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Mévoisins

Mévoisins est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Mévoisins
Mévoisins
La mairie.
Blason de Mévoisins
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France
Maire
Mandat
Ann Grönborg
2020-2026
Code postal 28130
Code commune 28249
Démographie
Gentilé Mévoisinois
Population
municipale
617 hab. (2020 en diminution de 2,06 % par rapport à 2014)
Densité 144 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 33′ 04″ nord, 1° 35′ 33″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 150 m
Superficie 4,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Épernon
Législatives Première circonscription
Localisation
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Mévoisins
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Mévoisins
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Mévoisins
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Mévoisins
Liens
Site web http://www.mevoisins.fr

    Géographie

    Situation

    • Situation géographique
    • Mévoisins dans son arrondissement.
      Mévoisins dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Mévoisins.
      Carte de la commune de Mévoisins.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Mévoisins
    Maintenon Houx
    Saint-Piat Mévoisins Yermenonville
    Saint-Piat

    Hydrographie

    La rivière l'Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, borde le territoire de la commune à l'ouest.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 622 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Houx », sur la commune d'Houx, mise en service en 1951[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 604,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 11 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Mévoisins est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,8 %), zones urbanisées (10,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), prairies (7,8 %), forêts (5,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Mévoisins est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Saint-Cyr. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995 et 1999[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mévoisins.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 80,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 292 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 286 sont en en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Menvesin en 1209[25], Meinvoisin en 1250[26], Medius Vicini en 1300[27], Mevoisin en 1394[28], Mevoisins en 1493[29], Mevoisins en 1740[30], Mêvoisin au XVIIIe siècle[31].

    Autrefois, Mansus Vincini[32], la manse étant une unité d’exploitation agricole du haut Moyen Âge, comprenant la maison d’habitation et son jardin, ainsi que les champs répartis dans les diverses soles du terroir (une sole est une pièce de terre soumise à l'assolement). C’est donc la « manse d’un certain vicinus ou voisin ».

    Autres hypothéses : Du bas latin medianum vicinium, le « village qui est au milieu » ; ou magnum vicinim, « le grand village ».

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Mars 2001 Guy Dubois
    Mars 2001 Juillet 2020 Christian Bellanger SE Retraité
    Juillet 2020 En cours Ann Grönborg

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

    En 2020, la commune comptait 617 habitants[Note 8], en diminution de 2,06 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    262291342375344355353406376
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    371349331325339303302298311
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    298289285256268251279303266
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    291268320460533634648633624
    2020 - - - - - - - -
    617--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Menhir érigé en l'an 2000 par 200 volontaires à Mévoisins. Hauteur : 4,20 mètres, masse : 10 tonnes.
    Menhir érigé en l'an 2000 par 200 volontaires. Hauteur : 4,20 mètres, masse : 10 tonnes.

    En l'an 2000, sous l'impulsion de la municipalité et de Dominique Jagu, responsable du site mégalithique de Changé, un menhir de 10 tonnes est érigé au lieudit les Bouquets, à la seule force des bras de 200 volontaires.

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Hilaire

    L'église Saint-Hilaire, bâtie aux XIe – XIIe siècles et remaniée aux XVIe – XVIIe siècles[36].

    • L'église Saint-Hilaire
    • Vue générale
      Vue générale
    • Entrée, mur sud et monument aux morts.
      Entrée, mur sud et monument aux morts.
    • Chevet.
      Chevet.
    • Gravure : « Liège 1706 ».
      Gravure : « Liège 1706 ».

    Autres lieux et monuments

    L'arbre de la Liberté et le café du même nom.
    L'arbre de la Liberté et le café du même nom.
    • Deux tilleuls, plantés en 1789 comme symbole de la Révolution[37] - [Note 9] :
      • Rue de l'arbre de la Liberté, devant le café du même nom, hauteur 15 m, circonférence 2,95 m ;
      • Au bord de la voie ferrée, hauteur 19 m, circonférence 4,10 m.
    • Le monument aux morts, placé devant l'entrée de l'église.

    Personnalités liées à la commune

    Jean-François Collin d'Harleville par Jean-Jacques Karpff (1770-1829)
    • Jean-François Collin d'Harleville (1755-1806) possédait une maison à Mévoisins, où il vécut. Avocat, auteur de comédies en vers et de notices historiques, poète, membre de l'Académie française, élu en 1803 au fauteuil 7 : il fut nommé à l'Institut dans la section de grammaire, par le Directoire (3e classe) le (dont il fut secrétaire) à la place de Garat qui avait refusé, mais les poètes le réclamèrent et l'élurent dans leur section. L'organisation de 1803 le fit entrer dans la deuxième classe où lui fut attribué le fauteuil de Michel-Jean Sedaine.

    Héraldique

    Blason de Mévoisins Blason
    D'or à l'arbre abaissé au naturel.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Selon l'article d'Eurélien, ces tilleuls seraient les derniers arbres datés de cette période qui existeraient encore en 2022 dans le département d'Eure-et-Loir. Voir également le tilleul de l'abbaye de Thiron-Gardais, labellisé en 2018.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Houx - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Mévoisins et Houx », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Houx - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Mévoisins et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Mévoisins », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    25. Archives Départementales 28-G, chapitre Notre-Dame de Chartres.
    26. Bulletin de la Commission royale de toponymie et dialectologie, vol. 10, , p. 354.
    27. Bibliothèque Municipale de Chartres, Ms 24, Polyptyque du chapitre Notre-Dame de Chartres.
    28. Archives Nationales - JJ 145, n° 423bis, fol. 188.
    29. Archives Nationales - JJ 226B, n° 260, fol. 52 v°.
    30. Bibliothèque Municipale d’Orléans, Ms 995, fol. 144.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Daniel Delattre, L'Eure-et-Loir, les 403 communes, , p. 134.
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. « Histoire et monuments de la commune », sur Mévoisins, (consulté le ).
    37. Conseil départemental d'Eure-et-Loir, « Mévoisins - Les révolutionnaires précautionneux », Eurélien n° 71,‎ , p. 30
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