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Star Trek Into Darkness

Star Trek Into Darkness, ou Star Trek vers les ténÚbres au Québec[1], est un film de science-fiction américain produit et réalisé par J. J. Abrams, sorti en 2013.

Star Trek Into Darkness
Description de l'image Star Trek Into Darkness Logo.png.
Titre québécois Star Trek vers les ténÚbres
RĂ©alisation J. J. Abrams
Scénario Alex Kurtzman
Roberto Orci
Damon Lindelof
Musique Michael Giacchino
Acteurs principaux
Sociétés de production Bad Robot Productions
K/O Paper Products (en)
Skydance Productions
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre science-fiction
Durée 132 minutes
Sortie 2013

SĂ©rie Star Trek

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Star Trek Into Darkness est le douziÚme film de l'univers Star Trek, et la suite du Star Trek de 2009. Le scénario de J. J. Abrams, Bryan Burk, Damon Lindelof, Alex Kurtzman et Roberto Orci s'inspire de Star Trek 2 : La ColÚre de Khan, réalisé par Nicholas Meyer en .

Synopsis

2259. Starfleet, l'institution chargée de la défense de la Fédération des planÚtes unies, est menacée par un terroriste du nom de John Harisson[2], qui vise à détruire la flotte et les valeurs qu'elle représente. AprÚs une attaque sur un centre d'archives à Londres, l'individu s'enfuit aux confins de la Galaxie, sur la planÚte des Klingons. L'amiral Marcus autorise le capitaine James T. Kirk à traquer celui dont la véritable identité est en fait Khan Noonien Singh à bord de l'USS Enterprise jusque sur Kronos, planÚte-mÚre des Klingons. Plongé dans un monde en guerre, Kirk, aidé de son second Spock, va tout faire pour protéger son équipage.

Résumé détaillé

L'Ă©quipage de l'USS Enterprise rĂ©alise une mission de sauvetage sur une planĂšte habitĂ©e par des tribus primitives. Alors que le capitaine James T. Kirk et le docteur Leonard McCoy sont poursuivis par l'une de ces tribus, Spock s'emploie Ă  placer une bombe Ă  fusion froide au fond de la cheminĂ©e d'un supervolcan, afin de contenir son Ă©ruption imminente et ainsi sauver la planĂšte et ses habitants. En voulant rĂ©cupĂ©rer Spock, coincĂ© dans le volcan sur le point d'exploser (le champ magnĂ©tique intense de la planĂšte rĂ©duisant la portĂ©e du tĂ©lĂ©porteur), Kirk (entretemps revenu avec McCoy au vaisseau), fait sortir l’Enterprise de la mer oĂč il s'Ă©tait cachĂ©, et le fait dĂ©coller sous les yeux des sauvages. Spock se fait tĂ©lĂ©porter Ă  temps Ă  bord, mais la Directive PremiĂšre (qui stipule que la FĂ©dĂ©ration n'est pas supposĂ©e interfĂ©rer dans le dĂ©veloppement des autres espĂšces de l'univers tant que celles-ci ne sont pas parvenues par leurs propres moyens Ă  maĂźtriser la technologie du voyage supra-luminique) a Ă©tĂ© enfreinte, la tribu considĂ©rant dĂ©sormais le vaisseau comme une nouvelle divinitĂ©.

Pendant ce temps, Thomas Harewood, un officier de Starfleet vivant Ă  Londres, est abordĂ© par un inconnu qui lui explique pouvoir sauver sa fille, gravement malade. Revenu Ă  San-Francisco, Kirk est convoquĂ© par l'amiral Pike, Ă  cause de la violation de la Directive PremiĂšre, consignĂ©e dans un rapport par Spock, ce que Kirk nie farouchement, assurant que le but de la mission a Ă©tĂ© atteint. Le chef de Starfleet, l'amiral de la Flotte Marcus, a formĂ© une cour martiale, oĂč Kirk se voit retirer le commandement de l'USS Enterprise, et se voit contraint de retourner Ă  l'acadĂ©mie. A Londres, l'inconnu donne Ă  Harewood une bague et un flacon de son propre sang, que ce dernier injecte Ă  sa fille, dont l'Ă©tat s'amĂ©liore immĂ©diatement. Peu aprĂšs, il se rend Ă  son travail aux archives de Starfleet, et aprĂšs avoir envoyĂ© un message Ă  l'amiral Marcus, fait exploser le centre Ă  l'aide de la bague piĂ©gĂ©e que lui a remis l'inconnu.

