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Le Porge

Le Porge (Lo PĂČrge en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Gironde (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).

Le Porge
Le Porge
L'hĂŽtel de ville et la poste.
Image illustrative de l’article Le Porge
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Lesparre-MĂ©doc
Intercommunalité Communauté de communes Médullienne
Maire
Mandat
Sophie Brana
2020-2026
Code postal 33680
Code commune 33333
DĂ©mographie
Gentilé Porgeais
Population
municipale
3 324 hab. (2020 en augmentation de 22,16 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 22 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 52â€Č 25″ nord, 1° 05â€Č 27″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 50 m
Superficie 149,03 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Le Porge
(ville isolée)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Sud-MĂ©doc
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Le Porge
Liens
Site web

    Ses habitants sont appelés les Porgeais[1].

    GĂ©ographie

    Coucher de soleil au Porge-Océan.

    La commune du Porge se situe Ă  la limite entre le Pays de Buch et le MĂ©doc.

    En plus du bourg proprement dit, Le Porge dispose d'une seule plage publique surveillée sur l'océan Atlantique au Porge-Océan dite « plage du Gressier »[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 975 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 979,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et Ă  km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de pour 1981-2010[12] Ă  pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Porge est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine du Porge, une unitĂ© urbaine monocommunale[17] de 3 324 habitants en 2020, constituant une ville isolĂ©e[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20] - [21].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (93,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (94,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (71,5 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (18,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (3 %), zones urbanisĂ©es (2,7 %), zones humides intĂ©rieures (1,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,7 %), eaux continentales[Note 7] (0,4 %), terres arables (0,3 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune du Porge est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[26]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[27].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par submersion marine. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[28] - [26].

    Le Porge est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[29]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[30] - [31].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des avancĂ©es dunaires[32]. La migration dunaire est le mouvement des dunes, vers l’intĂ©rieur des terres. Les actions conjuguĂ©es de la mer et du vent ont pour effet de dĂ©placer les sables et donc de modifier la morphologie du littoral[33].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[34].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[26].

    Histoire

    Toponymie

    La commune du Porge s'appelait autrefois « Le Porge en Buch », qui se disait en latin Porticus de Bogio.
    Porticus signifie « porte » ou « porche », et Bogio est relatif au peuple qui s'établit en Pays de Buch à l'époque Gallo-Romaine : les Boïates, dont le nom donnera Buch. Le Porge était donc « la porte du Pays de Buch » quand on venait du Médoc.

    Le Porge Ă©tant Ă  la limite du Pays de Buch et du MĂ©doc, pays gascons, la plupart des lieux-dits y sont explicables par le gascon, par exemple la LĂšde nĂšgre, le chemin gleyzaou, le Houdin, la Lande cousteyre, la GrĂȘle (l'Agrehle), le Bourdiou, le BĂ©cadey[35]


    Les sables ont englouti la premiÚre église située en bordure des marais au lieu-dit explicite de Gleyze-Vieille à l'ouest du bourg actuel[36].

    Le Porge est une étape de la voie de Soulac, itinéraire du pÚlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle aussi appelé Voie des Anglais.

    Le 18 juillet 1989, lors d'un Ă©tĂ© de canicule et de sĂ©cheresse, un incendie Ă©clate au lieu-dit « Mistre », entre Le Porge et Lacanau. AttisĂ© par un vent soufflant Ă  25 kilomĂštres heure, le feu se propage dans Le Porge, aprĂšs avoir sautĂ© un pare-feu de 50 mĂštres. Le 19, plusieurs foyers se rallument, le feu se dirige vers l'ocĂ©an et atteint le camping communal de « La Grigne », que les pompiers font Ă©vacuer (2 800 estivants), de mĂȘme que la plage du Gressier (12 000 personnes), puis le village naturiste de « La Jenny ». On ne dĂ©plore aucune victime humaine, heureusement, mais les flammes ont ravagĂ© 3 800 hectares de pins[37].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    ? GĂ©rard Blanc RĂ©Ă©lu en 1977[38]
    Claude Jaumouillé PS Ancien proviseur
    RĂ©Ă©lu en 1995
    Alain Deyres DVD[39]
    [40] [41]
    (décÚs)
    Jésus Manuel Veiga DVD Cadre supérieur
    3e vice-prĂ©sident de la CC MĂ©dullienne (? → 2018)
    RĂ©Ă©lu en 2014
    [42] Martial Zaninetti DVD Chef d'entreprise
    3e vice-prĂ©sident de la CC MĂ©dullienne[43] (2018 → 2020)
    [44] En cours Sophie Brana DVG Professeur en économie et finances à l'université de Bordeaux
    3e vice-prĂ©sidente de la CC MĂ©dullienne (2020 → )
    Fille de Pierre Brana, maire d'Eysines et député du Médoc
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[45].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[47].

