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Michael Bay

Michael Benjamin Bay [ˈmaɪkəl beɪ][1], né le à Los Angeles (Californie), est un réalisateur, producteur et acteur américain.

Michael Bay
Description de cette image, également commentée ci-après
Michael Bay en 2008.
Nom de naissance Michael Benjamin Bay
Surnom Michael Bay
Naissance
Los Angeles (Californie)
Nationalité Américaine
Profession Réalisateur
Producteur
Acteur
Films notables Bad Boys (saga)
Rock
Armageddon
Pearl Harbor
The Island
Transformers (saga)
Ninja Turtles (Producteur)
Site internet www.michaelbay.com

Après une carrière productive dans la réalisation de clips musicaux, il se lance dans la réalisation de films en commençant par Bad Boys, puis continue avec Armageddon, Pearl Harbor, 13 Hours, jusqu'à réaliser la saga Transformers qui lui assure un énorme succès[2]

Spécialiste du blockbuster hollywoodien, notamment dans le genre du film d'action et du film catastrophe, son style est marqué par l'utilisation importante d'effets spéciaux et son montage à plans courts, parfois qualifié d'épileptique par ses détracteurs (plans courts, travellings circulaires). Il est devenu une valeur sûre du box-office malgré le désamour global de la critique[3] - [4].

Il est cofondateur de la maison de production commerciale de l'Institut, alias The Institute for the Development of Enhanced Perceptual Awareness. Il est le cofondateur et copropriétaire de la maison d'effets spéciaux Digital Domain.

Il est aussi copropriétaire de Platinum Dunes, une maison de production qui a servi à réamorcer des sagas de films d'horreur cultes comme Vendredi 13, Massacre à la tronçonneuse et Freddy: Les Griffes de la nuit.

Biographie

Débuts

Michael Bay naît et grandit à Los Angeles avec ses parents adoptifs.

Il fréquente dans son enfance les bancs de la Crossroads School for Arts & Sciences de Santa Monica (Californie), où il côtoie les enfants de « l'élite d'Hollywood ».

Il étudie par la suite à l'université Wesleyan de Middletown (Connecticut), dont il sort diplômé en 1986. Pendant ses études à Wesleyan, il est membre de la fraternité Psi Upsilon.

Souhaitant poursuivre ses études, il envoie des candidatures à plusieurs grandes universités américaines. Après avoir été refusé par plusieurs universités, dont l'université de Californie du Sud, il choisit d'étudier le cinéma à l'Art Center College of Design de Pasadena.

Premiers projets

Après avoir obtenu son diplôme, Michael Bay rencontre un vieil ami de lycée nommé Kirk Skinner, qui l'aide à percer dans l'industrie de la musique et de la vidéo en travaillant auprès d'artistes tels que Meat Loaf, Richard Marx, Donny Osmond, Lionel Richie et Tina Turner.

Il commence à réaliser des vidéos pour la télévision en intégrant la société de production et de distribution Propaganda Films. Il réalise par la suite des publicités et des clips vidéos pour plusieurs grandes entreprises, dont Nike, Reebok, Budweiser et Coca-Cola.

Sa première publicité nationale a été la réalisation d'un vidéoclip pour la Croix-Rouge, qui remporte un Clio Award en 1992. La plus réussie de ses campagnes publicitaires a été la série Got Milk?, qui lui a valu le Grand Prix Clio Award for Commercial of the Year. Beaucoup considèrent cependant que c'est le clip de « I'd Do Anything for Love (But I Won't Do That) » de Meat Loaf qui a ouvert les portes du cinéma à Michael Bay.

Années 1990

Le succès de Michael Bay dans les vidéoclips a attiré l'attention des producteurs Jerry Bruckheimer et Don Simpson, qui l'ont choisi pour réaliser son premier long-métrage, Bad Boys. Le film a été tourné à Miami en 1994 et met en scène Will Smith et Martin Lawrence. Le film est un succès avec un total de 141 millions de dollars de recettes dans le monde et génère un profit énorme pour les producteurs et le distributeur, Columbia Pictures. Ce succès de Bay, a conduit à un partenariat et une amitié solide avec Jerry Bruckheimer.

