Lupersat
Lupersat est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.
Lupersat | |||||
Carte postale du vieux puits. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Creuse | ||||
Arrondissement | Aubusson | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Marche et Combraille en Aquitaine | ||||
Maire Mandat |
Jean-Michel Soulebot 2020-2026 |
||||
Code postal | 23190 | ||||
Code commune | 23113 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lupersatois, Lupersatoises | ||||
Population municipale |
298 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 9,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 59′ 10″ nord, 2° 21′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 461 m Max. 706 m |
||||
Superficie | 32,64 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aubusson | ||||
Législatives | Circonscription unique | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Les habitants s'appellent les Lupersatois et les Lupersatoises.
Géographie
La commune de Lupersat – on écrivait autrefois Lupersac — est située dans la partie est du département de la Creuse. Le bourg de Lupersat se trouve à 5 km du chef-lieu de canton Bellegarde-en-Marche, à 17 km de la sous-préfecture Aubusson, et à 56 km de la préfecture Guéret. La commune est brièvement bordée au nord-ouest sur 200 mètres par le Bellegy, un affluent de la Tardes.
La superficie de la commune est de 3 264 hectares. Elle est traversée par le méridien de Paris. Elle affecte dans son ensemble la forme d’un ovale assez régulier. Le bourg est situé à peu près au centre de la commune, avec de nombreux hameaux dispersés tout autour (une cinquantaine).
Relief
Le sol de la commune est granitique et accidenté, avec de nombreuses collines qui portent le plus souvent le nom de « puy », comme le Puy du Bey, le Puy de Chaud ou le Puy d’Erouletas, point culminant à 706 mètres d’altitude.
Lupersat est arrosée par de nombreux cours d’eau. Le plus important est la Tardes qui traverse la commune sur 3 km à l’ouest et reçoit les ruisseaux du Monteil et de Chez-Latour, eux-mêmes alimentés par les étangs qu’ils traversent.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auzances_sapc », sur la commune d'Auzances, mise en service en 1996[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,4 °C et la hauteur de précipitations de 894,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Clermont-Fd », sur la commune de Clermont-Ferrand, dans le département du Puy-de-Dôme, mise en service en 1923 et à 61 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Lupersat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (59,1 %), forêts (25,7 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), zones urbanisées (0,9 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lupersat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 24,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 299 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 81 sont en en aléa moyen ou fort, soit 27 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Lupersat est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[24].
Histoire
Toponymie
Une première hypothèse rapproche Lupersat de la commune corrézienne Lubersac, le nom de Lupersat viendrait de Luperciacum : le domaine de Lupercus, très probablement un propriétaire gallo-romain local. Lupercus était un dieu romain, protecteur des troupeaux contre les loups et célébré à Rome le lors des lupercales. Lupercus est devenu un nom de personne latin, francisé en Luperque. La seconde hypothèse, au vu des mentions du XIIe siècle, du XVe siècleet du XVIe siècle, maintenant un -p- sourd, cela induirait un étymon en Lupperciacum, avec deux -p-[25].
Cette étymologie donne le nom en langue occitane (dialecte limousin) du village : Lupersac[26], ou plutôt Libarçac[27].
Moyen Âge
D’après la tradition populaire, la région aurait été évangélisée par un compagnon de saint Martial, premier évangélisateur de la Gaule centrale. On raconte que les restes de saint Oradoux (ou saint Adorateur) ont été déposés dans l’église de l’époque en 407. Ce saint aurait subi le martyre dans les environs du hameau de Gioux ou existe une petite fontaine en son honneur. C'est également en son honneur que la fête du village a lieu en juin. L'église actuelle, principal et plus ancien monument de Lupersat, date du XIe siècle. Dans son ensemble, elle est de style roman de proportions grandioses, et fut construite à l'emplacement d'un édifice datant du Ve siècle.
En 1250, il existait au petit village de la Ribière une communauté de l’ordre de Saint-Benoît, dont on ignore les dates de fondation et de disparition.
En 1283, l’évêque de Limoges éleva l’église de Lupersat au rang d’archiprêtré preuve de son importance dans la région.
L’invasion anglaise du XIVe siècle a laissé des traces : la tradition parle d’une bataille livrée sur le Puy du Bey contre les troupes du Prince Noir avant ou après la ruine du château-fort de Sermur.
Renaissance
En août 1511, la foudre tombée sur le clocher provoqua un violent incendie qui consumât une grande partie de l’église et détruisit plusieurs maisons du bourg. Les ossements de saint Oradoux furent la proie des flammes : le peu qui en resta fut placé dans un petit coffret. Les habitants du bourg, généralement peu fortunés furent cruellement éprouvés par ce désastre. La restauration de l’église fut lente.Une ancienne tradition signale l’existence d’une communauté religieuse, d’une certaine importance, établie dans l’enceinte du bourg tout près de l’église. Cette communauté pourrait être à l’origine d’une société de prêtres communalistes qui y ont subsisté pendant plusieurs siècles jusqu’à la Révolution. On voyait encore au début du XXe siècle, au sud du bourg, quelques ruines des maisons qu’ils occupaient.
