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Bronchopneumopathie chronique obstructive

La bronchopneumopathie chronique obstructive, abrégée BPCO, est un groupe de maladies chroniques systémiques respiratoires, affectant souvent les bronches puis les poumons. Au Canada, la maladie est aussi appelée maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC)[1].

Bronchopneumopathie chronique obstructive
Description de cette image, également commentée ci-après
Différence entre un poumon sain et un poumon atteint de BPCO (en bas)

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Sa prĂ©valence est difficile Ă  estimer Ă  cause du sous-diagnostic, mais elle constitue la troisième cause de dĂ©cès dans le monde avec 3,23 millions de dĂ©cès en 2019, touchant pour 80 % des pays peu ou moyennement dĂ©veloppĂ©s[2]. En France, cette pathologie aurait fortement augmentĂ© depuis quelques dĂ©cennies (probablement pour partie en lien avec le vieillissement de la population, le tabagisme et la pollution de l'air[3]). C'est l'une des causes possibles de la mort subite de l'adulte[4].

80 % des cas de BPCO seraient imputables au tabac[5].

DĂ©finition

Au niveau respiratoire, la BPCO est caractérisée par une obstruction lente et progressive des voies aériennes et des poumons, associée à une distension permanente des alvéoles pulmonaires avec destruction des parois alvéolaires. La BPCO est caractérisée par la diminution non complètement réversible des débits expiratoires[6] - [7] - [8]. Elle est classiquement associée à la bronchite chronique et à l'emphysème pulmonaire[9] - [10].

On soupçonne que l'inflammation chronique des poumons entraîne les dysfonctionnements constatés au niveau musculaire. Chez le patient atteint de BPCO, le métabolisme anaérobie se retrouve préférentiellement sollicité, au détriment du métabolisme aérobie. La surutilisation de cette filière énergétique entraîne une hyperlactatémie et une acidose chronique. Par effet de rétrocontrôle, l'hyperlactatémie va déclencher une augmentation de la fréquence respiratoire et une aggravation de la dyspnée. L'entretien et la restauration du fonctionnement du métabolisme aérobie apparaît aujourd'hui comme un enjeu majeur de réadaptation en faveur de la qualité de vie des patients souffrant de BPCO.

Les causes principales de cette maladie sont le tabagisme (cause la mieux documentée)[6] et d'autres formes de pollution de l'air[11] « la fraction de risque attribuable aux expositions professionnelles » était évaluée par des épidémiologistes entre 15 et 20 %[11]. La pollution de l'air est aussi un facteur aggravant, et il semblerait que notre modèle de production (brûlage d'hydrocarbures, pesticides, pollutions de l'eau, diffusion de méthane en masse provoquant l'effet de serre, etc.) n'aille pas dans un sens où les BPCO pourraient diminuer[12]. Des différences et similitudes existent entre les BPCO d'origine tabagique et professionnelles[13].

Synonymes

  • broncho-pneumopathie obstructive ;
  • broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO).

Diagnostic

Le diagnostic précis est basé sur les valeurs d'une épreuve fonctionnelle respiratoire qui quantifie l'obstruction à l'expiration. Cependant, les valeurs considérées comme seuils en deçà desquelles on parle de BPCO varient légèrement d'un pays à l'autre ce qui complique les comparaisons et statistiques épidémiologiques mondiales.

Bien que la BPCO soit un véritable enjeu de santé publique[14], au début du XXIe siècle, cette exploration reste loin d'être systématique, entraînant le non-diagnostic d'une proportion importante de patients (ex : 40 à 50 % des cas en Grande-Bretagne[15]).

Des chercheurs espèrent pouvoir bientĂ´t dĂ©tecter dans l'air expirĂ© des « marqueurs Â» permettant de mieux diagnostiquer cette maladie et en suivre l'Ă©volution sans avoir Ă  utiliser de techniques invasives (tel que le lavage bronchoalvĂ©olaire) ou des appareils coĂ»teux et sophistiquĂ©s comme cela est souvent nĂ©cessaire aujourd'hui[16] - [17].

Épidémiologie

Prévalence : Il est estimé que la bronchopneumopathie chronique obstructive atteint surtout les adultes de plus de 40 ans et sa fréquence augmente avec l'âge.

