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Leonard Nimoy

Leonard Nimoy, né le à Boston et mort le à Los Angeles[1] est un acteur, réalisateur, scénariste, photographe, producteur et chanteur américain.

Leonard Nimoy
Leonard Nimoy en 1967.
Biographie
Naissance
DĂ©cĂšs
SĂ©pulture
Nom de naissance
Leonard Simon Nimoy
Nationalité
Domicile
Los Angeles (Ă  partir de )
Formation
Antioch College (maĂźtrise Ăšs arts) (-)
Université Antioch (en) (docteur honoris causa) ()
Université de Boston (docteur honoris causa) ()
The English High School (en)
Boston College
Activités
Période d'activité
Conjoints
Sandra Zober (en) (de Ă  )
Susan Bay (en) (de Ă  )
Enfants
Julie Nimoy (en)
Adam Nimoy
ParentĂšle
Aaron Bay-Schuck (en) (beau-fils)
Autres informations
Membre de
Writers Guild of America, West (en)
Arme
Conflit
Label
Dot Records (en)
Genre artistique
Western (en)
Site web
Distinction
Discographie
Discographie de Leonard Nimoy (en)
Enregistrement vocal
Vue de la sépulture.

Nimoy est principalement connu pour avoir incarné le personnage du vulcain M. Spock dans la franchise Star Trek, pendant plus de quarante ans. Il interprÚte le personnage pour la premiÚre fois dans un pilote annulé puis le retrouve dans les séries Star Trek (1966-1969), Star Trek: The Animated Series (1973-1974), les six premiers films Star Trek, plusieurs jeux vidéo, ainsi que pour des apparitions spéciales dans la série Star Trek: The Next Generation (1987-1994) et les deux films Star Trek de J. J. Abrams (Star Trek en 2009 et Star Trek Into Darkness en 2013).

Son affiliation Ă  la franchise Star Trek ne se fait pas uniquement en tant que comĂ©dien, Ă©tant aussi le rĂ©alisateur des films Star Trek 3 : À la recherche de Spock (1984) et Star Trek 4 : Retour sur Terre (1986), ainsi que l'un des scĂ©naristes de ce dernier et du film Star Trek 6 : Terre inconnue (1991).

Il a également incarné le personnage de Paris de la série d'espionnage Mission impossible (1966-1973, saisons 4 et 5) et celui de William Bell dans la série de science-fiction Fringe (2008-2013).

Également chanteur, Leonard Nimoy a sorti cinq albums entre 1967 et 1970.

Biographie

Jeunesse et formation

Leonard Nimoy est issu d'une famille de juifs orthodoxes, de culture yiddish, originaires de Iziaslav en Ukraine[2]. Son pÚre, Max, est barbier et sa mÚre, Dora, née Spinner, est femme au foyer[2]. Si l'anglais est la langue maternelle du petit Leonard, ce dernier parle aussi le yiddish, notamment avec ses grands-parents[3].

PoussĂ© par son grand-pĂšre, il commence sa carriĂšre de comĂ©dien dĂšs l'Ăąge de 8 ans. Il Ă©tudie le thĂ©Ăątre Ă  l’universitĂ© de Boston mais abandonne en cours de route[4]. À l'universitĂ©, il travaille Ă  temps partiel au National Yiddish Book Center (en)[3].

Des débuts timides (1951-1966)

AprÚs des débuts au théùtre et dans des cours d'art dramatique, Leonard Nimoy obtient de petits rÎles au cinéma et à la télévision.

En 1953, il s'engage dans l'United States Army Reserve à Fort McPherson en Géorgie, au sein de laquelle il préside des spectacles pour la branche Special Services de l'armée[2]. Il est libéré en [2].

Il joue dans plusieurs séries B comme Zombies of the Stratosphere (en) (1952) et Them! (1954), ainsi que dans plusieurs séries, la majorité du temps dans des petits rÎles, dont La QuatriÚme Dimension (1959-1964), Bonanza (1959-1973), Perry Mason (1957-1968) ou encore Au-delà du réel (1963-1965)[2] - [5].

Star Trek : le commencement d'un long voyage (1966-1969)

Photographie promotionnelle de Leonard Nimoy et William Shatner pour la série Star Trek en 1968.

Le marque un tournant dans la carriÚre de Leonard Nimoy : il entame alors sa participation à la série de science-fiction Star Trek, diffusée sur le réseau NBC, avec le personnage du vulcain nommé M. Spock[2].