Sur la butte dite du Coudert (en fait, Coudert de Saint-Allon) a existé pendant longtemps une chapelle dite de Saint-Allon. Les deux tilleuls qui y existent toujours se trouvaient en face du portail, à une courte distance. Cette chapelle était entourée d’un petit cimetière où étaient inhumés les morts de quelques villages qui en dépendaient, comme Boueix, Cornemule, la Caborne, Genétines haute et basse. Elle fut détruite en 1744 et ses pierres servirent à la construction de maisons d’habitation. Des pierres tombales gisaient encore sur le sol en 1846.
Révolution
Avant la Révolution de 1789, le territoire de la paroisse de Lupersat comptait un assez grand nombre de familles nobles ou se disant telles. Certains propriétaires, même modestes, accolaient souvent à leur nom patronymique la particule « de » suivie du nom de leur ferme. C'est ainsi, qu'en 1618, on trouve un de Laroche, sieur de Fumade, un de Beaufort, sieur du Montel ou un de Saint-Julien, sieur de la Chezotte. Sur le territoire de la paroisse, ont existé plusieurs châteaux qui ont progressivement perdu leur image aristocratique avec l'extinction des familles. On peut citer les châteaux de Maison-Neuve, près du bourg, qui a longtemps servi de presbytère, du Montel-Sugnet, de la Chezotte, de Lavaud-Graton, et de Saint-Martin. Celui de Saint-Martin avait une chapelle qui a été démolie au début du XIXe siècle. Les réformes profondes amenées par la Révolution furent accueillies avec faveur par les habitants et le curé-archiprêtre de Lupersat prononça le serment exigé par le décret du .Toutes les fêtes civiques y furent célébrées. Un arbre de la Liberté y fut élevé. Au moment des guerres révolutionnaires, (1re coalition de 1792 à 1997 et deuxième coalition de 1798 à 1801) Lupersat contribua à l'aide demandée : d'abord, deux hommes furent tués à l'ennemi, fils de Léonard Deneufville, puis le montant de la vente des objets qui garnissaient l'église (637F) fut offert à la Nation, enfin, les cloches furent descendues et acheminées vers Aubusson, où elles furent fondues et converties en balles et en boulets. L'église devint alors un atelier de salpêtre.
Seconde partie du XIXe siècle
Des travaux importants ont eu lieu : ouverture de plusieurs chemins vicinaux pour faciliter les communications, amélioration de la place centrale qui a été débarrassée d'une maison et d'arbres qui l'encombraient,entre 1887 et 1888, construction de la maison commune qui comprit la mairie et le groupe scolaire. En 1890 et 1891, le cimetière qui entourait l'église est déplacé à l'extérieur du bourg. La plupart des maisons subissent des améliorations, sont restaurées ou rebâties.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2020, la commune comptait 298 habitants[Note 6], en diminution de 9,42 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
L'église
Église romane du XIe siècle, de grandes dimensions avec nef et collatéraux. Elle mesure 30 m de long sur 20 m de large. Elle a trois nefs, un transept et une abside. C'est une des plus vastes du département. La nef principale est séparée des bas-côtés par deux rangées de piliers d'une architecture lourde mais imposante. Le transept se termine par deux chapelles latérales.
La tour du clocher est placée sur le transept. Elle est carrée et surmontée d'une charpente octogonale en forme de dôme, se terminant par une flèche aiguë s'élevant à 33 m. Cette tour fut renversée par la foudre en 1511 et tomba en partie sur la branche gauche du transept, la chapelle Saint Jean. D'importants travaux de reconstruction furent nécessaires. Une avancée en saillie, qui existe encore, était munie de créneaux et de mâchicoulis, pour défendre la fenêtre du pignon, vraisemblablement pour faire de l'église un refuge contre les attaques possibles des huguenots.
À l'extérieur porte et clocher à bulbe du XVIIIe siècle, pignon ouest de droite à portail. Le chœur rectangulaire à chevet est percé de quatre fenêtres hautes, les chapiteaux sont sculptés ou ornementés, retable du XVIIe siècle. L'église est classée "monument historique" en 1974[32].
Cartes postales anciennes
Personnalités liées à la commune
- Pierre Mourellon, instituteur à Lupersat puis à Chénérailles, né le 13/11/1863, décédé après 1914. Il est l'auteur d'une monographie scolaire, écrite en 1914, dans la Collection de la Société nationale de "L'Histoire à l'école".
Voir aussi
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Auzances_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lupersat et Auzances », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Auzances_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lupersat et Clermont-Ferrand », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Lupersat », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lupersat », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Yves Lavalade, Dictionnaire des communes de la Creuse, La Geste, 2022, p. 125, 248 p. (ISBN 979-10-353-1852-9).
- (fr + oc) Paul-Louis Grenier, Chansó de Combralha : La Chanson de Combraille : poèmes en langue d'oc avec traduction française en regard, Paris / Toulouse, éditions Occitania, (lire en ligne), p. 95 - Lo Puei Ferrat
- Yves Lavalade, Dictionnaire des communes de la Creuse, La Geste, 2022, 248 p. (ISBN 979-10-353-1852-9).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise Saint-Oradour », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :