Super 8 (film)
Super 8 est un film de science-fiction américain écrit, produit et réalisé par J. J. Abrams et sorti en 2011. Il est également coproduit par Steven Spielberg. Ce film a servi de film d'ouverture au Festival international du film de Locarno en 2011.
Titre original | Super 8 |
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RĂ©alisation | J. J. Abrams |
Scénario | J. J. Abrams |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Bad Robot Productions Amblin Entertainment Paramount Pictures |
Pays de production | Ătats-Unis |
Genre | Science-fiction |
Durée | 112 minutes |
Sortie | 2011 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Synopsis
, à Lillian, dans l'Ohio. Joseph « Joe » Lamb perd tragiquement sa mÚre, Elizabeth, dans un accident à la fonderie de la ville. à la suite de cette disparition brutale, les relations entre le garçon et son pÚre Jackson, le shérif-adjoint de la ville, deviennent tendues.
Quatre mois plus tard. Alors que Joe et ses amis Charles, Preston, Martin, Cary et Alice Dainard tournent un film d'horreur amateur en Super 8, le groupe est tĂ©moin du dĂ©raillement spectaculaire d'un train militaire causĂ© par une camionnette. Arrivant sur les lieux de l'accident, le groupe dĂ©couvre d'Ă©tranges cubes blancs, ainsi que leur professeur de biologie, le docteur Woodward, au volant du vĂ©hicule, qui leur intime de ne pas rĂ©vĂ©ler leur prĂ©sence sur ces lieux sous peine de danger de mort. Au mĂȘme moment, des militaires dirigĂ©s par le colonel Nelec arrivent sur les lieux, mais les jeunes s'enfuient et dĂ©cident de ne rien dire Ă leurs parents.
Dans les jours qui suivent, une force invisible se met à rÎder dans la ville, faisant disparaßtre des habitants, des animaux, ainsi que des appareils électriques, effrayant les habitants. AprÚs la volatilisation du shérif, le pÚre de Joe prend le commandement de la brigade et essaye de percer le mystÚre qui entoure l'accident du train. Jack découvre bientÎt sur une fréquence militaire que le colonel Nelec est sur le point de déclencher l'opération Courte-Distance. Nelec déploie bientÎt son armée dans toute la ville, aprÚs avoir achevé le docteur Woodward, à la suite d'un interrogatoire infructueux.
Le tournage du film continue et Charles devient jaloux de la relation entre Joe et Alice qui semblent Ă©prouver chacun les mĂȘmes sentiments. Cette derniĂšre est un soir chassĂ©e de chez elle par son pĂšre Louis, un alcoolique imbu de lui-mĂȘme et incapable de se gĂ©rer correctement et responsable â malgrĂ© lui â de la mort d'Elizabeth Lamb. Mais alors qu'elle fuit sur son vĂ©lo, Alice est capturĂ©e Ă son tour. Le lendemain, Charles et Joe dĂ©couvrent que la camĂ©ra tombĂ©e Ă terre lors de l'accident du train a filmĂ© une crĂ©ature gigantesque s'Ă©chappant d'un wagon retournĂ©. Au mĂȘme moment, l'armĂ©e provoque un gigantesque incendie dans le but de faire Ă©vacuer la ville tout entiĂšre.
Joe retrouve le pĂšre d'Alice qui lui dit qu'une crĂ©ature a enlevĂ© sa fille. Joe, Charles, Cary et Martin retournent alors en ville en cachette et se dirigent vers leur lycĂ©e, oĂč ils enquĂȘtent sur le Dr Woodward. Dans les journaux, films et enregistrements audio trouvĂ©s, ils dĂ©couvrent que le gouvernement a cachĂ© l'existence d'un extraterrestre qui s'est Ă©crasĂ© sur Terre en 1958. La crĂ©ature souhaitait reconstruire son vaisseau en utilisant les cubes blancs et retourner chez elle, mais elle avait Ă©tĂ© capturĂ©e par l'armĂ©e de l'air sous les ordres de Nelec. En l'Ă©tudiant, Woodward avait dĂ©veloppĂ© une liaison tĂ©lĂ©pathique avec la crĂ©ature qui lui fit comprendre qu'elle souhaitait juste rentrer chez elle sans prĂ©senter un rĂ©el danger pour les humains (son attitude agressive n'Ă©tant en fait que de la dĂ©fense). Lorsqu'il apprit que cette derniĂšre allait ĂȘtre dĂ©placĂ©e d'une base militaire Ă une autre, Woodward espĂ©rait pouvoir la sauver en entrant en collision avec le train.
Alors que Jack s'enfuit de la base avec le pĂšre d'Alice, Nelec et son Ă©quipe capturent les garçons pour les ramener Ă bord d'un bus. Mais en route ils sont attaquĂ©s puis tuĂ©s par le monstre, Ă lâexception des jeunes qui s'Ă©chappent. Joe et Cary partent alors Ă la recherche d'Alice prĂšs du cimetiĂšre, dans une gigantesque galerie souterraine oĂč ils dĂ©couvrent le repaire de l'extraterrestre. Ce dernier a entreposĂ© le matĂ©riel volĂ© pour crĂ©er un Ă©lectro-aimant juste sous le chĂąteau d'eau. Joe rĂ©ussit Ă sauver Alice et convainc la crĂ©ature de les laisser partir. Entre-temps, l'armĂ©e, dĂ©ployĂ©e en masse dans la ville, subit les effets de lâaimant extraterrestre, l'empĂȘchant de rĂ©pliquer face Ă l'alien. Peu aprĂšs, l'aimant gĂ©ant attire tous les cubes blancs qui commencent Ă s'aligner pour prendre la forme d'un vaisseau spatial. Alors que Jack et Louis retrouvent leurs enfants, ils regardent l'engin disparaĂźtre vers les Ă©toilesâŠ
Pendant le générique de fin, le film complet, The Case, est présenté avec un épilogue mettant en vedette Charles plaidant devant les juges du Festival pour sélectionner son film.
Fiche technique
- Titre français et original : Super 8
- RĂ©alisation : J. J. Abrams
- PremiĂšre assistante : Tommy Gormley
- Secondes assistantes : Lynn Struiksma et Ian Calip
- Scénario : J. J. Abrams
- DĂ©cors : Martin Whist
- Costumes : Ha Nguyen
- Photographie : Larry Fong
- Montage : Maryann Brandon et Mary Jo Markey
- Montage du son : Matthew Wood
- Effet sonore : Ben Burtt
- Musique : Michael Giacchino
- Supervision musicale : George Drakoulias
- Casting : April Webster et Alyssa Weisberg
- Direction artistique : David Scott et Domenic Silvestri
- Production : J. J. Abrams, Steven Spielberg et Bryan Burk
- Production exécutive : Guy Riedel
- Productions associées : Udi Nedivi et Ben Rosenblatt
- Sociétés de production : Paramount Pictures, Amblin Entertainment et Bad Robot Productions
- Sociétés de distribution :
- Sociétés des effets spéciaux : Evil Eye Pictures, Industrial Light & Magic et Scanline VFX
- Supervision des effets spéciaux : Steve Riley
- Supervision des effets visuels : Russell Earl, Kim Libreri (ILM), Daniel P. Rosen (Evil Eye Pictures) et Stephan Trojansky (Scanline VFX)
- Format : Couleur â 2.35 : 1 âą 35 mm â SDDS âą DTS âą Dolby Digital
- Budget : 50 000 000 de dollars
- Pays dâorigine : Ătats-Unis
- Langue originale : anglais
- Genre : Science-fiction
- Dates de sortie :
- Ătats-Unis / Canada :
- Belgique :
- France / Suisse :
- Durée : 112 minutes
- Interdictions :
- France : film tous publics lors de sa sortie en salles.