Dans un bar de San Francisco, alors que Kirk noie son dĂ©sespoir dans l'alcool, il est abordĂ© par Pike, qui lui annonce avoir fait jouer ses relations, et obtenu que Kirk devienne son premier officier, Ă  bord de l'Enterprise. Les deux hommes sont alors convoquĂ©s Ă  une rĂ©union au quartier gĂ©nĂ©ral de Starfleet. L'amiral Marcus ouvre la sĂ©ance. Le message transmis par Harewood juste avant l'explosion Ă©tait une confession, rĂ©vĂ©lant qui Ă©tait Ă  l'origine de l'attaque : John Harrison, un officier de Starfleet devenu totalement incontrĂŽlable. Les officiers prĂ©sents regardent les images prises sur les lieux aprĂšs l'attaque, oĂč 42 personnes ont perdu la vie. Sur l'une d'elles, Kirk remarque Harrison avec un sac, et interroge Pike Ă  ce sujet. AprĂšs avoir Ă©tĂ© poussĂ© par l'amiral Marcus, Kirk s'interroge sur les motivations de Harrison, mais rĂ©alise sa connaissance de la procĂ©dure Ă  la suite d'un tel incident, qui amĂšnerait les officiers de Starfleet Ă  se rĂ©unir en conseil, prĂ©cisĂ©ment ce qu'ils font en ce moment. Harrison apparaĂźt alors aux commandes d'un vaisseau, et tire sur les officiers. Kirk parvient Ă  le neutraliser, mais l'amiral Pike est mortellement touchĂ©, et meurt quelques instants plus tard, sous le regard effondrĂ© de Kirk.

Le lendemain, Montgomery Scott retrouve Ă  bord de l'Ă©pave (vide) du vaisseau de Harrison un dispositif de tĂ©lĂ©portation portable, qui lui indique que le fugitif est allĂ© se rĂ©fugier sur Kronos, la planĂšte mĂšre de l'Empire klingon, le seul endroit oĂč Starfleet ne peut s'aventurer. Spock fait cependant remarquer que Harrison se trouve dans une rĂ©gion inhabitĂ©e de la planĂšte, ce qui rend une mission de rĂ©cupĂ©ration possible. Marcus dĂ©cide alors de tout leur dire sur la vĂ©ritable nature d'Harrison et de la cible de la bombe. L'archive Ă©tait une installation de la Section 31, une division secrĂšte de Starfleet qui menait des recherches sur l'armement et les tactiques dans le cas d'un Ă©ventuel conflit avec les Klingons, tout en formant des officiers d'Ă©lites pour assurer leur surveillance. Pour Marcus, la guerre a dĂ©jĂ  commencĂ©, et il dispose mĂȘme d'un nouveau type de torpilles longue-portĂ©e qui pourraient ĂȘtre utilisĂ©es pour Ă©liminer discrĂštement Harrison. L'amiral rend le commandement de l’Enterprise Ă  Kirk, et Spock insiste pour redevenir son premier officier.

De retour à bord de l'Enterprise, Scotty refuse d'autoriser le transport des torpilles à photons à bord, parce qu'il ne peut pas les examiner et que le personnel de la section 31 refuse de lui donner leurs spécifications, la technologie de ces armes étant classée secret défense. Il ne veut pas risquer d'utiliser des armes inconnues à proximité du noyau de distorsion, toute instabilité pouvant le détruire et tuer ainsi tout le monde à bord. Il démissionne en signe de protestation, suppliant une derniÚre fois Kirk de ne pas utiliser les torpilles.

AprĂšs avoir promu Pavel Chekov au poste d'ingĂ©nieur en chef pour remplacer Scott, Kirk informe l'Ă©quipage de la mission : quand ils arrivent Ă  proximitĂ© de la frontiĂšre klingon, ils utiliseront une navette pour se rendre sur Kronos et apprĂ©hender John Harrison. Ce n'est que s'il refuse de coopĂ©rer qu'ils auront recours aux torpilles. Spock est soulagĂ© de voir que Kirk a rĂ©examinĂ© les ordres originaux de l'amiral Marcus, et propose de se joindre Ă  lui pour cette mission. Il retourne ensuite en salle des machines, oĂč il confronte Carol Wallace, nouvelle recrue de l'Enterprise et spĂ©cialiste en armements de pointe. Il s'avĂšre qu'elle s'est prĂ©sentĂ©e Ă  Kirk sous une fausse identitĂ© : son vĂ©ritable nom est Carol Marcus, fille du commandant en chef de Starfleet. Spock exige qu'elle lui rĂ©vĂšle la vĂ©ritable raison de sa prĂ©sence Ă  bord.

Avant qu'elle ne puisse s'expliquer, l’Enterprise sort brutalement de distorsion. Chekov a dĂ©couvert une fuite de liquide de refroidissement dans le noyau de distorsion, et lancĂ© un arrĂȘt manuel. Ils se trouvent encore Ă  vingt minutes de voyage de Kronos. Kirk invite Uhura, qui sait parler Klingon, Ă  se joindre Ă  lui et Ă  Spock. Il confie le commandement du vaisseau Ă  Ikaru Sulu, avec ordre de contacter Harrison avant leur arrivĂ©e pour exiger sa reddition. Kirk et son Ă©quipe embarquent dans une navette confisquĂ©e habillĂ©s en civil, afin de ne pas provoquer un incident diplomatique pouvant potentiellement provoquer une guerre entre l'Empire Klingon et la fĂ©dĂ©ration. Chekov assure Ă  Kirk qu'il fera de son mieux pour que les moteurs soient de nouveau opĂ©rationnels Ă  leur retour, afin d'Ă©vacuer rapidement l'espace klingon une fois la mission terminĂ©e.