Son second long-métrage est Rock en 1996, un film d'action qui se déroule principalement sur l'île d'Alcatraz, située dans la baie de San Francisco. Il met en vedette Sean Connery, Nicolas Cage et Ed Harris. Une fois de plus, le film est produit par Jerry Bruckheimer et Don Simpson. Celui-ci décède cinq mois avant la sortie du film, qui lui est dédié. Rock remporte un certain nombre de récompenses, dont le Best On-Screen Duo aux MTV Movie Awards pour la prestation de Nicolas Cage et Sean Connery, et une nomination à l'Oscar du meilleur son pour le travail de Greg P. Russell, Kevin O'Connell et Keith A. Wester.

En 1998, il continue de collaborer avec Jerry Bruckheimer pour Armageddon. Le film sort à un moment où les films catastrophe sont populaires à Hollywood. Il raconte le périple d'un groupe de foreurs, recrutés et envoyés par la NASA pour dévier un astéroïde de sa trajectoire avant qu'il n'entre en collision avec la Terre. Bruce Willis, Billy Bob Thornton, Ben Affleck et Liv Tyler sont à l'affiche du film. Malgré les mauvaises critiques, Armageddon est nommé à la 71e cérémonie des Oscars dans les catégories meilleur son, meilleurs effets visuels, meilleur montage sonore et meilleure chanson originale, rapportant plus de 550 millions de dollars à travers le monde.

Années 2000

En 2001, Michael Bay décide d'adopter une approche plus dramatique pour son film sur l'attaque de Pearl Harbor, sorti le week-end de Memorial Day 2001, dans lequel il dirige Ben Affleck, Josh Hartnett, Kate Beckinsale et Cuba Gooding Jr. La critique accueille le film de façon mitigée et déplore qu'il soit visuellement lisse et historiquement imprécis. Les lacunes littéraires, telles que le dialogue banal, un triangle amoureux mal développé et des personnages principaux creux, sont également critiquées. Le film est nommé à quatre reprises à la 74e cérémonie des Oscars (meilleur montage sonore, meilleur son, meilleurs effets visuels et meilleure chanson originale) et remporte l'Oscar du meilleur montage sonore.

Il retrouve Will Smith et Martin Lawrence pour Bad Boys 2 (2003), qui marque sa cinquième collaboration avec Jerry Bruckheimer. Le film, bien que faisant l'objet de critiques pour sa longueur et sa brutalité, est l'exemple ultime de l'esthétique du réalisateur. Il fait 138 millions de dollars de recettes au box-office américain (somme suffisante pour couvrir le budget de production) et 273 millions de dollars de recettes dans le monde, presque deux fois plus que le film original.

Michael Bay réalise ensuite The Island, qui sort en 2005. Il s'agit d'un film de science-fiction décrit comme un pastiche d'«escape-from-dystopie », avec Ewan McGregor et Scarlett Johansson. C'est le premier film de Michael Bay sans Jerry Bruckheimer et également son premier à être une déception au box-office américain (seulement 36 millions de dollars de recettes). Le film a eu plus de succès à l'international, remportant 163 millions dans le monde. Michael Bay a déclaré qu'il n'était pas à l'aise avec la mise sur le marché du film aux États-Unis. Bien qu'il ne soit pas particulièrement bien accueilli, certaines critiques ont eu une note plus douce pour le propos humaniste du film et ont fait l'éloge des effets spéciaux, cascades et des multiples scènes de chasse ainsi que de la manière dont Michael Bay maintient le rythme du film.