La BPCO serait la cinquième cause de mortalité dans le monde, après l'infarctus, les accidents vasculaires cérébraux, les infections respiratoires communautaires et la tuberculose.

MortalitĂ© par BPCO : elle a augmentĂ© de 47 % entre 1979 et 1993 aux États-Unis et a doublĂ© chez la femme entre 1980 et 1995 au Canada. La BPCO est en augmentation constante depuis 20 ans avec plus de 44 millions de malades dans le monde, soit 4 Ă  10 % de la population adulte[18]. Elle atteindrait près de 10 % de la population adulte des pays occidentaux[19].

L'Organisation Mondiale de la SantĂ© (OMS) estime Ă  2,7 millions le nombre de morts dus Ă  la BPCO en 2000 dans le monde. Elle prĂ©voit qu'en 2020, cette affection sera la troisième cause de mortalitĂ© par maladie dans le monde en raison du tabagisme, notamment celui des femmes.

Épidémiologie en France

La BPCO est la 3e cause de mortalitĂ© dans le monde[20]. Elle a entraĂ®nĂ© 3,23 millions de dĂ©cès en 2019, soit 6 Ă  8 % de la population adulte (5 Ă  10 % des plus de 45 ans). 100 000 personnes sont au stade de l'insuffisance respiratoire chronique. Au dĂ©but des annĂ©es 2000 la BPCO Ă©tait responsable ou liĂ©e Ă  au moins 15 000 dĂ©cès par an[21]. En 1993, 20 % des patients atteints de BPCO Ă©taient des femmes. Aujourd'hui, les femmes constituent 40 Ă  45 % des malades, probablement car elles sont de plus en plus nombreuses Ă  fumer. Actuellement, 30 % des Françaises fument.

Causes

  • Tabac ; le tabagisme est la principale cause de la bronchopneumopathie chronique obstructive. A lui seul il est responsable de 80 % des cas de cette maladie[6]. Le tabagisme passif (l'une des causes frĂ©quentes de pollution de l'air intĂ©rieur) augmente Ă©galement les risques de dĂ©velopper la maladie ;
  • GĂ©nĂ©tique : Une dĂ©ficience en alpha 1-antitrypsine, d'origine gĂ©nĂ©tique, peut aussi ĂŞtre une cause d'emphysème mais elle est rare (moins de 1 % des cas) ;
  • Asthme : Un asthme (chronique et/ou asthme professionnel) peut Ă©voluer vers une BPCO[22] ;
  • QualitĂ© de l'air : La pollution atmosphĂ©rique et la pollution de l'air intĂ©rieur jouent un rĂ´le certain[23] - [24] ; les Ă©manations de foyers chauffant des aliments ou des pièces au bois ou au charbon de bois, voire au charbon dans des installations sommaires, vĂ©tustes ou polluantes de l'air intĂ©rieur sont des causes de BPCO ; de mĂŞme pour les particules (minĂ©rales ou organiques) inhalĂ©es lors des activitĂ©s de loisir et surtout dans certains environnements professionnels (industries chimique, pĂ©trochimique, pharmaceutique, mĂ©tiers manipulant des solvants, des acides, fabrications d'encres, travail en milieu/salle stĂ©rile - froide, humide et en air conditionnĂ© travaux publics & du bâtiment, certaines formes d'artisanat, meulage, sciage, perçage ou ponçage de tous matĂ©riaux riches en silice[25] et en particulier du bĂ©ton[25] ou de substrats contenant des granulats[25] routiers...) ont un rĂ´le nĂ©faste pour les poumons et peuvent causer la maladie ou y contribuer.
    En France vers 2005 la fraction de risque attribuable aux expositions professionnelles est évaluée entre 15 et 20 %[26]. Dans ces cas les patients atteints de BPCO peuvent alors être relativement jeunes.

Examens complémentaires

Une radiographie pulmonaire montrant une BPCO sévère ; on note la petite taille du cœur par rapport au thorax.

Évolution et complications

La plus fréquente parmi les complications de la BPCO est l'insuffisance respiratoire. Il peut également se produire des complications neurologiques, cardiovasculaires ou musculaires. L'insuffisance respiratoire consiste en l'incapacité pour le système respiratoire (poumons et bronches) d'assurer sa fonction d'oxygénation du sang et des organes[27].

