Landelles-et-Coupigny
Landelles-et-Coupigny est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 839 habitants[Note 1].
Landelles-et-Coupigny | |
L'église Saint-Pierre. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Vire |
Intercommunalité | Communauté de communes Intercom de la Vire au Noireau |
Maire Mandat |
Denis Jouault 2020-2026 |
Code postal | 14380 |
Code commune | 14352 |
Démographie | |
Gentilé | Landellais |
Population municipale |
839 hab. (2020 ) |
Densité | 34 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 53′ 16″ nord, 0° 59′ 52″ ouest |
Altitude | Min. 57 m Max. 202 m |
Superficie | 24,67 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Vire Normandie (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Vire |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Géographie
La commune est située au nord-ouest du Bocage virois. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie la place à l'ouest de l'unité du Bassin de Vire caractérisée par « un ancien bocage fortement dégradé par les mutations agricoles » et un « habitat dispersé […] de schiste aux toits d’ardoise »[1]. Son bourg est à 6,5 km au nord-est de Saint-Sever-Calvados, à 7 km au sud de Pont-Farcy, à 11 km au nord-ouest de Vire et à 64 km au sud-ouest de Caen[2].
Le territoire est traversé par la route départementale no 52 reliant Vire au sud-est à Pont-Farcy et Tessy-sur-Vire au nord. Du bourg, on y accède par la D 297a au nord et par une voie communale du Mesnil-Robert au sud-est. Au sud-ouest, la D 81 permet de rejoindre Sept-Frères, et à l'ouest la D 297 permet l'accès à Morigny. La D 185 relie Mesnil-Benoist au sud et Saint-Martin-Don et Pont-Bellanger. Accessible indirectement par cette départementale, le bourg d'Annebecq est traversé par la D 293 qui mène à Beaumesnil au sud et vers Saint-Martin-Don à l'est. L'accès à l'A84 est à Pont-Farcy (sortie 39) à 8 km au nord.
Landelles-et-Coupigny est dans le bassin de la Vire, par son affluent la Drôme qui délimite le territoire au nord-est. Son propre affluent, la Cunes, l'y rejoint après avoir traversé et bordé le territoire au sud-est et à l'est. D'autres courts affluents de ces deux rivières collectent les eaux de la commune, dont le ruisseau des Landes qui rejoint la Cunes après avoir délimité le sud d'Annebecq.
Le point culminant (202 m) se situe sur les monts de Mérol, en limite de commune, au nord-est, près du lieu-dit Livet. Le point le plus bas (57 m) correspond à la sortie de la Drôme du territoire, au nord. La commune reste bocagère, même si le remembrement réalisé vers 1970 a abouti à une nette débocagisation.
Les lieux-dits de Landelles-et-Coupigny sont, du nord-ouest à l'ouest, dans le sens horaire : la Revenière, la Croix Botrel, la Boscherie, le Moulin de Cunes, l'Orangère, la Hersonnière, la Gosselinière, la Jourdanière, la Cornière, le Fossé, la Hametière Querul, le Val Martin, la Bergerie, la Charpenterie, la Basse Postellerie, la Vermondière, la Herlyère, la Nouette, la Marlinière, l'Acre (au nord), Livet, les Buissons, la Haute Postellerie, le Voy, l'Enguehardière, la Croûte, la Guilberdière, Beauhamel, la Rigaudière, la Quérantillière, le Hamel Blangarnon, la Paquerie, le Loup Pendu, la Rotière, les Hogues, la Tabourie, les Domaines, la Guibraye (à l'est), le Bourg, les Riaux, le Hamel Renard, la Gosserie, la Ferme, les Mélinières, la Paillardière, la Causserie, la Lesière, Coupigny, la Bioneriela Marchanderie, la Besnerie, la Fournerie, le Hamel Foulon, Tillaux, la Vallée (au sud), la Huberdière, la Glouyère, la Plaine, la Rénière, la Forterie, la Petitière, la Boullaie, la Forge, la Hairie de Haut, le Bois Nantier, le Hamel Besne, la Hairie de Bas, la Besnardière, le Hamel Bouillet, Villeneuve, la Foresterie, la Huberdière (à l'ouest), la Vaboutière, la Quérullière, la Feuillie, la Baconnière et les Loges[3].
Les lieux-dits d'Annebecq sont : la Masure, Corbion, la Bergerie (au nord), le Vaudinet, le Fossé, la Petite Chauvinière, les Vallées (à l'est), la Haye, la Bellière (au sud), le Bourg, la Besnardière (à l'ouest), et la Mairerie[4].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Germain-de-Tallevende », sur la commune de Vire Normandie, mise en service en 1971[13] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[14] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 995,7 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 43 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[17] à 11,9 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[19].