Sauf indication contraire ou complĂ©mentaire, les informations mentionnĂ©es dans cette section peuvent ĂȘtre confirmĂ©es par la base de donnĂ©es IMDb.
Distribution
- Joel Courtney (VF : Gabriel Bismuth-Bienaimé ; VQ : Charles Sirard Blouin) : Joseph « Joe » Lamb
- Elle Fanning (VF : Claire Bouanich ; VQ : Laurie Mastropietro) : Alice Dainard
- Kyle Chandler (VF : Emmanuel Curtil ; VQ : Daniel Picard) : Jackson « Jack » Lamb
- Riley Griffiths (en) (VF : Martin Faliu ; VQ : Damien Muller) : Charles Kaznyk
- Ryan Lee (en) (VF : Antoine Fonck ; VQ : Vassili Schneider) : Cary
- Ron Eldard (VF : Jérémie Covillault ; VQ : Pierre Auger) : Louis Dainard
- Noah Emmerich (VF : Lionel Tua ; VQ : BenoĂźt Rousseau) : Colonel Nelec
- Michael Hitchcock (VF : Patrick Osmond) : Rosko, un shérif-adjoint
- Gabriel Basso (VF : Brice Ournac ; VQ : Alexandre Bacon) : Martin
- Amanda Michalka (VF : Camille Donda ; VQ : Kim Jalabert) : Jennifer « Jen » Kaznyk
- Zach Mills (en) (VF : Pierre Casanova ; VQ : Gabriel Turbide) : Preston
- Glynn Turman (VF : Peter King ; VQ : Denis Mercier) : le Dr Woodward
- Dan Castellaneta (VF : Patrick Préjean) : Izzy, le concessionnaire automobile
- David Gallagher (VF : Fabrice Trojani ; VQ : Gabriel Lessard) : Donny
- Beau Knapp (VF : Charles Germain) : Breen
- Anthony Shell (VF : Patrick Cohen) : Policier
- Jessica Tuck (VF : Véronique Borgias ; VQ : Valérie Gagné) : Mme Kaznyk
- Joel McKinnon Miller (VQ : Denis Gravereaux) : M. Kaznyk
- Andrew Miller et Jakob Miller : les jumeaux Kaznyk
- Jade Griffiths : Benji Kaznyk
- Britt Flatmo : Peg Kaznyk
- Richard T. Jones (VF : Frantz Confiac ; VQ : Patrick Chouinard) : Overmyer
- Amanda Foreman : Lydia Connors, présentatrice du journal de Channel 14
- Brett Rice (en) (VF : Richard Leblond) : le shérif Pruitt
- Michael Giacchino : Crawford, un shérif-adjoint
- Jack Axelrod (VF : GĂ©rard Surugue) : M. Blakely
- Bruce Greenwood : Cooper[1]
- Tim Griffin : un commando
- Caitriona Balfe : Elizabeth Lamb
- Dale Dickey : Edie
- Source et légende : version française (VF) sur Voxofilm[2]
Source et légende : version québécoise (VQ) sur Doublage.qc.ca[3]
Production
DĂ©veloppement
Super 8 est un film rendant hommage au cinéma fantastique des années 1980, plus spécialement à celui de Steven Spielberg avec des références évidentes à E.T. l'extra-terrestre, Rencontres du troisiÚme type ou encore Les Goonies. Comme le personnage héroïque du film Joe, Steven Spielberg a tourné des films en Super 8 à l'ùge de douze ans et l'une de ses scÚnes favorites était une catastrophe ferroviaire filmée avec un train électrique. Bien des années plus tard, c'est aux jeunes d'une quinzaine d'années J. J. Abrams et Matt Reeves qu'il confie la restauration de ses films Super 8[4] - [5].