En 2007, il rencontre pour la première fois Steven Spielberg, en tant que producteur exécutif, et dirige Transformers, un film d'action spectaculaire, basé sur la franchise Transformers, un univers de jouets (dont on profite du merchandising), créé par Hasbro entre 2 races de robots qui s'affrontent : les gentils Autobots contre les méchants Decepticons. Le film sort aux États-Unis et au Canada le . Il a pour vedette Shia LaBeouf. Les avant-premières ont rapporté 8,8 millions de dollars, et dès son premier jour de sortie, il engrange 27,8 millions $, un record pour le box-office. Le week-end de sa sortie, Transformers a rapporté 70,5 millions, et un montant de 155,4 millions $ la première semaine, ce qui lui donne le record de la plus grande semaine de sortie pour une non-suite. En , le film a fait plus de 319 millions $ au niveau national et de plus de 708 millions $ dans le monde, il a été bien accueilli par le public et a reçu des commentaires positifs de la part des critiques. Michael Bay et Steven Spielberg sont de retour pour Transformers 2 : La revanche, qui sort en 2009. Le film est un nouveau succès au Box-office avec 836 millions de dollars pour un accueil critique catastrophique : beaucoup reprochent au film les effets spéciaux trop nombreux et lassants ainsi qu'un scénario très faible.

En 2006, Michael Bay et Wydncrest Holdings rachètent la société d'effets spéciaux Digital Domain créée par James Cameron et Stan Winston. Il dirige également son entreprise, Platinum Dunes, qui produit des films d'horreur, avec surtout la réussite commerciale des remakes des films des années 1970 (Massacre à la tronçonneuse…) et dirige enfin des publicités par le biais de l'Institute for the Development of Enhanced Perceptual Awareness.

Années 2010

En 2010, Michael Bay signe un contrat publicitaire avec Victoria's Secret ; il devient alors le réalisateur des publicités de la marque.

Michael Bay annonce après la sortie de Transformers 2 : La revanche son souhait de faire une pause avec la franchise pour réaliser d'autres projets. Cependant, à la suite d'une annonce de Paramount, il dirige et sortit le troisième Transformers (Steven Spielberg reste producteur délégué.) à l'été 2011, qui a pour titre Transformers 3 : La Face cachée de la Lune qui sort en 3D. Les robots s'affrontent de nouveau, mais dans un nouveau contexte : la découverte de robots survivants durant Apollo 11, quand l'homme marcha sur la lune. Le film, dont l'exploitation en salles rapporte 1,12 milliards de dollars dans le monde, est l'un des plus gros succès du box-office mondial et américain. Il reçoit à nouveau des critiques négatives de la presse[5].

En 2013, Michael Bay délaisse les Transformers pour No Pain No Gain, un film basé sur l'histoire vraie de criminels culturistes violents et déjantés, drogués aux anabolisants. Un « petit » film pour Michael Bay ( « seulement » 25 millions de dollars de budget) avec des recettes de 96 millions de dollars au box-office ainsi qu'un accueil critique mitigé.

Transformers : L'Âge de l'extinction (Transformers : Age of Extinction) sort à l'été 2014. Le film est annoncé comme le premier d'une nouvelle trilogie dans laquelle le héros principal est désormais incarné par Mark Wahlberg. Des spin-offs sont aussi envisagés. À l'exception du casting, le quatrième volet ne change ni l'équipe technique, ni la réception du film : Michael Bay en réalisateur, Steven Spielberg à la production, un succès attendu au box-office, le milliard de dollars franchi bien qu'il y eut un score mitigé aux États-Unis, tout en composant avec l'accueil catastrophique de la presse.

Son film suivant, 13 Hours, sort en 2016. Il revient sur l'attaque du consulat américain dans la ville de Benghazi en Libye, qui s'est soldée par la mort de l'ambassadeur J. Christopher Stevens[6]. Le film met l'accent sur le rôle du groupe d'élite chargé de défendre la place forte.