Tandis que Kirk pilote son vaisseau vers Kronos, Sulu envoie un message Ă  Harrison lui donnant deux minutes pour se rendre, ou il sera Ă©liminĂ© avec les torpilles longue portĂ©e. Alors qu'ils volent au-dessus de Kronos, l'Ă©quipe de Kirk est prise en chasse par un patrouilleur klingon. AprĂšs une course poursuite, la navette se retrouve encerclĂ©e de patrouilleurs, et contrainte d'atterrir. Uhura insiste pour ĂȘtre autorisĂ©e Ă  tenter de parlementer avec les Klingons. Ils atterrissent et Uhura quitte la navette, se retrouvant face Ă  une quinzaine de guerriers Klingons en armure. Elle leur explique la situation et tente de jouer sur l'honneur ancestral des klingons pour convaincre l'officier klingon. Peu impressionnĂ©, ce dernier saisit Uhura et sort un couteau, prĂȘt Ă  la tuer.

Un inconnu surgit alors et fait feu sur les klingons. Les officiers de l'Enterprise attaquent Ă  leur tour, dans un dĂ©luge de tirs de phaseurs et de corps-Ă -corps. L'inconnu, qui n'est autre qu'Harrison, se rĂ©vĂšle ĂȘtre particuliĂšrement habile, aussi bien avec son phaseur qu'Ă  mains nues. Les autres vaisseaux Klingons larguent des renforts, mais ils sont tuĂ©s Ă  leur tour. Les klingons neutralisĂ©s, Harrison pointe son arme sur Kirk et lui demande de combien de torpilles il dispose. Kirk refusant de rĂ©pondre, Spock lui dit qu'ils en ont 72. Harrison se rend immĂ©diatement sans condition.

Harrison est ramenĂ© Ă  bord de l’Enterprise et placĂ© en dĂ©tention. Le Dr McCoy prĂ©lĂšve un Ă©chantillon de son sang, afin d'essayer de comprendre sa physiologie. Harrison insiste pour ĂȘtre autorisĂ© Ă  parler avec Kirk. Spock pense qu'il cherche Ă  le manipuler, mais Kirk accepte. Harrison lui dit deux choses : tout d'abord, une sĂ©rie de coordonnĂ©es correspondant Ă  un point situĂ© Ă  proximitĂ© de la Terre. Harrison affirme Ă  Kirk qu'il pourrait y trouver des rĂ©ponses. Ensuite, il lui recommande fortement d'ouvrir une des torpilles Ă  photons pour voir ce qui est vraiment Ă  l'intĂ©rieur, expliquant que c'est la raison de toutes ses actions rĂ©centes.

AprĂšs avoir donnĂ© Ă  Scotty (restĂ© sur Terre) les coordonnĂ©es donnĂ©es par Harrison et convaincu l'ex-officier de les aider, Kirk dirige l’Enterprise vers un planĂ©toĂŻde inhabitĂ©, oĂč ils pourront ouvrir la torpille sans risque. Un message a Ă©tĂ© envoyĂ© Ă  l'amiral Marcus aprĂšs la capture d'Harrison, mais aucune rĂ©ponse n'est encore arrivĂ©e. Spock rĂ©vĂšle la vĂ©ritable identitĂ© de Carol Marcus et suggĂšre qu'elle et le docteur McCoy se chargent de l'ouverture de la torpille. Sur le planĂ©toĂŻde, le dĂ©sarmement de la torpille commence. Marcus explique au docteur comment couper un des fils. Au moment oĂč il le fait, le compartiment se referme sur son bras et la torpille s'enclenche avec une minuterie de 30 secondes. Marcus dĂ©sarme la torpille Ă  2,57 secondes prĂšs et celle-ci s'ouvre, rĂ©vĂ©lant un cryotube avec une personne congelĂ©e Ă  l'intĂ©rieur. Pendant ce temps, les coordonnĂ©es fournies par Harrison mĂšnent Scotty en orbite autour de Jupiter, oĂč il dĂ©couvre un impressionnant chantier naval. S’insĂ©rant dans un convoi de navettes identiques Ă  la sienne, il pĂ©nĂštre dans la superstructure.

Kirk et Spock retournent voir Harrison pour obtenir des rĂ©ponses. Celui-ci leur apprend que les torpilles renferment son ancien Ă©quipage. Il avoue aussi ĂȘtre lui-mĂȘme un humain gĂ©nĂ©tiquement amĂ©liorĂ© dont le vĂ©ritable nom est Khan. Son Ă©quipage et lui ont Ă©tĂ© exilĂ©s dans l'espace vers la fin du XXe siĂšcle. L'amiral Marcus a dĂ©couvert son vaisseau aprĂšs la destruction de Vulcain, et lui seul a Ă©tĂ© rĂ©veillĂ©. Marcus voulait exploiter l'intellect et la sauvagerie de Khan afin de prĂ©parer Starfleet Ă  une Ă©ventuelle guerre contre les Klingons. Khan rĂ©vĂšle Ă©galement que Marcus voulait que Kirk tire les torpilles sur Kronos. Il a dĂ©libĂ©rĂ©ment sabotĂ© l’Enterprise afin qu'il soit dĂ©couvert, dĂ©clenchant ainsi cette guerre qu'il dĂ©sire et amenant la militarisation de Starfleet. Kirk refuse de croire Khan, condamnant ses actions. Khan affirme que Marcus a pris son Ă©quipage en otage afin de le contraindre Ă  exĂ©cuter ses ordres. Il a placĂ© son Ă©quipage en biostase dans les torpilles pour le protĂ©ger, mais il n'avait aucune idĂ©e de l'endroit oĂč elles se trouvaient. Lui seul est parvenu Ă  s'Ă©chapper. Il affirme avoir commis ces attentats parce qu'il croyait que son Ă©quipage avait Ă©tĂ© tuĂ©.