AprÚs le succÚs de son film Star Trek, J. J. Abrams collabore avec Spielberg sur le scénario de Super 8, au début présenté par la presse comme étant rattaché à Cloverfield (ce que J. J. Abrams démentit). Super 8 est le premier film produit par Amblin Entertainment, Bad Robot Productions et Paramount Pictures.
La premiĂšre bande-annonce est dĂ©voilĂ©e en et dĂ©clenche un vĂ©ritable jeu en rĂ©alitĂ© alternĂ©e (ou ARG) lorsqu'une phrase cachĂ©e dans la vidĂ©o (Scariest Thing I Ever Saw), mĂšne les internautes Ă un site web contenant des indices sur l'intrigue du film[6]. Un autre site viral Poppeteers Rocket est Ă©galement mis en ligne en mĂȘme temps que le site officiel. En , le jeu vidĂ©o Portal 2 contenait Ă©galement un niveau plaçant le joueur Ă bord du train militaire aprĂšs le dĂ©raillement [7].
C'est l'artiste Neville Page, qui a déjà travaillé sur Avatar, Star Trek ou encore Green Lantern qui s'est occupé du design de la créature nommée Cooper durant la production[8].
Tournage
Avec un budget de 50 000 000 de dollars, le tournage a dĂ©butĂ© le [9] et s'est dĂ©roulĂ© principalement Ă Weirton dans lâĂtat de Virginie-Occidentale et en studios Ă Los Angeles en Californie[10]. Weirton a Ă©tĂ© choisie en raison de son style trĂšs similaire Ă une ville sidĂ©rurgique des annĂ©es 1970[5]. De nombreux habitants non professionnels ont Ă©tĂ© engagĂ©s pour de petits rĂŽles dans le film, notamment dans la scĂšne dans laquelle les habitants se plaignent au shĂ©rif-adjoint[5].
Musique
Sortie | |
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Enregistré |
2011 |
Durée | 69:84 |
Genre | Musique classique |
Label | VarĂšse Sarabande |
Critique |
La musique est composée par le compositeur Michael Giacchino, ami de J. J. Abrams depuis plusieurs années grùce à leurs sept collaborations précédentes (Star Trek, Mission impossible 3, Fringe, Cloverfield, Alias, Six Degrees, Lost : Les Disparus). Il s'inspire entre autres de thÚmes musicaux des années 1970.
Chaque thĂšme du film reprend la mĂȘme mĂ©lodie de base, mais Ă quelques notes prĂšs, car chacune a un dĂ©veloppement diffĂ©rent. La musique est souvent oppressante, mais obtient quelques variations joyeuses, en rapport avec Joe, Alice, etc.
Le piano y est omniprésent, et la majorité des instruments choisis est en rapport avec les personnages et l'histoire. La musique occupe une place majeure dans le film.
Des chansons des années 1970 sont également utilisées pour quelques scÚnes du film comme le grand succÚs de The Knack My Sharona, qui sert aussi de générique de fin.
- Don't Bring Me Down d'Electric Light Orchestra
- Match Game Opening Theme de Robert Israël
- Easy de The Commodores
- My Sharona de The Knack
- Bye Bye Love de The Cars
- Silly Love Songs de Wings
- Heart of Glass de Blondie
- Musique du cartoon High Diving Hare de Carl W. Stalling
- Undercover Angel d'Alan O'Day
- Le Freak de Chic
On pourrait aussi faire un clin dâĆil, Ă la vision qu'ont certains adultes envers les lecteurs MP3 de nos jours, au baladeur Ă cassette ; lors d'une scĂšne du film, le shĂ©rif dit au jeune homme travaillant dans la station essence qui Ă©coute de la musique sur un baladeur : « Chacun sa propre musique dans ses oreilles ?! On est sur la mauvaise pente. »
Clins d'Ćil et rĂ©fĂ©rences
- La ville du film, Lillian, a été nommée en hommage à la grand-mÚre de J. J. Abrams[12].