Urbanisme
Typologie
Landelles-et-Coupigny est une commune rurale[Note 7] - [20]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[21] - [22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vire Normandie, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23] - [24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,8 %), terres arables (38,7 %), zones agricoles hétérogènes (18 %), zones urbanisées (1,4 %), forêts (1 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Toponymie
Landelles est attesté sous les formes Landellœ en 1278 (livre noir de Coutances)[27], Lendelles en 1398 (arch. nat. aveux, P. 271, n° 37)[28].
Le toponyme dérive du gaulois landa, « lande », et du suffixe latin de présence -ella. L'endroit devait donc se caractériser par la présence de landes[29].
Le gentilé est « Landellais ».
Coupigny, ancienne commune[30], est attesté sous les formes Coupigneium en 1228, Cupigneium en 1247 (cartulaire de Mondaye), Coupignie en 1278, Copigneium en 1373 (livre blanc de Coutances), Goupigny en 1848 (état-major)[30].
Le toponyme semble s'être formé à partir d'un anthroponyme roman, peut-être Cuppinius, et du suffixe latin de propriété -acus[29]
Annebecq, ancienne commune[31], est attesté sous les formes Asnebec en 1198[27], Aldebek et Adnebec en 1204 (magni rotuli, p. 107, 2), Asnebech en 1279 (charte de Saint-André-en-Gouffern, n° 56), Ennebec en 1484 (archives nationales P. 272, n° 175), Anebet en 1684 (aveux de la vicomté de Vire)[32].
Le toponyme serait issu de l'anthroponyme germanique Anna et du norrois bekkr, « ruisseau »[27].
Histoire
La baronnie de Landelles et l’abbaye de Saint-Sever seraient issues du démembrement de la baronnie de Saint-Sever par les comtes de Cestre.
La baronnie de Landelles outre la paroisse de Landelles avait ses extensions dans celles de Beaumesnil, Coupigny, Mesnil-Caussois, Sept-Frères, Morigny, Courson, Mombray, Saint-Sever, Tallevende et Saint-Martin-de-Tallevende.
Dans les années 1780 ou 1790, la paroisse de Landelles et celle de Coupigny s’unifient.
Lors de la bataille de Normandie, le bourg de Landelles est libéré le par le 116e régiment de la 29e division d'infanterie américaine[33].
Le 1er janvier 1973, la commune d’Annebecq (195 habitants en 1968) est associée à celle de Landelles-et-Coupigny (813 habitants)[34] - [35]. La fusion devient totale le 1er juillet 2015[31].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Candidats ou listes ayant obtenu plus 5 % des suffrages exprimés lors des dernières élections politiquement significatives :
- Régionales 2015[36] :
- 1er tour (50,08 % de votants) : Union de la droite (Hervé Morin) 42,24 %, FN (Nicolas Bay) 28,38 %, Union de la gauche (Nicolas Mayer-Rossignol) 14,52 %.
- 2e tour (61.50 % de votants) : Union de la droite (Hervé Morin) 47,92 %, FN (Nicolas Bay) 28,39 %, Union de la gauche (Nicolas Mayer-Rossignol) 23,70 %.
- Européennes 2014[37] (43,07 % de votants) : FN (Marine Le Pen) 32,01 %, UMP (Jérôme Lavrilleux) 27,34 %, UDI - MoDem (Dominique Riquet) 10,07 %, DLR (Jean-Philippe Tanguy) 8,99 %, PS-PRG (Gilles Pargneaux) 8,27 %.
- Législatives 2012[38] :
- 1er tour (63,02 % de votants) : Jean-Yves Cousin (UMP, maire de la ville) 53,20 %, Alain Tourret (PRG) 29,06 %, Marie-Françoise Lebœuf (FN) 8,87 %.
- 2e tour (63,62 % de votants) : Jean-Yves Cousin (UMP) 62,99 %, Alain Tourret (PRG) 37,01 %.
- Présidentielle 2012[39] :
- 1er tour (81,94 % de votants) : Nicolas Sarkozy (UMP) 38,09 %, François Hollande (PS) 19,70 %, Marine Le Pen (FN) 18,39 %, François Bayrou (MoDem) 11,63 %, Jean-Luc Mélenchon (FG) 7,13 %.
- 2e tour (83,58 % de votants) : Nicolas Sarkozy (UMP) 65,14 %, François Hollande (PS) 34,86 %.
Administration municipale
Le conseil municipal est composé de quinze membres, dont le maire et trois adjoints[42].