Un navire s'approche alors de l’Enterprise, mais pas en provenance de l'espace Klingon. Kirk fait transfĂ©rer Khan Ă  l'infirmerie, sous bonne garde. Le vaisseau inconnu est un Ă©norme navire de Starfleet, sans marquages. Kirk reçoit un appel de l'amiral Marcus, qui commande le vaisseau, nommĂ© l'USS Vengeance, et dĂ©cide d'enregistrer et de diffuser la communication par haut-parleur Ă  travers tout le vaisseau. Il raconte Ă  l'amiral Marcus que les problĂšmes de moteur l'ont empĂȘchĂ© de tuer « Harrison », rĂ©vĂ©lant qu'il connaĂźt la vĂ©ritable identitĂ© de l'homme. Il laisse Ă©galement entendre que Marcus sait ce qui se passe. Marcus, quant Ă  lui, accuse Kirk d'ĂȘtre sous l'influence de Khan, et insiste pour qu'il soit exĂ©cutĂ© sur le champ. Il ordonne Ă  Kirk de le lui remettre, mais les tĂ©lĂ©porteurs de l’Enterprise sont hors service. Kirk affirme Ă  Marcus que Khan est en salle des machines puis coupe les communications.

L'Enterprise passe alors en distorsion mais Khan explique Ă  Carol qu'ils ne sont pas en sĂ©curitĂ© pour autant, le Vengeance ayant la capacitĂ© d'attaquer mĂȘme Ă  cette vitesse. Carol fonce vers la passerelle pour prĂ©venir Kirk, mais l'amiral Marcus les a dĂ©jĂ  rattrapĂ©s et ouvre le feu sur l’Enterprise. La premiĂšre rafale provoque une importante brĂšche dans la coque au niveau de la salle des machines, tuant des dizaines de membres d'Ă©quipage. La deuxiĂšme endommage la nacelle tribord de l’Enterprise, le forçant Ă  sortir de distorsion entre la Terre et la Lune. Carol tente de contacter l'amiral Marcus, refusant de croire que son pĂšre serait capable de dĂ©truire l’Enterprise s'il sait qu'elle se trouve Ă  bord, mais celui-ci se contente de la tĂ©lĂ©porter Ă  bord du Vengeance. Marcus accuse alors Kirk et son Ă©quipage d'ĂȘtre de connivence avec « Harrison » et les condamne tous Ă  mort. Kirk tente de plaider pour la vie de son Ă©quipage mais Marcus lui rĂ©pond qu'il avait l'intention de dĂ©truire l’Enterprise depuis le dĂ©but, et coupe la communication.

Cependant, les systĂšmes du Vengeance sont subitement coupĂ©s. Kirk reçoit alors un appel de Scotty, qui s'est glissĂ© Ă  bord et a procĂ©dĂ© Ă  un petit sabotage. le temps pour faire redĂ©marrer les systĂšmes laisse une ouverture Ă  l’Enterprise pour tenter d'arrĂȘter l'amiral Marcus. Kirk confie les commandes Ă  Spock. Le capitaine se rend alors Ă  l'infirmerie et interroge Khan sur les spĂ©cificitĂ©s du Vengeance. Il s'agit d'un vaisseau de classe dreadnought, dĂ©diĂ© uniquement au combat et prĂ©vu pour fonctionner avec un Ă©quipage minimum; deux fois plus gros, trois fois plus rapide et bien plus lourdement armĂ© que l’Enterprise. Kirk demande l'aide de Khan, lui assurant que c'est la seule chance que celui-ci aura de sauver son Ă©quipage.

Tous deux vont se lancer dans l'espace qui sĂ©pare les deux vaisseaux et aborder le Vengeance. L’Enterprise manƓuvre de façon Ă  placer un de ses sas face au Vengeance, et de son cĂŽtĂ© Scotty se met en place pour ouvrir manuellement un accĂšs. Kirk et Khan enfilent combinaisons spatiales et propulseurs et se lancent Ă  travers le champ de dĂ©bris. Pendant le vol, le casque de Kirk est frappĂ© par un Ă©clat, mettant hors service son affichage tĂȘte haute. Khan rencontre lui aussi un champ de dĂ©bris, mais il se rĂ©tablit et guide Kirk sur la bonne trajectoire jusqu'au sas. À l'intĂ©rieur du Vengeance, Scotty est apprĂ©hendĂ© par un agent de sĂ©curitĂ©, mais il parvient Ă  actionner le mĂ©canisme d'ouverture, expulsant le vigile et permettant Ă  Khan et Kirk de rentrer.

Spock demande à Uhura d'ouvrir une communication vers Nouvelle-Vulcain et contacte son alter ego plus ùgé. Il l'interroge sur Khan, lui demandant s'il l'a rencontré dans son propre univers. Bien qu'il ne souhaite pas intervenir dans le destin de son jeune homologue, le vieux Spock décide de faire une exception dans ce cas précis. Il révÚle que Khan Noonien Singh n'est autre que celui qui fut l'adversaire le plus dangereux jamais rencontré par l'équipage de "son" USS Enterprise. Il est brillant, impitoyable et n'hésitera pas à tuer tout le monde à bord. Il a été vaincu dans son univers, mais à un prix terrible.