- La station essence s'appelle Kelvin Gasoline, en référence au grand-pÚre de J. J. Abrams nommé Kelvin. Le réalisateur a déjà utilisé ce nom dans plusieurs de ses projets précédents : comme le personnage Kelvin Inman dans Lost : Les Disparus ou le vaisseau spatial USS Kelvin dans Star Trek[12]. Toujours dans la scÚne de la station essence, on peut apercevoir briÚvement un logo de Slusho, qui était le faux titre et un élément du marketing viral autour de Cloverfield, produit par J. J. Abrams en 2008[12]. La société de stations essence Kelvin sera plus tard visible au début de The Cloverfield Paradox.
- Quand le shĂ©rif-adjoint parle Ă son fils Joe au restaurant, il lui dit « J'ai rien contre tes copains, tu le sais. Je les aime bien tes copains. Sauf Cary qui se fait un devoir de mettre le feu Ă tout ce qu'il voit ! » (en anglais : « I got nothing against your friends, I like your friends. Except for Cary, who can't seem to stop lighting things on fire. »). Cela fait rĂ©fĂ©rence au roman Carrie de Stephen King, oĂč Carrie White fait exploser un lycĂ©e et une station service par tĂ©lĂ©kinĂ©sie. De plus, Carrie est le roman prĂ©fĂ©rĂ© de Juliet Burke dans Lost : Les Disparus[12].
- Le film contient plusieurs clins dâĆil au rĂ©alisateur de films de zombies George A. Romero : dans le film The Case tournĂ© par les enfants, Romero Chemicals est une entreprise responsable de l'infection zombie ; l'un des enfants, Charles, possĂšde une affiche de l'un de ses films dans sa chambre[12].
- Le réalisateur J. J. Abrams fait un caméo : lors de l'évacuation de la ville, il joue le militaire sortant de la jeep (à 01:08:15 de film)[12].
- à la fin du film, on peut voir briÚvement l'enseigne d'une taverne appelée James Locke. Cela renvoie aux personnages de James Ford et John Locke dans Lost : Les Disparus. Par ailleurs, un acteur nommé James Locke a joué dans un épisode de la série télévisée[12].
- On peut voir la bicyclette du film E.T. l'extra-terrestre « collée » parmi d'autres objets métalliques au chùteau d'eau[12].
- Dans le jeu Portal 2 de Valve, on peut « essayer » un trailer interactif du film dans la partie Extra, au moment de l'accident du train.
- Lorsque Joe est en train de maquiller Alice en mort-vivant (autour de 00:39 de film), cette derniĂšre lui demande oĂč il a appris Ă maquiller pour les films, il lui rĂ©pond « Dans le livre de Dick Smith sur le maquillage de monstre » : ce livre de Dick Smith, Dick Smith's Do-It-Yourself Monster Make-Up Handbook, a Ă©tĂ© publiĂ© en 1985, alors que le film est censĂ© se dĂ©rouler en 1979[13].
Distinctions principales
Sauf indication contraire ou complĂ©mentaire, les informations mentionnĂ©es dans cette section peuvent ĂȘtre confirmĂ©es par la base de donnĂ©es IMDb.