Nimoy incarne le personnage durant trois saisons, jusqu'en 1969 et l'annulation de la série[2]. AprÚs une quinzaine d'année de petits rÎles, ce rÎle dans cette série lui permet d'obtenir une certaine sécurité ; il explique : « Pour la premiÚre fois, j'avais un travail qui durait plus de deux semaines et une loge avec mon nom peint sur la porte et non écrit à la craie »[n 1] - [5].

Son histoire avec la franchise Star Trek dĂ©bute en fait bien avant la diffusion de la sĂ©rie, puisqu'il joue Spock dans le pilote annulĂ© de la sĂ©rie, intitulĂ© The Cage qui est diffusĂ© au dĂ©but de 1965[6]. À la rĂ©alisation du pilote, Roddenberry hĂ©sita entre Nimoy et Martin Landau : le premier fut choisi, le second ayant refusĂ© le rĂŽle[7].

Reconnaissable grùce à sa coupe au bol et ses oreilles pointues, son personnage a instantanément été apprécié du public. Cet engouement est parfois nommé « Spokmania »[8].

L'acteur parle de cette soudaine ferveur : « Dans les deux semaines aprÚs l'épisode Amok Time, les courriers de mes fans sont passés de quelques centaines de lettres à dix mille lettres par semaine »[n 2] - [9].

Nimoy dit avoir basé le salut vulcain de M. Spock sur la lettre Shin, la premiÚre lettre du Nom divin Shaddaï, l'un des noms hébreu de Dieu[2].

Diversification et Star Trek au cinéma (1969-2009)

Photographie publicitaire de Leonard Nimoy pour la série Mission impossible.

Peu aprĂšs de l'arrĂȘt de la sĂ©rie Star Trek, Leonard Nimoy joue dans les saisons 4 et 5 de la sĂ©rie Mission impossible, de 1969 Ă  1971 dans le rĂŽle de Paris, lequel succĂšde Ă  Rollin Hand de l'Ă©quipe de Jim Phelps, rĂŽle tenu par Martin Landau.

En 1973, il fait face Ă  Peter Falk dans le sixiĂšme Ă©pisode de la deuxiĂšme saison de la sĂ©rie Columbo (1968-2003)[10]. La mĂȘme annĂ©e et jusqu'en 1974, il retrouve le personnage de M. Spock sous une autre forme, en prĂȘtant sa voix Ă  ce dernier dans la sĂ©rie d'animation Star Trek: The Animated Series.

AprÚs ces séries, il retourne au théùtre, présente des émissions de télévision et écrit des livres de poésie.

Leonard Nimoy lors d'une convention Star Trek en 1980.

Nimoy reste proche de la franchise Star Trek, puisqu'il joue dans les six premiers films issus de la sĂ©rie, sortis entre 1979 et 1991, rĂ©alise les troisiĂšme et les quatriĂšme volets, tout en faisant partie des scĂ©naristes de ce dernier, et du sixiĂšme volet[11]. Il reprend Ă©galement son rĂŽle dans la sĂ©rie Star Trek : La Nouvelle GĂ©nĂ©ration (1987-1994), plus exactement dans les deux parties de l'Ă©pisode « Unification », diffusĂ©es en novembre 1991. Il prĂȘte Ă©galement sa voix Ă  Spock dans les jeux Star Trek: 25th Anniversary (en) (1992) et Star Trek: Judgment Rites (1993)[12].

De 1977 à 1982, il présente l'émission In Search of (en)[2]. En 1982, il reçoit une nomination à l'Emmy Award du meilleur acteur dans un second rÎle pour sa performance dans le téléfilm Une femme nommée Golda (1982)[2].

Il réalise le film Trois Hommes et un bébé en 1987[2].

Il prĂȘte sa voix Ă  MĂ©gatron dans le film d'animation La Guerre des robots (1987) et au Dr Jekyll / M. Hyde dans le film Richard au pays des livres magiques (1994)[2]. Il joue son propre rĂŽle dans deux sĂ©ries d'animation de Matt Groening : d'abord dans Les Simpson (1989) pour les Ă©pisodes « Le Monorail » (1993) et « Aux frontiĂšres du rĂ©el » (1997) puis dans Futurama (1999-2013) pour les Ă©pisodes « Spaciopilote 3000 » (1999) et « LĂ  oĂč aucun fan n'est allĂ© » (2002)[13] - [14]. Dans cet Ă©pisode hommage Ă  Star Trek, apparaissent Ă©galement les comĂ©diens Walter Koenig, George Takei, Nichelle Nichols et Jonathan Frakes dans leurs propres rĂŽles[14].

En 1991, il incarne un survivant du camp d'Auschwitz, Mel Mermelstein (en), dans le téléfilm Never Forget (en)[2].

