
    13. BRGM, « fiche 40176 », Sisfrance, consultée le 31 juillet 2012.
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 d'Aiglun », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Ernest Nègre, Toponymie gĂ©nĂ©rale de la France : Ă©tymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne). § 24051, p. 1294.
    25. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 90.
    26. Daniel Thiery, « Mallemoisson », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 11 décembre 2011, consulté le 31 juillet 2012.
    27. Insee, Dossier local - Commune : Mallemoisson, p. 5 (mis Ă  jour le 28 juin 2012).
    28. Insee, Dossier local, p. 8.
    29. Insee, Dossier local, p. 7.
    30. Insee, Dossier local, p. 16.
    31. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio).
    32. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio).
    33. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59.
    34. RĂ©paraz, op. cit., p. 58.
    35. Chambre de commerce et d'industrie des Alpes-de-Haute-Provence, EURL Martin Eric, consulté le 24 septembre 2012.
    36. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6.
    37. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 11.
    38. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 16.
    39. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio).
    40. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32.
    41. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44.
    42. Insee, Dossier local, op. cit., p. 17.
    43. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22.
    44. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 181.
    45. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298.
    46. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 72.
    47. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    48. Labadie, op. cit., p. 16.
    49. Labadie, op. cit., p. 18.
    50. Labadie, op. cit., p. 11.
    51. Henri Julien (directeur de publication), Guide du débarquement de Provence, 15 août 1944, Digne-les-Bains, Éditions de Haute-Provence, 1994, (ISBN 2-909800-68-7), p. 126.
    52. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 245.
    53. Banque du Blason.
    54. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    55. Jean-Claude Mazzega est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Brice Lalonde (Mouvement d'écologie politique) à l’élection présidentielle de 1981, cf Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1056, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010.
    56. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Jausiers à Montfort (liste 4), consulté le 8 mars 2013.
    57. François de Bouchony, « Le parti socialiste a besoin de conforter son ancrage municipal », La Provence, 3 février 2014, p. 3.
    58. François de Bouchony, « Le paysage avant la bataille », La Provence, 17 mars 2014, p. 3.
    59. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    60. Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Digne, publiée le 6 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010.
    61. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    62. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    63. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    64. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    65. Arrêté du 10 avril 2010, Notice no PM04000198, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 24 novembre 2010.
    66. Société scientifique et littéraire des Alpes de haute provence, Annales de Haute Provence, volume 6, 1894, p. 334 lire (consulté le 23/12/2009).
    67. « Mathieu Couvé est champion de France d'échecs », sur LaProvence.com, (consulté le )
    68. « Le maire remet la médaille de la Ville au jeune champion d'échecs Mathieu Couvé », sur LaProvence.com, (consulté le )
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.