- Hollywood Film Festival 2011
- Spotlight Award pour Elle Fanning
- Satellite Awards 2012
- Nomination au Satellite Award de la meilleure actrice dans un second rĂŽle pour Elle Fanning
- Phoenix Film Critics Society Awards 2011
- Meilleur casting pour l'ensemble des acteurs et actrice du film
- Nomination pour la Meilleure révélation pour Elle Fanning
- Golden Reel Awards 2012
- Meilleur montage son de dialogues et doublage d'un long-métrage
- Critics' Choice Movie Awards 2012
- Nomination au Critics' Choice Movie Award du meilleur film d'action
- Nomination au Critics' Choice Movie Award du meilleur son
- Nomination au Critics' Choice Movie Award des meilleurs effets visuels
- Nomination au Critics' Choice Movie Award du meilleur espoir pour Elle Fanning
- Saturn Awards 2012
- Saturn Award de la meilleure réalisation pour J. J. Abrams
- Saturn Award de la meilleure musique pour Michael Giacchino
- Saturn Award du meilleur jeune acteur pour Joel Courtney
- Nomination au Saturn Award du meilleur film de science-fiction
- Nomination au Saturn Award du meilleur scénario pour J. J. Abrams
- Nomination au Saturn Award du meilleur montage pour Mary Jo Markey et Maryann Brandon
- Nomination au Saturn Award du meilleur jeune acteur pour Elle Fanning
Sortie
Accueil
Sur le site Rotten Tomatoes, le film a reçu des critiques majoritairement favorables, avec une note moyenne de 7,4â10 et 82 % d'avis favorables basĂ©es sur 266 critiques. Le site le rĂ©sume en indiquant que le film « Peut Ă©voquer des souvenirs d'Ă©tĂ© classique des blockbusters avec un peu trop d'empressement pour certains, mais Super 8 a des sensations visuelles, Ă©blouissantes, et de la profondeur Ă©motionnelle Ă Ă©pargner. »[14]
AllocinĂ© dĂ©montre que le film a reçu une note de 3,8â5 basĂ©e sur vingt-trois critiques de presse, et une bonne moyenne de 3,6â5 par les spectateurs.
Quant Ă lâIMDb, il a obtenu une moyenne de 7,1â10 obtenu sur une moyenne de 174 881 utilisateurs.
Sur Metacritic, il obtient le «metascore» de 72â100 basĂ©es sur 41 critiques et de 7,3â10 par les utilisateurs basĂ©es sur 608 utilisateurs[15].
Enfin le film est classé parmi les dix meilleurs films de l'année par les Cahiers du cinéma[16], qui lui consacrent une couverture en .
Notes et références
- Bruce Greenwood est l'acteur qui a interprété la créature lors des séances de capture de mouvement. Comme celle-ci était surnommée « Cooper » pendant le tournage, l'acteur a été crédité de ce nom au générique (source : IMDB)
- « Fiche de doublage français », sur Voxofilm (consulté le )
- « Carton de doublage québécois », sur Doublage Québec (consulté le )
- Fabrice Leclerc, « Super 8, les références à Spielberg décryptées », sur L'Express, Studio Ciné Live,
- Bonus du blu-ray de Super 8.
- « Super 8 : le marketing viral ne fait que commencer », sur PremiÚre.fr,
- « Portal 2 : Un trailer interactif pour « Super 8 » », sur HDnumerique.com,
- (en) « Creature Designer Neville Page Talks Super 8, Prometheus and More! », sur Dreadcentral.com,
- (en) Box office / business for Super 8 sur lâInternet Movie Database
- (en) Locations for Super 8 sur lâInternet Movie Database
- (en) Critique de la bande originale - AllMusic.com
- (en) Anecdotes sur lâInternet Movie Database
- (en) « Dick Smith's Do-It-Yourself Monster Make-Up Handbook », sur Goodreads (consulté le )
- (en) « Super 8 », sur Rotten Tomatoes
- (en) « Super 8 », sur Metacritic
- Cahiers du cinéma, no 673, décembre 2011
- (en) « Super 8 », sur Box Office Mojo (consulté le )
Liens externes
- Ressources relatives Ă l'audiovisuel :
- Allociné
- Centre national du cinéma et de l'image animée
- Ciné-Ressources
- CinémathÚque québécoise
- (en) AllMovie
- (pl) Filmweb.pl
- (en) IMDb
- (en) LUMIERE
- (en) Movie Review Query Engine
- (de) OFDb
- (en) Rotten Tomatoes
- (mul) The Movie Database