En 2001, il prĂȘte sa voix au roi Kashekim Nedakhle dans film d'animation « Jules Vernien » intitulĂ© Atlantide, l'empire perdu des studios Disney, le 71e long-mĂ©trage d’animation et le 41e « classique d’animation » des studios Disney[2].

En 2005, il est le narrateur du jeu Civilization IV[2].

Derniers rĂŽles : Fringe et retour dans Star Trek (2009-2013)

Leonard Nimoy en 2011, faisant son célÚbre salut vulcain.

En 2009, la sortie tant attendue du nouvel opus Star Trek du réalisateur J. J. Abrams marque le retour de Leonard Nimoy dans son rÎle original de Spock, mais cette fois venant du futur[15]. Il donne alors la réplique à l'acteur Chris Pine, alias Kirk, tandis que Zachary Quinto interprÚte le rÎle de Spock dans le présent[15].

La mĂȘme annĂ©e, il interprĂšte le Dr William Bell dans le dernier Ă©pisode de la premiĂšre saison de la sĂ©rie de science-fiction Fringe (2008-2013), son personnage Ă©tant annoncĂ© comme rĂ©gulier pour la seconde saison[16].

Leonard Nimoy en 2012.

En 2010, il est le narrateur du jeu Star Trek Online[17]. En avril de la mĂȘme annĂ©e, il annonce au Toronto Sun qu'il prendra sa retraite dĂšs la fin de la deuxiĂšme saison de Fringe[18].

En 2011, il prĂȘte sa voix au personnage de Sentinel Prime dans Transformers 3 : La Face cachĂ©e de la Lune. Il apparaĂźt Ă©galement dans une version alternative du clip vidĂ©o de The Lazy Song du chanteur Bruno Mars, avec certaines sĂ©quences faisant rĂ©fĂ©rence Ă  Star Trek.

En 2012, il quitte Ă  nouveau sa retraite pour apparaĂźtre dans les deux derniers Ă©pisodes de la saison 4 de Fringe, toujours dans le rĂŽle du scientifique William Bell. La mĂȘme annĂ©e, il prĂȘte sa voix Ă  une figurine Spock dans le vingtiĂšme Ă©pisode de la cinquiĂšme saison de la sĂ©rie The Big Bang Theory (2007-2019)[19].

En 2013, il fait une apparition dans le douziÚme film de la franchise Star Trek, Star Trek Into Darkness, dans le rÎle de « Spock Prime » afin que le Spock du présent obtienne des informations sur le super-méchant Khan Noonien Singh, alias John Harrisson[15].

Autres activités

Leonard Nimoy a également été un chanteur, poÚte, écrivain et photographe.

En 1975, il sort son autobiographie, I Am Not Spock (en)[11]. Il explique ce titre comme Ă©tant la cause d'une crise d'identitĂ©, ne sachant pas s'il devait « embrasser » le personnage de Spock ou « combattre » l'intĂ©rĂȘt du public pour celui-ci[5]. Finalement, vingt ans plus tard, il sort en 1995 une seconde autobiographie, I Am Spock (en)[5].

En 2002, il publie le livre de photographies Shekhina (en), ayant pour thÚme le cÎté féminin de la divinité juive[2].

Mort

Le , Ă  la suite de photos de paparazzi le montrant en fauteuil roulant et sous assistance respiratoire, Leonard Nimoy publie le message suivant sur le rĂ©seau Twitter : « I quit smoking 30 yrs ago. Not soon enough. I have COPD. Grandpa says, quit now!! LLAP (« J'ai arrĂȘtĂ© de fumer il y a trente ans. Pas assez tĂŽt. J'ai la BPCO. Papy dit : arrĂȘtez maintenant ! LVEP ») »[20].

Il meurt le à Los Angeles, aprÚs avoir été hospitalisé à la suite de complications d'une maladie pulmonaire chronique (BPCO), développée selon lui du fait de son tabagisme passé[21] - [22].

Son dernier message sur Twitter est : « A Life is like a garden, perfect moments can be had, but not preserved, except in memory. LLAP (« Une vie est comme un jardin, on peut avoir des moments parfaits mais pas les conserver, sauf en mémoire. LVEP ») »[23].

Hommages

L'astronaute Terry Virts rend hommage à Leonard Nimoy en reproduisant son salut vulcain lors de l'Expédition 42 dans la station spatiale internationale.

À l’annonce de la mort de Leonard Nimoy, de nombreuses personnalitĂ©s Ă  travers le monde, notamment le rĂ©alisateur J. J. Abrams, les acteurs William Shatner et George Takei, et le prĂ©sident des États-Unis Barack Obama rendent hommage Ă  celui qui aura Ă©tĂ© et restera l'Ă©ternel Spock de la sĂ©rie originale Star Trek[23].