La BPCO constitue aussi la seconde cause d'hypertension pulmonaire.

Prise en charge

Les fumeurs pratiquant une activité physique d'au moins deux heures par semaine, quelle que soit son intensité, ont un risque réduit de développer une BPCO[28]. Il faut redévelopper la voie métabolique aérobie des muscles périphériques, contribuer à faire baisser l'hyperventilation, augmenter la tolérance à l'effort.

Gestion au long cours

La BPCO étant irréversible, la prise en charge de la maladie a pour principal objectif la restauration ou le maintien de la qualité de vie des patients grâce aux mesures suivantes :

  • cessation tabagique ;
  • programme d'Ă©ducation thĂ©rapeutique ;
  • rĂ©entraĂ®nement Ă  l'effort par les activitĂ©s physiques adaptĂ©es (APA) en vue d'amĂ©liorer la rĂ©sistance Ă  l'effort (diminuer la dyspnĂ©e dans les activitĂ©s de la vie quotidienne), de renforcer le fonctionnement du mĂ©tabolisme aĂ©robie (Ă©viter l'acidose provoquĂ©e par l'utilisation prĂ©fĂ©rentielle du mĂ©tabolisme anaĂ©robie chez ces patients) et d'accompagner vers un mode de vie actif ;
  • accompagnement psychologique : les thĂ©rapies cognitivo-comportementales prĂ©sentent un intĂ©rĂŞt certain, notamment pour la prise en charge de l'anxiĂ©tĂ©, d'un Ă©ventuel Ă©tat dĂ©pressif, la communication avec les proches…

Prise en charge des épisodes de décompensations aigües

Recommandation de la Société de pneumologie de langue française dans la prise en charge de la BPCO

  • Stade 1 lĂ©ger (VEMS/CV < 0,7 et VEMS> 80 % de la thĂ©orie) : rĂ©duction des facteurs de risques, vaccination anti-grippale, bronchodilatateur de courte durĂ©e d'action (Ventoline)[29].
  • Stade 2 modĂ©rĂ© (VEMS/CV < 0,7 et 50 % < VEMS < 80 % de la thĂ©orie) - un ou plusieurs bronchodilatateurs de longue durĂ©e d'action tels les bĂ©ta 2 mimĂ©tiques en inhalation[29] : formotĂ©rol, fĂ©notĂ©rol ou salmĂ©tĂ©rol) et ou les anticholinergiques en inhalation (ipratropium, tiotropium, aclidinium ou glycopyrronium…
  • Stade 3 sĂ©vère (VEMS/CV < 0.7 et 30 % < VEMS < 50 % de la thĂ©orie) : glucocorticostĂ©roĂŻdes inhalĂ©s en association fixe avec un bronchodilatateur si exacerbations rĂ©pĂ©tĂ©es malgrĂ© un traitement bronchodilateur bien conduit (fluticasone ou budĂ©sonide)[29].
  • Stade 4 très sĂ©vère (VEMS/CV < 0.7 et VEMS < 30 % ) : oxygĂ©nothĂ©rapie de longue durĂ©e si insuffisance respiratoire, traitements chirurgicaux[29].

Supplémentation en vitamine D3

Chez les patients souffrant de carences en vitamine D3, la supplémentation en vitamine D3 permet de réduire les exacerbations chez les patients atteints de BPCO modérée à très sévère, mais n'a aucun effet chez les patients présentant des taux normaux en vitamine[30]. Chez ceux à faible masse musculaire, une supplémentation sur le long terme (1 an) n'améliore pas les performances physiques, mais permet une légère amélioration non spécifique de la santé de manière générale due à l'augmentation du taux plasmatique de vitamine D3[31].

BPCO et activité physique

Idées reçues, jusqu’en 1990 :

  • La pratique physique rĂ©gulière est nĂ©faste car elle entraĂ®ne l’essoufflement.
  • L’activitĂ© physique n’a jamais changĂ© la fonction respiratoire d’un sujet BPCO.
  • L’activitĂ© physique est donc inutile, difficile Ă  faire accepter et elle est non pertinente.

