Liste de constructeurs ferroviaires
Cet article dresse la liste constructeurs ferroviaires faisant l'objet d'une page Wikipedia[n 1].
Entreprises en activité
Constructeurs
Classés par ordre alphabétique :
- Alstom (France)
- Ansaldo Breda (Italie) (devenu Hitachi Rail Italy)
- Bombardier (Canada) (racheté par Alstom)
- Cital (Algérie)
- Compagnie de chemins de fer départementaux (France)
- Construcciones y Auxiliar de Ferrocarriles (Espagne)
- Corifer (Italie)
- CRRC (Chine)
- Delachaux (France, signalisation ferroviaire)
- Electro-Motive Diesel (États-Unis)
- Fablok (Pologne)
- Faiveley SA (France) (racheté par Wabtec)
- Ferrovial (Algérie)
- Firema (Italie)
- Groupement TREVI (Italie)
- General Electric (États-Unis)
- Hitachi (Japon)
- Hyundai Rotem (Corée du Sud)
- Intamin (Suisse)
- J-TREC (Japon)
- Kawasaki Heavy Industries (Japon)
- Kinki Sharyo (Japon)
- Krauss-Maffei (Allemagne)
- Lohr (France)
- Fiat-Materfer (Argentine)
- Mitsubishi Heavy Industries (Japon)
- Niigata Transys (Japon)
- Nippon Sharyo (Japon)
- Siemens Mobility (Allemagne)
- Škoda Transportation, (Tchéquie)
- Socofer (France)
- Stadler Rail (Suisse)
- Talgo (Espagne)
- Toshiba (Japon)
- Transmashholding (Russie)
- TSO (France, infrastructures ferroviaires)
- Usine de locomotives électriques Kim Jong-tae (Corée du Nord)
- Vossloh (Allemagne)
- Wagon Pars (Iran)
Constructeurs « historiques » disparus
Classés par pays et par ordre alphabétique[n 2].
Allemagne
- Adtranz
- AG Vulcan Stettin
- Bahnbedarf AG
- Borsig
- De Dietrich Ferroviaire
- Elsaessische Maschinenbau-Gesellschaft Grafenstaden
- Henschel & Sohn (Allemagne)
- Lokomotivfabrik Hohenzollern
- Lokomotivbau Karl Marx
- Neumeyer
- Orenstein & Koppel
- Schwartzkopff
- Waggon- und Maschinenbau GmbH Donauwörth
- Waggonfabrik frères Gastell
Belgique
Danemark
États-Unis
France
- Anjubault
- Ateliers de construction du Nord de la France (ANF) (actuellement Bombardier Transport France, rachat par Alstom en 2021)
- Compagnie générale de Construction de locomotives (Batignolles-Châtillon) (rachat par Spie)
- Billard (rachat par Socofer)
- Blanc-Misseron (actuellement Bombardier Transport France, rachat par Alstom en 2021)
- Brissonneau et Lotz (rachat par Alstom en 1972)
- Bugatti (autorails)
- Campagne (ferme en 1983)
- Carel Fouché (rachat par Alstom en 1987)
- Compagnie Électro-Mécanique (CEM) (rachat par Alstom en 1983)
- Compagnie des forges et aciéries de la Marine et d'Homécourt (rachat par Creusot-Loire en 1970)
- Constructions électriques de France (CEF) (fusion avec Alstom en 1932)
- Corpet-Louvet
- De Dietrich Ferroviaire (rachat par Alstom en 1995)
- De Dion-Bouton
- Entreprises Industrielles Charentaises (EIC) (rachat par Alstom en 1972)
- Ernest Goüin et Cie (fusion avec SPIE en 1968)
- Franco-Belge (rachat par Alstom en 1982)
- Fives-Lille (France) (devenu le groupe d'ingénierie Fives)
- Gaston Moyse
- Hallette
- Matra Transport (racheté par Siemens)
- Matériel de traction électrique
- Marius Patay
- Pétolat Père & fils
- Piguet
- Pinguely
- Société anonyme des usines Renault (SAUR) - Autorails
- Léon Serpollet
- SEMT Pielstick (France)
- Société Alsacienne de Constructions Mécaniques (SACM)
- Société de construction des Batignolles
- Société d'électricité Alioth
- Société française de constructions mécaniques
- Soulé
Italie
- Breda Costruzioni Ferroviarie
- Groupe Ernesto Breda
- Fiat Ferroviaria (rachat par Alstom en 2000)
- Officine Meccaniche della Stanga
- Sofer SpA
- Tecnomasio (actuellement Bombardier Transportation Italy, rachat par Alstom en 2021)
Suisse
- Brown, Boveri & Cie Baden
- Schweizerische Industrie Gesellschaft à Neuhausen
- Société suisse de construction de locomotives et de machines (à Winterthour)
- Vevey
- Von Roll
- Schweizerische Wagons- und Aufzügefabrik AG Schlieren-Zürich (de)
Notes et références
Notes
- Une liste de constructeurs (articles à faire) est présente dans la page Discussion:Liste de constructeurs ferroviaires.
- Cette liste inclut les entreprises encore existantes, mais n'ayant plus de lien avec le ferroviaire
Références
- André Dagant, « La société de Saint-Léonard à Liège », Bulletin de l'institut archéologique liégeois, t. XCII,‎ , p. 26-99 (lire en ligne, consulté le ).
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