    En 2020, la commune comptait 3 324 habitants[Note 8], en augmentation de 22,16 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    562566544643679694754797802
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    843865887962911876907905920
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0191 4281 2181 0281 090947876840929
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 0871 1491 0581 1001 2301 5072 1992 2982 607
    2017 2020 - - - - - - -
    3 1853 324-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Seurin a Ă©tĂ© construite en 1892 en remplacement de la vieille Ă©glise (elle-mĂȘme reconstruite en 1662) qui se trouvait initialement au lieu-dit Gleyze-Vieille Ă  km du village en direction de l'ocĂ©an et Ă©tait une halte sur le chemin littoral allant vers Compostelle.
    • Sur la place Saint-Seurin, Ă  proximitĂ© de l'Ă©glise, se trouve un platane plantĂ© Ă  la fin du XIXe siĂšcle dont l'Ăąge est ainsi estimĂ© Ă  environ 130 ans (2003). Il a reçu en 2003 le label d'arbre remarquable de France par l'association A.R.B.R.E.S[50].
    • Agence immobiliĂšre.
      Agence immobiliĂšre.
    • Ruine du moulin Ă  vent.
      Ruine du moulin Ă  vent.
    • L'Ă©glise Saint-Seurin (mars 2009).
      L'Ă©glise Saint-Seurin (mars 2009).
    • Le bourg.
      Le bourg.
    • Grange traditionnelle.
      Grange traditionnelle.

    La plage du Gressier

    La plage du Gressier compte un grand parking sous couvert forestier d'une capacitĂ© d'accueil de 3 100 places (correspondant Ă  environ 2,8 personnes par voitures en saison haute soit 8 680 plagistes) qui s'Ă©tend sur km le long de l'arriĂšre-dune. La plage du Gressier est la seule surveillĂ©e par la commune. Deux plages « sauvages » sont prĂ©sentes sur le territoire communal : « La Cantine » au nord et la « Jenny » au sud accolĂ©e Ă  celle naturiste[2].

    La Jenny

    Le domaine rĂ©sidentiel naturiste de La Jenny (de) crĂ©Ă© en 1983[51] occupe une pinĂšde de 127 ha. Ce domaine est uniquement constituĂ© de chalets. Il offre une capacitĂ© d'hĂ©bergement de 2 265 personnes. La plage ocĂ©ane surveillĂ©e pour les naturistes, est Ă  seulement quelques centaines de mĂštres. Il comporte un golf naturiste, unique au monde, avec un parcours de six trous, et un practice couvert et dĂ©couvert[52].

    Vie locale

    Environnement

    Le Conservatoire du littoral a fait l'acquisition en 2013[53] d'un site de 1 587 hectares[54]. Le site s’étire en arriĂšre du cordon dunaire sur 10 km du nord au sud et seulement km de large, dans un secteur Ă  forts enjeux touristiques et fonciers. Cette forĂȘt entourĂ©e de la forĂȘt domaniale Ă  l’ouest et de la forĂȘt communale Ă  l’est constitue, sur 8 000 ha en propriĂ©tĂ©s publiques, un rempart contre l’urbanisation[55].

    Sports

    • Le Porge est aussi un spot de surf prisĂ© des surfeurs.
    • Il existe Ă©galement plusieurs associations sportives : football, tennis, judo, badminton, etc.
    • L'Ă©tĂ©, un semi-marathon et un 10 km FFA, une course cycliste et un raid nature sont organisĂ©s.
    • Une autre association (« Sports Loisirs Le Porge ») organise des activitĂ©s de raids nature tout au long de l'annĂ©e et dĂ©veloppe la pratique du canoĂ« sur le Canal des Ă©tangs.
    • La construction d'une salle de sports multi-activitĂ©s en 2007 va permettre le dĂ©veloppement de sports comme le volley-ball, le handball et le basket-ball qui ne peuvent actuellement se pratiquer qu'Ă  la belle saison.
    • Circuit de moto-cross du Porge situĂ© route de l'Esquirot
    • Parcours santĂ© et sportif dans le "Poumon Vert" : randonneurs et cyclistes se partagent prĂšs de 96 km de sentiers balisĂ©s et sĂ©curisĂ©s (VTT et piĂ©tons autorisĂ©s). DĂ©part de la Cabane de l’Entrade. FermĂ© en pĂ©riode de chasse.
    • Sentier de randonnĂ©e "L'Homme et la Nature" 5KM. Niveau : facile. DĂ©part de la Cabane de l’Entrade. FermĂ© en pĂ©riode de chasse.
    • Skatepark : Le skateparc du Porge se situe Ă  cĂŽtĂ© de la salle des fĂȘtes et du city stade. Il se compose d'un quarter, d'une table, d'un rail. Il s'agit d'un Ă©quipement Funramp avec un revĂȘtement inox sur plus de 300 mÂČ.
    • City stade : Le city stade de Le Porge est situĂ© au cƓur du village Ă  cĂŽtĂ© du terrain de pĂ©tanque, du skate parc et de la salle des fĂȘtes.

    Activités

    • Cache-cache en MĂ©doc Ă  Le Porge : jeu de piste gratuit Ă  faire en autonomie et en famille.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.

    Références

    1. Nom des habitants des communes françaises sur habitants.fr, consulté le 3 novembre 2011.
    2. GIP Littoral Aquitain, Fréquentation des plages soumises à la pression de l'agglomération bordelaise (rapport d'étude préalable), , 44 p. (lire en ligne), p. 7.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Le Temple - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Le Porge et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Le Temple - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 du Le Porge », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    23. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    26. « Les risques prÚs de chez moi - commune du Porge », sur Géorisques (consulté le )
    27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    29. « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    30. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    31. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
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    Galerie

    • Le tronc du platane (image d'hiver) (mars 2009)
      Le tronc du platane (image d'hiver) (mars 2009)
    • Le panneau du label d'arbre remarquable du platane (mars 2009)
      Le panneau du label d'arbre remarquable du platane (mars 2009)
    • Le monument aux morts en face de la mairie (mars 2009)
      Le monument aux morts en face de la mairie (mars 2009)
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