Bien qu'il ne souhaite plus réaliser de film sur les robots après le quatrième opus, il dirige ensuite Transformers: The Last Knight, 5e volet de la franchise Transformers, sorti au cinéma en 2017. Spectateurs et presse rejettent le film[7] et les 600 millions de dollars de recette au box-office mondial font de ce film un échec qui rapporte moins que le premier opus de la série.

Le réalisateur qui est très engagé dans la défense des droits des animaux prévoit de réaliser un documentaire sur le braconnage des éléphants, il en a déjà fait part lors de la première de Transformers : L'Âge de l'extinction.

Le , The Hollywood Reporter annonce que Michael Bay produira l'adaptation au cinéma de Dora l'exploratrice, célèbre dessin animé de la chaîne américaine Nickelodeon. Le scénariste britannique Nicholas Stoller accompagnera le réalisateur-producteur dans ce projet lancé par les studios Paramount[8].

Le , il est annoncé qu'il réalisera le film Six Underground, le plus cher produit par Netflix. Il y dirige notamment Ryan Reynolds et Mélanie Laurent. Le film sort en 2019.

Œuvre

Inspirations et influences

Une variété de facteurs ont déclenché et alimenté l'intérêt de Michael Bay pour le monde du spectacle. Il s'inspire de différents réalisateurs comme Steven Spielberg, James Cameron, Stanley Kubrick, George Lucas, Joel et Ethan Coen. Dans sa jeunesse, il travaille pour Lucasfilm, et participe au storyboard du premier film d'Indiana Jones Les Aventuriers de l'arche perdue.

Deux de ses films, The Island et Transformers 2 : La revanche, sont reconnus pour leur grand nombre de placement de produits. Ils présentent respectivement 35 et 47 marques différentes[9].

Filmographie

Icône signalant une information Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.

Comme réalisateur

Cinéma

Prochainement

Télévision

Comme acteur

Clips musicaux

Box-office

Ses films ont remporté 6,43 milliards de dollars de recettes dans le monde entier, ce qui fait de lui le second cinéaste avec le meilleur box-office de l'histoire du cinéma derrière Steven Spielberg (9,54 milliards), et devant James Cameron (6,20 milliards) . Il est second, si on compte la rentabilité de ses films, avec 2 milliards de gain (le premier reste Spielberg avec 4,1 milliards de gains).

Film Date de Sortie Drapeau des États-Unis États-Unis Date de Sortie Drapeau de la France France Studio Budget Drapeau des États-Unis États-Unis Drapeau de la France France Monde Box-office Monde
Bad Boys Columbia Pictures 19 000 000 $ 65 807 024 $ 1 636 092 entrées 141 400 000 $
Rock Hollywood Pictures 75 000 000 $ 134 069 511 $ 1 849 549 entrées 335 100 000 $
Armageddon Buena Vista Distribution 140 000 000 $ 201 578 182 $ 4 606 936 entrèes 553 700 000 $
Pearl Harbor Walt Disney Pictures 140 000 000 $ 198 542 554 $ 2 514 353 entrées 449 200 000 $
Bad Boys 2 Columbia Pictures 130 000 000 $ 138 608 444 $ 1 942 671 entrées 273 300 000 $
The Island DreamWorks SKG et Warner Bros 126 000 000 $ 34 126 850 $ 1 556 590 entrèes 162 900 000 $
Transformers Paramount Pictures et DreamWorks SKG 150 000 000 $ 319 246 193 $ 1 984 829 entrées 709 700 000 $
Transformers 2 : La Revanche Paramount Pictures et DreamWorks SKG 200 000 000 $ 402 111 870 $ 2 276 748 entrées 836 300 000 $
Transformers 3 : La Face cachée de la Lune Paramount Pictures et DreamWorks SKG 195 000 000 $ 352 390 543 $ 2 622 932 entrèes 1 124 000 000 $
No Pain No Gain Paramount Pictures 26 000 000 $ 48 532 000 $ 327 085 entrées 86 200 000 $
Transformers : L'Âge de l'extinction Paramount Pictures et DreamWorks SKG 210 000 000 $ 245 439 079 $ 2 343 189 entrèes 1 104 000 000 $
13 Hours Paramount Pictures 50 000 000 $ 52 853 219 $ 106 354 entrées 69 400 000 $
Transformers: The Last Knight Paramount Pictures et DreamWorks SKG 260 000 000 $ 130 154 281 $ 1 412 540 entrèes 605 400 000 $
Six Underground 2019 2019 Netflix 150 000 000 $
Total 1 861 000 000 $ 2 323 462 420 $ 25 430 533 entrèes 6 504 702 609 $

