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Loubillé

Loubillé est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.

Loubillé
Loubillé
L'église Saint-Saturnin.
Blason de Loubillé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Niort
Intercommunalité Communauté de communes Mellois en Poitou
Maire
Mandat
Gérard Collet
2020-2026
Code postal 79110
Code commune 79154
Démographie
Population
municipale
386 hab. (2020 en augmentation de 0,26 % par rapport à 2014)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 03′ 02″ nord, 0° 03′ 46″ ouest
Altitude Min. 84 m
Max. 149 m
Superficie 21,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Melle
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Loubillé
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Loubillé
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Loubillé
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Loubillé
Liens
Site web www.loubille.fr

    Géographie

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 867 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Hanc », sur la commune de Valdelaume, mise en service en 1977[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 878,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Niort », sur la commune de Niort, mise en service en 1958 et à 43 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Loubillé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,9 %), forêts (11,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), zones urbanisées (2,3 %), prairies (0,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Loubillé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Aume. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Loubillé.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. 64,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].

    Toponymie

    Loubillé apparaît en 1096 sous le nom de Lubiliacum, dérivé du nom d'homme latin Lupillius qui provient du latin lupus « loup », suivi par le suffixe gallo-romain -acum d'origine gauloise à valeur adjectivale[26].

    Histoire

    Antiquité

    Des fibules en or et en bronze, des monnaies romaines ont été découvertes, de même que des substructions aux Bâtisses[27].

    Raymond Proust a découvert plusieurs traces d'occupation gallo-romaine : au Payré, à Montigny, à la Chaume Rouge, à la Maison Neuve[28]. Il a fouillé avec Jean-Pierre Pellin une villa au Potonnier en 1970 (villa qui avait été repérée par Henri Beauchet-Filleau en 1884) et trouvé des restes d'habitations sur une distance de 450 m, des fragments de poteries ainsi qu'une tombe d'enfant[29].

    Fouilles de la villa gallo-romaine de Pontonnier

    Ancien Régime

    Loubillé dépend de Au Xe siècle, Loubillé appartient à Alduin, fils de Vulgrin, comte d'Angoulême. Il donne ce domaine en 916 à l'abbaye de Charroux[27].

    Depuis au moins 1090 jusque après 1650, le hameau de Narçay (ou Narçais) forme une paroisse dépendant de celle de Loubillé. Elle appartient aux moines bénédictins de Charroux puis au couvent des dames Fontevristes de Tusson. L'ancienne église de ce hameau est mentionnée dans une bulle de 1096 du pape Urbain II[27].

    L'état des paroisses de 1686 nous informe que le prieur de Parrabil est le seigneur de la paroisse de Loubillé qui comporte 68 feux et produit du grain[30].

    Un prieuré, endommagé pendant la guerre de Cent Ans, a été démoli en 1877 pour faire place à une école[27].

    Loubillé a possédé l'annexe d'une commanderie de l'ordre de Malte[27].

    À la veille de la Révolution, Loubillé constitue une enclave de la Saintonge, dépend de l'élection de Saint-Jean-d'Angély et de la généralité de La Rochelle[31].

    Époque contemporaine

    L'église a été vendue comme bien national pour 2500 livres puis détruite pendant la Révolution ; l'actuelle église date de 1874[27].

    Au début du XIXe siècle, Loubillé possède 6 moulins. On y élève alors des mules et des mulets et on y produit un vin de qualité moyenne[27].

    Trois jeunes gens qui allaient rejoindre le maquis ont été fusillés par les troupes allemandes au lieu-dit Bois-Cambert le 24 juillet 1944[32].

    En 1946, un habitant des Maisons Blanches, René Pineau, assassine sa seconde épouse et sera condamné au bagne à vie[33].

    Héraldique

    Blason de Loubillé Blason
    De gueules au chevron d'argent alésé en pal, chargé de quatre mouchetures d'hermine de sable posées dans le sens du chevron et accompagné de trois besants d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    La mairie de Loubillé.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1971 1983 Edmond Ribot
    (1917-2011)
    Ancien ouvrier, curé de la paroisse
    mars 2001 réélu en 2008[34] Claude Aumand
    2014 En cours Gérard Collet

    Démographie

    À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Loubillé, cela correspond à 2006, 2011, 2016[35], etc. Les autres dates de « recensements » (2009, etc.) sont des estimations légales.

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    599695722706825818865937882
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    883857845787857862818803757
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    752715732628605633609581561
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    511459405363354356365381388
    2020 - - - - - - - -
    386--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Saturnin, située au centre du village de Loubillé, a été construite en 1874[27].
    • Deux lavoirs (l'un aux Maisons-Blanches, l'autre au hameau de Narçay).
    • Une stèle en mémoire de trois martyrs de la Résistance assassinés en l'an 1944.
    • L'église Saint-Saturnin.
      L'église Saint-Saturnin.
    • Le lavoir de Narçay.
      Le lavoir de Narçay.
    • La stèle du Bois Cambert.
      La stèle du Bois Cambert.

    Personnalités liées à la commune

    • Chassino (1869-1955), ombromane.
    • Marffa la Corse (1908-1997), dompteuse.
    • Michel Collin (1905-1974), alias « Clément XV », pape autoproclamé, a été curé à Loubillé pendant quelques années avant sa rupture avec l'Église catholique.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Hanc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Loubillé et Valdelaume », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Hanc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Loubillé et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Loubillé », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , 738 p., page 413.
    27. Maurice Poignat, Le Pays Mellois. Histoire des communes des Deux-Sèvres, Niort, Editions du Terroir, , 425 p., pages 213 à 215.
    28. Raymond Proust, « Compléments sur l'archéologie du sud-est des Deux-Sèvres. », Bulletin de la Société des Antiquaires de l'Ouest et des musées de Poitiers. Tome X,
    29. Raymond Proust, « La villa gallo-romaine de Potonnier, commune de Loubillé. », Bulletin de la Société Historique et Scientifique des Deux-Sèvres., Niort,
    30. Histoire passion
    31. Bélisaire LEDAIN, Dictionnaire topographique du département des Deux-Sèvres, Poitiers, Société Française d'Imprimerie et de Librairie, , 359 p.
    32. Marcel Daniaud, Histoire de nos villages
    33. Olivier Goudeau, Les grandes affaires criminelles en Deux-Sèvres de 1811 à 1939
    34. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
    35. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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