Enseignement
Landelles-et-Coupigny dispose d'une école élémentaire publique. Pour l'enseignement secondaire, la commune est dans le secteur d'affectation du collège Jean Vilar à Saint-Sever-Calvados[43].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].
En 2020, la commune comptait 839 habitants[Note 9], en diminution de 5,41 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Landelles-et-Coupigny a compté jusqu'à 1 711 habitants en 1851, Annebecq en comptant 380 à ce même recensement (elle comptait 464 habitants au premier recensement républicain, en 1793, population jamais atteinte depuis).
En 2017, le territoire de l'ancienne commune d'Annebecq comptait 123 habitants (inclus dans le nombre d'habitants de Landelles-et-Coupigny : 861)[47].
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre des XVIIe siècle et XVIIIe siècle, inscrite aux monuments historiques[48]. La clôture du chœur et un tableau (Baptême du Christ) du XVIIIe, ainsi que trois statues, dont un saint Jean-Baptiste et une Vierge à l'Enfant du XVe, sont classés à titre d'objets aux monuments historiques[49].
- Chapelle Saint-Ortaire (XIXe siècle).
- Chapelle Notre-Dame-de-Consolation.
- Église Saint-Martin d'Annebecq (XVe siècle)[50].
- Moulin à eau pour la farine de blé dont la construction date de 1664.
L'église sera détruite en 1821 par un incendie et une seconde fois, le , par les combats de la bataille de Normandie[51]. La foudre atteint le clocher en 1827[51].
En 1989, Landelles voit son église Saint-Pierre brûler à la suite d'un court-circuit (problème de chauffage), le soir du vers 21 h pendant une répétition de chorale[52]. Quinze pompiers de Landelles ainsi que quelques sapeurs pompiers des alentours ont mis des heures à éteindre le feu qui a ravagé l'église. Elle est reconstruite à l'identique. Estimés à 17 000 000 francs, les travaux ont nécessité des subventions du conseil général et du ministère de la Culture ainsi que des dons totalisant 530 000 francs. L'inauguration de l'église a lieu le .
- La chapelle Saint-Ortaire.
- L'église Saint-Martin d'Annebecq.
- La chapelle Notre-Dame-de-Consolation.
Activité et manifestations
Sports
- Le Racing club de Landelles (anciennement Union sportive de Landelles-Pont-Farcy[53]) fait évoluer une équipe de football en division de district[54].
Manifestations
- Fête patronale et communale chaque week-end de la Pentecôte.
- En 2006, il a été créé un festival du véhicule ancien et de la BD. Grâce à la complicité du dessinateur Moloch, ami du pharmacien Guillaume Bourrel. Ce dernier a sponsorisé le salon de la BD entièrement en 2006 et 2007 et supervisé la partie Voitures anciennes en invitant en 2007 David White, président de Porsche en Angleterre, et Phill Jones, photographe officiel du Royal Automobile Club. Les parcours en voitures anciennes afin de découvrir le patrimoine local étaient la réalisation de Georges Quentin de Coupigny, président de l'Association pour la valorisation du patrimoine en Pays séverin. En 2008, celui que les dessinateurs ont appelé amicalement « frère Guillaume » a passé la main du salon de la BD à Élodie Guillouet, arrêtant aussi sa participation financière.
Personnalités liées
- Saint Ortaire (v. 482-580), religieux, abbé du monastère de Landelles.
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)
- « Les unités de paysage : Unité 4.4.1 - Le Bassin de Vire dans son écrin de hauteurs boisées » [PDF], sur basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr, Dreal Basse-Normandie (consulté le ).
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
- « Landelles-et-Coupigny » sur Géoportail.
- « Annebecq » sur Géoportail.
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Orthodromie entre Landelles-et-Coupigny et Vire Normandie », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- [PDF] Populations légales 2017 sur le site de l'Insee.
- « Église de Landelles », notice no PA00111463, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Œuvres mobilières à Landelles-et-Coupigny », base Palissy, ministère français de la Culture
- Le patrimoine des communes du Calvados, vol. 2, Paris, Flohic Éditions, , 1715 p. (ISBN 2-84234-111-2), p. 1395
- Ouest-France du 9 janvier 1990, « L'église incendiée de Landelles (Calvados) : deux ans de reconstruction ».
- Ouest-France du 20 novembre 1989, « Court-circuit alors que la chorale répétait : une église brûle près de Vire ».
- « Journal officiel 12 juillet 2003 » (consulté le )
- « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – RC de Landelles » (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
- Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados, t. 3 : Arrondissements de Vire et de Bayeux, Caen, Hardel, (lire en ligne), p. 153-158