Les principaux changements :

  • il y a eu beaucoup d’études sur l’adaptation des BPCO Ă  l’exercice. On a compris l’interface entre l’exercice physique et la BPCO.
  • On sait que la tolĂ©rance Ă  l’effort n’est pas seulement liĂ©e Ă  la sĂ©vĂ©ritĂ© de la BPCO, calculĂ©e avec le VEMS. Celui-ci classe le degrĂ© de la pathologie mais pas la tolĂ©rance Ă  l’effort.
  • Le BODE index est un ensemble de 4 tests pour mieux rendre compte de l’impact de la BPCO dans la vie du sujet.
  • Le muscle du BPCO est une usine Ă  problème. Toutes les anomalies musculaires ne sont pas liĂ©es Ă  une insuffisance de la dĂ©livrance en O2.

Aspects juridiques (cas des maladies professionnelles)

Dans divers pays (dont en France depuis 1989) cette pathologie est prise en compte dans la gestion des maladies professionnelles. En France, des mesures réglementaires dans le régime général de la sécurité sociale et dans le régime agricole ont été peu à peu prises, qui permettent dans certains contextes et à certaines conditions la réparation de certaines BPCO d’origine professionnelle[32].

Notes et références

  1. http://www.poumon.ca/diseases-maladies/copd-mpoc/what-quoi/index_f.php
  2. https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/chronic-obstructive-pulmonary-disease-(copd)
  3. Rafenberg C, Dixsaut G & Annesi-Maesano I (2015) Évaluation à minima du coût de la pollution atmosphérique pour le système de soin français. Environnement, Risques & Santé, 14(2), 135-150.
  4. Waldmann V, Bougouin W, Karam N, Albuisson J, Cariou A, Jouven X & Marijon E (2017). Mort subite de l’adulte: une meilleure compréhension pour une meilleure prévention. Journal Européen des Urgences et de Réanimation, 29(4), 327-336.|résumé
  5. « Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) ⋅ Inserm, La science pour la santé », sur Inserm (consulté le ).
  6. Société de Pneumologie de Langue Française, BPCO, [lire en ligne]
  7. Comité National contre les maladies respiratoires, BPCO, [lire en ligne]
  8. Garnier & Delamare, Dictionnaire des termes de médecine, Maloine, Paris, 2002, (ISBN 2-224-02737-0)
  9. Stéphane Gabbio, Isabelle Moncada, Claudette Lefaye, « La BPCO (bronchopneumopathie chronique obstructive), une épidémie silencieuse », CQFD, La 1re,‎ (lire en ligne [audio])
  10. « Explosion des maladies respiratoires : détecter les premiers signes ! », 36.9°, Radio télévision suisse,‎ (lire en ligne [vidéo])
    « Bronchopneumopathie chronique obstructive, ou BPCO : c'est une maladie grave et invalidante, qui détruit le souffle inexorablement. Elle touche 400 000 personnes en Suisse, et, selon l'OMS, elle deviendra bientôt la 3e cause de mortalité dans le monde. »
  11. Desqueyroux H& Momas I (2001) Impact à court terme de la pollution atmosphérique urbaine sur l'insuffisance respiratoire par bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Synthèse des études, en France en 2001
  12. Amiot N, Tillon J, Viacroze C, Aouine H & Muir J.F (2012) Répercussions des fluctuations de la pollution atmosphérique chez les patients atteints de bronchopneumopathie chronique obstructive. Revue Française d'Allergologie, 52(1), 36-41.
  13. Soumagne T, Caillaud D, Degano B & Dalphin J.C (2017) BPCO professionnelles et BPCO post-tabagique: similarités et différences. Revue des Maladies Respiratoires|résumé.
  14. Fuhrman, C., & Delmas, M. C. (2010). Épidémiologie descriptive de la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) en France. Revue des Maladies Respiratoires, 27(2), 160-168.
  15. (en) G Devereux, « ABC of chronic obstructive pulmonary disease: Definition, epidemiology, and risk factors » BMJ 2006;332:1142-1144.