Spock ordonne Ă  tout le personnel mĂ©dical de se rendre en salle des machines, et demande au Dr McCoy de commencer Ă  armer les torpilles. Au moment oĂč les systĂšmes offensifs du Vengeance se relancent, Kirk, Scotty et Khan atteignent la passerelle. Ils paralysent tout le monde sauf l'amiral Marcus et Carol. Scotty tire alors sur Khan et le sonne comme il en a reçu l'ordre. Kirk met l'amiral Marcus en Ă©tat d'arrestation et lui ordonne de sortir de son fauteuil, ne souhaitant pas l'en sortir de force devant sa fille. Cependant, le phaseur n'a pas eu autant d'effet sur Khan que Scotty et Kirk l'espĂ©raient et celui-ci se relĂšve et les attaque. Il brise la jambe de Carol, et tue l'amiral Marcus en lui broyant le crane, sous les yeux horrifiĂ©s de sa fille.

Khan appelle l’Enterprise et ordonne Ă  Spock de lui livrer les torpilles. Spock refuse, mais Khan lui fait remarquer qu'il peut les obtenir lui-mĂȘme en dĂ©sactivant simplement les systĂšmes de survie de l’Enterprise et de laisser tout son Ă©quipage suffoquer. Ses hommes Ă©tant cryogĂ©nisĂ©s, ils n'ont pas besoin de respirer. Spock finit par cĂ©der et aide Khan Ă  localiser les torpilles. Khan les tĂ©lĂ©porte en sĂ©curitĂ© Ă  bord du Vengeance, puis renvoie Kirk, Scotty, et Carol Marcus sur l’Enterprise avant de rouvrir le feu, affirmant qu'un capitaine devait couler avec son navire. À son insu cependant, Spock a fait armer les torpilles Ă  photons avant qu'elles ne soient tĂ©lĂ©portĂ©es. Elles explosent alors, endommageant gravement le Vengeance. Khan est pĂ©trifiĂ©, croyant avoir perdu son Ă©quipage. Mais le Dr McCoy rassure Kirk : Spock a ordonnĂ© que les cryotubes soient retirĂ©s, et ils sont en sĂ©curitĂ© Ă  l'infirmerie.

Les moteurs de l'Enterprise sont complĂštement hors service, l'alimentation principale est en panne et celle de secours gravement touchĂ©e. Le vaisseau, qui Ă©tait en orbite autour de la Terre, commence rapidement Ă  perdre de l'altitude. Spock ordonne Ă  tout le personnel d'abandonner le navire, mais l'Ă©quipage refuse, prĂȘt Ă  sombrer avec lui. Kirk et Scotty s'efforcent d'atteindre la salle des machines, un trajet rendu dĂ©licat par le vaisseau qui commence Ă  basculer sur lui-mĂȘme. Quand ils atteignent enfin la chambre du rĂ©acteur, ils dĂ©couvrent que les injecteurs sont hors d'Ă©tat. Kirk dĂ©cide de les rĂ©parer lui-mĂȘme. La chambre, cependant, est saturĂ©e de radiations mortelles. Scotty tente de l'en dissuader, mais Kirk l'assomme puis passe le sas. Il parvient Ă  remettre l'injecteur en place Ă  coups de pied et celui-ci se relance. Alors que le vaisseau pĂ©nĂštre dans l'atmosphĂšre, les rĂ©acteurs s'activent soudain et l’Enterprise se stabilise au-dessus des nuages. Les systĂšmes reviennent progressivement Ă  la normale. Quand il reprend connaissance, Scotty appelle Spock et lui demande de venir d'urgence en salle des machines. En arrivant, Spock se rend devant le sas de la chambre, contre lequel Kirk est couchĂ©. Tant que la chambre n'est pas dĂ©contaminĂ©e, il est impossible de l'ouvrir. Spock dit Ă  Kirk qu'il a sauvĂ© le vaisseau. Kirk fĂ©licite Spock pour s'ĂȘtre servi de ce que Khan voulait contre lui. Peu aprĂšs, Kirk meurt, gravement irradiĂ©.