Par ailleurs, deux séries dans lesquelles Leonard Nimoy avait joué lui rendent hommage : dans la série d'animation Les Simpson, l'épisode 15 de la saison 26 (« The Princess Guide ») est dédié à sa mémoire[13], tandis que dans la série télévisée The Big Bang Theory (saison 8, épisode 17), le producteur exécutif Chuck Lorre lui rend hommage dans son traditionnel billet d'humeur (ou « Vanity Card ») post-générique, avec une photographie de l'acteur accompagnée de la phrase : « L'impact que vous avez eu sur notre série et sur nos vies est intemporel, et perdurera à travers le temps »[24].

Les joueurs du jeu vidéo Star Trek Online lui ont « érigé » deux statues mémoriales sur les planÚtes du jeu, Vulcain et New Romulus[17].

Durant l'Expédition 42 de la station spatiale internationale, les astronautes Terry Virts et Samantha Cristoforetti se prennent en photo en faisant le fameux salut vulcain de Nimoy/M. Spock[25].

Le fils de Leonard Nimoy, Adam, lui consacre en 2016 le documentaire For the Love of Spock (en)[26], tandis que sa fille Julie et son gendre David Knight réalisent en 2015 le documentaire Remembering Leonard Nimoy (en)[27], dans lequel l'acteur raconte notamment son combat contre la BPCO.

Filmographie sélective

Films

Films d'animation

Télévision

Leonard Nimoy (à gauche) sur une photographie promotionnelle de la série télévisée Mission: impossible (5e saison, 1970).

Téléfilms

  • 1971 : Alerte sur le Wayne (Assault on the Wayne) de Marvin J. Chomsky : Commander Phil Kettenring
  • 1973 : Baffled! de Philip Leacock : Tom Kovack
  • 1973 : Un camion en or massif (The Alpha Caper) de Robert Michael Lewis : Mitch
  • 1974 : Rex Harrison Presents Stories of Love de John Badham et Arnold Laven : Mike
  • 1975 : The Missing Are Deadly de Don McDougall : Dr. Durov
  • 1980 : Seizure: The Story of Kathy Morris de Gerald I. Isenberg : Dr. Richard Connought
  • 1981 : Vincent de Leonard Nimoy : ThĂ©o van Gogh
  • 1984 : Le soleil se lĂšve aussi (The Sun Also Rises) de James Goldstone : Comte Mippipopolous
  • 1991 : Never Forget de Joseph Sargent : Mel Mermelstein
  • 1995 : Bonanza: Under Attack de Mark Tinker : Frank James
  • 1997 : David de Robert Markowitz : Samuel
  • 1998 : The Lost World de Jack Fletcher : Angus McArdle
  • 1998 : Le meilleur des mondes (Brave New World) de Leslie Libman et Larry Williams : Mustapha Mond

Séries télévisées

SĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es d’animation

Films

Télévision

Scénariste

Ludographie

Discographie

À la fin des annĂ©es 1960, Leonard Nimoy connaĂźt une brĂšve carriĂšre de chanteur en sortant cinq albums sur le label Dot Records. Il apparaĂźt en tant que Spock sur les deux premiers, tandis que les trois derniers sont composĂ©s de chansons pop, folk et country.

Publications

  • Leonard Nimoy, I Am Not Spock (en) (autobiographie), 1975. (ISBN 9781568496917)
  • Leonard Nimoy, I Am Spock (en) (autobiographie), 1995. (ISBN 9780786861828)

Dans la culture populaire

  • L'astĂ©roĂŻde (4864) Nimoy a Ă©tĂ© nommĂ© en son honneur.
  • Dans l'Ă©pisode 7 de la saison 9 de la sitcom The Big Bang Theory, une partie de l'histoire tourne autour de l'interview de Sheldon Cooper par Adam Nimoy, fils de Leonard, qui rĂ©alise avec Wil Wheaton un documentaire sur Monsieur Spock et son impact culturel.
  • SituĂ© dans le quartier de l'Upper West Side Ă  New York, The Thalia, un ancien cinĂ©ma devenu une salle de spectacle appartenant Ă  Symphony Space (en), se nomme depuis 2002 Leonard Nimoy Thalia[2]