  16. I. Horvath, J. Hunt, P.J. Barnes, K. Alving, A. Antczak, E. Baraldi, et al. (2005) Exhaled breath condensate: methodological recommendations and unresolved questions ; European Respiratory Journal, 26 (3) (Sept), pp. 523-548
  17. Larsson P, Mirgorodskaya E, Samuelsson L, Bake B, Almstrand A.C, Bredberg A & Olin A.C (2012) Surfactant protein A and albumin in particles in exhaled air. Respiratory medicine, 106(2), 197-204.
  18. Ministère de la Santé, juillet 2005
  19. Buist AS, McBurnie MN, Vollmer WM et Als, International variation in the prevalence of COPD (The BOLD Study): a population-based prevalence study, Lancet, 2007 ; 370:741-750
  20. « Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) », sur www.who.int (consulté le )
  21. Fuhrman C, Delmas MC, Nicolau J, Jougla E, « Mortalité liée à la BPCO en France métropolitaine, 1979-2003 », Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire, n°. 27-28,‎ , p. 242-5 (lire en ligne)
  22. Jouneau S (2006) Facteurs de risque de la BPCO: au-delĂ  de la cigarette. Revue des Maladies Respiratoires, 23(5), 20-24.
  23. Allain Y-M, Roche N & Huchon G (2011) Pollution atmosphérique, facteur de risque des BPCO] ? Revue Française d'Allergologie, Vol51, no 1, Janvier 2011, Pages 41-55 (résumé)
  24. Y.-M. Allain, N. Roche, G. Huchon (2010), Pollution atmosphérique, facteur de risque des BPCO ? Revue des Maladies Respiratoires, Volume 27, Issue 4, April 2010, Pages 349-363 (résumé)
  25. Dangers, expositions et risques relatifs à la silice cristalline Rapport d’expertise collective - Saisine « n° 2015-SA-0236 - Silice cristalline » | mars
  26. Benard E, Detournay B, Neukirch F, Pribil C & El Hasnaoui A (2005). de la Bronchopneumopathie Chronique Obstructive (BPCO): estimation pour la France. La lettre du Pneumologue, 8, 158-63.
  27. Muir J.-F. ; Bronchopneumopathies chroniques obstructives et leurs complications : épidémiologie, étiologie, physiopathologie, diagnostic, évolution, prévention, traitement, posologie de l'oxygénothérapie; La Revue du praticien; 1995, vol. 45, no16, p. 2085-2097
  28. Garcia-Aymericg et coll., 2007
  29. Promoteur : Société de Pneumologie de Langue Française, « Recommandations pour la pratique clinique : Prise en charge de la BPCO [The French-speaking Society of Pneumology recommendations on the management of COPD] », Rev Mal Respir, vol. 27, no Suppl 1,‎ , S1-76, I-XXXI. (PMID 20931674, lire en ligne [PDF])
  30. Adrian R, Martineau, Wai Yee James, Richard L Hooper, Neil C Barnes, David A Jolliffe, Claire L Greiller, Kamrul Islam, David McLaughlin, Angshu Bhowmik, Peter M Timms, Raj K Rajakulasingam, Marion Rowe, Timothy R Venton, Aklak B Choudhury, David E Simcock, Mark Wilks, Amarjeet Degun, Zia Sadique, William R Monteiro, Christopher J Corrigan, Catherine M Hawrylowicz, Christopher J Griffiths, « Vitamin D3 supplementation in patients with chronic obstructive pulmonary disease (ViDiCO): a multicentre, double-blind, randomised controlled trial », The Lancet Respiratory Medecine, vol. 3,‎ , p. 120 (DOI 10.1016/S2213-2600(14)70255-3)
  31. Martijn van Beersa, Maureen P.M.H, Rutten-van Mölkenb, Coby van de Boola, Melinde Bolandb, Stef P.J. Kremersc, Frits M.E. Franssena, Ardy van Helvoorta, Harry R. Goskera, Emiel F. Woutersa, Annemie M.W.J. Schols, « Clinical outcome and cost-effectiveness of a 1-year nutritional intervention programme in COPD patients with low muscle mass: The randomized controlled NUTRAIN trial », Clinical Nutrition,‎ (DOI 10.1016/j.clnu.2019.03.001)
  32. Andujar P. & Dalphin J. C. (2016), Bronchopneumopathies chroniques obstructives professionnelles. Aspects médicolégaux, conduite à tenir en pratique, revue des Maladies Respiratoires, 33(2), pp. 91-101|résumé

Voir aussi

Bibliographie

Article connexe

Liens externes

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