Le Vengeance frĂŽle l’Enterprise alors que Khan le dirige Ă  toute vitesse s'Ă©craser sur le quartier gĂ©nĂ©ral de Starfleet. Le Vengeance rase Alcatraz et une partie la baie de San Francisco, nivelant tout sur son passage. De retour sur la passerelle, Spock ordonne Ă  Sulu et Chekov de localiser Khan, l'estimant tout Ă  fait capable de survivre Ă  l'accident. Les dĂ©tecteurs le retrouvent, mais il y a trop d'interfĂ©rences pour pouvoir le tĂ©lĂ©porter sur l’Enterprise. Spock dĂ©cide de faire le chemin inverse et se fait tĂ©lĂ©porter sur Terre pour l'intercepter. AprĂšs une course-poursuite, Spock rattrape Khan sur le toit d'un vĂ©hicule de secours. Khan parvient rapidement Ă  dĂ©sarmer Spock, et les deux hommes se lancent dans un corps-Ă -corps acrobatique; dans lequel Khan se rĂ©vĂšle supĂ©rieur au point de rĂ©sister Ă  la prise vulcaine. À l'infirmerie, le corps de Kirk repose sans vie, entourĂ© du Dr McCoy, de Carol Marcus et de Scotty. Le docteur se rend compte qu'un petit animal (un tribule) mort, sur lequel il avait testĂ© le sang de Khan, est revenu Ă  la vie. RĂ©alisant soudain quels effets a le sang gĂ©nĂ©tiquement amĂ©liorĂ©, il ordonne qu'un des membres d'Ă©quipage de Khan soit retirĂ© de son cryotube, maintenu en coma artificiel. Il place Kirk en hibernation de façon Ă  prĂ©server ses fonctions cĂ©rĂ©brales, mais il n'a pas plus de sang de Khan en stock : il a donc besoin que ce dernier soit ramenĂ© vivant. Spock, finalement aidĂ© par Uhura, parvient Ă  neutraliser Khan et Ă  le ramener Ă  bord. McCoy synthĂ©tise un sĂ©rum Ă  partir du sang de ce dernier pour guĂ©rir Kirk et le ramener Ă  la vie. Khan est cryogĂ©nisĂ© et rejoint son Ă©quipage, dont les cryotubes ont Ă©tĂ© entreposĂ©s dans un lieu inconnu.

Un an aprĂšs, l'Ă©quipage de l'Enterprise embarque pour une mission d'exploration de cinq ans, oĂč Kirk retrouve son fauteuil de capitaine. Le vaisseau passe en distorsion et disparaĂźt dans l'espace.

Fiche technique

Distribution


RĂŽles secondaires

Source et légende : version française (VF) sur AlloDoublage[9]

Production

GenĂšse du projet

En , Paramount Pictures est prĂȘt Ă  faire signer un contrat aux producteurs J. J. Abrams, Bryan Burk, Damon Lindelof, Alex Kurtzman et Roberto Orci pour une suite[10] Ă  Star Trek, alors mĂȘme que le film est encore en postproduction.

En 2011, Paramount approche J. J. Abrams pour tourner Star Trek 2 en 3D. Ce dernier accepte à la condition de tourner en format argentique[11] puis de faire une conversion 3D en post production[12]. Alors qu'il finit Super 8, Abrams s'attaque au projet de suite de Star Trek malgré un scénario encore au stade d'ébauche et repousse le film de six mois. Le titre Star Trek Into Darkness est officialisé en , puis le projet est de nouveau repoussé de six mois jusqu'à la mi-2013. Michael Giacchino confirme également son retour[13]. TrÚs peu d'informations filtrent durant le tournage.

Attribution des rĂŽles

Karl Urban, Zachary Quinto, J. J. Abrams et Chris Pine Ă  l'avant-premiĂšre australienne

.

L'actrice Alice Eve au San Diego Comic-Con 2011.

Les acteurs principaux du prĂ©cĂ©dent film (Chris Pine, Zachary Quinto, Karl Urban, ZoĂ« Saldaña, Simon Pegg, John Cho, Anton Yelchin) rempilent pour ce nouveau volet, de mĂȘme que Bruce Greenwood dans le rĂŽle de l'amiral Pike[14]. Peter Weller et Alice Eve sont confirmĂ©s pour les rĂŽles respectifs de l'amiral Marcus et sa fille, Carol. Auparavant, Hayley Atwell, Sophia Myles ou encore Teresa Palmer avaient auditionnĂ© pour le rĂŽle de Carol[15]. Par ailleurs, Peter Weller avait dĂ©jĂ  jouĂ© un antagoniste dans deux Ă©pisodes de Star Trek: Enterprise en 2005.

Le rĂŽle de John Harrison[2], a d'abord Ă©tĂ© proposĂ© Ă  Benicio del Toro[16], Ă  Édgar RamĂ­rez[17] ou encore Jordi MollĂ [18]. En janvier 2012, l'acteur Benedict Cumberbatch, rĂ©vĂ©lĂ© notamment par la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e Sherlock, est officiellement annoncĂ© dans le rĂŽle de l’antagoniste[19]. Selon J. J. Abrams : « PlutĂŽt que de vous livrer tout ce qui pourrait amoindrir le plaisir que vous aurez Ă  dĂ©couvrir le film, je prĂ©fĂšre vous dire que le personnage qu'incarne Benedict Cumberbatch apporte une puissance incroyable Ă  notre rĂ©cit [
] Les mĂ©chants — quand ils ne sont pas dĂ©clinĂ©s seulement sur deux dimensions, la vengeance et la colĂšre — ne se considĂšrent pas eux-mĂȘmes comme des mĂ©chants. Ils ont des motivations rationnelles. Donc, au sens formel, notre personnage de mĂ©chant a des notions de ce qui est bien et de ce qui est mal, et il considĂšre ĂȘtre du cĂŽtĂ© du bien[20] ». C'est Steven Spielberg, qui a collaborĂ© avec J. J. Abrams pour Super 8, qui a suggĂ©rĂ© d'engager Benedict Cumberbatch aprĂšs l'avoir dirigĂ© dans Cheval de guerre (2011)[15].

Leonard Nimoy incarne pour la derniÚre fois Spock, le temps d'un court échange avec son homologue jeune. Ce sera sa derniÚre apparition au cinéma avant son décÚs en 2015.