Accueil

Michael Bay est un cinéaste extrêmement rentable et très populaire. Parallèlement, la critique n'a jamais été clémente pour ses réalisations. Les deux principaux agrégateurs de critique américains, Rotten Tomatoes et Metacritic, résument le désamour de la critique pour Bay. Sur Rotten Tomatoes, seul Rock obtient le label « fresh » (frais) avec 67 % de critiques positives, toutes les autres réalisations de Bay sont considérées comme « rotten » (pourries, avec moins de 65 % d'approbations). Metacritic rassemble une moyenne de 40/100 pour les avis critiques du travail de Michael Bay. Pour les notes de la presse sur Allociné, seuls No Pain No Gain et Transformers dépassent la moyenne.

Lui est très souvent reproché dans ses films un scénario quasi-absent ou incohérent, ainsi qu'un déluge d'effets spéciaux décrits comme abrutissants. La parodie de Michael Bay dans le premier épisode d'Imaginationland de South Park montre Bay qui ne sait faire que des effets spéciaux, mais sans idées scénaristiques ou réfléchies, soit les défauts qui lui sont souvent reprochés. La série Family Guy parodie elle aussi l'œuvre de Michael Bay à travers notamment la réplique du personnage principal : "On va se battre et il y aura tellement de gros plans dans tous les sens que personne va piger ce qu'il se passe". Mais le cinéaste se moque des critiques[10] - [11].

Récompenses

En 1994, Bay a été honoré par la Directors Guild of America en tant que réalisateur de films publicitaires de l'année. Il a reçu le ShoWest 2009 Vanguard Award pour son excellence dans le cinéma lors de la Confab des propriétaires de cinéma.

Parallèlement, il a également reçu le prix du pire réalisateur de l'année lors de la 30e cérémonie des Razzie awards pour son film Transformers 2 : La revanche.

Citation

Michael Bay est réputé pour son investissement complet sur les tournages ainsi que pour son caractère tyrannique envers ses collaborateurs. Megan Fox a d'ailleurs déclaré à son sujet : "Son truc, c'est d'être Hitler sur le tournage et il l'est". Elle a par la suite été virée du casting de la saga par Steven Spielberg[12].

Notes et références

  1. Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API.
  2. Aardvark_Editions, « MICHAEL BAY : La Fin de l’innocence », sur Aardvark Editions, (consulté le )
  3. « Michael Bay serait-il devenu fréquentable ? », sur Les Inrocks,
  4. « Y a-t-il un système Michael Bay ? », sur Le Point,
  5. AlloCine, « Transformers 3 - La Face cachée de la Lune: Les critiques presse » (consulté le )
  6. (en) « Michael Bay's movie 13 Hours gets early 2016 release date », sur Collider,
  7. AlloCine, « Transformers: The Last Knight » (consulté le )
  8. « Le producteur de blockbusters Michael Bay va adapter "Dora l'exploratrice" en film », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le )
  9. (en) [vidéo] A Brief History of Conspicuous Product Placement in Movies sur YouTube
  10. (en) « Michael Bay tells Transformers fans: "Let Them Hate" », sur MTV,
  11. « Transformers 4 : Michael Bay a un conseil pour les critiques », sur ActuCiné,
  12. Maroussia Dubreuil et Jules Perret, « Mister Dynamite », So Film n°39, , p. 62 à 68

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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