Voix francophones

En France, Leonard Nimoy n'a pas de voix rĂ©guliĂšre. Jacques Harden le double dans le premier doublage du premier film Star Trek, tandis que c'est Michel Bedetti qui le double dans le second doublage. Robert Party le double dans les second, quatriĂšme, cinquiĂšme et sixiĂšme volets Star Trek ainsi que dans la sĂ©rie Au-delĂ  du rĂ©el : L'Aventure continue. Michel Bardinet le double dans Star Trek 3 : À la recherche de Spock. Marc Cassot le double dans le film Star Trek de 2009 et Star Trek Into Darkness. Dans la sĂ©rie Mission: impossible, il est dans un premier temps doublĂ© par Marc de Georgi, puis par Jean-Pierre Moulin. De Georgi le double Ă©galement dans Hooker. Il est Ă©galement doublĂ© par Jean-Claude Balard dans Catlow, Roger Rudel dans Columbo, Denis Savignat dans L'Invasion des profanateurs, Francis Lax dans Marco Polo, GĂ©rard Dessalles dans Au seuil de la psychose et Georges Claisse dans Fringe.

Au Québec, Régis Dubos le double dans la série Star Trek, Ronald France dans Star Trek : La série animée et Jean Brousseau dans le film Star Trek de 2009.

Notes et références

Notes

  1. Citation originale : « For the first time I had a job that lasted longer than two weeks and a dressing room with my name painted on the door and not chalked on. »
  2. Citation originale : « Within two weeks after ["Amok Time"], my mail jumped from a few hundred letters to 10,000 a week. »

Références

  1. « Mort de Leonard Nimoy alias Spock », Le Monde.fr.
  2. (en) « Leonard Nimoy, Spock of ‘Star Trek,’ Dies at 83 », sur nytimes.com, .
  3. (en) Abby Ohlheiser, « The Jewish roots of Leonard Nimoy and ‘live long and prosper’ », The Washington Post, 27 fĂ©vrier 2015.
  4. Olivier Delcroix et Claire Courbet, « Leonard Nimoy : M. Spock s'est téléporté au-delà des étoiles », Le Figaro.fr, 27 février 2015.
  5. (en) « Leonard Nimoy, Spock, and the mixed blessing of an iconic role », sur latimes.com, .
  6. (en) « See the Trippy Look of the Long-Buried Original Star Trek Pilot », sur time.com, .
  7. « Mort de Martin Landau, star de "Mission : Impossible" et "Cosmos 1999" », sur premiÚre.fr, .
  8. (en) « Leonard Nimoy, 83; was TV's iconic Mr. Spock », sur bostonglobe.com,
  9. (en) « Girls All Want To Touch The Ears », sur nytimes.com, .
  10. « Columbo a 50 ans ! 5 choses que vous ne saviez peut-ĂȘtre pas sur la sĂ©rie culte », sur Allocine.fr, .
  11. « DécÚs de Leonard Nimoy, le Spock de Star Trek », sur Allociné.fr, .
  12. (en) « liste partielle des jeux vidéo dans lesquels Léonard Nimoy est crédité », sur mobygames.com (consulté le ).
  13. (en) « The 30 Best Celebrity Cameos on The Simpsons », sur time.com, .
  14. (en) « 15 Stars You Forgot Appeared In Futurama », sur screenrant.com, .
  15. « Star Trek sur NRJ12 : pourquoi Leonard Nimoy a-t-il accepté de reprendre son rÎle de Spock aprÚs de nombreux refus ? », sur Allociné.fr, .
  16. « Mr. Spock débarque dans "Fringe" ! », sur Allociné.fr, .
  17. « Star Trek Online rend hommage à Leonard Nimoy », sur jeuxvideo.com, .
  18. (en) « Leonard Nimoy set to retire », Toronto Sun.
  19. « "The Big Bang Theory" : les meilleurs guests de la série », sur allocine.fr, .
  20. Treknews.net : Leonard Nimoy Addresses Health Concerns
  21. (en) Leonard Nimoy, Spock of ‘Star Trek,’ Dies at 83.
  22. Un Vulcain s’éteint, Le Monde.
  23. Corentin Palanchini, « DécÚs de Leonard Nimoy : les réactions de J.J. Abrams, William Shatner et Barack Obama », sur Allociné.fr, .
  24. (en) « ‘The Big Bang Theory’ Offers On-Screen Tribute to Leonard Nimoy (Photo) », sur thewrap.com, .
  25. (en) « Vulcan Salute: Astronauts Honor Leonard Nimoy from Space (Photos) », sur space.com, .
  26. (en) « Fiche de « For the Love of Spock (2016) » », sur imdb.com (consulté le )
  27. (en) « Fiche de « COPD: Highly Illogical - Remembering Leonard Nimoy » », sur imdb.com (consulté le ).
  28. Également connu sous le titre français ChĂ©ri, dessine-moi un bĂ©bĂ©.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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