Tournage

Le tournage a duré cinq mois, de janvier à [21] dans les studios Paramount à Los Angeles. Plusieurs scÚnes ont été tournées au Laboratoire national Lawrence Livermore en Californie[22]. Trente minutes ont été tournées en IMAX[23]. Quelques plans ont été tournés en Islande[15].

Musique

Star Trek Into Darkness
Music from the Motion Picture

Albums de Michael Giacchino

Bandes originales de Star Trek

Michael Giacchino, fidÚle collaborateur de J. J. Abrams, revient pour la musique du film. Elle a été enregistrée en mars et au studio Sony Scoring Stage à Culver City en Californie[24]. La musique est interprétée par l'orchestre Hollywood Studio Symphony.

Liste des titres

Toute la musique est composée par Michael Giacchino.

No Titre Durée
1. Logos / Pranking the Natives 3:02
2. Spock Drops, Kirk Jumps 1:44
3. Sub Prime Directive 2:24
4. London Calling 2:10
5. Meld-Merized 2:41
6. The Kronos Wartet 5:26
7. Brigadoom 3:42
8. Ship to Ship 2:51
9. Earthbound and Down 2:38
10. Warp Core Values 2:57
11. Buying the Space Farm 3:18
12. The San Fran Hustle 5:01
13. Kirk Enterprises 3:01
14. Star Trek Main Theme 3:25
44:35

Accueil

Critique

Le film reçoit des critiques globalement positives mais est moins bien accueilli que son prĂ©dĂ©cesseur. Sur l'agrĂ©gateur amĂ©ricain Rotten Tomatoes, il rĂ©colte 84% d'opinions favorables pour 280 critiques et une note moyenne de 7,46⁄10[25]. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de 72⁄100 pour 43 critiques[26].

En France, l'accueil est Ă©galement plutĂŽt positif. Sur le site AllocinĂ©, qui recense 26 titres de presse, il obtient une note moyenne de 3,7⁄5[27]. Du cĂŽtĂ© des avis positifs, Vincent Malausa de Cahiers du cinĂ©ma Ă©crit notamment « Le souffle si particulier du cinĂ©ma d’Abrams vient peut-ĂȘtre de ce que rien n’y semble encore tout Ă  fait achevĂ©, que son Ă©nergie repose sur un principe d’exploration et de circulation qui empĂȘche l’auteur de s’affirmer pour laisser libre cours Ă  ses rĂȘves d’enfant surdoué – un pied dans la machine et la tĂȘte dans les Ă©toiles ». Dans Le Parisien, Alain Grasset Ă©crit quant Ă  lui « De l'action, des effets spĂ©ciaux impressionnants, un rythme trĂ©pidant, sans oublier des acteurs formidables (...) en font un spectaculaire divertissement ». Jacky Goldberg des Inrockuptibles Ă©crit « absolue luminositĂ© de ce Star Trek qui ne vise, esthĂ©tiquement, politiquement, qu’à extraire ses personnages de l’ombre dans laquelle ils sont plongĂ©s, Ă  l’image d’un pays lassĂ© par une dĂ©cennie de guerre ». Dans Mad Movies, CĂ©dric DelelĂ©e Ă©crit quant Ă  lui « rĂ©ussite fracassante, Star Trek Into Darkness prouve enfin qu'Abrams possĂšde l'Ă©toffe d'un vĂ©ritable cinĂ©aste, et offre Ă  la saga son plus beau chapitre depuis trente ans ». Pierre Eisenreich de la revue Positif met en avant le travail de J. J. Abrams qui « fait Ă  nouveau preuve d'une maĂźtrise exceptionnelle du rĂ©cit tout en prodiguant une grande beautĂ© aux scĂšnes d'action », tout comme StĂ©phanie BelpĂȘche du JDD pour qui « J.J. Abrams dĂ©poussiĂšre la mythologie en lui insufflant des enjeux passionnants et une Ă©nergie galvanisante »[27].

Certains journalistes écrivent des critiques négatives sur le film, tout comme Frédéric Foubert du magazine PremiÚre qui écrit « pas de souffle, zéro vision et, à l'arrivée, un ennui profond ». Vincent Avenel du site Critikat.com écrit quant à lui que le film « commet toutes les erreurs que le premier épisode avait su éviter »[27].

Box-office

Pour son premier week-end d'exploitation, le film engrange prĂšs de 70 000 000 de dollars de recettes[28].

Pays ou rĂ©gion Box-office Date d'arrĂȘt du box-office Nombre de semaines
Drapeau des États-Unis États-Unis
Drapeau du Canada Canada
228 261 000 $[29] [30] 17[30]
Drapeau de la France France 879 931 entrĂ©es[31]
Monde Total mondial 462 261 000 $[29]

Distinctions

Nominations

Analyse

La sĂ©quence d’ouverture expose les personnages en pleine action, Ă  la fin du troisiĂšme acte d'un film que le spectateur n'aurait pas encore vu. Fin , lors de l'avant-premiĂšre parisienne, J. J. Abrams explique « L'idĂ©e Ă©tait de dĂ©buter comme dans un James Bond [
] Le but est ici d'exposer la dynamique entre les personnages, comme dans un serial du samedi soir[32] ».

Clins d’Ɠil

  • Lorsque Montgomery Scott essaie d'ouvrir la porte du vaisseau de l'amiral Marcus pour que Kirk et Khan y pĂ©nĂštrent, le garde lui demande de montrer son autre main. Il s'agit d'un clin d'Ɠil Ă  l'interprĂšte original de Scotty, James Doohan, qui montrait rarement l'une de ses mains Ă  l'Ă©cran dans la sĂ©rie originale, car il avait perdu un doigt lors du dĂ©barquement en 1944. Par ailleurs, son fils Christopher Doohan, fait un camĂ©o dans le film dans le rĂŽle d'un officier aux cĂŽtĂ©s de Scotty[15].
  • Dans le film, on peut entendre qu'un vaisseau est nommĂ© USS Bradbury. Il s'agit d'un hommage Ă  l'auteur de science-fiction Ray Bradbury, dĂ©cĂ©dĂ© en [15].
  • Durant la sĂ©quence d'ouverture, McCoy lance « Shut up, Spock, we're trying to save you, damn it! », une phrase trĂšs similaire Ă  celle prononcĂ©e par McCoy dans l'Ă©pisode Amibe de la sĂ©rie originale : « Shut up, Spock! We're rescuing you! »[15].
  • La scĂšne oĂč Kirk, irradiĂ©, parle une derniĂšre fois Ă  Spock fait Ă©cho Ă  une scĂšne similaire de Star Trek 2 : La ColĂšre de Khan (1982)., mais en inversant les rĂŽles. Au moment oĂč Kirk meurt, Spock hurle le nom de Khan, Ă  la maniĂšre de Kirk, Ă©galement dans Star Trek 2 : La ColĂšre de Khan (1982).
  • Quand Kirk est malade, un Ă©cran indique une note du Dr. Boyce. C'est le nom du docteur du vaisseau dans le premier Ă©pisode pilote de la sĂ©rie Star Trek, La Cage[15].

Notes et références

  1. http://www.startreklefilm.ca
  2. (en) « Star Trek Into Darkness Villain Spoiler », sur trektoday.com (consulté le ).
  3. « Composer Michael Giacchino Confirms Return For Star Trek Sequel (trekmovie.com »
  4. Âč
  5. « Peter Weller to co-star in 'Star Trek' sequel (http://www.variety.com »
  6. "Star Trek Into Darkness" : une photo et deux infos ! - AlloCiné
  7. « Joseph Gatt rejoint STAR TREK 2 (http://www.cinemateaser.com »
  8. « cineheroes.net/lactrice-de-24-
 »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
  9. « Fiche de doublage VF du film » sur AlloDoublage, consulté le 4 juin 2013
  10. (en) Paramount Already Thinking About Sequel To Abrams Star Trek - 4 juin 2008, TrekMovie.com
  11. « J. J. Abrams explique le 18 janvier 2013 qu'il a accepté de diriger Star Trek 2 sous réserve de le filmer sur film argentique », sur Collider.com
  12. (en) « J.J. Abrams Says STAR TREK Sequel Will Shoot in 2D and Possibly IMAX; Will Post-Convert to 3D », sur Collider, (consulté le ).
  13. (en) « STAR TREK 2 Set for Release in 3D on May 17th, 2013; Michael Giacchino Confirmed to Return as Composer », sur Collider, (consulté le ).
  14. Bruce Greenwood Comments on STAR TREK 'Family' - comicbookmovie
  15. (en) Trivia sur l’Internet Movie Database
  16. Benicio del Toro ne jouera pas dans "Star Trek 2" - AlloCiné
  17. Edgar Ramirez dans "Star Trek 2" ? - AlloCiné
  18. Star Trek 2 : Edgar Ramirez et Jordi Molla en lice pour le rÎle du méchant - PremiÚre.fr
  19. "Star Trek 2" : Sherlock en grand méchant ! - AlloCiné
  20. Star Trek: Into Darkness : J.J. Abrans nous invite à profiter de son super méchant, Cinemovies.fr.
  21. « Star Trek Sequel Begins Shooting + Exclusive Production Details (trekmovie.com »
  22. Yves Raducka, « Star Trek Into Darkness : La critique détaillée »
  23. (en) Etan Vlessing, « Imax to Release 'Star Trek Into Darkness' in 3D Early May 15 », sur hollywoodreporter.com, (consulté le ).
  24. (en) Music by Michael Giacchino – Photos – Star Trek Into Darkness - MichaelGiacchinoMusic.com
  25. (en) « Star Trek Into Darkness (2009) », sur Rotten Tomatoes, Fandango Media (consulté le )
  26. (en) « Star Trek Into Darkness Reviews », sur Metacritic, CBS Interactive (consulté le )
  27. Critiques presse - Allociné
  28. Box Office US : Star Trek Into Darkness déboule Iron Man 3 - AlloCiné
  29. (en) « Star Trek Into Darkness », sur Box Office Mojo (consulté le )
  30. (en) « Star Trek Into Darkness - weekly », sur Box Office Mojo (consulté le )
  31. « Box-office Star Trek Into Darkness », sur JP box-office (consulté le )
  32. http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18623696.html Star Trek Into Darkness : le compte-rendu de la masterclass de J. J. Abrams !] - Allociné

Liens externes

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